n° 04648 | Fiche technique | 12895 caractères | 12895Temps de lecture estimé : 8 mn | 30/07/02 |
Résumé: Philippe, le bucheron se trouva fort marri de ne point se faire coiffer ce soir là par la rousse Brigitte... une religieuse entre alors chez le coiffeur... | ||||
Critères: fh religion anulingus fdanus fsodo humour | ||||
Auteur : Enzo (Homme ordinaire, coquin mais pas obsédé (quoique...)) |
C’était recta : Le premier samedi après sa paye, Philippe allait chez le coiffeur ! Philippe il est bûcheron, vous savez ces gars avec des chemises rouges à carreaux et une barbe de trois mois ! Pour lui c’était comme un rite, comme une sorte de messe païenne. Bien sûr il y avait l’inconvénient, l’attente avec ses piles de journaux qui racontaient des nouvelles fraîches parfois d’avant l’an 2000. Ses discussions de comptoir où les clichés les plus vasouillards revenaient sans cesse comme une litanie. Mais l’attente était toujours récompensée.
Depuis la fermeture du salon de Gillou, il avait ses habitudes près de la faculté chez Faculta-Tif Moderne mais sympa, et puis surtout on pouvait choisir sa coiffeuse. Quand elle était là il choisissait Brigitte, une belle allumeuse que celle-ci ! Une vraie rousse à la coiffure flamboyante, aux yeux bleus vert comme l’eau d’un lac de montagne, aux cuisses de rêve et à la poitrine ! Oh ! La poitrine de Brigitte, une provocation ambulante, un défi aux lois de la pesanteur, une justification de l’adultère, un appel au péché de chair. Elle s’arrangeait toujours pour avoir un petit côté provoquant, tantôt un décolleté plongeant, d’autre fois un déboutonnage suggestif, ou alors une jupe trop courte, ou fendue sur le côté… mais rien d’autre. Toutes les tentatives de dragues échouaient :
Elle ne savait dire que ça, c’était sa « réponse à tout » Mais il gardait un espoir, un espoir fou, et puis même le simple plaisir de sentir son parfum, de sentir sa chair le frôler tandis qu’elle lui coupait les tifs, le rendait si heureux qu’arrivé ensuite à la maison il se masturbait en fantasmant sur elle ! Ah Brigitte ! Oh Brigitte ! Ah ! Oh !
Bien sûr, il lui arrivait d’être absente, alors il demandait Claire, une grand brune à la peau lisse, moins aguichante, mais plus parlante, moins allumeuse, mais peut-être plus prometteuse, mais que voulez-vous quand Brigitte était là, c’était Brigitte, ce n’était point Claire !
En ce jour de fin juillet, Philippe se rendit donc à l’échoppe du coiffeur, le cœur content ! Une bonne coupe d’été avant les vacances lui ferait le plus grand bien, et après, dans sa solitude domestique une joyeuse branlette serait si appréciée !
Il s’assoit, il y a du monde, qu’importe, il a pris la précaution d’emmener un livre, ça s’appelle les « aventures de Joëlle », et c’est très érotique, d’ailleurs ça a eu le prix « Erotica 2002 » et le « 69 d’or », c’est dire ! Ça raconte des histoires de femmes entre-elles, c’est son fantasme préféré ! Il ne voit pas pour l’instant ni Brigitte, ni Claire, mais elles peuvent être occupées en arrière salle ou être momentanément sorties
Une heure plus tard, il ne reste plus grand monde, notre bûcheron passera le dernier, il a l’habitude, il aime bien passer en dernier ! Et puis des fois qu’il se produise quelque chose de coquin, ce serait tellement plus discret ! Mais toujours point de Brigitte, toujours point de Claire !
L’avant dernier client est coiffé comme un sou neuf ! Il s’en va, Philippe reste seul avec le patron ! Il commence à désespérer !
Tant pis, tempête ! Se dit notre homme, je ne vais pas rebrousser chemin maintenant, j’aurais une coupe sans plaisir, et sans suite à la maison, mais mes cheveux en ont besoin ! Déjà il se lève pour prendre place sur le fauteuil !
Philippe prend son mal en patience, tandis que le coiffeur bricole son zinzin ! C’est alors que Sœur Amélie pénétra dans la boutique
Qu’est ce à dire ? se dit Philippe, c’est un coiffeur pour homme, ici et une bonne sœur qui vient chez le coiffeur, c’est un peu stupide, non ?
Elle est plantée, là ! Philippe la regarde, elle est belle, elle a probablement une vingtaine d’années ! Quelle idée d’aller se réfugier dans les ordres quand on a un si joli minois ! Il ne se gêne pas, il la regarde, la reluque, la mate, la déshabille du regard ! Belle silhouette ! Enfin le coiffeur consent à s’occuper d’elle !
Philippe intervient :
Le coiffeur à ces mots éclate de rire, mais la sœur paraît outrée !
Le lendemain, notre bûcheron s’enquérait d’un habit d’évêque, et en loua un tout propre pour une coquette somme !
Le lendemain vers onze heures du soir (ou vers vingt trois heures du matin, c’est comme vous le sentez) Philippe revêtu de l’habit violet des évêques rentre dans la chapelle, on y voit pas grand chose, les lieux n’étant éclairés que par quelques cierges, symbole phalliques incongrus ! La sœur prie agenouillé à un petit autel
Vraiment nunuche la nana !
La sœur baissa alors tristement la tête.
Alors sœur Katherine releva doucement sa chasuble
A deux mains Philippe malaxa les beaux globes fessiers de sœur Katherine, leur douceur et leur tendreté l’excitaient, il les caressait sans cesse, ne s’en lassait point !
Au bout de 5 minutes de caresses, il fallut passer à autre chose, il baissa son visage et senti de près l’odeur de ses petites fesses, heureusement elles étaient proprettes et sentaient bien la savonnette. Sa langue commença par lécher les fesses. Puis humectant son index droit il fait quelques circonvolutions savantes autour de l’anus de la novice avant de l’entrer dare dare !
Bientôt le doigt fut remplacé par sa langue, il l’avait très agile et elle rentrait carrément dans le fondement de la religieuse qui commençait à se trémousser d’une façon fort peu catholique !
Alors Philippe le bûcheron, sorti de sa braguette sa grosse bite au gland violacé, l’approcha du trou offert, et poussa. Il pensait la pénétration difficile, mais son cul était lisse comme une planche à laver ! Il allait, venait, allait, venait, le bonheur, quoi et eut tôt fait d’éjaculer son plaisir dans le rectum de sœur Katherine !
Le bûcheron aurait pu partir, son forfait accompli, mais poussé par un anticléricalisme primaire, il décida de se moquer de la crédulité de la pauvrette, et enlevant sa soutane il lui cria :
Moralité : aucune
Enzo.