n° 04338 | Fiche technique | 14867 caractères | 14867Temps de lecture estimé : 10 mn | 01/06/02 |
Résumé: Sonia me pose un lapin, j'aurais pu me consoler en allant faire du shopping ! Non, il a fallu que je rentre chez moi... et là je n'étais pas au bout de mes surprises ! | ||||
Critères: fhh hbi fmast intermast fellation cunnilingu préservati fdanus fsodo uro humour ecriv_f | ||||
Auteur : Marie-Paule Perez (Marie-paule cultive de drôles de fantasmes) |
Ben non, Sonia n’est pas venue… car si elle serait venue, cette aventure, je ne l’aurais sans doute point vécue… mais commençons par le commencement !
Je me prénomme Marie-Paule, et je suis mariée avec Etienne J’ai trente-trois ans, mon mari trente-sept Tout va bien, merci… Le temps des bonheurs intenses et des souvenirs inoubliables est un peu derrière nous. Mais on s’entend bien malgré tout. Sur le plan sexuel c’est un peu pareil, mais je ne me plains pas, enfin pas trop… Il m’arrive d’aller voir ailleurs, je suppose qu’il en fait autant… Bof, tant qu’on prend du plaisir sans casser notre vie de couple qu’est ce que ça peut foutre après tout ?
Et puis suite à un concours de circonstances, (mais ce n’est pas le sujet de l’histoire) j’ai fais la connaissance d’une femme, d’une femme très douce, ce jour là j’ai découvert quelque chose, et du coup mes petits écarts en ont été transformés
Et justement ce jour-là, j’attendais Sonia dans un café en sirotant un vichy fraise et en me projetant déjà dans ma tête mon petit cinéma charnel quand cette salope m’appela pour se décommander. Je rentrais alors à la maison dépitée, contrarié, furieuse et…
Evidemment arrivé à la maison, ce con d’ascenseur (qu’est ce qui est plus con qu’un ascenseur ? Je vous le demande bien, surtout quand il est en panne ?) était justement… en panne. J’habite au cinquième et je fume. Ce qui fait que j’arrivais en haut épuisé, le souffle coupé. J’en veux à la terre entière, à ses habitants, son pape et ses curés !
En plus j’ai envie de pisser, je m’énerve, je m’énerve, je mets un temps fou à trouver mes clés dans ce putain de sac à main à la con (qu’est ce qu’est plus con qu’un sac à main quand on cherche quelque chose dedans, je vous le demande ?) Je finis par rentrer
Et go to the private chiotte ! Je pisse, je pisse, je n’arrête pas de pisser ! D’ailleurs j’adore ça pisser, c’est l’un de mes trucs, ça quand je suis à poil le matin, avant de prendre ma douche, j’adore me pisser sur les cuisses, c’est chaud, c’est rigolo, c’est excitant… ou alors le soir, quelques gouttes, justes les dernières, comme ça dans la culotte, et hop on la remet, ça mouille la foufoune, c’est super comme effet !
Mais voilà t-y pas que j’entends comme des gloussements de plaisir qui semblent provenir de la chambre, je n’avais pas fait de bruit pour rentrer. Mon salopard de mari profite du fait que j’ai rendez-vous avec une nana pour s’envoyer en l’air avec une gonzesse ! Quel toupet ! Il est vrai qu’en y réfléchissant un peu, je suis un peu mal placée pour faire de la morale… Mais quand même ça m’énerve ! Et puis d’abord il n’a qu’à faire ça ailleurs, pas sous notre toit quand même ! Il y a des choses qui ne se font pas ! Na !
Mais comme je suis curieuse comme un pot de chambre, je décide de regarder à quoi ressemble la pétasse que Monsieur est en train de s’envoyer. Délicatement, très délicatement, j’entrebâille la porte et…
Putain, le choc !
J’ai du me tromper, ce n’est pas possible !
Je regarde une nouvelle fois !
Ben non, je ne me suis ni trompée ni gourée !
Mon connard de mari est en train de faire des trucs avec un mec !
Je dois être encore plus blanche qu’un navet de compétition dans un concours agricole !
Bon, j’en étais déjà à me demander comment gérer tout cela ! La meilleure solution serait sans doute de foutre le camp sur la pointe des ripatons et de ne revenir au domicile conjugal désormais souillé du péché de Sodome et Gomorrhe quelques heures plus tard, comme si de rien n’était ! Mais poussé par je ne sais quelle curiosité malsaine, je regarde à nouveau ! Un type genre blondinet efféminé est en train de sucer goulûment la bite de mon Etienne de mari qui vu sa bobine épanouie a l’air de trouver l’action complètement à son goût ! Le salaud !
Ah ! Je me vois bien pipelotter le soir " Alors chéri, tu as passé une bonne après midi ? " Bof, j’ai regardé la télé ! " Qu’il va me répondre ! Menteur, Pervers ! Enculé ! Tiens, en parlant d’enculé, j’espère au moins qu’ils ne vont pas aller jusqu’à…
Tiens ! Juste un dernier coup d’œil !
Je distingue cette fois mieux la scène, Etienne est sur le lit, l’inconnu le suce assez bruyamment avec de gros floc-floc, il est à quatre pattes, les fesses dans ma direction, légèrement cambrés, de bien jolies fesses bien lisses et glabres ! "Des jolies fesses", j’ai dis ! Je deviens folle !
Et puis tout c’est passé très vite, je sens comme quelque chose qui me gène dans la gorge, bon dieu il ne faut pas que je tousse, j’essaie de lutter, j’aurais dû partir, mais je reste là, paralysée ! Ne pas tousser ! Ne pas tousser ! Je tousse ! Les deux mecs qui me regardent surpris ! Etienne est tout rouge, l’autre est tout blanc, moi, je ne sais pas, verte peut-être !
Le réflexe débile, Etienne tire le drap sur lui, comme si je ne connaissais pas sa nudité par cœur !
Enfin vous voyez la situation !
Tout pouvait arriver !
Je serais éternellement reconnaissant à Etienne d’avoir d’un éclair de génie débloqué une situation qui pouvait tourner en n’importe quoi, crise conjugale, bagarre, que sais-je encore…
Il n’eut alors que cette courte phrase :
J’aurais pu, moi aussi réagir tout autrement, mais non ! Dans un état second, j’avançais vers le lit, comme la femelle du zombi et je m’approchais de la bite de l’inconnu
Il me tend la main, je la lui sers ! Comme présentation insolite, ce n’est pas mal quand même ! Je serre la main d’un type à poil qui bande comme un cerf et que je m’apprête à sucer ! Quelle est jolie cette biroute ! Bien droite, la peau un peu sombre, le gland bien brillant, d’une longueur standard, on va dire ! J’en ai quand même pas vu tant que ça dans ma vie !
Ça y est ma langue est au travail ! Je lui asticote le gland à ce biquet ! Je suce un mec qui vient de sucer mon mari ! Ça m’excite, ça m’excite de faire des trucs aussi pervers ! Mon mari s’approche de moi et me fait des petits bisous affectueux sur la joue ! Pas très pratique quand on suce ! Et puis qu’est- ce qui lui prend ? Il a quelque chose à se faire pardonner ou quoi ? Peut-être quand même, alors j’arrête un moment ma fellation et j’embrase Etienne goulûment, faisant circuler ma langue dans sa bouche avec toute la souplesse dont je peux être parfois capable !
Me voici en train d’embrasser mon mari avec le goût de la pine d’un autre homme dans ma bouche ! Je vous dis, on est en pleine perversion !
Finalement Etienne me lâche, je reprends ma pipe, mais cette fois j’y vais carrément, je coulisse le membre de mes lèvres humides, j’adore faire ça, mais il y a un inconvénient, ça fait baver… et il se trouve que je suis encore intégralement habillée, même pas légèrement débraillée, non personne n’a touché à mes vêtements. Ben oui, quand on est dans la réalité, les choses ne se passent pas forcément dans l’ordre logique…
Je me recule pour me déshabiller. Ça à l’air d’intéresser Ghislain, qui me regarde comme si j’étais Claudia Choux-fleur ! J’en suis pourtant assez loin même si comme on dit " je plais "
Etienne interrompt la contemplation de son acolyte et lui fait se replacer à quatre pattes, il passe alors derrière lui ! Et… Mais qu’est ce qu’il fabrique le Etienne… Ben, non, je ne rêve pas, il est en train de lui sucer la rondelle ! Mon Dieu ! Mais ce n’est pas possible, il faut que je voie ça de plus près ! Je me dépêche de terminer mon déshabillage et je ne prends même pas le temps de ranger convenablement mes sous-vêtements que j’envoie bouler et choir sur la moquette !
Et puis je décide de me rapprocher du lieu de l’action. Mon Etienne est en train effectivement de jouer de la langue et de lubrifier l’anus de Monsieur Ghislain qui à l’air de trouver la caresse fort stimulante, ils ne sont pas nets, ces mecs. Ça m’excite, ça m’excite, je m’approche :
Il faut toujours demander avant de faire les choses ! Etienne comme à regret à la galanterie de me laisser la place, je lèche à mon tour ! Et me voilà en train de laper le trou du cul d’un homosexuel ! Curieuse après midi, normalement je devrais à cette heure là lécher la foufoune de Sonia, je vous dis la destinée c’est bizarre des fois. Et puis, j’ai envie d’improviser, après tout ils m’ont invité, ce n’est pas pour rester passive, ce trou qui me tend les doigts, c’est le cas de le dire est trop tentant, j’approche l’index, je le rentre, je le bouge et je le bouge encore et monsieur est aux anges !
Qu’est qu’il a lui ? Il a peut-être une idée pour la suite, mais qu’il est la délicatesse de me laisser un peu faire ce que j’ai envie !
En voilà une idée qu’elle est bonne ! Etienne se place à la gauche de Ghislain, je m’aperçois qu’il n’a pas le cul vraiment sec, il a du se le faire sucer par son copain avant que j’interfère dans leurs ébats. Et comme il le souhaitait j’ai maintenant un index dans chaque trou du cul et je fais des petits va-et-vient avec tout ce petit monde !
Après quelques instants de ce régime, les deux hommes s’allongent de nouveau sur le lit et se livrent à une masturbation mutuelle, je voudrais bien me rendre utile et m’amuse à agacer les tétons de ces messieurs, en principe ça plait toujours, et puis j’embrasse mon mari, l’autre je n’ai pas trop envie !
Etienne se redresse un moment puis plonge sa bouche vers le sexe de Ghislain ! On a beau avoir les idées larges, voir son mari en train de sucer une quéquette, ça fait drôle, et quand je dis que ça fait drôle c’est peut-être un peu curieux psychologiquement parlant mais en ce qui concerne l’exitomètre, c’est d’une efficacité surprenante, je suis en train de dégouliner de la chatte comme cela m’est rarement arrivée.
Mais voilà que Ghislain est en train de préparer un préservatif, il s’en capuchonne la biroute… Il ne va pas… quand même… J’aurais plutôt vu le contraire ! Ben non ce n’est pas le contraire ! Etienne est à quatre pattes, il s’écarte le trou du cul de ses mains et attend que Christophe l’encule ! Et ça va se passer devant mes yeux écarquillés à cinquante centimètres de moi.
Christophe s’approche, enfin c’est plutôt sa bite qui s’approche, la pénétration a été relativement rapide, moins d’une minute, et les voilà partis dans des va-et-vient infernaux ! Etienne râle son plaisir comme un malade, je suis toujours autant excitée, mais personne ne s’occupe de moi ! Je me faufile par-devant et essaye de sucer la bite de mon mari pendant qu’il se fait besogner, mais c’est plus facile à dire qu’à faire, et vu l’instabilité de la position ou mon manque d’expérience, j’y renonce et me pose dans un coin du lit, me masturbant en regardant la scène.
Soudain Christophe pousse un cri, il a jouit, il se retire, et s’écroule sur le plumard (sur notre plumard ! Qui c’est qui va avoir tous les draps à changer ?) Etienne se retourne et comme un malade se met à se branler tout seul pour finir par éjaculer sur le torse de son… amant (ben oui, il faut bien employer le mot)
Etienne m’aperçoit enfin, semble sortir de son rêve et réalise que moi je suis un peu largué dans toute cette affaire !
Toujours est-il que je me retrouve allongée les cuisses écartées et la langue de Christophe dans mon sexe en train de la balader sur mon clito, c’est qu’il lèche bien l’animal, je mouille, je mouille, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, je pars, je hurle… à ce point que Christophe s’inquiète auprès d’Etienne de savoir si tout va bien !
Je fis alors un petit signe d’amitié de la main à Ghislain voulant lui signifier par-là que ce genre d’adieux suffirait, puis je repris la position sur le lit, les jambes écartées !
Marie-Paule Perez
(juin 2002)
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message personnel de l’auteur (hors sujet) Je voudrais bien que la personne qui s’est proposée pour écrire la suite de "De la lumière dans la cave" se manifeste, n’ayant plus ses coordonnées.