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n° 04822Fiche technique12345 caractères12345
Temps de lecture estimé : 7 mn
30/08/02
Résumé:  Max Hilaire a mal aux dents. Il se rend accompagné de son épouse au cabinet du Docteur Pivot, on leur a conseillé cette adresse, le praticien pratiquant sans douleur (parait-il ?)
Critères:  fhh extracon médical intermast fellation pénétratio conte humour
Auteur : Alexis Defond-Rossignol  (Mais ne vous y trompez pas, j'aime aussi le romantisme...)      

Série : Délires urbains

Chapitre 01 / 02
Marie-Clotilde, assistante en chirurgie dentaire

C’est au deuxième étage de cet immeuble bourgeois que se trouve le cabinet de dentiste du docteur Pivot. Une simple plaque de cuivre, et en dessous une autre moins noble mais précise ; " sonnez et entrez "

Max et Bernadette Hilaire obtempèrent et entre dans le lieu. On ne peut se tromper, la salle d’attente est à gauche avec son traditionnel tour de chaise et sa petite table encombrée de magasines périmés et froissés. Et d’ailleurs pour qui hésiterait, une plaque sur cette porte indique " salle d’attente "



Mais la plaisanterie fait flop ! Max bougonne, il a une chique à la joue droite, ses dents le font énormément souffrir !


Ah ! Oui, je ne vous les ai pas présenté, ou du moins pas assez ! Max, presque la cinquantaine, légèrement ventripotent, aucun fil blanc ne vient encore perturber ses cheveux bruns peignés en arrière et légèrement bouclés. Il a d’épaisses moustaches noires. Il est habillé en costume bleu marine très sombre presque noir, la chemise est blanche, la cravate est jaune ornée de motifs discrets, bref le mec n’a rien d’original, le cadre moyen ou le petit patron… Que voulez-vous parfois ces gens là aussi ont parfois mal au dents

Madame a accompagné son mari, elle a dix ans de moins que lui, un beau visage, la bouche pulpeuse, une belle silhouette que sa robe bleue jean met bien en valeur en laissant dénudées ses belles épaules qui luisent sous la lumière…



Cinq minutes passent, pas plus ! Une porte s’ouvre sur le geste classique du praticien ouvrant sa porte de communication avec le cabinet et la tenant par la poignée (dés fois qu’elle s’échappe, la lourde !)



C’est moi ! Tient à préciser Max en se levant


Le docteur Pivot fait signe au couple de les suivre, c’est un homme approchant la soixantaine, chauve, le visage tout en longueur, de grosses lunettes en écailles et vêtu d’une blouse blanche d’une immaculée propreté - sans doute en change-t-il à chaque patient - Il fait Max et Bernadette devant son bureau, et le cérémonial se poursuit permettant au chirurgien dentiste de renseigner les données de ses patients sur son logiciel médical.



Voici qui à l’air de désoler Bernadette, qui du coup regarde son mari :



Et comme au théâtre quand un personnage sort, il faut qu’un autre rentre ! Nous allons faire maintenant connaissance, et en même temps que Max, de Marie Clotilde l’assistante du Docteur Pivot


Brune, de grands cheveux longs, les yeux bleus, mais c’est surtout la tenue qui intrigue. La blouse croisée laisse apercevoir l’échancrure d’une poitrine prometteuse, et puis elle ne descend vraiment pas très bas cette blouse, mais dire que c’est juste à mi-cuisse serait encore carrément exagéré ! Max écarquille les yeux à la façon du loup de Tex Averry et bredouille un hésitant " bonjour " auquel notre assistante répond par un " salut " fort peu protocolaire



Max est donc invité à prendre place sur le fauteuil de supplice dentaire, il est troublé Max, d’abord par la présence des ces horribles bras articulés terminés par des engins qui dans quelques instants vont lui pénétrer dans la bouche, et cela l’affole un peu, mais surtout maintenant par ce qu’il voit à quarante centimètres de ses yeux… Marie Clotilde a passé autour du cou du patient une serviette de protection, et pour cela elle a du se pencher dégageant encore plus son décolleté. La partie la moins extérieure de ses seins est maintenant complètement visible, deux demi-globes de chair soyeuse au grain velouté s’offre à sa vue. Max n’en peut plus, il ne sait commander à son sexe de rester tranquille et se met donc à bander !


C’est bien la première fois qu’il bande chez un dentiste. Ne sachant que faire de ses mains, il décide afin de se donner contenance de se les croiser sur sa poitrine par-dessus la serviette.



Il obéit, et l’assistante vient du plat de la main rectifier la bonne tenue de la serviette, elle se penche encore et cette fois-ci un joli téton à réussi à pointer son petit bout à l’extérieur ! Max à la gorge sèche ! Il se demande s’il rêve !



Mais on ne saura jamais ce qu’il avait l’intention de dire, le docteur lui fait pencher la tête en arrière, et lui ordonne d’ouvrir la bouche. Max est frustré et tandis que le dentiste farfouille sa mâchoire, il se crispe sur les bras du fauteuil.



Puis comme ça, comme si la chose en soi était banale, Marie-Clotilde balade négligemment sa main sur la braguette bosselé de notre patient qui n’en peux mais.. Il ne proteste pas, de toute façon comment pourrait-il, se trouvant en ce moment dans l’impossibilité de parler ?


Devant l’audace de cette jeune personne, il se dit, Max qu’en avoir à son tour ne devrait pas porter à conséquence et sa main droite se fait caressante et après s’être timidement attardé sur un petit bout de cuisse, empoigne maintenant vaillamment les fesses de la donzelle et les triture à qui mieux-mieux.


Les hostilités sont donc engagées, et tandis que le dentiste imperturbable se livre à l’ingrate tâche d’aller soigner les dents pourries d’une mâchoire peu ragoûtante, l’assistante dézipe la fermeture éclair du patient et promène son doigt sur la bite de Max par-dessus le tissu de son ridicule caleçon blanc à poids rouge.


A présent notre coquine de Marie-Clotilde a dégagé le pénis tout raide de notre patient, et après quelques caresses de convenances entreprend de la masturber de façon aussi classique qu’efficace.


Après quelques instants pendant lesquels Max se laisse en même temps bricoler les crocs et branlotter le bigoudi, celui-ci perçoit une curieuse humidité lui rafraîchir le gland ! " Serait-ce une fellation qu’on m’effectue ? " se demande-t-il avant de réaliser que ce n’est pas tout à fait cela, notre assistance s’est enquit d’une lingette et entreprend de lui nettoyer savamment le zizi ! Mais pourquoi donc ! Pourquoi donc ?


Un bruit épouvantable envahit le cabinet, celui de l’odieuse roulette, mais à peine le cerveau de Max l’a-t-il appréhendé qu’une délicieuse sensation vient s’y superposer, celle de l’agile langue de Marie-Clotilde qui vient d’entreprendre de savants balayages sur son gland turgescent Il se laisse faire ! Il n’a pas le choix et sa main s’aventure dans la chatte de la jeune personne, voilà qui aide à se donner une contenance !

Et plus la roulette officie, plus l’assistante pompe le dard, la coordination des deux membres du corps médical est remarquable

Aux Dzzzzz Dzzzzz Dzzzzz de la roulette répondent des Slurp Slurp Slup beaucoup plus évocateurs !



Alors tandis que celui ci envoie un jet de liquide médicamenteux dans le gosier de Max, notre héroïne se met à califourchon sur la bite tendue après l’avoir encapuchonnée et entreprend des mouvements coulissants qui rendent tout chose notre patient


La prestation est-elle finie, on devrait dire " les " prestations ? Et bien non, le docteur change de bras articulé, et choisit maintenant la pince, la vilaine " pinpince ", celle qui arrache les dents pourries ! Max ne la voit même pas. Il ne sent pas non plus la piqûre d’anesthésie locale que lui administre le dentiste !



Max ignore la signification de cet insolite compte qui n’est même pas à rebours ! Mais sa jouissance monte, monte, il va jouir !



Et dans la même seconde Max libère sa jouissance tandis que le dentiste tient au bout de sa pince, tel un trophée, la molaire foutue qu’il vient juste d’extraire.



Le docteur raccompagne Max à la sale d’attente où l’attend Bernadette, son épouse



Le docteur consulte sa montre !



Une sorte de pâtre grec pénètre alors les lieux et invite Bernadette à la suivre



Fin du délire


Alexis (août 2002)