n° 04598 | Fiche technique | 14166 caractères | 14166Temps de lecture estimé : 9 mn | 18/07/02 |
Résumé: Plaisirs mouillés en piscine | ||||
Critères: ffh fbi asie piscine voir exhib fmast hmast intermast uro ecriv_f | ||||
Auteur : Flo 2 (Flo) |
Le dimanche matin, Mei et moi allions régulièrement à la piscine pour nous entraîner. Nous sommes toutes les deux excellentes nageuses et parcourons régulièrement en crawl quatre à cinq kilomètres. Nous avions passés la nuit du samedi au dimanche toutes les deux dans mon petit studio en restant sage pour ne pas être fatiguées le lendemain.
Arrivées à la piscine très tôt, nous avons rejoint les vestiaires communs pour les garçons et les filles étant données le peu de monde présent. Les cabines de cette piscine sont en panneaux de particules plaqués par un revêtement lisse bleu ne touchant pas le sol ni le plafond. Enfermées toutes les deux dans une grande cabine familiale, nous venions juste de poser nos sacs sur le banc du fond.
Je retirai mes boucles d’oreilles quand l’une d’elle m’échappa et tomba sur le sol. Je me baissais pour la ramasser et vis, sous la cloison séparant notre cabine de la cabine mitoyenne, deux pieds masculins tournés dans notre direction.
Je me redressais lentement et mon regard parcourant la cloison tomba en arrêt sur une série de trous artisanaux fait à des hauteurs différentes. Par curiosité je plaquais un œil sur l’un d’eux. Dans mon champ de vision restreint, apparût à mon grand amusement une main tenant un sexe masculin en début d’érection. Cette main inconnue caressait doucement ce pénis de haut en bas augmentant progressivement la raideur de celui ci.
Je me redressais complètement et dis, pour ne pas être compris par notre voisin, en chinois, à Mei :
Elle me regarda incrédule et me répondit dans sa langue maternelle :
Elle marqua une pause puis elle me dit toujours en chinois
Après un instant d’hésitation je lui répondis.
Je me positionnais de telle sorte que Mei fut dans mon dos les trous dans la cabine face à moi. La taille de celle-ci permettant un recul suffisant pour que notre voyeur puisse nous voir complètement.
Mei dans mon dos, collée à moi, commença à me dénuder lentement. Bouton après bouton, elle ouvrit ma chemise et la fit glisser le long de mes épaules telle une caresse.
La situation commençait à m’exciter. Se faire mettre à nu devant un inconnu que l’on ne peut voir tout en sachant qu’il vous regarde hummm qu’elle délicieuse sensation.
Mei passait maintenant doucement ses mains sur mon torse. Sa bouche experte me mordillait la nuque faisant naître le long de mon échine des frissons de plaisir. Elle commença à m’agacer, à travers mon soutien-gorge, la pointe de mes seins. Je sentis mon sexe devenir soudainement humide. Les yeux mis-clos, je savourais ses caresses tout en imaginant la main de cet inconnu s’activant fébrilement sur son pénis.
Elle me dégrafa et fit jaillir mes seins dont les pointes en érection ne demandaient qu’à être caressées.
Je commençais à onduler sous ses caresses. Lentement, ses mains fiévreuses descendirent le long de mon ventre pour venir se perdre dans mon pantalon. Je rentrais l’abdomen pour lui faciliter le chemin.
Les mains sur les seins, je me donnais du plaisir tandis que Mei activait les siennes à l’abri du regard de notre voisin dans mon pantalon.
Baissant la tête je vis le tissu de celui ci comme doué d’une vie propre bouger au rythme de ses doigts.
Je sentais ma mouille couler d’abondance dans ma culotte. Une onde de plaisir m’envahit et je dus me mordre les lèvres pour ne pas crier.
Mei sentit que j’avais un orgasme. Elle arrêta ses caresses et fit tomber mon pantalon à mes pieds. Juste vêtue de ma petite culotte, qui était le dernier rempart entre mon jardin secret et le regard que je supposais avide de notre voisin, je me tournais vers Mei et commençait à lui rendre la pareille.
Elle aussi était très excitée car, quand mes mains atteignirent le centre de ses plaisirs, elles rencontrèrent l’humidité typique des plaisirs féminins.
Nous étions maintenant toutes les deux en petite culotte. Je m’assis sur le banc après avoir poussée nos sacs, les jambes largement écartées et invitais Mei à s’asseoir entre elles.
Mes mains et les siennes s’activèrent sur son corps pendant que ma bouche s’attaquait à sa nuque. Ma main gauche légère comme une plume, trempée par ses secrétions féminines l’amena rapidement au plaisir. Je la sentis se contracter, ses jambes se tendirent devant elle et elle jouit dans mes mains se retenant avec difficultés de crier.
Elle retomba sur le banc les fesses bien collées contre moi. Je lui dis dans un souffle « ne bouge plus et regarde entre tes jambes ».
Je me concentrais une seconde et me mis à faire pipi dans ma culotte comme une petite fille pas sage, inondant le banc, ma culotte et celle de Mei. Le flot de mon urine fût rapidement rejoint par celui de Mei. Ma main toujours sur son sexe, se remplit de son liquide brûlant, puis, ne pouvant plus contenir une telle quantité, le laissa s’échapper en cascade vers le sol. Elle n’avait pas encore fini, que nous entendîmes un grognement assourdi venant de l’autre cabine.
Après un instant de silence, le fou rire nous prit. Entre deux hoquets, je lui dis en chinois
Je crois que notre voisin à un peut perdu le contrôle de lui-même !
J’imagine sa gueule quand il nous a vues pisser dans notre petite culotte après nous êtres caressées comme deux petites salopes en chaleur dit-elle.
Quand on eut repris notre souffle, on se leva, la culotte complètement mise en ruine par nos sécrétions et notre urine.
Après nous être mises toutes nues nous avons rapidement enfilé nos maillots de nage, et nous sommes sorties de la cabine.
La porte de la cabine mitoyenne s’ouvrit au même instant pour livrer le passage à un jeune mec pas mal foutu.
Je ne pus résister
Il rougit jusqu’à la racine des cheveux et baissa les yeux en bafouillant.
Nous avons ensuite parcouru nos quatre kilomètres à la nage. Puis, ruisselante d’eau, le tissu du maillot bien décalqué contre nos jeunes anatomies nous avons rejoint les douches.
Devant notre cabine, une surprise nous attendait
Le jeune voyeur sortant lui aussi de la douche, faisait le gué.
Il nous sourit timidement et nous dit d’un air gêné.
Il eux un instant d’hésitation puis dit
Nous sommes donc rentrés tous les trois dans la cabine. Je fermais soigneusement la porte puis me retournant vers lui.
Mei prenant la parole à son tour lui dit
Il hésitait toujours. Mei la mine aguicheuse lui dit
Vaincu par notre insistance et voyant que nous ne céderions pas, il finit par acquiescer.
Je m’assis avec Mei sur le banc.
Debout devant nous, il retira maladroitement son maillot mettant à jour le sexe que j’avais vu tout à l’heure par le trou de la cabine.
Il s’exécuta malhabile dans un premier temps puis prenant de l’assurance il se passa la serviette sur tout le corps en prenant son temps.
Nos regards l’enveloppant comme une caresse, le frottement de la serviette éponge sur son corps commença à faire son effet.
Son pénis qui à la sortie du maillot de bain était en berne commenta progressivement à se raidir et à grossir.
En quelques minutes, il atteint pour notre plus grand plaisir une taille respectable.
Il s’exécuta. Il enfila en premier un slip noir moulant qui ne pût, à notre grande joie, contenir complètement son sexe en érection.
Ensuite, il mit son jean et le boutonna.
Enfin une chemise blanche vint compléter sa tenue.
Il se concentra un moment mais à notre grande déception rien ne vint.
Il ferma les yeux pour mieux partir dans ses phantasmes.
Enfin, pour notre plus grande excitation, apparut sur le devant de son jeans une tâche qui alla rapidement en s’élargissant.
Instinctivement, ma main partit à la rencontre de mon sexe, et je commençais à me frotter le clitoris sur mon maillot mouillé.
Mei, elle, s’était mise à genoux devant lui et avait posé ses mains sur le chemin de la tache qui prenait maintenant des proportions inquiétantes.
Il poussa un soupir de plaisir et dit :
Je fis asseoir ma copine sur le banc, puis, me mettant à genoux devant elle, je lui dis
Elle se concentra une seconde. Le Lycra du maillot soudain se tendit et un jet d’urine en sortit. Je me collais à elle pour recevoir ce flot sur ma poitrine. Le chaud liquide emprunta dans un premier temps le sillon de mes seins puis le flot augmentant, il déborda et me recouvrit les seins d’une douce caresse. À peine elle s’arrêta, que je lui repoussais le maillot sur le côté et lui fit connaître les plaisirs que ma langue experte pouvait procurer.
Avec difficulté elle retint un grognement de plaisir quand la jouissance l’emporta.
Je me relevais et constatais que notre nouveau copain n’était pas inactif. Il avait ouvert largement son pantalon puis repoussant son slip vers le bas, avait extrait son sexe roide de désir. Sa main s’activait furieusement de bas en haut.
Je sentis derrière moi, entre les cuisses, la main douce de Mei qui se plaquait en forme de conque sur mon sexe moulé par le tissu de mon maillot de bain. Son autre bras m’enserra la taille. Sa tête se posa sur mes fesses.
Elle me dit
Debout devant un mec inconnu qui se masturbait avec à mes pieds ma meilleure copine que je venais de faire jouir et qui me demandais maintenant de faire pipi dans sa main le tout dans une cabine de piscine !
Ouah la situation était extraordinaire.
Regardant fixement la main qui d’un mouvement saccadé de haut en bas, approchait insensiblement le moment de non-retour pour ce sexe masculin, je me mis à pisser comme une folle.
Le liquide jaillit de moi en un flot puissant noyant tout sur son passage. Les doigts agiles de Mei balayés dans le même temps mon clitoris en cercle rapide.
Mon corps ne savait plus quoi faire ! Pisser ou jouir ? Jouir ou pisser ?
Notre partenaire ne pouvait maintenant résister plus longtemps à l’appel du plaisir. Son visage se crispa, sa bouche se déforma en un cri inarticulé. Sa main comme folle le força à cracher un jet de sperme blanc tandis que ses jambes se pliaient sous lui, le faisant tomber sur les genoux.
Dans le même instant, la jouissance me fit trembler de tout mon corps en me foudroyant. Echappant au bras de Mei, je tombais par terre moi aussi et je mis un moment à récupérer.
Fin