n° 04636 | Fiche technique | 13835 caractères | 13835Temps de lecture estimé : 9 mn | 27/07/02 |
Résumé: Où ma cousine me prend subitement comme cobaye pour donner un magistral cours de fellation à sa petite soeur | ||||
Critères: ffh cousins intermast entreseins facial fellation anulingus fdanus hdanus jeu init | ||||
Auteur : Izidor (Homme 33 ans) |
Comme nous sommes voisins à Paris, j’ai l’habitude de passer prendre un café, le dimanche après-midi, chez deux de mes cousines.
Lise et Anne sont deux soeurs d’une grande beauté qui n’est pas sans rappeller celle des italiennes. Formes plantureuses, seins généreux, fesses attirantes sous une taille fine, peau mate et bronzée.
Lise a la trentaine libérée, je sais par nos récits respectifs qu’elle a connu bon nombre d’hommes dans sa vie, et qu’elle est sur les choses du sexe particulièrement ouverte. Anne à l’inverse, de deux ans sa cadette, n’a jamais connu réellement d’homme et, à 28 ans, si elle n’est pas pucelle, n’est certainement pas experte pour autant.
Nous étions comme chaque dimanche à deviser gaiment de choses et d’autres, à musarder sans se soucier de l’heure, lorsque le sujet dériva comme à l’habitude sur la difficulté à trouver un homme potable à Paris, sur les coups d’un soir, sur les anecdotes diverses et de plus en plus pimentées.
Lise raconta, dans un grand éclat de rire, qu’elle avait la semaine précédente couché avec un mec qui était doté d’une bite si imposante qu’elle n’avait même pas pu le sucer correctement, se contentant de ne pouvoir que lécher son gland. Anne ouvrait des yeux de novice, cherchant probablement à se figurer mentalement la scène.
Naturellement, les deux soeurs se retournèrent vers moi pour s’enquérir des critères d’une pipe réussie. Je répondis aussi naturellement que possible, tout de même un peu gêné par une conversation qui commençait à avoir des conséquences tangibles sur mon état d’excitation.
Lise sans conteste s’apercevait de mon trouble, Anne la cadette quant à elle ne semblait rien remarquer. Lise conclut la conversation en disant à sa petite soeur qu’elle ferait bien de se perfectionner
"bah demandons à Paul d’être notre cobaye !", me lanca-t-elle sous forme de défi. Je pris un air offusqué, montai sur mes grands chevaux, eu l’air choqué, mais j’espérais bien en mon for intérieur que Lise continuerait sur sa lancée.
Etant cousins, nous avions partagé, jeunes, des bains, des jeux divers et variés. Mais depuis 20 ans mon anatomie comme celle de mes cousines avait quelque peu changé et à part sur la plage, je n’avais jamais eu l’occasion d’admirer la plastique de mes deux cousines.
Ce faisant, elle s’approchait de moi qui était assis sur la canapé, les deux soeurs étant assises par terre sur des coussins. Je me retouvai merveilleusement coincé seul sur ce canapé entre mes deux cousines chacune assise de part et d’autre devant moi.
Anne la plus jeune ne mouftait pas mais semblait intéressée voire amusée par la situation, elle n’avait, il est vrai pas grand chose à perdre.
Le jeu m’amusait aussi, et j’étais prêt à voir jusqu’où elles étaient prêtes à aller. D’un petit sourire narquois, je défis mon jean et le retirait. Je restais, un peu idiot, assis en boxer sur le canapé.
J’avais décidé de ma taire, laissant au professeur le soin de mener son cours à sa guise
Ma cousine, s’étant rapprochée, commença à me masser délicatement les couilles et la bite au travers de mon boxer, qu’elle descendit ensuite sur mes chevilles. La situation était pour le moins cocasse, et j’aurais pu me croire à la visite médicale, seul ainsi assis sur le canapé, à moitié nu, observé à la loupe par mes deux cousines endiablées. Mon sexe désormais apparaissait au grand jour, non encore totalement déployé, mais déjà assez émoustillé par ce jeu pédagogique. Anne poursuivait :
Anne se rapprocha, examina le décor ainsi planté, et mis sa main doucement autour de mon sexe.
Joignant le geste à la parole, elle plaqua ma bite sur mon ventre avec sa main, et commenca à me lécher doucement entre les couilles. Elle les prenait l’une après l’autre dans sa bouche, alternait, puis remontait le long de ma bite avec la pointe de sa langue, jusqu’au gland désormais écarlate de plaisir. Mon sexe, déjà, était prêt à exploser, décuplé par le savoir faire de ma cousine comme par l’excitation que me procurait la situation.
La petite soeur s’approcha et sans la moindre hésitation, imita sa soeur dans ses mouvements. La soeur admirait, fière des talents de son élève.
Pour être plus à l’aise, et probablement plus excitante, elle enleva sa robe, découvrant des seins sans soutien-gorge, des seins lourds, bruns, aux têtons pointus et sombres, deux seins à se damner. Elle portait aussi un string blanc du plus bel effet, laissant apparaître des fesses à levrette particulièrement bandantes. Elle vint se mettre sur le canapé, assise sur les genoux, à mes côtés. D’un coup d’oeil, elle mesura son effet sur moi, afficha un petit sourire de défi, et commença son oeuvre.
Elle m’administra alors l’une des plus belles pipes de ma vie. Tout en prenant mon gland entre ses lèvres, elle carraissait mes couilles, les soupesant, jouant avec, les malaxant. Mon gland coulissait entre ses lèvres, tandis qu’elle tendait de son autre main la peau de mon sexe au maximum. Sa langue descendait le long de ma bite, revenait plus haut, redescendait. Elle fit couler un filet de bave sur mon gland, qu’elle s’empressa de nettoyer consciencieusement en avalant ma bite sur toute sa longueur, son nez venant alors jouer avec les poils de mon pubis.
Sa main s’aventura alors entre mes fesses. Bien qu’un peu surpris de tant d’audace, c’est bien volontiers que je lui facilitais le passage. Son doigt jouait à l’entrée de mon anus. Elle suça son doigt, m’écarta les fesses, et titillait mon anus peu habitué à ce genre de plaisirs. Voyant le chemin quelque peu fermé, elle descendit du canapé, se plaça entre mes cuisses, plaqua d’une main ma bite sur mon ventre et se mit à me lécher fougueusement le cul, sa langue tentant de pénétrer mon anus.
Remontant sur la canapé, elle reprit sa position initiale, commenca à me pomper à fond et à rythme régulier, et introduit sans ménagement un doigt au fond de mon cul, décuplant ainsi mon érection pourtant déjà bien avancée.
Anne la petite soeur de son côté ne perdait pas une miette et ouvrait des yeux grands émerveillés devent tant de savoir faire. Lise me suça comme cela dix bonnes minutes. Ne souhaitant pas perdre une occasion si belle, j’en profitais de mon côté pour la carresser, soupeser ses seins, titiller son clitoris et, moi aussi, explorer son cul de mes doigts. Elle y était visiblement sensible, mouillant terriblement.
A un moment, elle retira son doigt de mon cul, arrêtà là sa pipe magistrale, releva ses cheveux et s’exclama :
La petite Anne, pourtant, souhaitait une explication de texte:
Encore une fois, Anne se mit à la tache, imitant sa soeur à la perfection. L’ainée, Lise, quant à elle, ne faisait que suggérer un détail, l’encourageait de sa voix, replaçait une main inutile, la coachait littéralement.
Anne apprenait vite je dois dire, et je commençais vraiment à ne plus pouvoir controler mon plaisir.
Après les dix minutes réglementaires, elle s’arrêta, s’en remettant aux instructions de sa soeur.
Sans crier gare, elle se remit en position, se mit à me sucer à rythme soutenu, tout en me branlant d’une main et en me carressant les couilles et les fesses de l’autre. Je sentais que j’allais venir. Elle marqua un temps d’arrêt, vérifia que sa soeur était attentive, replongea entre mes jambes, accéléra et, au moment ou je criais de plaisir, éjaculant tout ce que je pouvais donner, elle m’enfonca son majeur dans le cul, continua de me lécher sans faiblir, jusqu’à la dernière goutte, nettoyant mon gland de la moindre trace de sperme.
Elle se releva, ouvrit la bouche et montra qu’elle avait conservé tout mon sperme sur sa langue. Parlant avec difficulté, elle dit à sa soeur "vient gouter ma belle, ce sera ta première fois, je t’en fais cadeau, il a bon goût ce con" et elle embrassa sa soeur à pleine bouche, leurs langues se mêlant, elle me regardèrent toutes deux simultanément, me montrèrent qu’elles avaient partagé mon sperme à parts égales, et avalèrent d’un coup le fruit de mon éjaculation.
J’étais anéanti de plaisir mais cette dernière pirouette m’avait redonné vigueur et je rebandais dur comme fer.
Mais assez joué pour aujourd’hui…