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n° 04947Fiche technique58241 caractères58241
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Temps de lecture estimé : 33 mn
02/10/02
Résumé:  Un étudiant en médecine se retrouve malgré lui à devoir assumer l'auscultation d'une jeune inconnue...
Critères:  fh inconnu grosseins intermast pénétratio jeu init
Auteur : Julienclaireuil            Envoi mini-message
Un étudiant en médecine

J’ai tenu compte des critiques constructives qui ont été faites sur mon premier récit. Pour celui que je publie aujourd’hui, je dois préciser qu’il était rédigé en « focalisation externe », j’ai donc du opérer une transposition…






Je m’appelle Julien Grimaud, et à l’heure où débute cette histoire, je ne suis qu’un simple étudiant en médecine désireux de m’informer sur l’exercice de mon futur métier. Mon cousin Damien Slétère exerce depuis quelques années et je suis venu nourrir mon enthousiasme aux fruits de son expérience. Il m’a consacré trois quarts d’heure de son temps pour répondre à mes questions et me raconter quelques anecdotes. À présent l’entretien s’achève car il doit déjeuner avec le représentant d’un laboratoire.


C’est alors que trois coups frappés à la porte interrompent l’échange. La secrétaire entre en s’excusant, elle s’adresse à Damien :



Damien visiblement agacé, se tourne vers moi et explique rapidement :



Par curiosité je demande :



Déjà Damien se lève, met de l’ordre rapidement sur son bureau et enfile sa veste. Il ajoute :



Cette improvisation ne me plait guère mais je finis par accepter du bout des lèvres.



La secrétaire disparaît en refermant la porte. Damien m’explique où trouver les accessoires nécessaires à une auscultation sérieuse puis m’ayant indiqué que l’usage est d’aller chercher la cliente dans la salle d’attente il s’éclipse à son tour. Un peu pris au dépourvu, je fais le tour du cabinet, installe un bloc note vierge au milieu du bureau, accroche ma veste au portemanteau puis très dubitatif, je vais chercher ma première patiente.


C’est une jeune femme brune au visage ovale, de longs cheveux relevés en queue de cheval, des yeux marron interrogateurs et très mobiles, semblant chercher dans le regard de son interlocuteur des réponses à des questions non formulées. Sa bouche est petite mais pulpeuse, son nez est droit, elle est de taille moyenne, pas excessivement belle au premier abord. Elle porte une jupe plutôt courte, des escarpins et une veste ample boutonnée sur un petit pull à col roulé. Elle prend place sur la chaise en face du bureau. Intimidé, j’inscris la date du jour sur mon bloc note puis je me présente et j’explique que je vais d’abord collecter les renseignements d’usages.



J’inscris scrupuleusement tous les renseignements qu’elle me donne, sans me presser. Elle suit les évolutions de ma plume sur le papier, comme pour vérifier que je ne me trompe pas. Elle est assise sur le bord de sa chaise, lorsque je lève les yeux vers elle pour l’interroger, elle se trémousse imperceptiblement avant de répondre. Sa voix est douce presque chuchotée. Elle s’exprime comme si elle devait répondre dans un temps donné, comme si elle craignait d’être interrompue, puis ses yeux se posent sur mon visage guettant une réaction.



Elle s’agita sur son siège et accompagna ses explications de mimes avec ses mains.



Elle enserre le haut du crâne avec ses mains.



Ses mains descendent comme elle le décrit.



Elle passe les deux mains derrière elle en se cambrant en avant, les faisant suivre l’épine dorsale.



Après cette description, elle scrute attentivement mon visage.



Cette déclaration soudaine faite avec franchise et naïveté par cette jeune femme à l’allure si sage me trouble. Rien de déplacé pourtant, mais l’espace d’un instant, j’oublie ma condition de médecin. Cette révélation audacieuse, sortie de son contexte, est propice à toutes les rêveries. Il me faut pourtant continuer cet entretien.



Elle se lève, déboutonne sa veste et c’est alors que je comprends vraiment ce qu’elle voulait dire en parlant de sa poitrine trop grosse. Je m’étonne de n’avoir rien remarqué jusque là d’un tel physique. Comment une simple veste, ample certes, avait pu masquer à ce point une telle opulence ? La jeune femme s’avance au milieu de la pièce et se tient de profil. Son physique n’a plus rien de banal, la silhouette tient plus du S que du I et j’ai du mal à voir en elle une patiente. Si les seins pointent largement sous l’étoffe du pull, les fesses tendent fortement aussi le tissu de la jupe. Je reprends mon rôle de docteur juge la forme des escarpins et lui demande de les retirer pour m’assurer qu’ils ne sont pas la cause de cette posture exagérée, mais la silhouette reste la même.



Tout en restant de profil, elle me jette un regard.



La jeune femme se concentre un instant, mais ne change guère son apparence.

Je m’approche d’elle lui appuie doucement mais fermement sur le ventre et le bas des reins pour l’aider à prendre une position moins traumatisante.



Comme c’est troublant d’être contre elle, les mains appuyées à des endroits que seule ma condition de médecin me permet de toucher ! Je sens son parfum, sa chaleur et je dois lutter pour rester concentré sur l’auscultation.

Je relâche lentement la pression de mes mains, la jeune femme fait de gros efforts pour se maintenir, puis abandonne au bout d’une minute.



Elle essaie bravement, mais ses mains ne peuvent attraper que les mollets.



Elle s’est redressée et me fait face. Je ne suis pas beaucoup plus grand qu’elle, elle semble troublée par cet exercice.



Elle semble prise d’un malaise, je la prends par les épaules et l’accompagne jusqu’au lit d’auscultation.



Elle est étendue sur la couchette, les yeux fermés, les bras le long du corps, elle respire profondément. Je remonte sa manche et lui mets le brassard pour prendre son pouls.



Elle ouvre les yeux et me remercie avec un sourire un peu crispé, puis referme les paupières. Je lui annonce sa tension, puis je palpe son visage et son cou lentement. Je sens une métamorphose s’opérer en moi. Cette fille, si appétissante, semble prête à me donner tous pouvoirs pour la rassurer sur son état. Je ressens une toute puissance exaltante, l’envie de profiter de l’auscultation pour découvrir son corps. Son cas n’inspire pas d’inquiétude, le docteur Slétère l’a confirmé. Je retrousse son pull pour dégager totalement le ventre, puis dégrafe lentement la jupe que je fais glisser avec précaution jusqu’en dessous des fesses.


En accomplissant ces quelques gestes, j’ai conscience de la dualité de mon comportement. Je peux être le docteur préparant sa patiente pour un examen médical, mais aussi un imposteur profitant de la situation pour abuser une plantureuse naïve. Ses deux perceptions de la réalité font naître en moi un vertige, comme si, en équilibre sur un sommet pointu, chacune de mes actions à venir allait me faire basculer sur un versant ou l’autre.


Je tire un peu sur l’élastique de la culotte de dentelles blanches et commence à lui palper le ventre. Sa peau est très douce. La jeune femme s’abandonne à mes mains et cela m’encourage. J’accompagne chaque palpation de l’abdomen par des commentaires rassurants, prononcés d’une voix apaisante. Je m’inquiète de manière régulière de ce qu’elle ressent. Elle me parle de ses règles douloureuses, je lui demande de retirer sa jupe.


Elle est de nouveau allongée sur le dos, j’attrape la fine culotte de part et d’autre de ses hanches et la descend jusqu’à mi-cuisse. Elle ne montre aucun étonnement à cela. Je ressens une grande émotion à dévoiler cette légère touffe brune plantée à la naissance du ventre, mais je dois masquer mon trouble. Je lui parle de la façon différente dont les femmes peuvent ressentir les inconvénients du flux menstruel, que cela peut évoluer avec le temps, que les grossesses peuvent aussi modifier la manière dont chacune le ressent. En lui parlant, je la palpe doucement, caressant son ventre d’un lent massage qui a commencé autour du nombril et qui, s’élargissant, englobe maintenant tout l’abdomen et le haut du pubis. Le frottement des poils pubien sous ma paume déclenche en moi des montées d’adrénaline qui me pousse sur la pente du vice. Il me faut garder le contrôle !


Je lui demande si elle prend la pilule et si elle a essayé de changer de marque, que cela peut être aussi une cause de maux de ventre. Et puis, soudainement, elle m’avoue que le massage lui fait du bien.



En disant cela j’ai ôté mes mains de son corps, comme si son bien-être le rendait brûlant. J’ai conscience de lutter contre cet autre moi-même qui m’encourage à enhardir mes palpations, sans qu’il soit besoin qu’elle m’indique par-dessus le marché que cela lui convient ! L’espace d’un instant, je revois le diablotin et l’angelot se disputant la conscience du capitaine haddock au sujet d’une bouteille d’alcool dans je ne sais plus quel Tintin… Pourtant, presque malgré moi, je m’entends lui demander :



Docilement, Vinciane se met dans la position demandée, sans chercher à rajuster sa culotte, elle semble être en confiance. J’ai la bizarre impression d’être à la fois acteur et spectateur de cette scène. Cette jeune personne est dans une position d’un érotisme torride, qui ne semble lui poser aucun problème. Fasciné par sa généreuse croupe offerte, je pose d’abord ma main gauche dessus, sans réfléchir. Puis réalisant qu’il me faut continuer à être docteur, je mets la main droite sur ses reins et je lui demande de faire le gros dos. Je suis dans un état second, il me faut improviser quelque chose, elle doit forcément sentir mon regard sur ses formes, la fébrilité de mes mains.


Mes doigts ont trouvé le chemin, ils auscultent chaque vertèbre du coccyx au milieu du dos. Cet exercice minutieux, m’aide à me calmer. Je fais glisser mes paumes sous son ventre et lui demande de cambrer au maximum. Je touche alors son ventre en plusieurs endroits, attentif à produire des gestes professionnels pour donner le change, puis je remonte sur le dos, effleurant les cuisses et la croupe au passage. Je répète l’opération plusieurs fois, m’arrangeant toujours pour caresser une partie de ses fesses d’une ou des deux mains de façon très légère et en prenant soin de commenter mon examen.



Je la laisse s’installer tranquillement dans ce mouvement de balancier, puis me place derrière elle et pose mes paumes sur le gras des fesses prétextant un contrôle de son travail musculaire. Je l’encourage à continuer, mes mains accompagnent son mouvement. Je me délecte de la vision de sa vulve lorsqu’elle remonte les fesses. Cette culotte roulée autour des cuisses ajoute encore à l’érotisme de la scène.



Elle s’est assise sur ses talons, je suis près d’elle, sur le côté de la couchette. Elle demande naïvement :



Je souris.



Elle me dévisage, semblant digérer l’ambiguïté de la phrase, mais j’enchaîne :



Elle s’exécute avec des gestes lents, sans bouger de sa position. Je prends obligeamment ses vêtements et les dépose sur la chaise avec les autres. Elle en profite pour rajuster sa culotte. Elle me regarde, toujours assise sur les talons, sa grosse poitrine proéminente blottie entre ses bras qu’elle a ramenés devant elle le long de son corps. Ses mains sont posées sur ses cuisses.


Pour exorciser l’attraction visuelle de son buste, je déclare nonchalamment :



Elle ne dit rien, cherchant dans mon regard la signification de cette déclaration.



Je parcours son dos à la recherche d’un point douloureux. Je trouve sans peine.



Je lui masse longuement la partie douloureuse. Au bout de quelques minutes je l’entends souffler par la bouche puis elle m’avoue pour la deuxième fois que cela lui fait du bien.



Je continue mon massage en remontant sur les omoplates et les clavicules.



J’ai tellement envie de jouer avec ce corps superbe dont la situation me rend maître en toute impunité. Après lui avoir masser longuement les trapèzes, j’empoigne ses épaules et les manœuvre doucement en leur faisant décrire des cercles de plus en plus large.



Je laisse mes paumes effleurer sa peau au niveau des deltoïdes, elle accomplit des mouvements amples et lents. Je constate que sa peau prend l’aspect chair de poule, et cela me donne une idée.



Elle stoppe son élan et tourne la tête vers moi. Ses yeux expriment de la reconnaissance.



Je trouve ce que je cherche dans l’armoire à pharmacie du docteur Slétère. L’excitation me rend fébrile. J’ai l’impression de franchir des paliers à chaque nouvelle idée, mais jusqu’où ? Je m’agenouille sur le lit, derrière elle et m’enduit les mains du produit, puis je recommence les massages, que l’huile permet plus énergique. Je m’attarde sur les trapèzes et les épaules. Mon regard est irrésistiblement attiré par les gros seins blancs qui bougent lentement, aux grès des mouvements que je crée. Pour avoir une meilleure vision, je lui masse le devant des clavicules et des épaules, l’invitant à s’appuyer contre moi. Elle se laisse spontanément aller contre ma poitrine, et je lui explique tout en continuant mon travail, la façon dont les muscles sont organisés sur le haut du torse. Je décris chaque muscle et son rôle en le parcourant du bout des doigts. Enfin je lui parle des muscles pectoraux et pour les seins, du rôle de tendeur que joue la peau. Je lui demande de rejeter sa tête en arrière en l’appuyant sur mon épaule et lui fait remarquer, par ce simple geste l’action qu’il produit sur ses seins en tendant la peau davantage.


Je la sens attentive à mes propos. Mes massages sont efficaces, elle s’abandonne complètement. Je passe mes mains de chaque côté des épaules et entreprends de lui masser le haut des seins, puis n’y tenant plus, je les englobe par en dessous et les parcourt pleinement de toutes mes paumes. Je cherche à donner le change en me lançant dans une dissertation sur le thème de l’unité du corps humain, chaque partie étant liée avec sa voisine. Je possède longuement les grosses protubérances mammaires, jouant sans vergogne avec leur élasticité et me réjouissant de la réaction sans équivoque des mamelons.


Son attitude a changé, elle reste docile sous mes mains mais je sens une certaine retenue dans sa respiration. Craignant d’être allé trop loin, je lâche la superbe poitrine, empoigne ses épaules et lui demande de se replier doucement vers l’avant, jusqu’à venir reposer sa tête sur le matelas. Je lui conseille de ramener les bras sous elle en enserrant son buste, comme si elle voulait se bercer et de souffler longuement plusieurs fois.


Je descends du lit et vais me rincer les mains au lavabo. Quand je reviens près d’elle, elle a gardé la position. Je pose la main sur sa nuque et lui caresse la base du crâne.



Elle se redresse doucement, me regarde avec une expression énigmatique, semblant chercher ses mots un instant, puis elle déclare :



Elle me dévisage un instant, je reste impassible, m’attendant au pire. Elle me sourit et ajoute :



J’esquisse un sourire à mon tour. Elle demande :



Je prends le temps de réfléchir, me demandant si je peux continuer à l’abuser ou si cela suffit. Est-elle vraiment envoûtée, prête à subir d’autres situations scabreuses ou bien doit-je m’arrêter là, sous peine d’être violemment démasqué. Je choisis de la tester.



Elle reprend son attitude attentive, celle du patient avide de comprendre ce qui est la cause de ses tourments.



Je souris, et lui demande de s’installer face à moi, assise au bord du lit. Je lui ajuste le brassard et le stéthoscope et lui demande de se relâcher à nouveau, jusqu’à obtenir un pouls stable. Puis je lui explique que je vais contrôler l’évolution de son pouls en fonction des mots que je vais lui dicter. Elle ne doit pas juger ces mots pour leur signification, puisque le côté provocant est voulu. Puis j’inscris rapidement une suite de mots ou de phrases sur le bloc note.



Et il se passe une chose bizarre, les mots qu’elle vient de prononcer, ont provoqué un changement de pouls ! Je commence mon questionnaire.



J’attends quelques secondes.



J’annonce la fin de la première série, et prend quelques notes. Elle ne fait aucun commentaire.



Je reprends quelques notes.



Elle a fortement réagi à la dernière série et elle se trémousse sur la couchette semblant mal à l’aise. Je finis de noter mes observations.



J’ai envie de prendre l’ascendant sur elle et de la brusquer un peu.



J’ai dit cela en suivant une intuition et je vois que j’ai tapé juste. Elle ne répond pas et baisse la tête.



Elle fait oui de la tête.



Il y a un silence pendant lequel j’enlève le stéthoscope et repose le bloc note et le stylo.



Elle baisse la tête :



Elle me regarde à nouveau et demande presque timidement :



Je réfléchis un instant à la manière dont je vais procéder pour continuer à faire le docteur tout en assouvissant mon désir de jouer avec son corps :



Je lui enlève le brassard.



Elle hoche la tête affirmativement.



Je prends place derrière sa tête.



J’avance les mains vers ses seins et les caresse doucement pendant quelques secondes. Elle reste docilement comme demandé.



Je continue à lui peloter tendrement la poitrine, mes pouces écrasent ses mamelons, jouant avec les pointes qui s’érigent en bourgeons.



Dans un soupir qui semblent autant exprimer de la douleur que du plaisir elle chuchote :



Je retire mes mains aussitôt en précisant :



J’attends encore une ou deux minutes avant de demander :



Elle repose la jambe et se laisse retomber à plat sur le dos, scrutant aussitôt mon visage.



Elle rougit, je suggère :



Elle rougit à nouveau.



Elle semble abasourdie, troublée, intéressée aussi, elle accepte de subir un autre test. Enivré par le pouvoir extraordinaire dont je jouis dans cette situation et encouragé par l’attitude passive dont elle a fait preuve jusqu’à maintenant, je décide de pousser l’expérience au-delà des limites que me dicte ma condition de praticien. Je sais que la séance ne peut plus se terminer normalement, mais je suis trop excité et m’en remets à ma capacité d’improvisation.



Elle s’est remise assise, et secoue la tête affirmativement. Je considère un instant cette jeune femme docile en petite culotte de dentelle, qui m’était parfaitement inconnue une heure plutôt, et qui maintenant est en mon pouvoir de façon tout à fait volontaire.



Je la laisse s’installer tout en admirant la cambrure naturelle de ses reins, le renflement généreux des fesses et cette poitrine qui s’alourdit sous son torse. Je pose la main sur l’arrière de sa cuisse.



Je caresse légèrement une petite partie de cette cuisse, puis je demande soudain :



Elle tourne la tête vers moi :



Je l’interromps.



Je palpe son flanc droit, effleurant la base de son sein.



Je caresse sa joue, son oreille, puis déclare :



Elle regarde le matelas.



Elle ne répond pas. J’ajoute :



Je m’écarte un peu de son champ de vision, la laissant mijoter dans son jus.


Puis je reprends :



Je me rapproche d’elle, sur le côté gauche, mais en restant hors de son champ de vision.



En disant cela, j’ai attrapé l’élastique de sa culotte de chaque côté des hanches et j’ai baissé brusquement le sous-vêtement sur le haut des cuisses. Elle se raidit, mais ne proteste pas. L’émotion suscitée se retrouve dans sa voix, une voix blanche qui bégaie un peu.



Je lui administre alors une forte claque sur les fesses, et je répète :



Elle proteste :



Je claque une seconde fois.



Je frappe à nouveau.



Je fesse encore.



La fessée est maintenant régulière et forte.



Elle ne sanglote plus, mais la fessée continue. Je regarde ce cul rougir, ballotté par mes claques. Elle ne cherche pas à éviter les coups. Elle gémit :



Elle se cambre, s’offrant aux flagellations et les ponctuant de soupirs troublant. Dans la pièce, l’on entend plus que les claques et les gémissements de plus en plus rauques de Vinciane.


Je stoppe subitement la punition, savourant un peu penaud le plaisir intense que j’ai pris à la gifler ainsi. Elle s’écroule sur le coté, retombant de façon à tourner son visage vers moi. Nous nous dévisageons sans parler une longue minute, puis elle déclare d’une voix lointaine:



Ses yeux sont brillants. Elle a pleuré bien sur, mais il y a quelque chose d’autre dans ce regard. Je la détaille encore, admirant ses formes. Je ne remarque qu’au bout de plusieurs secondes qu’elle me dévisage, semblant lire en moi comme dans un livre. J’essaie de reprendre mon rôle de docteur.



Je cille.



Je ne réponds rien.



Elle s’interrompt, regardant le sol un instant. Elle reprend :



Elle regarde le sol à nouveau, effleurant le bout de ses seins. Elle me regarde de nouveau.



Je sens mon cœur s’emballer. Je dis doucement :



Elle rougit.



Elle effleure à nouveau ses seins, s’exclamant :



Elle palpe ses seins en fermant les yeux à présent. Une bouffée d’adrénaline me traverse. Mon désir est irrésistible et son attitude m’indique que le sien est bien présent aussi. Je dégrafe mon pantalon, le laisse tomber sur mes chevilles. Je baisse mon slip. Mon sexe est déjà gros mais pas encore tendu, recourbé vers le bas, il repose sur mes testicules comme sur un tremplin. Elle n’a rien perdu de mon exhibition. J’empoigne mon sexe, je me masturbe devant elle. Elle s’exclame à nouveau :



Elle caresse ses seins sans perdre une miette de mon activité. Puis impatiente elle demande :



Je m’approche d’elle et pose la main sur ses fesses que je caresse lentement. Elle fixe mon sexe tendu tout en continuant ses caresses mammaires. J’essaie une claque légère sur sa croupe. Elle proteste :



Elle se redresse à genoux sur la couchette puis murmure :



Je regarde les gros globes aux pointes érigées. Elle les serre entre ses bras, cependant que ses mains s’enfoncent entre ses cuisses.



Les seins dépassent nettement d’entre ses bras. Je désire tellement leur pointes brunes, qui semblent si dures. Je gifle une première fois de la paume, cela est malaisé et ne ressemble qu’à une caresse appuyée.



Je recommence trop faiblement, puis trouve la bonne application. Entre chaque gifle elle en réclame une autre. La façon dont elle dit ’encore’, et les mouvements saccadés qu’elle fait subir à son entrecuisse, m’excite. Je reprends ma masturbation. Elle prend tant de plaisir à cet exercice qu’elle parvient à jouir, se recroquevillant soudain sous le plaisir, sa tête venant reposer sur ses cuisses. Je pose la main sur sa tête et caresse ses cheveux pendant qu’elle se remet de son orgasme. Quand elle lève les yeux vers moi, son visage est épanoui, elle tend ses bras vers mon cou en se redressant sur les genoux. Je la serre contre moi et je l’embrasse fougueusement. Je promène mes mains sur ses reins et sa croupe fabuleuse.


Je fais glisser un peu plus la culotte toujours enroulée autour des cuisses, elle se trémousse pour aider à la descente du dérisoire vêtement de dentelles. Elle s’abandonne encore un instant contre moi, puis se dégageant doucement elle implore :



Elle s’est appuyée sur le bord de la couchette, a empoigné mon membre qu’elle caresse sans quitter mes yeux du regard. Je la laisse faire, j’insère ma paume entre ses cuisses et possède sa chatte. Je murmure :



Je me débarrasse rapidement de mes chaussures, de mon pantalon et de mon slip. Je grimpe sur la couchette et me mets à genoux, assis sur les talons, le sexe dépassant fièrement. Je l’invite à me rejoindre. Elle s’agenouille à califourchon sur moi, se laissant pénétrer délicieusement.



Elle rit de ce qualificatif et nous joignons nos bouches avides. Elle manœuvre ses hanches pour aspirer le membre viril en elle. Je possède ses fesses de toutes mes paumes. Parfois je l’empoigne aux hanches pour l’aider à faire de plus amples mouvements et alors les gros nichons battent la mesure devant mon visage. Je cherche à les happer.



Alors je cesse de la soulever et je dévore à pleine bouche les beaux mamelons.



Alors je la soulève à nouveau et elle reprend ses râles sans honte, et les gros seins viennent à nouveau me défier, dansant librement.



Elle rit encore s’écriant :



Je lui procure un deuxième orgasme, elle enfouit sa tête dans mon cou, ne manœuvrant que doucement ses hanches. Je lui caresse la nuque lui chuchotant :



Elle se dégage, je me remets debout, et l’invite à en faire autant. Je la fais s’accouder à la couchette, elle cambre ses reins, espiègle. Je m’accroupis derrière elle et lui lèche les fesses et le sillon, puis le haut des cuisses, et toute la vulve. Elle me laisse faire un moment, gémissant sous mes caresses puis réclame :



Je me redresse et pénètre cette vulve accueillante. Je se repais du mouvement accomplit par les seins que je viens régulièrement palper, et de la vue de ce cul charnu s’offrant à moi. Je lui sers une allusion au test de tout à l’heure :



La puissance des mots crus décuple notre plaisir.



Elle se retourne, et de sa belle bouche articule lentement :



Elle s’interrompt, je termine :



Elle gémit. J’insiste :



Elle ne me quitte pas des yeux, elle râle :



Je lutte pour contenir ma jouissance, suspendu à ses mots, donnant de violents coups de reins espacés. Elle ahane :



Elle jouit à nouveau.



Je sors précipitamment d’elle, elle s’agenouille devant moi, soutenant ses seins devant ma queue turgescente. Je souille ses gros nichons par de violentes giclées de sperme. Elle étale la semence avec ses paumes rendant leur surface luisante. Puis je tombe à genoux devant elle.


Je l’étreins fortement, je l’embrasse, la tendresse fait place à la violence verbale qui nous avait tant excités. Nous gouttons durant de longues minutes le plaisir de se cajoler l’un dans les bras de l’autre, mon regard se noyant dans le sien. Nous osons à peine nous parler, comme intimidés d’être allé si loin. C’est moi le premier qui suggère de quitter les lieux. Nous nous rhabillons en silence. Après avoir fermé le cabinet, je dépose la clef comme convenu. Nous croisons la secrétaire dans le hall. Nous sommes main dans la main, elle nous sourit sans faire de commentaires.


Voilà comment j’ai réalisé ma première consultation en étant encore qu’étudiant en médecine. En sortant du cabinet de mon cousin, nous avons décidé de donner une suite à notre histoire en déjeunant dans un restaurant. Ce fut très concluant !


Vinciane stoppa ses consultations chez les médecins à partir de ce jour. Je devins son docteur particulier et 2 mois plus tard nous nous installions ensemble dans un appartement pour une histoire d’amour prometteuse.


julienrêve