n° 04667 | Fiche technique | 11943 caractères | 11943Temps de lecture estimé : 8 mn | 03/08/02 corrigé 25/04/22 |
Résumé: Le coup de foudre, ça existe, même que j'avais cru le rencontrer ce jour là ! | ||||
Critères: fh caférestau toilettes soubrette facial fellation pénétratio uro | ||||
Auteur : Belle-cour (Amateur de 69 et de rosette) |
En mission dans cette grande ville des Alpes avec deux vieilles badernes, nous avions trouvé un petit hôtel près du centre-ville. Le déjeuner de la veille n’ayant pas eu l’heur de plaire à baderne numéro 1, celui-ci décida unilatéralement que nous irions le prendre ailleurs le deuxième jour. Ces deux tordus commençaient à me taper sur les nerfs, parlant sans cesse des cours de la Bourse et tout ce qui tournait autour. Je ne vous dis pas comme je m’en balançais le coquetier !
On commanda à une espèce de machin filiforme apparemment mal réveillé, et je plongeai dans mes pensées essayant ainsi de m’isoler des balivernes et des absolues certitudes que la baderne numéro 1 échangeait avec la baderne numéro 2.
Je ne me suis pas présenté, moi, c’est Bertrand. Je suis chimiste et je faisais partie d’une mission gouvernementale chargée d’enquêter sur la qualité de l’eau ! J’avais 25 ans, célibataire, binoclard, malingre, j’étais sous traitement pour l’acné. C’était ma hantise, on m’avait tout fait essayer… des crèmes, des cachets, des onguents et même des suppositoires, pour des résultats que j’évaluerais de moyen à nuls. Mais par miracle, le dernier traitement avait l’air de réussir. Je touche du bois (on fait comment avec un clavier d’ordinateur ?).
Sexuellement, j’étais obsédé et puceau !
Et voici que la demoiselle qui devait s’occuper de notre table arriva avec les entrées sur son plateau. Je n’en croyais pas mes yeux. Je n’avais aucune expérience sexuelle mais je n’étais pas demeuré au point de ne pas savoir identifier une belle femme. Le sourire qu’elle avait laissé planer sur ses lèvres à mon attention m’avait tout de suite subjugué. Je n’en revenais pas et examinais les différentes hypothèses.
Hypothèse 1 : c’était un sourire commercial, mais il me semblait pourtant bien que baderne numéro 1 et baderne numéro 2 n’y aient pas eu droit !
Hypothèse 2 : Elle était encore plus myope que moi !
Hypothèse 3 : Elle était Exobiophile (fétichisme sexuel impliquant des rapports sexuels avec des extra-terrestres).
Hypothèse 4 : Je n’avais pas pris conscience de la disparition de mon acné, et j’étais maintenant le sosie de Tom Hawks ! Mais restaient ma myopie et ma malingrité…
Elle devait bien avoir 23 ou 24 ans. Elle avait les cheveux longs, bruns et attachés, les yeux noirs et profonds, son chemisier blanc de soubrette trahissait une poitrine bien gonflée. Sa jupe noire et courte faisait courir la rumeur de jambes délicates mais fermes. Sa peau était bronzée et ses mains semblaient d’une douceur parfaite. Elle me regardait beaucoup, me jetant des regards furtifs et rapides. Je décidais de me pincer, parce que ce n’était pas possible, je rêvais ! Mais non, j’étais toujours là !
L’apparition se penchant pour servir les plats à mes deux badernes qui discutaient entre eux, mon regard sans le vouloir se trouva plongé dans le décolleté de son chemisier. Je pus, l’instant d’un moment, contempler la plus belle paire de seins que je n’ai jamais vue. Ils semblaient bien durs dans son soutien-gorge qui nous donnait l’impression d’un corset en remontant sa poitrine de façon exagérée. Alors que je pouvais sentir mon organe grossir presque instantanément derrière ma braguette, son regard croisa le mien alors qu’elle se relevait doucement de son service. Je compris alors qu’elle avait bien remarqué ce que je regardais à son insu. Le sourire qu’elle me fit alors fut plus que suffisant pour me faire rougir de gêne. Ce ne fut que par la suite que je compris qu’elle prenait un malin plaisir à se pencher devant moi alors qu’elle servait et desservait cette table. J’étais vraiment en érection. N’ayant eu aucune expérience sexuelle, je n’avais jamais été amené à admirer la poitrine d’une si belle femme. Et le fait de savoir qu’elle prenait plaisir à ce petit jeu me rendait fou d’excitation. Elle s’était amusée à me frôler le bras avec ses hanches alors qu’elle desservait ma place.
Au bout d’une heure de ce supplice, je me décidai à me lever pour aller calmer ce désir sexuel moi-même dans les toilettes du restaurant. Je n’en pouvais tout simplement plus et j’avais vraiment besoin de jouir en pensant à elle alors que son souvenir était comme neuf dans ma mémoire. Avec joie, je constatai rapidement que les toilettes de ce petit restaurant étaient propres et verrouillables. Alors que j’allais refermer la porte derrière moi, quelle ne fut pas ma surprise de voir la soubrette retenir la porte et entrer rapidement, m’imposant sa présence !
Je ne sais plus trop ce que je pensai à ce moment. Je crois que je ressentis de la gêne, mais les événements s’étaient tellement bousculés par la suite que je ne garde qu’un bref souvenir de mes pensées lors de son entrée.
Ce fut très simple. Il était évident pour elle que mon sexe bandait comme un arc de champion « olympique-queue » et elle n’avait pas besoin d’explication pour le comprendre. Elle s’approcha très rapidement de moi, et, pressant sa ferme poitrine contre la mienne, elle posa des lèvres tendres et chaudes sur les miennes. J’étais très embarrassé. Je pouvais sentir qu’elle poussait son bassin sur mon organe bien dur. D’une main, elle me frottait maintenant le pantalon, épousant la forme de mon pénis pour le masturber avec une lenteur et une sensualité qui m’étaient inconnues jusqu’alors. Je me surpris à poser mes mains sur ses gros seins. Même au travers de son chemisier et de son soutien-gorge, je pouvais sentir ses mamelons bien en érection. Elle sentait bien ma nervosité et approchant ses lèvres de mon oreille, elle me calma en me disant qu’elle allait s’occuper de ça. Je n’étais finalement pas sûr qu’elle m’ait calmé. Ma queue voulait exploser. Elle se laissa glisser le long de mon corps pour s’accroupir devant mon membre bien bandé. D’une main, elle déboucla la ceinture de mon pantalon qui chuta au sol, laissant place à un caleçon trempé par la préjouissance. Cela la fit sourire. Elle me demanda alors si c’était la première fois. Je ne savais que trop ce qu’elle allait faire, et OUI, c’était la première fois. Je ne pus lui cacher ce qui sembla la remplir de satisfaction. Et quand je lui demandais pourquoi, elle eut ces mots mystérieux que j’ai encore en mémoire.
Elle posa ses lèvres sur mon caleçon et commença à me mordiller délicatement. La sensation de chaleur était indescriptible. Je ne pensais qu’à une chose maintenant. Je voulais qu’elle prenne ma queue dans sa bouche. Mais elle me faisait languir, jouant de ses charmes buccaux par-dessus le tissu. Mon supplice ne dura pas. Je crois bien que son envie de m’engloutir était aussi grande que mon envie de voir ses lèvres se refermer autour de mon gland mauve et bien dur.
Me léchant tendrement tout d’abord, elle ne mit que très peu de temps à s’enfoncer mon phallus jusqu’au fond de sa bouche. Je pouvais l’entendre gémir de plaisir alors que, d’un geste frénétique de va-et-vient, elle savourait le liquide annonciateur de jouissance que laissait s’échapper mon membre bien dur. C’était la première fois pour moi. Je la suppliais d’arrêter parce que je sentais la sève du plaisir monter en moi. J’ignorais si elle voulait me goûter à ce point et ne souhaitais pas la gêner, mais c’était ce qu’elle voulait. Sortant mon pénis en érection de sa bouche, elle continuait de me masturber de façon rapide devant sa bouche grande ouverte. Mon gland désormais violet et bien enflé appuyé sur sa langue, je sentis alors les pulsions que donna mon sperme chaud alors qu’il remonta jusqu’à sa bouche. Frottant mon gland sur ses lèvres, je me surpris à laisser s’échapper une énorme quantité de mon liquide. D’une main, elle continuait de me masturber et de l’autre, elle étendait mon liquide chaud sur ses lèvres et sur son visage, je pouvais sentir à sa satisfaction qu’elle savourait les yeux fermés.
Remontant jusqu’à mon visage. Elle baissa sa jupe, ce qui me fit rester dur d’excitation. Me poussant de côté, elle s’appuya sur le lavabo, les jambes bien écartées. Je pouvais maintenant voir sa chatte bien lubrifiée par le plaisir que la fellation venait de lui procurer. Je compris immédiatement. Je n’étais plus du tout gêné et je voulais vraiment l’entendre jouir. Appuyant ma queue contre ses fesses, je la descendis jusqu’à la hauteur de sa petite chatte trempée. Appuyant mon gland sur son clitoris en la faisant gémir de plaisir, j’enfonçai ma verge dans les profondeurs de ses secrets cachés. Je ne saurais vous dire comment c’était bon. Elle me voulait tellement qu’elle augmentait ma cadence en faisant le mouvement elle-même. Elle serrait les dents et ses mains étaient crispées sur les robinets du lavabo. On pouvait croire qu’elle voulait les arracher. Elle prenait le contrôle, ce que je me refusais à accepter. Alors d’une ferme poigne, je refermai mes mains autour de ses hanches. La tenant bien serrée, je l’obligeai à adopter ma cadence, la forçant à suivre mes mouvements. Je lui pris une jambe et la mis sur le siège de toilette, me permettant ainsi de la pénétrer plus profondément. Elle se mit à gémir vraiment très fort alors que je touchai les parois profondes de son ouverture bien trempée. Mes mains tenant bien ses seins bondissants, je la menai à l’extase avant de me retirer et d’éjaculer une dernière fois sur ses fesses bien rondes et une partie du bas de son dos. Elle se redressa enfin et me parla de me donner une prime. J’eus ainsi la stupeur de la voir relever une jambe pour se concentrer un moment les yeux clos, puis de laisser s’échapper de son méat la pluie dorée et tintinnabulante de son petit pipi.
Je la regardai alors dans les yeux et, pris par une émotion irrésistible, j’approchai mes lèvres des siennes. Inexplicablement, elle se recula. Je ne compris pas, je balbutiai :
Elle me regarda bizarrement, à tel point que toute mon excitation avait bien vite disparu, puis en s’efforçant d’être calme, elle me dit :
Voyant que je ne sortais pas de mon incompréhension, elle parvint à articuler difficilement :
Mes illusions descendirent brusquement à la cave ! Je crois que je lui ai crié « Salope ! », je retirai quelques billets de mon portefeuille et les lui jetai à terre ! Mes yeux se mouillaient de larmes tellement je tombais de haut ! Elle se baissa, ramassa les billets, me regarda encore, un rictus déformait son visage ! Elle se retenait de faire quelque chose ! Mais quoi ? J’étais vraiment le roi de couillons ! Son rictus se transforma, ses yeux papillonnèrent, des larmes coulèrent. Elle pleura, me demanda pardon, se proposa de me rendre mon argent, je lui laissai, elle m’enlaça, je pleurai avec elle. Elle m’embrassa sur la bouche, pas longtemps, mais elle le fit.