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Temps de lecture estimé : 10 mn
08/06/02
Résumé:  Une nouvelle série qui mettra en scène deux femmes ensembles de façon très chaude. Cet épisode introductif vous présentera la gentille Betty, timide mais très coquine.
Critères:  fhh couplus fépilée voiture voir exhib nudisme noculotte vidéox photofilm lingerie fmast hmast intermast fellation cunnilingu fgode pénétratio fsodo aliments
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard - Photographe amateur)      

Série : Betty du Cap

Chapitre 01 / 04
Timide mais coquine ! (Betty du Cap - 1)

I - Timide mais coquine !



Bonjour à tous mes lecteurs et merci pour les notes qu’ils m’attribuent, cela me flatte et m’encourage à continuer. MAIS, je tiens à préciser à nouveau pour répondre à " Sapristi " entre autres que ce n’est pas mon imagination fertile ou féconde qui dicte mes écrits, non toutes ces histoires sont vraies et vécues par votre serviteur.


Cette fois pour faire plaisir à Léna qui m’adresse un gentil message personnel, je vais parler de lesbianisme. Je ne résiste pas à tes bisous, tu vois !



Depuis que je suis photographe amateur, après avoir fait mes débuts avec des filles ou femmes seules, je rêvais de voir enfin deux femmes ensemble, pas seulement côte à côte, ce qui est déjà bien, non, en " action " en train de se caresser, de se donner du plaisir…


Pour moi, pour beaucoup d’hommes, c’est un fantasme et j’ai attendu longtemps avant d’avoir cette chance.


Cela s’est réalisé au célèbre Cap d’Agde, lieu magique que je fréquentais épisodiquement depuis cinq ans à l’époque, grappillant deux jours de liberté de temps en temps. Quoi de mieux pour un amateur comme moi que de choisir la plastique de ces dames avant de les aborder ? C’est ce que je fis un midi, je mangeais dans un restaurant dominant la plage, ayant choisi ma place pour voir une jolie fille en face de moi à une autre table (pas seule)


Très voyeur, j’ai toujours les yeux partout, et je remarque un couple au dehors, une femme aux jambes superbes, en string. Je vais vite les aborder et gentiment, elle accepte quelques photos vite faites que je propose de leur donner. Ils m’indiquent leur emplacement au camping et une semaine plus tard je viens les trouver vers 19 heures.


Je raconte tout ça pour montrer le cheminement qui me permit d’aboutir à mon rêve et ce sera long !


Lorsque je viens les voir, c’est tout juste s’ils se rappelaient de moi, mais ils furent ravis de constater que je tenais parole et apprécièrent les photos. Moi j’appréciais les formes de madame totalement nue et si ses jambes étaient parfaites les deux fesses qui les couronnaient étaient sublimes, rondes et charnues. Pour le côté face, trop de poils à mon goût, mais de fort jolis seins. Ils préparaient un apéro car un couple devait venir et ils me proposèrent de rester pour les voir. Ils arrivèrent presque aussitôt d’ailleurs, très sympas et surtout ils acceptèrent que je fasse également des photos, la femme était une jolie blonde toute menue avec cette fois très peu de poils et une fente bien visible.


Ma gentillesse était récompensée, et quelques temps plus tard, je leur envoyais les photos. Je n’eus ensuite pratiquement aucun contact avec l’un ou l’autre couple mais le hasard me mit en présence de ce second couple un an plus tard, les croisant au Cap devant un commerce et c’est eux qui me virent :



On parla un peu, et ils me firent promettre de venir boire l’apéro un soir, ayant loué un bungalow au camping.


J’y vins la semaine suivante, alors qu’il y avait trois autres couples devant des apéros et le mari me présente comme " le photographe, fou des gros seins ! " Belle entrée en matière surtout qu’une des femmes avait un buste splendide, mais elle refusa d’être photographiée, hélas ! Un des couples était debout et partait, et, assise une fort jolie blonde me dit :



Bref, on boit un ou deux verres et au moment de se séparer la jolie blonde se lève et j’ai une jolie vision :



Elle est en effet rasée !



Son mari semble content d’avoir un allié !



Elle hésite :



Ce qui est bien c’est que notre hôte intervint pour dire qu’ils pouvaient avoir confiance, que j’envoie les photos, que j’étais sérieux, et elle finit par accepter, encouragée par son mari.



Ça je sais faire ! Je la prends telle que je viens de la découvrir, à côté de la table, puis devant la voiture, et je la teste en lui faisant prendre des poses où sa jolie fente est mise en valeur. Elle est toute rose d’émotion, gênée car les autres regardent et l’encouragent. Quand je lui demande de s’accroupir, les cuisses bien ouvertes, elle regarde son mari d’abord :



Mais elle écarte les cuisses en grand et sa petite minette s’ouvre. Je lui dis que c’est très beau tout ça et à partir de ce moment toutes les poses seront écartées ! Comme penchée en avant, les pieds très écartés et me regardant entre ses jambes, allongée sur une serviette sur le capot de la voiture ou par terre, côté pile, côté face. Pour changer de décor, on va sans un emplacement libre en face, les autres restant à table.



On va tout au bout pour profiter des derniers rayons du soleil, il y a un ballon qui traîne, je l’y fais asseoir dessus, très ouverte, je lui dis qu’elle est très belle et excitante, je le pense et pour les dernières photos je lui demande d’écarter sa fente avec ses doigts. Quand elle le fait, je vois des gouttes nacrées qui coulent !



Elle sourit en confirme en se touchant ! Je lui dis qu’elle est un excellent modèle et qu’il faudra continuer et se revoir. On revient vers les autres.


Le mari :



Elle, un peu gênée :



Ça les fait rire et son mari ajoute :



On arrose encore ces débuts, et rendez-vous est pris pour le lendemain à midi pour retirer les photos, ils sont impatients de le voir. Elle viendra seule car le mari travaille et ne revient que le soir. On prend les photos et on les regarde ensemble, ravis tous le deux car elles sont réussies. Je lui propose de boire un verre. Elle est venue en vélo avec un string et au café, discrètement, je ferais trois ou quatre vues à la terrasse où elle écarte le string et je revois sa superbe fente imberbe. On discute des suites à ça :



Elle sourit



Une semaine plus tard, je revins les voir vers 8 heures et on alla vers les dunes pour refaire une série où elle démontra la souplesse de son corps dans des poses des plus audacieuses et cela devant cinq ou six hommes qui apprécièrent le spectacle. Pas besoin de l’encourager, en fait, elle se montrait à eux autant qu’à moi !


Je leur offris l’apéro, puis ils m’invitèrent à souper dans la caravane et là, je découvris un couple charmant, aimant s’amuser, aimant le sexe, et j’appris qu’elle aimait les femmes aussi.


Je réagissais disant que j’avais ce rêve en tête de voir deux filles ensemble. Réponse :



Je gardais cette idée en tête mais pour l’heure on s’habilla pour continuer la soirée ensemble et quand Betty demanda ce qu’elle devait mettre, je n’eus que l’embarras du choix : Un tiroir plein de sous-vêtements plus sexy les uns que les autres.


Adorant les bas, j’en choisi une paire avec un petit porte-jarretelles (noirs) plus un soutien-gorge à demi-bonnets, laissant les tétons au-dessus, noir aussi sous un corsage rose très léger et quasi-transparent, et une jupette arrivant juste à la lisière des bas, plus des talons hauts. Une silhouette des plus excitante, je le lui dis, elle répond :



A peine sortis du camping on se promène dans une galerie marchande où elle est remarquée. On s’assied à une terrasse de bar, où je fais quelques vues, les jambes croisées bien haut. Des gens s’arrêtent, regardent, elle est ravie. Puis on ira faire des photos dans un ascenseur, dans des escaliers ou l’absence de culotte est mise en valeur. En douce son mari me dit :



Elle se prêtera à toutes mes idées y compris avec du monde autour (surtout même).


On montera ensuite dans leur voiture pour se rapprocher du camping où le mari lui dira :



Elle hésite, on est garé dans la rue, mais peu éclairée. Puis, je la vois se soulever et se positionner pour s’empaler sur le levier de vitesse ! Fantastique de voir ça !


Je les accompagne à pied à leur caravane, car il y en a une autre de vide sur leur emplacement où je peux coucher, c’est sympa de leur part.


Mais en fait, ils m’offrirent un verre chez eux, ce qui n’était qu’un prétexte pour me la montrer dans ses œuvres. Betty étant très excitée d’avoir fait ça, son mari savait qu’elle avait besoin de se masturber. Elle le fit d’autant mieux que j’avais dit adorer ça. Elle posa une condition : que je ne la touche pas, son mari non plus. Voyeurs, mais on pouvait se masturber ! Elle commença pendant qu’on buvait à se caresser les seins sur le chemisier, puis en dessous, elle croisa et décroisa les jambes car ça la " démangeait " puis, elle dit :



Il faisait juste bon, mais elle ôta son chemisier, nous les chemises, puis elle se renversa un peu sur les coussins pour prendre ses seins dans ses mains, fermant parfois les yeux. Elle releva un genou, retroussant la jupette et dévoilant sa fente superbe. Et ce genou commença à s’agiter sans arrêt ce qui lui massait l’entre cuisse. Son mari me murmura :



Elle nous dit d’un coup :



On se met à poil, on bande, on s’installe bien tous les deux face à elle, ça ne m’était pas encore arrivé souvent de me masturber à côté d’un mari montrant sa femme. Elle ne nous adressa plus la parole voyant qu’on se branlait, perdue dans son plaisir de montrer son corps, pensant à ceux qu’elle avait excités tout à l’heure sans doute. Bientôt elle releva les deux genoux, les écartant le plus possible et ses deux mains se posèrent sur son minou caressant délicatement ses chairs intimes. Elle prenait plaisir à bien tout montrer, écartant ses lèvres très sensuellement, comme au ralenti, c’était sublime et elle poussait de petits gémissements. Bientôt elle se retrouva enfoncée dans les coussins, ses avants bras tenant ses cuisses très relevées, et ses mains écartant sa fente au maximum, un doigt titillant son clito, un autre dans sa minette déjà bien mouillée ! Une vision superbe dont je ne pus faire aucune photo ayant un problème de flash ! Grrr !


En quelques minutes son plaisir monta, elle haleta, sa tête secouée en tous sens puis elles s’arrêta pour fouiller dans un sac sous un coussin, le mari me poussa du coude :



Elle en sort un joli vibro tout rose qu’elle met en route pour exciter son clitoris, mais très vite il disparaît dans un trou béant. Et là ça durera plusieurs minutes, elle était au bord de l’orgasme, s’arrêtait, reprenait jusqu’à ce qu’elle soit secouée de spasmes en poussant un cri inhumain.


Elle serra très fort les cuisses, les yeux fermés, je n’ai pas résisté, jouissant dans un kleenex !


Je la remerciai pour ce fantastique spectacle et je les laissai alors que son mari la caressait et qu’elle préférait être seule avec lui !


Nous avons gardé un bon contact et j’envoyais les photos réussies au point qu’un jour le mari me proposa de venir chez eux. Betty s’étant laissé repoussé les poils, il voulait avoir des photos avec poils, puis la raser devant moi ! Comment refuser ça ? Ils m’accueillirent chez eux un soir de janvier pour un bon petit repas mais avant pour l’apéro, je pus admirer la toison de Betty sous un petit tablier blanc encadré par des jarretelles tenant des bas noirs. Vision paradisiaque, pas que la vision d’ailleurs car tout le repas fut une excitation permanente. Betty assise entre nous se laissait caresser, embrasser, je me retrouvais même à genoux sous la table pour lécher son minou, tout cela devant une vidéo ne montrant que des scènes de doubles pénétrations. Joli programme pour lequel j’étais choisi en fait !


Pour finir le repas, le gâteau fut en partie dégusté sur son joli corps qu’on lécha partout. Et après une douche, la chambre nous accueillit avec en préambule une belle exhibition de Betty qui se montra sous tous les angles, en tenue sexy, se caressant, se masturbant devant nous. C’est son plus grand plaisir, se branler, en étant regardé par des hommes qui le font aussi. Elle eut plusieurs petites jouissances avec différents vibros puis on la rejoignit à sa demande pour une débauche de caresses de toutes sortes. Elle nous masturba, un sexe dans chaque main, nous lécha ensemble, puis sa jolie bouche se referma sur mon gland, branlant son mari et inversement… Une experte… Elle s’offrit à nous, le mari d’abord, (normal), qui me laissa la place, elle avait une minette d’une douceur surprenante, très ouverte, mais je remarquai aussi que son petit trou plissé était tout aussi accueillant pour mes doigts d’abords, puis pour mon sexe qui n’étant pas spécialement gros s’y faufila facilement. Elle aimait tout ce qu’on lui faisait, prenant des initiatives, des positions parfois curieuses par passion du sexe !


Ce soir-là j’appris qu’elle n’aimait pas que les hommes…


A suivre


Bernard.