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n° 04814Fiche technique21372 caractères21372
Temps de lecture estimé : 13 mn
29/08/02
Résumé:  Des cours d'hypnose pour séduire les gens, vous y croyez, vous ? Moi non plus. Et du coup on m'a fait une démonstration...
Critères:  fh gros(ses) grosseins laid(e)s cunnilingu pénétratio
Auteur : Cédrixx  (26 ans, seul avec ses fantasmes et son amour des femmes)            Envoi mini-message

Série : Leçons d'hypnose

Chapitre 01 / 03
La démonstration



Remarque : J’ai reçu un jour un "spam" qui m’a inspiré ce fantasme … si vous en recevez un qui vous y fait penser, ne vous y fiez pas, c’est très probablement bidon;)



Ca avait été encore une de ces pubs idiotes qu’on reçoit tout le temps par Internet, qui clamait qu’on pouvait apprendre l’hypnose pour mettre à peu près qui on voulait dans son lit ou je ne sais quelle foutaise; celle-ci avait retenu mon attention parce qu’au lieu de demander d’envoyer son numéro de carte bleue quelque part, elle indiquait une adresse réelle, en plein Paris. Pour une raison quelconque, cette adresse m’était restée en tête, et c’est en rentrant chez moi le soir que j’ai tout à coup réalisé que je passais juste devant. Il y avait même le nom de la boite près de la porte, je crois que ça s’appelait Hypnolove, ou un truc débile comme ça. J’avais eu une journée mortellement ennuyeuse au travail, et je me suis dit qu’un peu de distraction me ferait du bien (sans compter que ça ne m’aurait pas fait de mal de connaître un moyen pour mettre un terme à ma solitude chronique…). Je suis entré.

La fille à l’accueil était une véritable bombe. Grand cheveux blonds qui lui descendaient je ne sais jusqu’où, yeux bleu cristal, des superbes seins qui distendaient son chemisier… elle était assise derrière un bureau, mais je l’imaginais sans problème être en minijupe, probablement avec des talons aiguilles. Très chic, cependant, avec un maquillage léger et un parfum aussi discret. Je me suis dis que ça m’aurait amusé de vérifier leur technique sur elle…



Elle a commencé ensuite à m’indiquer leurs tarifs et modalités… quelques semaines de cours, bien sûr, et à un prix pas vraiment bon marché, comme on pourrait s’en douter. Comme elle voyait que je faisais mine de m’en aller, elle a ajouté :



Je me disais que si elle se proposait d’utiliser leur technique soi-disant infaillible pour me donner envie de coucher avec elle, elle n’allait pas franchement me prouver grand chose, vu que le but pouvait s’atteindre sans avoir vraiment besoin d’hypnose. Alors que je cherchais comment lui dire poliment ça, elle a appelé :



La fille qui est entrée était… bah, franchement pas canon, on va dire. Un visage plutôt joufflu, avec un nez un peu gros, les cheveux châtain clair filasses mal coiffés… et habillée de façon à masquer un maximum de son corps et n’en laisser ressortir que les imperfections : une robe serrée aux hanches (qu’elle avait plutôt larges) mais pas aux jambes, et par dessus un polo bien ample qui ne laissait rien voir de sa poitrine (qu’on devinait plutôt petite). Je me suis fait la réflexion plus tard que Florence n’était pas franchement moche, juste assez banale, et qu’avec une toilette bien choisie elle pouvait même être presque craquante, mais là tout était prévu pour donner exactement l’effet contraire. Surtout en contraste avec la bombe de l’entrée.



Bon… j’ai accepté. Après tout, qu’est-ce que je risquais ? L’endroit n’était pas du tout mal famé, plutôt le contraire, donc je n’avais pas trop à craindre… puis zut! J’avais décidé de me distraire, et j’avais toujours voulu voir une séance d’hypnose. Bien entendu, je ne croyais pas une seconde à leur truc.

J’ai donc suivi Florence dans une petite pièce, meublée exclusivement de deux chaises, une petite table et un placard. Sur la table se trouvait un minuteur, que Florence a remonté en entrant.



Et là-dessus, Florence a commencé à parler… de la pluie et du beau temps. Elle me posait deux ou trois questions de temps en temps, pour relancer la conversation, puis après elle se mettait à sauter d’un sujet à l’autre, avec un seul dénominateur commun : une banalité absolue. Elle me parlait des transports dans Paris, des problèmes de stationnement, où elle avait fait ses études, les problèmes de plomberie dans son appartement… pas franchement ce qu’on aurait qualifié de conversation érotique, en somme.


Je l’écoutais babiller depuis un moment, en hochant la tête de temps en temps, quand, tout à coup, j’ai réalisé que je bandais. Je devais même m’asseoir différemment pour être plus à l’aise. Je sentais mon sexe devenir de plus en plus dur, tandis que lentement, mon excitation montait. Mais qu’est-ce qui pouvait bien m’exciter ??? Florence était à ce moment en train de me parler des dernières réparations qu’elle avait faites à sa voiture, ce qu’on pourrait difficilement considérer comme un sujet sexuel… et moi, je bandais comme un âne. C’était exactement comme si j’avais été en train de regarder un film porno, ou des images érotiques, ou de faire une conversation vraiment très suggestive avec une jolie fille.

Et, bien sûr, quand on est excité comme ça, le train des pensées a tendance à prendre une autre direction. J’avais été en train d’écouter une fille moins que top me débiter des platitudes, mais maintenant, je réalisais que j’étais seul avec une jeune fille qui me parlait d’elle. J’ai même été choqué de m’entendre penser ça. Mais plus Florence parlait, et plus je sentais mon excitation monter. Et je commençais à la regarder de plus près. Je regardais ses lèvres bouger, et les trouvait séduisantes, ces petites lèvres minces… ça m’aurait bien plu de les embrasser. Et ces jolis yeux clairs, si sérieux… je commençais à les imaginer avec une autre expression. Oh oui, ça me plaisait vraiment, ça… si Florence pouvait me regarder avec du désir dans les yeux… qu’elle me désire aussi… ça m’excitait de plus en plus. J’ai encore changé de position sur la chaise pour laisser plus de place à mon sexe en pleine érection, tout en essayant de le rendre plus discret. Florence a souri, et je me suis aperçu que je sentais une douce chaleur m’envahir à la vue de ce sourire.


Maintenant, je commençais à la détailler plus précisément. J’essayais d’imaginer le contour de son corps sous ce polo, de ses seins que j’imaginais un peu petits, mais fermes… et ses jambes, que je voyais un peu mieux à travers la robe maintenant que Florence était assise… un peu grasses, ces jambes, en effet, mais tellement voluptueuses…

Mon cœur battait la chamade. Je commençais réellement à désirer Florence. Tandis qu’elle continuait de discuter de n’importe quoi (elle me parlait de sa boulangerie qui faisait de très bons croissants, je crois), je commençais à fantasmer… je la voyais nue, dans mes bras, tandis que je couvrais son corps merveilleux de baisers et que je la faisais jouir ensuite, et jouir, et jouir… pour qu’elle me permette ensuite de la pénétrer et de décharger en elle toute la semence que je rêvais de répandre. Tant pis… il fallait que je me lance, que j’essaye de la draguer d’une façon ou d’une autre… j’avais rarement été aussi excité à ce point dans une situation aussi banale.

Je me mis à me déplacer centimètre par centimètre sur ma chaise pour que mon genou puisse entrer en contact avec l’un de ceux de Florence… il était tout près. Je désirais avidement ce contact. Il me semblait que le seul fait de la toucher pourrait m’exciter au point de me faire jouir, là, tout de suite, dans mon pantalon, n’importe mais pourvu que ce soit près de Florence. Je la détaillais avidement des yeux, ne me donnant même plus la peine d’hocher la tête au cours de sa conversation comme je l’avais fait au début. Son visage, son cou, ses cheveux, les moindres parties de son corps me mettaient dans un état d’excitation indescriptible. Tout d’un coup, Florence s’est arrêtée de parler et m’a regardé droit dans les yeux.



Je ne pouvais m’empêcher de balbutier comme un collégien qui ferait une déclaration d’amour à un top model. Je débordais de désir, je voulais prendre Florence, comme ça, tout de suite, et lui donner du plaisir à la rendre aussi folle que je me sentais le devenir…. mais bon sang! Cette fille avait été en train de me parler de la supérette en bas de chez elle! Comment allais-je pouvoir amener la conversation sur un sujet sexuel ? Oh bien sûr je pouvais l’inviter au cinéma, au restaurant, n’importe où, et plus tard essayer de devenir plus intime, mais comment allais-je faire en ce moment précis pour éteindre le feu qui me brûlait le sexe ?

Florence s’est levée soudainement, s’est avancée vers moi… et a posé ses mains sur mes épaules. J’ai cru recevoir une décharge électrique. J’ai levé les yeux vers elle, et j’ai senti ma respiration s’arrêter en la voyant me regarder, aussi, sourire… et tout d’un coup se pencher sur moi et m’embrasser.

Ah que c’était bon!!! Le contact de ses lèvres me semblait d’une douceur infinie, je sentais son souffle sur mon visage, je sentais ses cheveux me caresser délicatement le front… je cherchais aussitôt sa langue, et sentis avec un plaisir divin la sienne se faufiler entre ses dents et venir titiller le bout de la mienne. J’ai promené ma langue le long de la sienne en me délectant du goût de sa salive. Simultanément, elle a passé une jambe entre les miennes, et est venue la frotter tout doucement contre mon pantalon, là où mon pauvre sexe endolori essayait vainement de percer le tissu, m’envoyant d’exquises décharges de plaisir et de désir. Je me suis ravancé sur ma chaise pour accroître le contact, mais elle a reculé sa jambe. Sa bouche s’est écartée de la mienne, mais j’ai continué à embrasser son visage, son cou, ses cheveux, même ses vêtements… En me laissant faire, elle m’a demandé gentiment :



Oh que c’est dur de continuer le vouvoiement dans ces cas-là!!!



J’avais de plus en plus de mal à me contenir. J’avais posé mes mains sur ses fesses (bien dodues, comme prévu), et j’embrassais tout ce que je pouvais d’elle. Elle s’est soudain reculée, a ôté mes mains de ses fesses, puis est revenue se rasseoir devant moi. Je frémissais au moindre de ses mouvements, je la désirais comme jamais je n’avais désiré de fille, je me sentais véritablement fou de désir.



Je n’arrivais pas à mentir! Je devenais incapable du moindre raisonnement, mais une chose perçait ma folie : il ne fallait pas que je mente à Florence. C’était mal. Il fallait que je lui fasse plaisir. Et là il fallait que je lui dise la vérité.



Je suis resté immobile pendant quelques secondes, ne respirant même plus. Bon sang, c’était ça !!! Mais leur méthode était bidon, non ? Sauf que tout mon être hurlait le contraire… Florence n’avait fait que me parler vingt minutes, sans doute avec leurs intonations spéciales, et au bout de ça, moi je me trouvais prêt à me rouler par terre pour pouvoir faire l’amour avec elle… J’avais accueilli son baiser avec un plaisir immense, alors qu’il y a vingt minutes je lui aurais certainement demandé ce qui lui prenait.



Je me suis jeté à genoux devant elle.



Elle m’a regardé en souriant, puis elle m’a doucement tiré la tête entre ses jambes.



Je me suis aussitôt jeté sous sa robe. J’ai plongé avec délice ma tête entre ses cuisses, me précipitant sur son slip, que je me suis mis à lécher à grands coups de langue. Quand le tissu a été suffisamment humide de ma salive, je l’ai écarté, et j’ai commencé à embrasser sa chatte velue. Ensuite, je me suis mis à la lécher avec beaucoup d’application, d’abord les lèvres, puis le clitoris, que j’eus la satisfaction infinie de sentir gonfler sur ma langue. Je le pris entre mes lèvres et le suçai délicatement, puis recommençais à lécher les lèvres de son sexe. Bientôt, celui-ci a commencé à s’entrouvrir, et j’ai pu pousser ma langue de plus en plus profondément. J’ai entendu la respiration de Florence s’accélérer, et je me suis mis à alterner les coups de langue sur son clito et son vagin. Je léchais le pourtour de ses lèvres, me délectant de la mouille qui commençait à les lubrifier, puis aussitôt refermais ma bouche sur son petit bouton et suçais comme si je voulais l’arracher. J’ai continué comme ça pendant un bon moment, les narines pleines de son odeur, puis soudain j’ai senti tout son corps frémir. J’ai alors enfoncé profondément ma langue dans sa chatte, l’ai agitée en tout sens, puis l’ai ressortie et l’ai passée sur son clito, et l’ai replongée à nouveau dans son sexe pour recommencer. À la troisième fois, j’ai senti ses lèvres se contracter, et un long orgasme l’a parcourue, à mon plus grand plaisir. Elle a poussé une série de petits cris délicieux tout en se tordant sur sa chaise. J’ai continué de la lécher jusqu’à ce que son orgasme se termine, puis j’ai lentement sorti la tête de dessous sa robe. Voir son expression comblée me procura un plaisir indicible. Florence me passa délicatement la main dans les cheveux, puis jeta un oeil sur le minuteur.



Je me suis relevé d’un bond, ai pris Florence par la taille, et l’ai levée de sa chaise. Elle s’est laissé faire, et je l’ai plaquée sur le mur. Je voulais lui embrasser le visage, mais elle se détourna de mes lèvres pleines de sa mouille. J’ai rapidement ouvert mon pantalon et enfin sorti ma pauvre queue rouge et endolorie. J’ai relevé la robe de Florence, ai empoigné ses deux cuisses, et les ai soulevées du sol. Mon état était tel que je ne ressentis aucun poids. J’ai regardé Florence dans les yeux, et elle a hoché la tête en souriant, comme une maîtresse d’école qui donne une récompense à un bon élève. J’ai alors plongé mon sexe dans le sien, et j’ai aussitôt entamé un va-et-vient frénétique. Ma queue coulissait sans effort dans son vagin bien lubrifié, et j’ai bientôt senti monter en moi un orgasme fulgurant.



J’aurais bien voulu essayer de la faire jouir une nouvelle fois, mais j’avais peur de ne pas y arriver en si peu de temps (je n’arrivais même pas m’imaginer désobéir à Florence si elle me disait d’arrêter car le temps était écoulé). Je ne me suis donc pas retenu et ai laissé la jouissance m’envahir. J’ai éjaculé avec une puissance que j’avais rarement atteinte. Chaque jet me faisait trembler des pieds à la tête. Malgré tout, je continuais de soutenir ma partenaire, et ce n’est que mon orgasme terminé que j’ai laissé ses pieds reposer au sol et me suis retiré. Presque au même instant, le minuteur a sonné.



Et elle s’est dirigé vers la porte, me laissant tout juste le temps de me rajuster précipitamment et de récupérer mes affaires. Quand je suis sorti, elle discutait avec la bombe à l’entrée. J’ai pu vaguement entendre deux ou trois bribes de phrase à travers le bourdonnement qui emplissait encore mes oreilles, en particulier Florence dire quelque chose comme quoi elle "était allé jusqu’au bout parce qu’il n’était pas si mal… comparé à ceux qui viennent d’habitude" (je devrais être flatté… je pense). Elles se sont tues quand je suis arrivé à leur hauteur, ont pouffé en échangeant un regard complice, puis Florence est repartie. Je l’ai regardée, encore étourdi par mon orgasme et la terrifiante vague de désir qui m’avait submergé. Je regardais ce corps voluptueux s’éloigner… bon, d’accord, pas si voluptueux que ça. Lentement, mon jugement revenait à la normale, et Florence cessait d’être la créature terriblement excitante de cette dernière demi-heure… mais je ne regrettais absolument rien. Il me semblait que je venais de passer le meilleur moment de sexe de ma vie… et ce n’était pas entièrement faux.



Je lui ai fait un grand sourire :



Parce que ça, c’était des cours qui promettaient d’être vraiment très intéressants….