Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 04421Fiche technique15929 caractères15929
Temps de lecture estimé : 10 mn
16/06/02
Résumé:  Une petite virée à travers la Bretagne...
Critères:  ff fh 2couples voiture exhib caférestau voir intermast pénétratio fellation facial ecriv_f
Auteur : Gwendoline
Vive la Bretagne


Je ne connaissais pas "Jesus and Mary Chain", c’est Anaëlle qui me l’a fait découvrir, j’arrive souvent après les autres, quand tout est terminé.



Anaëlle c’est une belle blonde avec de longs cheveux fins, de grands yeux bleus très clairs, très fine et très jolie, nous avons vraiment passé une soirée exceptionnelle.



Je ne sais pas si je l’ai convaincue sur ce sujet.


Par la suite nous avons décidé d’aller passer toutes les deux quelques jours en vacances en Bretagne.


C’était la mi-saison il faisait pas trop chaud. Nous faisions de longues ballades sur les plages désertes et entre les rochers. J’adore le bruit des vagues, la puissance de ressac et cette odeur de varech qui vous prend à la gorge. Rien que pour ça, pour retrouver ces sensations, je trouve la vie intéressante.


Nous avions réservé une chambre "avec un grand lit", la patronne de l’hôtel nous avait regardées avec des gros yeux ronds, shocking, mais ce n’était pas ses oignons si nous nous faisions du broutte-minou. Nous comptions bien aussi faire quelques coquineries.



Ensuite, nous avions fait des galipettes. C’était ma période câline, j’avais besoin de ce genre de trip. Les voisins devaient nous entendre glousser et ça ne pouvait que les énerver… On s’était mises sans dessus-dessous, on avait fait valser les draps et on avait joui comme deux petites folles.


Ensuite séance chatouille avant de recommencer. Et Anaëlle n’avait rien trouvé de mieux que d’asperger toute la chambre avec le pommeau de douche, histoire de m’arroser. Je vous dis pas le beau bordel…


Un matin, au petit déj’, Anaëlle a reçu un coup de téléphone. Elle m’a semblé très affectée mais, malgré mon insistance, elle n’a voulu faire aucun commentaire. Pendant toute la journée, elle n’était pas dans son assiette, je le voyais bien, elle ne pouvait pas le cacher. Nous sommes allées visiter une pointe, le vent était d’enfer, ses longs cheveux blonds partaient dans tous les sens. Elle s’était assise sur un rocher, elle regardait la mer, l’air étrangement triste et ailleurs.



Il y avait un bon petit restau dans le vieux port où ils faisaient un excellent poisson. J’ai décidé de casser ma tirelire pour lui changer les idées.


C’est comme ça que nous avons rencontré les garçons, deux branleurs mal fagotés. Ils étaient à la table d’à côté, une impressionnante galerie de bouteilles traînait sur leur table… Et je peux vous le dire, ils allumaient !



Jamais entendu parler.



Déjà, ils n’étaient pas d’accord.



Je croyais rêver. Ils nous pressaient. Mais nous on s’en foutait de leur concert, on était là pour manger…


Mais quand j’ai vu le regard allumé d’Anaëlle en train de reluquer le petit blondinet, je me suis dit que ce serait peut-être après tout une bonne idée. Mince, j’allais devoir me taper l’autre et c’était pas vraiment mon style, un grand brun taciturne, et puis il n’arrêtait pas de me déshabiller du regard et ça faisait vraiment chier.



Le pire : c’est qu’on l’a fait ! Deux heures auparavant, j’aurais été prête à parier six mois de salaire sur le fait qu’Anaëlle était totalement incapable de ce genre de prouesse. Mais, là, l’envie devait lui donner des ailes… et aussi une bonne dose d’inconscience, ce qui dans son cas était parfait.


Donc nous voici à quatre dans la voiture-poubelle, avec le fameux RadioHead qui chante à tue-tête… « You’re so fucking special… I wish I was special », moi sagement assise sur le siège passager et Anaëlle derrière avec son blondinet sur la banquette arrière.


« But I’m a creep I’m a weirdo. What the hell am I doing here? I don’t belong here ». Pour eux la musique c’était forcément à donf !


Mathieu qu’il s’appelait le blond et le mien c’était Jérôme. Et il conduisait sérieux comme un pape mon Jérôme, c’en était même un peu chiant, d’autant plus que, derrière nous, les autres commençaient à glousser. Merde, j’aurais bien accepté une ou deux mains baladeuses, moi ! Puisque l’on y était, alors autant en profiter !


A un moment je me retourne, et l’autre petite peste était en train de se faire salement becqueter, avec une main dans son corsage s’il vous plait, une main qui s’excitait. Et elle avait l’air d’aimer ça ! Quelle salope ! La pauvre Babette devait être en train de se retourner dans la tombe qu’elle n’avait pas encore… Si j’avais su, je me la serais choisi, moi, la place arrière.


On arrive dans une station service, le genre pleine cambrousse avec gros chiens méchants qui hurlent à la mort, et mon pape, toujours aussi sérieux, se propose de faire le plein d’essence. Et nous, les filles, on décide d’aller nous refaire une beauté dans les toilettes, le genre de toilettes bien peu sympathiques que l’on trouve généralement dans ce genre d’endroit. Et moi, je ne sais pas ce qui me prend, est-ce la jalousie, mais j’ouvre l’eau à fond et me mets à asperger copieusement Anaëlle. Elle prend la grippe et me rend la pareille. Et nous nous retrouvons bientôt trempées, détrempées, dégoulinantes de flotte et hilares. Pour la peine, on se fait un petit bécot avant de ressortir en jacassant comme deux oies.


Au fond de la station, il y a deux gros balaises, le style bien gras, velus et tatoués, camionneurs de leurs états. Et ils nous matent ces gros cochons. Faut dire qu’avec la flotte nos poitrines sont transparentes, provocantes, apparentes et bien dodues. « Gros cochons, ça vous excite ! » que je pense dans mon for intérieur. Mais j’voudrais pas non plus qu’on me prenne brutalement dans une cabine de poids lourd, sous l’inévitable calendrier avec des femmes à poil…


Mais là, nouveau truc incroyable, alors qu’on s’approche de la porte, Anaëlle se retourne vers eux, dégrafe en un instant son corsage et extrait ses gros lolos qu’elle a bien lourds et bien pleins. Vous auriez vu la tête des dobermans, ils en bavaient d’envie ces vieux sagouins. Et l’on sentait presque, d’où l’on était, l’odeur forte de leurs gros zobs qui grossissaient à vue de nez dans leurs culottes. Ils se sont mis à bégayer comme deux adolescents boutonneux avec des :



Et d’autres synonymies du même type…


Et moi, pour ne pas être en reste et pour donner le change à ma copine, je soulève ma jupe et écarte largement ma culotte pour bien exhiber ma chatte et leur donner une vision d’enfer sur ma minette, faisant même mine de commencer à me branler.


Cette fois, les yeux leurs sortent littéralement de leurs orbites…

Mais il est temps de décaniller sinon on risque de se faire violer, d’autant plus que le grand échalas qui tient la caisse paraît tout aussi excité.



Et l’instant d’après j’leur fais un beau doigt d’honneur, qu’ils aillent se faire enculer bien profondément. Et nous traversons la station en courant comme deux petites chipies. C’est complètement délire, on s’amuse comme des gamines.


Mais nos mecs ils nous attendent, ils s’impatientent, attention c’est du sérieux, ils sont pressés. Les meufs, c’est sûr on est des chieuses et eux ça les fait chier. Ils se roulent un pétard qu’ils font circuler tout en fendant la nuit sur cette petite route déserte.


Derrière ma tête, on dirait que Mathieu a repris ses explorations. Ces bruits de succions me sont insupportables… Putain mais qu’est-ce qu’il attend l’autre grand con près de moi ? Moi je peux plus attendre, moi aussi j’ai mes envies. Alors, regarde ta route mais moi je vais regarder autre chose… Je pose ma main sur sa cuisse et commence à remonter. Il ne dit rien le salopard. Qu’on ne me dise pas non plus qu’il est insensible sinon je vais finir par péter les plombs !


Mais non, quand même pas insensible, en remontant un peu plus, une bonne surprise m’attend. C’est à l’étroit tout ça monsieur, ça mérite d’être libéré. Attention que je ne te coince pas en plus la queue dans la fermeture éclair ! Ca ça fait mal. Mais non elle n’est pas petite, ah ce que les mecs sont fragiles, moi en tout cas j’en ferais bien mon affaire…


Je commence par la branler… puis me penche pour la sucer… Siou-plait, fermez les yeux, croisez les doigts, bientôt y-aura plus de pilote dans l’avion. Il agrippe son volant tandis que moi j’agrippe son gros manche et nous prions tous les quatre pour que le navire ne sombre pas. Je m’applique pour en faire sortir la substantifique moelle. Dieu que c’est appétissant, ces petits plaisirs de chienne ! Et vas-y que je te lape et vas-y que je t’embouche. Bizarre, que t’arrive-t-il ? Je te sens un peu… contracté ! Tu n’es pas malade au moins ? Hummm mais c’est que c’est dur comme du diamant ça madame et ça ne demande qu’à faire office de geyser…


Oui, comme ça, décontraste-toi, je crois que je viens de découvrir un nouveau gisement de pétrole. Un dernier coup de trépan, la pression monte encore. Mais tiens le volant que diable, tiens le ce putain de volant, sinon c’est tous les quatre qu’on va exploser… Voilà qu’il arrive l’effet geyser, et moi qu’adore être arrosée, une petite douche de sperme, ça va me débarbouiller… Hummm que c’est bon ça madame, votre petite cochonne est toute couverte de jus.


Je me redresse un peu plus tard, après en avoir longuement profité, on vient d’arriver à la ville, c’est plus le moment de faire les marioles. Je me regarde dans la glace, ça dégouline sur mon visage, j’en suis toute fière.


Nous sommes dans les petites ruelles piétonnières de la vieille ville. Il y a du monde partout. Et comme c’est un soir de folie, j’ouvre ma fenêtre et je crie comme une folle :



Les gens me regardent avec des gros yeux ronds effarés tandis que je ris à gorge déployée…



Anaëlle, elle aussi elle a ouvert sa fenêtre. Je n’ai pas trop suivi ce qu’elle avait fait mais, en tout cas, elle surenchérit :



Je ne vous raconte pas, en plein cœur de la très catholique capitale ! Les mecs, ils étaient verts… On aurait cru une pub de cirque, manquait que le haut-parleur…


Finalement, pour le concert c’était trop tard, on s’est rabattu sur un bar « branché », y avait que du biniou, y connaissaient pas RadioHead. Entre temps j’avais quand même pris la peine de m’essuyer le visage, faut quand même pas pousser. Par contre, nous avons également pris grand soin de nous dépoitrailler. Exit les soutiens-gorges, et vas-y que l’on se ballade à gorges déployées, avec tous les mecs qui mitraillent, ça c’est super-mouillant, surtout quand on est bien accompagnées et qu’on ne risque rien. Il y avait surtout un gros roux barbu qui n’a pas arrêté de me fusiller.


Nous avons bu quelques cocktails en racontant de grosses conneries et puis le serveur est venu nous vider :



Cette salope d’Anaëlle s’est penchée en avant pour lui offrir le somptueux panorama de sa gorge profonde… Il a rougi mais ça n’a rien changé.


De retour dans la voiture, nous avons pris la direction de l’appart de Jérôme. Pour terminer la nuit, il nous restait encore une petite partie de jambes en l’air à effectuer… Je me suis retournée, ces cochons là n’allaient pas pouvoir attendre, ils avaient d’ailleurs déjà commencé et Anaëlle se faisait ardemment pistonner sur la banquette arrière, alors que nous, il nous restait encore pas mal de kilomètres à faire. Moi je vous le dis, dans un cas comme ça, exigez la banquette arrière, sinon vous pourriez vous ennuyer…


Toujours est-il que moi non plus je ne pouvais plus tenir, j’étais littéralement trempée, ma culotte faisait office d’éponge. Alors je l’ai retirée. Puis saisissant la main libre de Jérôme, je l’ai guidée vers mon antre et l’ai invité à s’en occuper. Après tout il pouvait bien conduire d’une main après ce que je lui avais fait…


Et je vous jure que j’en avais grand besoin… et qu’il s’en est bien occupé… J’ai même un instant cru que j’avais pissé sur le fauteuil, d’ailleurs c’est peut-être ce que j’ai fait… je n’avais plus toutes mes idées…


Enfin, dernière chose, en guise de conclusion : Vive la Bretagne !