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n° 05011Fiche technique15929 caractères15929
Temps de lecture estimé : 10 mn
15/10/02
Résumé:  Alors que j'accompagne ma femme dans un grand magasin, je tombe sous le charme d'un jeune vendeur...
Critères:  hh extracon magasin fellation hsodo
Auteur : Jhperso      
Un si joli vendeur...


Il me restait encore une journée de congés payés à prendre et, avec les conseils de ma femme, je décide de poser un lundi pour bénéficier d’un week-end prolongé. Folle de joie, elle prit tout de suite l’initiative d’organiser ces trois jours afin de profiter au mieux de cette rare opportunité (je suis en effet cadre commercial et très souvent en déplacements professionnels).

Le samedi et dimanche se déroulèrent effectivement de façon agréable. Visite de musées, restaurants raffinés, théâtre etc… tout avait été sélectionné avec un goût indéniable et de nombreuses fois, je félicitais ma femme pour cette parfaite organisation.


Au cours de la soirée du dimanche, alors que nous étions en train de dîner dans une ambiance romantique et d’une grande plénitude, ma femme m’explique son projet pour le lundi:


"Mon chéri, demain j’aimerai que l’on fasse ensemble quelque chose que rarement tu souhaites partager avec moi."


Je l’a regardais avec une attention mêlée de surprise, incapable de deviner où elle voulait en venir…Sans me laisser le temps de prendre la parole, ma femme continua son explication tout en m’accordant l’un de ses plus beaux sourires:


"Cela fait longtemps que tu ne fais pas les magasins avec moi… et cela me ferait vraiment plaisir que tu m’accompagnes cette fois-ci…"


Je ne pus m’empêcher de soupirer, et c’est gagné par la détresse que je tentais de lui faire changer d’avis:


"Ecoutes, je sais que tu adores faire les magasins et tu dois savoir aussi que ce n’est pas vraiment mon activité préférée. N’oublies pas que la dernière fois, je t’ai quelque peu exaspéré…"


D’un geste rapide, ma femme posa sa main sur la mienne. Toujours accompagnée du même sourire, elle m’apporta alors le dernier élément qui réussit à me faire changer d’avis:


"Je sais mon cœur, mais cette fois je te demande de faire un réel effort. Tu es sans cesse en déplacement, je n’ai rarement l’occasion de profiter de toi et de nous d’eux. Tu ne peux pas imaginer comme cela me fait plaisir de passer ce week-end avec toi. S’il te plaît… demain j’aimerai que nous fassions des achats ensemble… surtout que j’aimerais que tu m’aides à acheter quelques chose de bien précis…"


Je ne pus m’empêcher de sourire car son regard était devenu malicieux et sa main qui ne cessait de caresser la mienne pour remonter vers mon poignet me faisait présager une jolie suite…


"Je t’en prie, continues car maintenant tu m’intrigues. Qu’est-ce que tu as derrière la tête?"


C’est alors que je sentis le pied de ma femme caresser ma jambe puis, remonter lentement… Son regard était encore plus malicieux. Elle me fixait, sûre d’elle même comme jamais:


"Simplement, je pense que tu pourrais m’être très utile pour choisir les nouveaux sous vêtements que je dois m’acheter…"


Elle fit glisser un morceau de sorbet à la mandarine au fond de sa bouche… sa langue glissa sur ses lèvres et son regard se fit encore plus intense.


Le message était clair. Demain allait être une journée intense en sensations et je rêvais déjà de partager la cabine d’essayage avec ma femme habillée de ses plus beaux sous vêtements… Lorsque nous arrivâmes à notre appartement, elle n’eut pas le temps de rejoindre la chambre à coucher que déjà mes mains étaient posées sur son corps, impatientes de redécouvrir ses courbes si appétissantes. Mais il n’en fut pas ainsi… ma femme se refusa à moi sous prétexte que je devrais être en forme pour le lendemain…

Elle ne croyait pas si bien dire…


Lundi matin, 11 heures. La température est excellente, le soleil est bien présent et c’est avec résignation que j’aide ma femme à sortir du taxi. Au cours du trajet, celle-ci me rappela à quel point elle était contente que nous puissions partager cette journée, que nous n’allions pas être ennuyés par tous les touristes et les passants… à croire qu’elle craignait encore que je change d’avis mais une promesse est une promesse.


Nous rentrons dans le grand magasin et commençons à parcourir les différents rayons. Alors que j’essaye de repérer le secteur de la lingerie, ma femme m’apprends alors que cet achat ne se fera qu’à la fin de la journée. Bravo ! Je me suis fait piéger ! J’allais entamer une argumentation pour essayer de gagner du temps lorsque mon portable se mit à vibrer. Je reconnus tout de suite l’appel de mon collaborateur le plus proche. Sans hésiter je pris la communication et appris rapidement que l’un de nos plus gros clients refuse l’offre que je lui avais faite la semaine précédente. Si je ne veux pas perdre ce marché, une discussion s’impose avec ce charmant client indécis… Ma femme s’est plantée en face de moi et d’un ton sec et déterminé prit la parole:


"Ecoutes, monsieur le responsable commercial, je te laisse une heure pour régler ton problème. Pendant ce temps je vais faire des essayages… et si tu as fini avant, profites en pour passer au rayon "homme" et repérer quelques costumes car tu as besoin d’en changer ! Une heure et pas une minute de plus !…"


C’était plus que clair. Mais une heure pour résoudre ce problème, c’était normalement plus qu’il n’en fallait. Tout en composant le numéro de téléphone de mon client, je décide de me rendre directement au rayon de la mode masculine (c’est toujours ce vieux réflexe d’optimiser mes déplacements…) et je laisse ma femme entamer ses essayages.


Alors que j’arrive au rayon "homme", mon client répond à mon appel. J’entame une série de questions afin de déceler l’erreur commise la semaine précédente. Sans vraiment m’en rendre compte, je me dirige dans la direction opposée au rayon des costumes et me retrouve "plongé" dans le rayon des jeans. Concentré par l’importance de la conversation, je décide de rester où je suis pour éviter de m’éloigner encore plus.

J’étais en train de renégocier les conditions de règlements du contrat lorsque mon regard se porta sur un jeune homme en train de ranger une pile de pantalons. Le corps tendu afin de pouvoir placer le dernier jean sur une étagère placée en hauteur, je n’arrivais pas à détacher mon regard de ce garçon qui ne devait pas avoir plus de 25 ans.


Mon client accepta enfin mes nouvelles conditions. Quinze minutes s’étaient écoulées, j’étais assez fier de moi. Je compose le numéro de mon collaborateur, explique les dernières modifications à effectuer et… le tour est joué. Un problème de résolu!

Mais ce qui n’était pas résolu, c’est cette attirance indéniable qui s’était opérée en moi pour ce bel inconnu… ce si joli vendeur.


D’un bon mètre quatre vingt, il portait une chemise blanche cintrée qui faisait mettre en valeur des muscles parfaitement dessinés et entraînés. Son jean très serré jusqu’au milieu des cuisses se terminait en pattes d’éléphant. Mes yeux s’arrêtèrent naturellement sur ses fesses superbement mises en valeur, et j’attendais avec impatience qu’il se retourne pour découvrir son visage.


Brun, les cheveux gominés, la peau bronzée, il venait enfin de se retourner. Sa chemise largement ouverte me faisait remarquer qu’il n’avait aucun poil et que ses pectoraux étaient puissants. La taille très basse de son pantalon ne cachait en rien un paquet volumineux et appétissant. Je dirige alors mon regard vers son visage lorsque… je suis resté figé sur place. Ce beau vendeur me regardait droit dans les yeux… Depuis combien de temps me regardait-il? Avait-il remarqué mon intérêt pour son physique ? Je n’eus pas le temps de reprendre mes esprits que déjà il se dirigeait vers moi.


"Bonjour. Puis-je vous être utile ?"


Même son sourire était agréable. Ses yeux noirs mettaient en valeur un visage carré et masculin… c’est clair il réunissait tous les critères qui me font à chaque fois craquer pour le sexe masculin…


"Quel modèle de jean recherchez-vous ?"


Je n’avais absolument pas prévu d’acheter ce type de pantalon mais l’occasion était vraiment trop belle. Je lui explique alors que j’ai grandement besoin de son aide et que j’aime tout particulièrement le modèle qu’il porte actuellement.

Il se mit alors à sourire.


"Très bien, dans ce cas, je vais vous montrer un exemplaire du modèle que je porte et les différentes couleurs disponibles. Je m’appelle David. Si vous voulez bien me suivre… quelle est votre taille?"


Tout en lui répondant, j’entrepris de suivre cet ange tombé du ciel. Mes yeux ne se détachaient plus de son corps, j’avais maintenant envie de toucher ce garçon, de le caresser, de glisser ma langue sur sa poitrine imberbe, de poser mes mains sur ses fesses, de… il faut que je me calme…


"Voilà le modèle que vous recherchez. Je vous rejoins en cabine dans deux minutes."


C’était vraiment mon jour de chance ! Ce garçon beau comme un dieu va m’accompagner en cabine… il ne sait pas vraiment à quoi il s’expose.. .il ne me reste plus que 30 minutes avant d’aller rejoindre ma femme… il faut que je tente quelque chose !


Je m’engage dans le couloir. Aucune cabine n’est occupée. J’en choisis une au hasard mais je ne referme pas la porte. Je me déshabille et ne garde sur moi que mon boxer en lycra noir. Je sens venir déjà un début d’érection… mon jeune vendeur va faire une drôle de tête en voyant ma queue gonflée… Mais… je n’avais pas remarqué qu’il était déjà à l’entrée de la cabine en train de me regarder…


"Je paries que tu es venu avec ta femme… n’est-ce pas ? Je t’ai vu en train de me mater. Tu as l’air d’apprécier les mecs on dirait."


Il entra dans la cabine, referma derrière lui et bloqua le verrou. Je n’arrivais pas à prononcer un seul mot mais mon sexe quant à lui continuait son ascension inexorable. Il me posa un doigt sur les lèvres en me demandant de ne faire aucun bruit.


"Je m’occupe de tout, ne t’inquiètes pas. Tu me plais énormément tu sais. Moi aussi j’ai eu le temps de te mater et les hommes mariés m’excitent un maximum…"


Son visage s’avança vers moi et il me roula une pelle magistrale. Sa bouche et sa langue dégageaient une chaleur et une sensualité extraordinaires. Mon niveau d’excitation avait atteint déjà son degré le plus élevé. C’était évident que ce garçon n’en n’était pas à son premier coup d’essai. Comme si David pressentait que nous n’avions pas beaucoup de temps, il se mit tout de suite à genoux et caressa ma queue à travers mon boxer.


"Hummm… ta queue est belle. Tu bandes comme un âne!!! Tu vas voir comme je sais m’en occuper…"


Accompagnant le geste à la parole, il fit descendre d’un geste mon boxer qui tomba à mes pieds et engloutit mon sexe tendu à l’extrême. Impossible de retenir les gémissements de plaisir. Je me sentais complètement aspiré par cette bouche dont les va-et-vient ne tarderaient pas longtemps à me faire jouir… Conscient de l’échéance imminente, la langue de David se retira de ma queue et entreprit de lécher respectivement chacune de mes couilles. Au contact, elle durcirent aussitôt pour venir se loger à la base de mon sexe. Je n’avais plus qu’une chose en tête: posséder ce garçon, le pénétrer au plus profond, sentir son cul onduler à chacun de mes coups… le faire jouir et jouir en lui.


IL se remit sur pied. Sa bouche s’approcha de mon oreille et il me susurra d’une voix douce et calme:


"Je parie encore que tu rêves de m’enculer… alors regardes bien ce que je t’offre."


David posa ses deux mains à plat sur la paroi de la cabine. J’entendis plusieurs clients s’installer dans les cabines voisines mais cela n’avait plus aucune importance. Mon partenaire écarta les jambes et se cambra. Son attitude était une parfaite provocation mais aussi une invitation au plaisir que je ne pouvais refuser. C’est à ce moment que j’ai complètement perdu la notion du temps.


Je me colle contre lui. J’entreprends rapidement de descendre son pantalon et …quelle ne fut pas ma surprise lorsque David m’offrit un cul parfaitement épilé, bronzé et musclé à souhait!!!


"David, tu ne portes pas de sous vêtements?"

"Pour quoi faire" me répondit-il tout en fermant les yeux. Après tout il a parfaitement raison, pourquoi s’encombrer de détails inutiles?. Je porte toute mon attention sur ce cul magnifique. Ma langue trouva le chemin sans aucunes difficultés. Mes mains écartent au maximum ses deux globes dont je suis complètement amoureux et ma langue entame déjà une pénétration de son anus. Je n’ai même pas besoin de forcer, il est chaud et accueillant. Ce petit salaud a du se faire mettre plus d’une fois!


"Prends moi maintenant! J’ai ce qu’il faut dans la poche droite de mon pantalon… viens…vite!


Je comprends maintenant pourquoi il s’était absenter avant de me rejoindre dans ma cabine…pour mieux nous protéger.


Je trouve effectivement la protection indispensable et me l’enfile sans attendre. Je place mon gland à l’entrée de son cul…alors que je pensais procéder étape par étape, David n’attendit pas une minute de plus et s’empala directement sur ma queue en gémissant. Nous avons gémit ensemble…en parfaite harmonie. Je décide de me coller contre lui, contre son dos mais d’un léger coup de hanche, David me fait comprendre qu’il ne recherche pas la tendresse mais un contact direct sans douceur. Je place alors mes mains sur ses hanches et entame une pénétration profonde et régulière.

Il ne peut s’empêcher d’émettre un cri à chaque fois que mes couilles touchent ses fesses. Son cul est chaud et doux, je glisse à merveille à l’intérieur.. je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps…Je sens ma queue se gonfler encore un peu plus et…j’éjacule, incapable de me retenir. Je serre les dents pour ne pas crier et alerter les autres clients. David quant à lui, le visage crispé tente de la même façon de contrôler son orgasme et éjacule abondamment.


Je me retire avec regret de ce corps superbe. Mon souffle peine à retrouver son rythme normal. Je m’assoies sur le tabouret pour récupérer plus vite. David se retourne, le regard d’une douceur troublante…je sens que je suis en train de tomber amoureux de ce mec. Il se penche entre mes jambes, me retire le préservatif et entreprend de me lécher pour nettoyer mon sexe.


"David, si tu fais ça, on ne va jamais s’en sortir…je vais me mettre à rebander et je n’ai plus le temps de rester avec toi…merde! A propos il est quelle heure?


Ma montre indiquait déjà un retard de plus de 15 minutes!!


"Désolé David, je dois aller rejoindre ma femme. Cela a été un vrai plaisir… merci pour tout… tu as été super, et prends soin de toi"


Je dépose un baiser sur sa bouche encore chaude et je quitte la cabine.




Merci de me donner vos impressions sur ce texte. Si vous aimez aussi les hommes mariés et les cabines d’essayage, contactez moi.

Merci à NIKO et FRED3 pour leurs critiques dures mais parfaitement justifiées. J’espère avoir amélioré mon niveau depuis la dernière fois. À bientôt.