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Temps de lecture estimé : 19 mn
05/08/02
Résumé:  Fred est de retour de Naples, toujours amoureux de l'ombre de Meg. Il se lance néanmoins dans les élections législatives.
Critères:  f h fh ff fhh grp collègues grossexe hdomine humilié(e) vengeance noculotte fmast hmast intermast facial fellation 69 pénétratio sandwich fdanus humour
Auteur : Fred 3  (Garçon blasé et cynique)

Série : Je serai Président

Chapitre 06 / 10
Le Député

Résumé : Fred décide de devenir Président pour en imposer aux plus belles femmes du monde. Il gravit rapidement les échelons de son parti avant d’être nommé à Naples dans un poste diplomatique. Tombé amoureux d’une militaire américaine qui le plante douloureusement, il revient en France pour les législatives.


« Un grand politique doit être un scélérat abstrait » (Balzac)



1. Paris.



Je dois admettre que l’épisode italien m’a un peu tourneboulé. Je m’étais pourtant promis de ne pas retomber amoureux, de contrôler ce sentiment pourtant incontrôlable qui mène parfois au bonheur et souvent au chagrin. Les deux semaines qui ont suivi le départ de Meg ont été assez difficiles. Je suis resté enfermé dans ma résidence, sortant tout juste pour satisfaire aux obligations de mon rang. Le retour en France me redonnera la pêche, du moins je l’espère. Je ne tiens pas à rester dans cet état béat et comateux pendant encore longtemps. Et je compte sur mes relations féminines restées là-bas pour me rendre le sourire.


Paris, enfin ! Après un voyage apocalyptique, j’ai dû me rendre tout de suite au siège national. Les grands pontes ne m’ont même pas laissé le temps de passer dans mon bureau départemental. Mais bon, une réunion du Conseil National à quelques encablures des législatives, ça ne se refuse pas. Me faire élire au Parlement compléterait sans doute le début de notoriété acquis lors des européennes ! Les électeurs m’ont presque oublié, je dois me rappeler à leur bon souvenir.


A première vue, rien n’a changé au Conseil ! Je retrouve les mêmes têtes que celles que j’avais découvertes quelques mois auparavant, avant ma parenthèse italienne. Toujours les vieillards cacochymes le regard éteint et endormi ou, dans le meilleur des cas, dégoulinant de concupiscence et de lubricité envers Nathalie. Soyons honnêtes, il est vrai qu’elle est franchement bandante dans son petit tailleur vert, avec sa jupe mini et son chemisier blanc. Ses cheveux me semblent plus blonds, et ils lui arrivent désormais presque aux reins. Les yeux verts sont aussi éclatants, le visage aussi volontaire, et l’expression aussi ingénue. Cette fille est dangereuse, ça ne fait pas de doute. Elle est ambitieuse et elle sait utiliser les gens… Comme moi, quoi !


En attendant, la douce Nathalie s’est à nouveau assise à mes côtés. À la façon dont elle me regarde, je crois qu’elle n’a pas encore digéré ma manière de la repousser la dernière fois. L’attaque va encore être vicieuse, et ça ne loupe pas : à peine le Président a-t-il commencé son discours qu’elle promène sa main sur mon entrejambe. Oh non, ma jolie, tu ne m’auras plus. D’abord parce que je veux te résister. Ensuite parce que j’ai la tête pleine de Meg et que tu ne lui arrives pas à la cheville. Deux minutes passent et je m’étonne moi-même. Mon sexe est resté sage, au repos, malgré ses mouvements lents et calculés.



Visiblement, cette nénette a basé tout son plan de carrière sur son cul. Cet échec, probablement le premier, doit l’inquiéter un petit peu. Elle poursuit :



Je lance la contre-attaque. Ma main effleure la sienne et se dirige droit vers sa cuisse. Sa respiration traduit sa surprise, de façon imperceptible. La voix monocorde et monotone du Président berce et endort l’assistance, nous sommes seuls au monde. Parfait ! Voici venu le moment de passer à la caisse !


Je remonte de sa cuisse vers son sexe, sans résistance de sa part. La peur a changé de camp, elle craint de se faire prendre et elle évite les gestes brusques. Je suis le tracé de ses bas avec une lenteur qui apparemment lui semble exaspérante. Mijote, ma belle ! Comme la vengeance est douce ! Je sens que je viens de quitter ses bas, et ce n’est pas sa jupe minuscule qui va me gêner. Etrange, tout de même. J’aurais déjà dû arriver à sa culotte. Quelques fractions de seconde plus tard, mes interrogations à ce sujet sont dissipées par le contact de ma main avec quelques poils bouclés.


J’étouffe un petit rire de satisfaction. Pour aguicher plus facilement, cette petite cochonne n’a pas mis de culotte. Ma tâche va s’en trouver facilitée d’autant. Je me risque à tourner la tête vers elle. En apparence, elle est concentrée sur le discours. Mais vu le rythme auquel sa poitrine se soulève, je l’ai très énervée. Ah ah, quel sentiment de puissance ! Elle, si fière et si manipulatrice, je la tiens à ma pogne (ou plutôt au bout de mes doigts) !



J’en reste le souffle coupé. Elle ne manque pas d’air. Quand elle m’astiquait la hampe dans la même situation, j’avais des moyens de défense peut-être ? Sur la faible femme, c’est encore plus comique : à la tête de la commission des investitures, c’est une des dirigeantes du plus haut niveau. Quant à l’abus… Il me suffit de quelques millimètres pour constater qu’elle mouille comme une fontaine. L’intendance en sera quitte pour changer la chaise sans trop poser de questions.


Discret coup d’œil à l’horloge murale : elle indique 14h45. L’ordre du jour prévoit la fin du discours pour 15 heures, je l’ai donc pour un quart d’heure à ma merci. Pas de temps à perdre, même si agacer efficacement un minou est plus que difficile à l’aveugle. Mais je ne vais pas me plaindre !


Son clitoris est la première cible de l’attaque. Je le sens tourner, se décalotter, se dresser sous mes doigts. Quelle femme tout de même ! Voilà plusieurs minutes que la caresse et elle a gardé son air impassible et attentif. En revanche, ses yeux d’émeraude étincellent plus durement qu’à l’accoutumée. Et elle a griffonné sur la feuille qu’elle tient devant elle : « Je te ferai bouffer tes couilles ! » Charmante perspective ! En attendant, si elle résiste aussi bien, ma vengeance tombe à l’eau.


Plus que dix minutes. Son clitoris est tendu à tout rompre mais visiblement c’est insuffisant. Il me faut passer à la vitesse supérieure. D’un geste sec et inattendu, j’enfonce complètement mon majeur dans sa chatte dégoulinante. Ah, elle s’est trahie par un haut-le-corps, et le débris qui lui sert de voisin a tourné la tête en lançant un regard interrogateur. Bingo, elle rougit un peu… Et souligne rageusement la phrase déjà décrite lorsque je retire mon doigt avec un sonore bruit de ventouse. Je suis en train de me faire une amie ! Je la tiens, c’est certain et c’est jouissif. Je suis tendu à tout rompre. Si elle venait me branler à ce moment-là, je crois que j’éjaculerais en quelques secondes. Heureusement, elle est trop sur la défensive pour penser à réagir ainsi.


Mon index a rejoint mon majeur. J’ai le sentiment que tout le monde comprend ce que je suis en train de faire, et pourtant personne ne le voit. Nathalie est au bord de la rupture. Je décide de frapper un grand coup. Je fais tomber mon surligneur au sol et je passe sous la table le chercher, assez bruyamment pour que mes voisins immédiats le remarquent. Me voici face au sexe de Nathalie. Mazette, son clito a gonflé bien plus que je ne pensais, mais ce n’est pas mon objectif. Je retire mes doigts de sa chatte et, avant qu’elle ne referme ses jambes, mon surligneur l’a remplacé. Je peux revenir sur mon siège en expliquant qu’il est trop loin et que j’irai le ramasser après le discours.


Je pense que Nathalie est en train de se remémorer les tortures du Moyen-Âge et qu’elle se demande laquelle elle va m’appliquer. Ses réflexions sont interrompues lorsque j’empoigne l’outil et que je le fais aller et venir dans ses chairs à une cadence effrénée. Sa respiration est désormais très rapide et je la sens au bord du gouffre. Aurai-je le temps ? Le Président est en effet en train de conclure, plus tôt que prévu. Nathalie en est apparemment soulagée, et elle me regarde avec défi de ses yeux embués de larmes de bonheur. Merde, elle va s’en tirer à bon compte ! Que faire ? Le Président termine :



Nathalie a cédé. Elle est affalée sur sa chaise, les yeux et la bouche grands ouverts, manifestement au septième ciel. Ma main est mouillée comme si je venais de la tremper dans l’eau. Un seul de mes doigts est plus ou moins sec : celui que j’ai enfoncé dans son anus au moment où le Président se rasseyait, en le remuant autant que possible. La surprise, la sensation de ce doigt, le surligneur toujours en action, la situation, le quart d’heure précédent ont été de trop pour elle. Je retire rapidement ma main, victorieux et satisfait.



Moi seul suis resté dans l’ombre. Aux yeux de tous, elle s’est tout bonnement masturbée pendant le discours. Le genre d’attitude qui vous fait bien voir…



Etonnante duplicité ! Son visage rougit, mais elle réussit à encadrer encore rageusement la sentence qui condamne ma carrière politique. Mais c’est moi qui ai l’avantage. Je me lève de ma chaise :



Le Président accepte avec pour Nathalie un regard presque choqué. Bien, très bien. Elle est momentanément hors d’état de peser sur les discussions. Elle a beau protester, j’ai réussi à la désamorcer.



Je ne peux m’empêcher de m’extasier sur sa beauté pendant qu’elle me mime un geste de décapitation. Elle ne me voit plus comme un jouet, mais en ennemi mortel. Je préfère ça ! Nous sommes en opposition frontale alors que la dernière j’étais carrément en position de dominé. Les prochaines rencontres vont valoir leur pesant d’or.


<div class='b'>2. Province.

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Me voilà de retour dans mon petit département. Ici, je suis vraiment le maître. Albert est sorti de l’hôpital pour me prêter une allégeance complète et inconditionnelle. Il n’y a que François qui conteste encore un peu mon autorité, c’est bien pour cela d’ailleurs que Nathalie l’a bombardé candidat dans une circonscription voisine. J’espère que je n’aurais pas à me coltiner sa sale tête au Palais-Bourbon.


Mais je n’y suis pas encore, ma circonscription n’est pas gagnée. J’ai un handicap, mes électeurs sont à plus des deux tiers à droite. J’ai un avantage, le FN est bien implanté et il va plomber mon opposant principal. Mon équipe n’est pas vraiment convaincue de la noblesse de la tactique. Il faut tout mon charisme pour leur faire emboîter le pas. Ce n’est pas très glorieux en effet, mais sans cela je vais me faire écarteler dès le premier tour.


J’abandonne l’organisation et l’intendance aux partisans locaux pour me concentrer sur le porte à porte avec ma petite équipe. J’ai monté une tactique de séduction politique qui n’a rien de politique. Je suis là pour exprimer les idées et les projets (ça ne convainc que les convaincus) et les promesses (ça n’engage que ceux qui les croient). Mais l’originalité est ailleurs.


Je suis flanqué de Gladys et de Sonia qui distribuent tracts et œillades. Les hommes leur mangent dans la main. Pas farouches, elles n’hésitent pas à payer de leur personne en se laissant peloter en douce. Enfin Florian ferme la marche. Florian, c’est mon suppléant, je l’ai personnellement choisi : 1m85, grand, musclé, le sourire ravageur et le tempérament malléable. Il joue un rôle symétrique à celui des filles avec une motivation encore plus grande. Il faut dire qu’il a entendu qu’en cas de victoire j’étais ministrable… Ce qui pour lui équivaudrait à un siège de Député à 22 ans. Aussi n’hésite-t-il pas lui aussi à aguicher les passantes. Apparemment ça marche, on a pris trois points en un mois dans les sondages !


Plus que quinze jours avant le premier tour, ma petite équipe est claquée. Dernière baraque à visiter, et j’inviterai tout le monde au restau pour se détendre. Ding dong ! Ah, ça va être plus cool que prévu, on est tombé sur une jeune sympathisante.



C’est le genre d’accueil qui vous réconcilie avec les campagnes. Ça change des insultes de opposants et des questions connes des indécis. Nous nous laissons tomber sur les canapés tandis qu’Elisa va chercher les verres et les bouteilles. Elle doit faire dans les 1m70 et elle me paraît assez mince avec une petite poitrine. Ses cheveux noirs mi-longs encadrent des yeux marrons, et son cul est tout ce qu’il y a de plus banal. Bref, une nénette très commune. Mais bon, c’est difficile de faire un effet bœuf quand on est en pantoufles !


Le temps passe assez rapidement quand vous prenez l’apéritif avec une femme qui vous fait des compliments sans arrêt, avec de surcroît Gladys et Sonia qui acquiescent toutes les trois secondes. Elisa me dévore littéralement des yeux. On sent bien que l’atmosphère est à deux doigts de basculer. Quant à Florian, il mate sans discrétion les cuisses de Sonia. Je me demande si elle se l’est déjà envoyée ? D’après ce que je sais, je suis le seul qui ait jamais réussi à la contenir sur le plan sexuel…


Après une heure ainsi à discuter, je trinque un peu trop fort avec Elisa. Son verre se brise et le martini se répand sur son jogging si peu sexy. L’étincelle qui fait déborder le vase, la goutte d’eau qui met le feu aux poudres, ou un mélange des deux.



Et voici qu’elle se met à tranquillement déshabiller la jeune femme !



J’hallucine ! Quand j’aurai besoin d’aide pour concrétiser mes coups, je l’appellerai. La pauvre Elisa est rouge comme une pivoine. Et elle manque de défaillir de honte quand Sonia attaque sa culotte.



Elisa ne peut pas répondre, Sonia est déjà en train de l’embrasser à pleine bouche tout en pétrissant ses fesses. Florian a les yeux qui lui sortent de la tête. Je serais prêt à parier que le petit show lui est destiné, pour qu’il sache bien à quoi s’attendre. Gladys, qui a éliminé nos pantalons et sous-vêtements en quelques secondes, fait glisser ses cheveux sur mes testicules. Une pratique découverte récemment, très agréable et qui n’entame pas l’endurance. Je l’encourage en lui caressant l’épaule. Popaul monte au garde-à-vous en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Mon gland vient taper sur sa joue. Elle se redresse, m’embrasse et se saisit de mon sexe pour le masturber lentement.


A l’autre bout de la pièce, Sonia a la tête enfouie entre les jambes d’une Elisa peu habituée à ce genre de traitement. Elle gémit déjà, au bout de quelques instants seulement. Décidément, ma collaboratrice est une vraie tigresse ! Je ne vois pas tout, mais en tous les cas les mouvements de sa tête montrent sans contestation possible qu’elle ne fait pas semblant. Je suis tiré de ces considérations par Gladys qui vient de refermer sa bouche sur ma bite.


Toujours aussi volontaire, la petite Gladys ! C’est tout à fait le genre de femme dévouée et volontaire qui pourrait rendre un homme heureux. Et après quelques temps dans l’équipe, elle a acquis une pratique de la fellation qui pourrait aussi le rendre fou. Elle monte et descend en cadence, les lèvres serrées, la langue agile et la main sur le scrotum. C’en serait presque mécanique si ses beaux yeux bleus ne couvaient pas avec gourmandise l’objet de ses convoitises. J’en ferme les yeux de bonheur.



J’émerge étonné. C’est bien la première fois que je vois Gladys avoir un raté. Même Sonia en a tourné la tête ! Nous constatons tous les deux l’innocence de notre amie. En fait, c’est Florian qui, ne tenant plus en place, est venu lui enfoncer un doigt dans sa chatte encore sèche. Il a l’air tout surpris d’avoir ainsi interrompu les réjouissances. Et il a l’air encore plus étonné quand Gladys lui balance une gifle énorme qui le fait tomber à la renverse.



Florian en est tout dépité. Le pauvre garçon a l’air d’avoir pas mal de choses à apprendre sur les femmes. Je lui fais un clin d’œil et lui intime l’ordre silencieux de rester silencieux et d’en prendre de la graine.


Gladys maugrée, mais elle consent à reprendre son travail. Allongée sur le même canapé que moi, elle est dans une position parfaite pour une mise en chauffe. Je force légèrement sur l’intérieur de sa cuisse et passe ma main à plat sur son sexe rasé. Elle commence à mouiller quand nous sommes interrompus une nouvelle fois, par Sonia cette fois.



Gladys balbutie une excuse, comme un enfant pris en faute, et quitte le canapé en laissant ma bite dressée vers le plafond. Elisa s’approche timidement, me regarde quelques instants avec une moue craintive.



Aussitôt dit, aussitôt fait ! Elle m’engloutit littéralement jusqu’à la garde. Comment a-t-elle fait ça ? Une vraie avaleuse de sabre ! Mais la mise en condition de Gladys avait été de grande qualité, et je sens que je ne vais pas tarder à lâcher les vannes.



Je suis stupéfait par cette outrecuidance. Mais je ne vais pas m’en plaindre : la campagne force l’abstinence, du coup mes réserves sont au maximum. Je saisis la « timide » Elisa à la nuque et je la force à accélérer ses mouvements.


De l’autre côté, Sonia et Gladys sont en position 69 et se broutent à qui mieux mieux. Mais encore une fois c’est Sonia qui semble détenir les clefs de la manœuvre. Là où sa partenaire se contente de lécher, elle a l’index dans la chatte et le majeur dans le cul de celle-ci, alors qu’elle lui aspire le clito. Et Gladys ne peut supporter tant de plaisir, elle doit se redresser et laisser sa camarade à l’œuvre. Florian, penaud, se masturbe devant les deux secrétaires.


Ca y est, Elisa a vaincu ma résistance, mais à la voir on ne dirait pas ! Elle a tout avalé –et j’ai pourtant la sensation d’avoir envoyer le paquet- et elle continue à pomper sans relâche. Tant et si bien que ma bite ne dégonfle que quelques minutes avant de revenir en position d’attaque. Notre hôtesse décide que le moment et venu, et elle vient s’empaler sur moi. Hum ! Sonia a fait du bon boulot, je glisse là-dedans comme dans du beurre. Mais l’étroitesse du fourreau me fait ralentir, je suppose de fait que la demoiselle n’a que peu d’expérience. Que c’est bon ! Je me concentre sur le mouvement car, à dire vrai, Elisa semble s’en satisfaire pleinement. Mais bon dieu qu’est-ce qu’elle est serrée ! Je prévois que je ne tarderai pas à jouir une nouvelle fois, aussi je lui demande de changer de position.



Elle semble gênée par ma demande, réticente même.



C’était manifestement ce qu’elle attendait. Je peux la prendre par-derrière, à condition de rester dans l’entrée principale. Bah ! De toutes façons, son vagin est tellement étroit que je n’ai qu’à tourner la tête pour imaginer être au creux de ses reins. Elle paraît apprécier la position : un violent orgasme la secoue après deux ou trois allers-retours. Je ne tarde d’ailleurs pas à la rejoindre, et j’ai tout juste le temps de me retirer pour éjaculer à longs traits sur son dos. De la main, elle ramène ce qu’elle peut vers sa bouche. Etonnant ! Comment une fille apparemment si peu habituée aux rapports vaginaux a-t-elle pu développer une telle attirance pour le sperme ?


Question idiote, qui ne semble pas intéresser nos amies… Gladys doit en être à son troisième ou quatrième orgasme, et Sonia continue à la doigter avec une vigueur inchangée. En regardant Florian toujours en train de se branler près d’elles, je m’aperçois qu’un détail m’avait échappé chez mon collaborateur. Il était en effet doté d’un sexe peu commun, un vrai constrictor tellement il était long et large.



Je me levai doucement en prenant garde de ne pas réveiller Elisa qui s’était endormie, épuisée par tant d’efforts. J’allais discuter un peu avec Florian, toujours honteux de sa bourde de tout à l’heure. J’essaye de lui expliquer que dans la vie il est important d’oser à bon escient, qu’il ne faut pas s’arrêter au premier échec, qu’il doit persévérer… pour m’apercevoir qu’il se méprend complètement sur mes propos : il vient d’attraper mon sexe encore pendant.



Un peu con quand même ! Je n’ai rien contre les gays, du moment qu’ils n’essayent rien avec moi.



Sonia, qui a tout entendu, redresse la tête et fait un signe d’encouragement à notre coéquipier. En revanche, Gladys n’avait pas oublié le doigt de tout à l’heure dans son intimité :



Et elle se jette sur Florian, le fait allonger et s’assoit sur sa bite. Colossale en effet ! Quoiqu’elle en dise, Gladys est tout de même impressionnée. Ce spectacle et ses ongles me grattant les couilles me redonnent une vigueur dont je ne me serais pas cru capable après deux éjaculations.


En face de nous, le spectacle est vraiment fascinant. Malgré sa pratique consommée, Sonia reste bêtement la chatte au-dessus de l’énorme mandrin. Puis elle prend son courage à deux mains, et descend petit à petit. Ce qui, apparemment, ne se fait pas sans douleur.



Sous les yeux exorbités de Gladys, je fais signe à Florian de ralentir une cadence déjà bien lente. Pour une fois, il comprend ! Les mains sur les fesses de Sonia, il les écarte au maximum depuis le début, aussi l’autre ne se doute-t-elle de rien… Jusqu’à ce que mon gland se présente à l’entrée de son anus !



Le moment est rare. Pour la deuxième fois depuis que je la connais, Sonia perd les manettes sur une question de sexe. Moi-même, je n’en mène pas large. Mon sexe à côté de celui de Florian, j’ai l’impression d’être un gamin de douze ans, j’en suis même un peu jaloux ! Et puis, je ne voudrais pas la déchirer, et je vois bien qu’elle est à la limite. Ouah ! C’est encore plus serré que la chatte d’Elisa ! Mon suppléant et moi tentons de nous accorder dans nos mouvements, sans aucun succès : il n’y a plus de place dans Sonia ! Alors nous nous contentons de remuer maladroitement, ce sera bien suffisant pour nous conduire au point de rupture.


Je trouve le temps de jeter un petit coup d’œil aux trois filles. Sonia gueule comme une folle, son rimmel coule le long de ses joues, ses orifices sont tendus à tout rompre. Nous devons même nous arrêter de temps à autres pour lui permettre de respirer. Réveillée par les hurlements, Elisa se doigte sur le même canapé que Gladys. Je me dis qu’elles vont se rejoindre. Mais le courant ne passe pas entre les deux filles, chacune reste dans son coin.



C’est vrai qu’on a un peu exagéré, elle a plus l’air d’une loque que d’autre chose. Ses orifices sont béants comme jamais. C’est vrai que Florian doit avoir du mal à se trouver des nanas adaptées… Mais les yeux de Sonia se rallument bien vite quand elle voit Elisa se mettre à genoux devant lui et tenter en vain d’emboucher son membre titanesque. Elle doit se contenter d’avaler le gland et de le faire venir à la main. Florian d’ailleurs n’en demandait pas plus ! Il doit gicler en quantité car, malgré son expérience, des filets de sperme sortent le long de la commissure des lèvres de notre hôtesse. Quant à moi, c’est bien sûr ma douce Gladys qui s’occupe de moi et me fait me répandre de part et d’autre de se jolis yeux bleus.



Cette petite distraction resta l’exception de la campagne. Non seulement on ne tombe pas toujours sur des gens aussi ouverts, mais surtout les galipettes avaient mis Sonia hors service pour trois jours. Nous avons donc décidé de faire des stocks en prévision de la victoire finale.


Et victoire il y eut. Ma stratégie, qui n’était jamais que celle de Mitterrand pendant toutes les années 80, avait fonctionné au poil. Je devançais de justesse au second tour, dans une triangulaire, mes opposants de droite et d’extrême droite. Petit plaisir supplémentaire : François avait joué avec le feu en annonçant qu’il se désisterait pour son adversaire si celui-ci était mieux placé… Ce qui arriva ! Voilà comment, avec panache, on suicide une carrière (les sondages le donnaient en effet devant au second tour).



Je ne pouvais que lui dire d’attendre quelques minutes. France 2 venait recueillir mes commentaires sur ma victoire personnelle et sur celle de mon parti. La France entière savait que dans quelques jours elle pourrait m’appeler M. le Ministre. C’était savoureux, à tout juste trente ans.


Mais ce qui était le plus agréable, c’était la journaliste qui apparaissait en duplex et que j’avais invité à dîner le lendemain soir. Dîner qui, à croire son expression, était rempli de promesses. Vous savez, cette journaliste, c’était celle que je trouvais si jolie quand je n’étais qu’un étudiant dans sa chambre et devant la télé (cf. épisode 1). Et dire que certains parlaient alors de digressions !