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Temps de lecture estimé : 13 mn
24/08/02
Résumé:  Pensez-vous que l'Amour doive être placé au-dessus de tout ?
Critères:  f fh uniforme fmast fellation pénétratio historique
Auteur : Fred 3  (Garçon blasé et cynique)
A vous de juger !


Note à l’attention du lecteur

Si j’ai éprouvé le besoin d’écrire cette histoire, c’est à la suite d’une émission de radio. Les intervenants y ressassaient des lieux communs comme « l’amour a toujours raison » ou « l’amour est le sentiment le plus beau qui soit ». Comment aller contre ces affirmations péremptoires et que l’on voudrait vraies ?

Cette histoire est vraie, je me suis contentée de la romancer un peu et de modifier les lieux et les noms. Mon but n’est pas de vous coller la gaule ou de tremper votre culotte (remarquez, tant mieux si vous y arrivez !), mais plutôt de poser la question de la glorification de chaque histoire d’amour. La passion doit-elle outrepasser la justice, la morale, le bien ? C’est à vous de juger ! Pour cela, je vais essayer de ne pas laisser transparaître mon avis sur la question (toutes mes excuses si cela se produit malgré tout).

Ah, dernière chose. Toutes mes excuses à Sapristi, mais l’histoire douce et sensuelle, ça ne sera pas encore pour cette fois. Il l’a sans doute déjà remarqué, mais mon truc c’est plutôt l’humour et la fiction politico historique… D’ailleurs, pour ce qui est de tendresse et de volupté, d’autres (comme Jeanette par exemple) le racontent mieux que je ne pourrais l’imaginer. Mais promis, Sapristi, je m’y essaierai un de ces jours !



* * *


20 mai 1940


Il était sept heures trente, et déjà la rue parisienne s’animait. Pour Isabelle Dubreuil, une nouvelle nuit de solitude s’achevait lentement. Huit mois dans un lit vide. Comment pouvait-on imposer ce supplice à une femme mariée de 35 ans, encore en pleine possession de ses moyens ? Quelle idée avait eu ce satané gouvernement en déclarant la guerre à Allemagne… Si encore les frontières françaises, voire à la rigueur la Belgique, avaient été menacées, elle aurait pu comprendre. Mais là ! On lui avait arraché son mari pour la défense de la Pologne ! Le dernier conflit datait de moins de vingt-cinq années, cette Grande Guerre qui avait saigné la France de sa jeunesse. Encore pouvait-elle comprendre que son pays doive coûte que coûte reprendre Metz et Strasbourg, mais Varsovie et Dantzig… Enfin, nul ne lui avait demandé son avis, et son mari, Henri, avait été appelé sous les drapeaux dès septembre dernier.


Isabelle frappa rageusement le traversin à la pensée de son époux. Lors de leur mariage, quinze ans auparavant, elle pensait avoir trouvé l’oiseau rare. Fonctionnaire de haut rang au Ministère de la Guerre, il était surtout doux et attentionné envers elle, et elle s’affichait à son bras avec fierté lors de leurs rares sorties à l’Opéra. Mais Henri s’était laissé monté la tête par un militaire rencontré il y a peu. Cet illuminé demandait sans cesse la constitution d’unités blindées, sans quoi il promettait un désastre inévitable, la fin de la nation, et d’autres cataclysmes encore. Bah… Que ce De Gaulle montre de quoi il était capable maintenant, sur le front !

En attendant, le fanatisme national avait gagné Henri, et c’est tout content qu’il était allé se claquemurer dans un des forts de la ligne Maginot, dans l’attente de ces diables d’Allemands qui tremblaient de se montrer. Car c’était une certitude ! Quoi qu’en dise les oiseaux de mauvais augure, l’armée française aurait tôt fait de renvoyer les Chleus à leurs chères études ! Mais pour l’heure ils ne venaient pas. Isabelle passait alternativement de la colère à la tristesse en songeant qu’il y avait maintenant plus de trois mois que son homme n’avait pas eu de permission, et donc qu’elle n’avait plus ressenti les joies de l’amour et du sexe.


Parfois, en fermant les yeux, madame Dubreuil parvenait à se persuader que son mari se trouvait juste à ses côtés. Elle imaginait alors ses rudes mains parcourir son corps électrisé, s’attardant ici ou là, jusqu’à s’attaquer aux lacets de sa chemise de nuit. Bien sûr ce n’était qu’un rêve, et les doigts que couraient le long de ses courbes n’étaient autres que les siens. Toutefois, à force de s’adonner à ces gestes masturbatoires, elle avait acquis une certaine dextérité qui lui permettait d’atteindre régulièrement l’orgasme.


Justement, Isabelle sentait que la pensée de son mari éveillait en elle des désirs qu’elle aurait cru encore en sommeil. À travers le tissu, elle promena ses paumes sur ses seins lourds et rebondis, insistant particulièrement sur les tétons déjà dressés. Hum ! Cette partie du corps avait toujours était très sensible chez elle, et plus encore depuis qu’elle la sollicitait à répétition. Sa main partit en direction de son bas-ventre, passa sous l’étoffe et remonta à grande vitesse vers sa poitrine. Quel plaisir ! Faisant une pince avec le pouce et l’index, elle tourna autour des mamelons fièrement érigés, puis elle les caressa doucement pour finir en les tordant légèrement. Ah, si son mari la voyait ! Mais lui non plus ne devait pas hésiter à se soulager du poignet, dans sa casemate des Vosges d’abord, puis depuis peu sur les contreforts des Ardennes.


Rapidement, la respiration de la jeune femme se fit haletante. Ses tétons étaient tendus à tout rompre, et le seul frottement du tissu suffisait à les irriter. Elle mouillait comme une fontaine… Elle serait quitte pour changer une nouvelle fois les draps ! Mais point trop n’en fallait sur la poitrine, et elle décida de s’exciter le minou une bonne fois pour toute la journée.


Sa main se transporta vers son sexe pour se poser sur son clitoris déjà dressé. Une nouvelle vague de plaisir envahit Isabelle, de plus en plus excitée. Elle frotta énergiquement son bouton d’amour puis, sans aucune hésitation, enfonça son majeur au plus profond de sa chatte brûlante. Il lui sembla vaguement que ses muqueuses étaient encore plus resserrées que la dernière fois. Une sensation qu’elle balaya d’un revers de main en faisant coulisser son doigt au plus profond d’elle-même. La cyprine lui gouttait sur les phalanges, mais elle n’en avait cure, pas plus que ne la gênait le léger bruit de succion qui se faisait entendre lorsqu’elle se retirait complètement, pour revenir avec une ardeur redoublée.


Ah, comme c’était bon ! Après tout, son majeur faisait un organe acceptable, presque de la dimension du pénis de son époux, il est vrai peu gâté par la nature. Ouf ! Elle était maintenant prise de la danse de Saint-guy… Son bras libre battait furieusement le matelas, ses jambes se soulevaient nerveusement, son dos semblait pris de soubresauts. Finalement, elle sentit ses chairs intimes se contracter et dut mordre l’oreiller pour ne pas crier son bonheur à toute la rue.


Isabelle Dubreuil n’eut pas vraiment le temps de récupérer de son petit plaisir solitaire. Elle reposait encore dans son lit, le corps luisant de sueur et de sécrétions intimes, lorsque la cloche de la porte d’entrée retentit.

Peste ! Elle allait devoir descendre pour voir de quoi il s’agissait. En effet, son jeune fils Pierre, âgé de quatorze ans, devait déjà être sorti conter fleurette à la fille des voisins. Il faudrait d’ailleurs qu’elle mette un frein à cette amourette. Certes, Sarah était une gamine agréable, mais enfin il était hors de question que son fils unique fréquente une Juive ! Non, comme son père, il épouserait une bonne catholique, à la rigueur une protestante. D’ailleurs, toutes ses amies étaient bien d’accord avec elle, l’antisémitisme primaire étant très commun dans la France de l’entre-deux-guerres.

Isabelle ouvrit prudemment la porte d’entrée, on ne sait jamais sur qui on peut tomber à cette heure matinale. Instantanément, elle sentit le sang se retirer de son visage. Elle se trouvait face à une estafette de l’armée de terre, la mine grave et une enveloppe de couleur blanche à la main.


Quand le militaire lui annonça la mort héroïque de son époux Henri Dubreuil, l’un des premiers soldats français victime des nazis et de l’offensive Guderian, la rue entière résonna du hurlement de douleur de la jeune veuve.



* * *


12 octobre 1941


Isabelle avait toujours imaginé un veuvage comme un océan de responsabilités et de solitude. Elle savait maintenant qu’elle ne s’était pas trompée. Alors qu’elle marchait vers son domicile, son maigre panier de provisions à la main, elle ressassait la dispute qu’elle avait eue avec Pierre le matin même. Il lui avait clairement fait comprendre qu’il n’abandonnerait pas Sarah de sitôt.

Sale gosse ! Depuis la mort de son père, Isabelle avait le plus grand mal à établir sur lui un semblant d’autorité. Il faut dire qu’ils étaient en conflit sur tout, ou presque. Elle souhaitait avant tout, comme la plupart des gens, que cette guerre stupide cesse. Qu’importe après tout la domination allemande, le Maréchal parviendrait bien à manœuvrer l’occupant. Isabelle se languissait de retrouver sur les étals toutes les denrées disparues depuis l’invasion et la défaite.

Pierre, au contraire, semblait se prendre pour Jeanne d’Arc, si ce n’est qu’il vouait sa haine aux Allemands et non aux Anglais. Il avait découvert le journal de son père ainsi que la correspondance de celui-ci avec son ami De Gaulle. L’adolescent avait immédiatement adhéré au combat de la France Libre. Isabelle le soupçonnait même d’appartenir à ces groupes encore embryonnaires qui se proclamaient résistants. Elle priait pour qu’il ne commette pas de bêtise et que les nazis la laissent en paix.


Perdue dans ses pensées, la jeune femme s’était dirigée par erreur vers les quais. Elle pensait encore et toujours à son mari et à sa fine moustache, quand elle trébucha sur un cordage et roula dans la Seine, en hurlant. Elle ne savait pas nager, si bien que ses mouvements désespérés l’épuisèrent plus qu’autre chose. Isabelle recommandait déjà son âme à Dieu quand un homme se jeta à l’eau. À moitié inconsciente, elle sentit à peine une main puissante la saisir et la ramener sur la terre ferme.

Ce n’est qu’après une violente quinte de toux que Mme Dubreuil retrouva la plénitude de ses moyens. Les yeux encore baissés, elle remercia son bienfaiteur sans trop savoir de qui il s’agissait.



Isabelle sentit son cœur s’arrêter de battre. Passe encore le ton rugueux et visiblement peu amène, mais l’accent… Elle venait d’inviter un Teuton à sa table ! Mais le coup le plus rude vint lorsqu’elle releva la tête sur des bottes en cuir et un uniforme gris, entouré du regard craintif des passants. L’homme n’était pas qu’un Allemand. C’était un officier. Un officier de la Waffen SS !!!


Pour une fois, il valait mieux que Pierre mange avec Sarah. Isabelle était persuadée qu’il n’aurait pas supporté la vue de l’officier attablé dans la demeure familiale. Elle n’avait pu reprendre son invitation, au risque de paraître suspecte aux yeux de l’occupant. Au demeurant, elle ne regrettait pas vraiment son geste de remerciement. L’homme était cultivé, agréable à regarder et à écouter, et beaucoup plus gentil en dehors de son service. Il la complimenta même pour la qualité de sa cuisine.



Isabelle prit le temps de le détailler. L’Allemand devait mesurer plus de 180 centimètres. Sa musculature était harmonieuse, et on ne devinait pas la moindre trace de graisse sur son corps trentenaire. Mais ce qui fascinait le plus la Française, c’était le visage de son hôte, qui semblait taillé dans de la roche, surtout les deux yeux bleus durs comme de la faïence.



La jeune femme se crut folle. Elle priait un ennemi de rester ! Son époux devait se retourner dans sa tombe. Mais elle n’en pouvait plus ! Depuis plus de deux ans, sa vie manquait désespérément d’homme. Et puis, il fallait le reconnaître, l’Allemand ne la laissait pas indifférente. En outre, ils resteraient sans doute longtemps à Paris, et quoi qu’en dise son fils, la paix avait été conclue. Déculpabilisée autant que faire se peut, elle s’efforça de sourire à l’officier.



Le Führer avait décidément raison, se dit Werner avec un grand sourire intérieur : les Françaises étaient toutes des excitées du cul. Il n’arrivait pas à comprendre qu’une femme dont le mari était tombé vraisemblablement à la guerre puisse ainsi se jeter dans ses bras. Mais bon, il n’allait pas faire la fine bouche. Lui aussi était un peu en manque, il n’avait pas revu sa fiancée restée en Prusse depuis plus de trois ans. Mais le Reich le valait bien !

Cette Française en manque était quand même un bon coup. Il ne lui donnait pas quarante ans, et ses longs cheveux bruns et son allure bourgeoise l’excitaient beaucoup… Plus d’ailleurs qu’il ne l’aurait cru possible. D’un autre côté, son côté dominateur se flattait de l’avoir tirée des eaux de la Seine, il se sentait donc beaucoup plus homme que dans le château de sa promise, quelque part en Prusse Orientale.


Lorsque la main de l’Allemand se posa sur ses fesses, Isabelle crut défaillir de bonheur. Quelle joie de ressentir enfin un contact masculin ! Elle était tellement excitée qu’elle bascula dans une quasi folie furieuse. Elle déchira sa jupe, manqua d’arracher l’uniforme gris clair de l’Allemand médusé, saisit son sexe à demi bandé qu’elle astiqua frénétiquement pendant quelques secondes. Quant elle jugea la raideur suffisante, elle alla se poser à quatre pattes sur le lit et, après avoir craqué sa culotte, elle lança à Werner un « Viens ! » qui ne souffrait aucune équivoque.

L’Allemand s’engouffra en elle sans aucune douceur, mais sans aucune difficulté. À peine le membre gonflé l’eut-il pénétrée qu’elle fut secouée d’un violent orgasme. L’autre n’avait jamais vu ça ! Il ne se posa cependant pas trop de question et, lui aussi en état de manque, se mit à coulisser avec une vigueur non feinte. Isabelle jouissait sans arrêt et sans retenue. Werner ne faisait pourtant pas montre d’une très grande sollicitude, se contentant de la pistonner régulièrement. Mais sa partenaire avait manqué trop longtemps de verge au fond de son ventre. Elle en était à son cinquième ou sixième orgasme lorsqu’il explosa en elle à longs jets.


Une demi-heure plus tard, Pierre rentrait chez lui après une réunion de sa cellule de la Résistance, et il trouvait sa mère étonnamment enjouée. De l’autre côté de la rue, un officier allemand se rajustait en remerciant le Reich d’avoir envahi la France.



* * *


2 mai 1943


C’était étonnant, mais à la longue, il en était tombé amoureux. Lui, officier d’élite, aimait réellement cette Française peu farouche. Leur liaison durait depuis un peu plus d’un an et demi, et il lui semblait que l’attirance n’avait jamais été aussi forte. Il se débrouillait pour passer la voir et la prendre au moins deux fois par semaine dans son appartement. Et à voir l’entrain qu’elle mettait à le sucer en ce moment même, la passion ne s’était pas affaiblie de son côté non plus. Du coup, il se dépêchait d’exécuter ses missions pour être avec elle le plus vite possible. Comme aujourd’hui, où il avait accéléré au maximum des contrôles d’identité dans le voisinage.

En fait, Isabelle aurait bien voulu épouser son Werner, mais c’était malheureusement impossible. D’abord socialement, ses connaissances la traiteraient de pute et de traître, et son fils au premier rang. Ensuite, lui, aryen, ne pouvait convoler avec une latine comme elle. Enfin, le tour que prenait la guerre, avec notamment le débarquement allié en Afrique du Nord, risquait bien d’abréger cette belle histoire.


Alors, pour chasser ces noires pensées, la Française se remit à l’ouvrage avec une énergie décuplée. Saisissant à la base le sexe de son amant, elle imprima un lent mouvement de va-et-vient tandis qu’elle gobait l’une après l’autre les boules de son amant. Une fois ces précieux œufs emprisonnés, elle les attaqua de toutes parts à violents coups de langue alors que sa main libre lui caressait les fesses.

Puis la bouche d’Isabelle quitta les testicules pour engloutir le gland violacé et se refermer juste à la limite de la muqueuse et de la peau. Sa langue s’enroulait autour de l’objet de ses désirs, mais sa main ne cessait pas pour autant d’aller et venir le long de la colonne de chair. Pendant tout le processus, la femme vrillait son regard dans celui de l’officier. Elle avait compris depuis longtemps qu’il était aussi excité par l’image que par la sensation d’une bonne pipe.

Enfin, le sexe de Werner commença à palpiter. C’était le signal de la petite manœuvre qu’ils avaient mis au point ensemble. Isabelle laissa Werner s’enfoncer complètement dans sa bouche, jusqu’au pubis, en prenant soin de réprimer tout éventuel haut-le-corps. C’est dans cette position, les yeux fermés et le gland à l’intérieur de son gosier, qu’elle reçut toute l’offrande de l’officier. Etonnamment, elle perçut beaucoup plus nettement le goût du sperme que la détonation assourdissante qui, couvrant le gémissement d’aise de l’Allemand, claqua à ce moment là dans la pièce.


Pierre, visiblement ivre de fureur, venait de tirer une balle dans l’épaule droite de Werner. Il serrait si fort la crosse du revolver que les jointures de ses doigts étaient blanches. À son bras droit était noué un drapeau français frappé d’une croix de Lorraine et de trois lettres noires, FFI. À l’instant où il aperçut le bout de tissu, le SS sut qu’il allait mourir.



Mais Pierre n’était pas dupe. Le SS lui tendait manifestement un piège grossier. D’ailleurs, il l’avait dit lui-même : il ne la reverrait jamais. Les yeux emplis de larmes, mais posément, il visa et tira une seconde fois, l’autre épaule. L’Allemand hurla en même temps qu’Isabelle, totalement dépassée par les évènements.



Une dernière détonation retentit, et la tête de Werner von Blutsauger parût se détacher de son corps.



Isabelle se releva, en pleine crise d’hystérie. Mais qu’est-ce que ce petit con venait de faire ? Cet homme était bon, et la France s’en relèverait ! Et cette petite juive, il la remplacerait, que diable ! L’adolescent avait-il seulement pensé au bonheur de sa mère ? Devant Pierre qui restait impassible, Isabelle hurla son argument le plus fort :



Et, toujours aussi posément, Pierre Dubreuil pressa la détente. Isabelle mourut sans même s’en rendre compte. D’une balle en plein cœur !



* * *


Voilà, l’histoire est terminée. J’attends vos réactions et vos commentaires. Et avant de vous laisser partir, laissez moi vous citer l’anecdote suivante.

L’actrice Arletty se trouva dans la même situation qu’Isabelle, amoureuse d’un soldat allemand pendant l’Occupation. Jugée pour cela à la Libération, pour sa défense, elle lança à la cour : « M. le Président, mon cœur est français, mais mon cul est international ! » Sa carrière ne s’en est jamais remise.