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18/10/02
Résumé:  Clémence est victime d'un accident. Jacques la sauve d'une mort certaine. Il en sera récompensé
Critères:  fh fplusag fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo init
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message

Série : Les débuts de Jacques

Chapitre 01 / 05
L'accident


1992


Jacques rentre chez lui, il est désespéré, râle contre lui-même : il a théoriquement tout pour plaire, bien bâti, une gueule pas trop moche, mais timide comme ce n’est pas possible. Au lycée, il voit des filles qui lui plaisent, à qui il ferait bien un brin de baratin, mais de peur du ridicule, il n’ose les aborder. Et puis ce qu’il voudrait avant tout, c’est se dépuceler, mais avec une femme qui s’y connaît et qui lui apprendrai les techniques de l’amour.

Ce soir, il fait bon, tout le monde est dehors, les gosses jouent, se sont accaparés la rue :skate, vélo. Il y en a une paire qui essaient de se dresser sur la roue arrière de leur bike, sans beaucoup de succès.



Il s’approche pour l’aider à se relever, mais il s’aperçoit que la poignée de frein est plantée dans la cuisse et le pantalon se tache rapidement de sang. Il se souvient des cours de secourisme où on lui a parlé de l’artère fémorale et comment faire une compression.

Les gamins entourent la blessée, le propriétaire du vélo veut relever son engin, la fillette hurle. Jacques se précipite, écarte les enfants, dégage doucement la poignée. Et le sang jaillit ! Il déboutonne le pantalon, le baisse, saisit son mouchoir et l’appuie en tampon sur la cuisse pour arrêter l’hémorragie. Puis il crie aux badauds d’appeler le SAMU, de s’écarter. L’un d’entre eux court à la cabine téléphonique proche.

Le mouchoir rougit de plus en plus, Jacques est affolé, il sait qu’elle peut se vider et mourir devant lui.

Enfin, après quelques minutes, le klaxon retentit, le SAMU arrive et l’interne saute en voltige. Jacques lui expose son diagnostic, indique l’hémorragie. Le toubib le félicite d’avoir eu le bon réflexe et lui dit :



Ayant passé la main, Jacques va rapidement se laver les mains chez lui car elles sont tâchées de sang.

Il est heureux d’avoir pu être utile pour une fois. Ses parents lui disent toujours que malgré ses dix huit ans il ne fait jamais rien de bon.


Quelques jours ont passé et Jacques a un peu oublié l’accident, il n’en a parlé à personne. Il aurait aimé avoir des nouvelles de la petite, mais il ne sait pas qui c’est ni où elle habite. Il l’a vue quelque fois dans le quartier, mais dans cette résidence, il y a tellement de monde ! Le toubib du SAMU l’a d’ailleurs rassuré avant qu’il ne parte : quelques points de suture et elle sortira rapidement.



Le cri a surpris Jacques, il se retourne et se retrouve face à la fillette, accompagnée de sa mère. Il lui sourit et lui dit



La mère se précipite vers lui, lui prend les mains et lui dit :



Jacques est gêné devant de telles démonstrations de reconnaissance, d’autant que les passant s’arrêtent, curieux.



Pas moyen d’y échapper. Et au fond de lui-même il en est bien heureux, car la femme est du type même dont il rêve, pas très âgée, la trentaine, et belle…. Il lui parlera et peut-être…

Arrivés chez ses hôtes, Clémence, la petite, l’accapare. Elle veut tout connaître de lui. Elle lui raconte sa vie avec sa mère. Elles sont seules, son père est mort, elle n’a pas de camarades parce que sa maman a trop peur pour elle.



Jacques est obligé de se raconter à son tour, ses études, ses parents qui travaillent tous les deux, lui aussi est enfant unique, mais maintenant il est enfin libéré de la surveillance de sa mère qui elle aussi craignait toujours pour lui.

Et ainsi le temps passe. La mère, Aline, est enchantée d’avoir quelqu’un a qui parler, Clémence qui a dix ans, est heureuse d’avoir un grand qui l’écoute. Mais le plus heureux est Jacques. Il peut regarder cette femme tant qu’il veut, sans qu’elle s’en offusque. Il la trouve magnifique : elle est grande, presque de sa taille, avec des jambes interminables, fuselées émergeant d’une jupe étroite qui remonte lorsqu’elle s’assied. Au début, elle l’a tirée, mais maintenant elle n’y prête plus attention et il a ainsi une vue sur la moitié des cuisses. Mais le plus beau, ce sont ses seins ! Lourds, il remuent lorsqu’elle se tourne rapidement. Elle n’a qu’un chemisier de soie et l’on aperçoit le soutien-gorge par l’échancrure.

À plusieurs reprises, lorsqu’elle lui a servi son coca, quand elle lui a montré des photos, leurs mains se sont touchées et pour lui c’est le bonheur. Malheureusement il n’aura probablement plus l’occasion de la revoir.



Aline se dit qu’elle est tombée sur le jeune homme parfait, modeste courageux, et en plus pas trop mal physiquement, mais malheureusement un peu trop jeune. S’il avait quelques années de plus, elle aurait volontiers accepté ses hommages, elle n’a pas fait l’amour depuis la mort de son mari.


Aline est allée voir les parents de Jacques. Ceux-ci ont été étonnés d’apprendre ce qu’avait fait leur fils, et, heureux de ce changement ; ils ont donné toutes les autorisations, dont d’ailleurs il se passe très bien.

Un film d’aventures, ce n’est pas mal, mais Jacques n’a pas la tête à ça. Dans la salle obscure, il a d’autres pensées que les exploits d’Indiana Jones. Il est entre Aline et Clémence, cette dernière s’exclame et se trémousse. Jacques a lentement poussé sa jambe contre celle d’Aline. Elle n’a pas réagi et a même le regard un peu trop fixe sur l’écran. Comme par inadvertance, sa main se pose sur la cuisse, toujours pas de réaction. Il descend jusqu’à la bordure de la jupe qui d’ailleurs est bien remontée. Il atteint la peau, arrêt, toujours rien. Il reste un petit moment immobile, regarde Aline. Celle-ci tourne la tête vers lui et sourit doucement. Alors là, il est aux anges. Il glisse doucement la main sous la jupe, c’est difficile car elle est étroite et ses doigts se retrouvent coincés entre les deux jambes. C’est chaud, il est difficile de progresser.

La fin du film arrête les tentatives d’approche.



Le chocolat et les biscuits sont bons, mais les deux adultes n’en apprécient guère la saveur, leur esprit est ailleurs.



À peine la porte fermée, il se précipite afin de prendre Aline dans ses bras. Mais elle le calme, si la petite revenait ! Elle va surveiller à la porte de la chambre. Jacques la suit et pendant qu’elle passe la tête par l’entrebâillement, il se colle à elle, lui saisit les hanches puis remonte vers les seins. Elle referme la porte, se retourne et tombe sur les lèvres tendues. Il l’embrasse fougueusement mais maladroitement, elle le sent totalement novice. Le prenant par la main elle l’emmène dans sa chambre.

Elle lui prend la tête, pose ses lèvres sur les siennes et lui donne sa première leçon. La langue d’Aline pénètre la bouche, la fouille. Jacques se laisse guider puis prend l’initiative. Ses mains ont empaumé les fesses et il serre le bassin contre sa queue qui lui fait mal tant il bande. Il veut tout, tout de suite, abandonne la bouche pour se précipiter sur les seins. Elle l’empêche de la dénuder et lui permet seulement des caresses à l’intérieur du soutien-gorge. Mais elle saisit sa verge tendue au maximum et le masturbe par dessus le jean.

Une porte qui s’ouvre les rappelle à la réalité, ils glissent vers la salle de séjour, juste au moment où Clémence arrive. Jacques s’offre pour vérifier les devoirs et même l’aider les prochains jours, ainsi il pourra revenir. Avant de partir Aline lui murmure :



Les trois jours ont semblé éternels à Jacques. Le mercredi, de loin il surveille le retour d’Aline allée accompagner sa fille à son cours. Deux minutes après l’avoir vu monter, il grimpe l’escalier en courant, ne sonne pas, la porte n’est pas verrouillée, il entre et la referme doucement. Personne ? Il perçoit du bruit dans la chambre, s’approche doucement : elle est là, en train de se déshabiller et ne l’a pas entendu. Il fait de même sans bruit. Sa robe est déjà sur le lit, elle défait son soutien-gorge, se masse les seins. Devant la glace, elle les examine, les faisant tressauter doucement. Le spectacle est terriblement érotique, il se branle lentement. Puis elle se baisse pour retirer sa culotte, présentant involontairement ses fesses bien pleines. Lorsqu’elle soulève une jambe, Jacques voit le petit œillet brun et la toison par dessous. N’y tenant plus, il entre doucement et la prend aux hanches. Elle est saisie, encore entravée et ils s’écroulent tous deux sur le lit. Elle a poussé une petit cri, surprise par cette agression.



Il s’empare de ses seins dont il a tant rêvé. Il les malaxe, les embrasse, mord les pointes brunes.



Et commence un cours élémentaire particulièrement apprécié du jeune homme. D’abord c’est le baiser, les langues qui se taquinent, luttent dans les palais. Mais les mains du garçon ne restent pas inactives ; il empoigne les fesses et serre sa queue bandée au maximum contre le bassin d’Aline. Elle veut lui guider ses mains contre ses seins, mais lui, s’agite dans la fourche, contre les lèvres intimes et soudain, il explose, jouit brutalement, à la fois soulagé et effrayé des conséquences auprès d’Aline : qu’est-ce qu’elle va penser de lui !. Celle-ci est surprise par la rapidité de son éjaculation ; elle sourit intérieurement, flattée de l’effet qu’elle a produit.



Jacques est rassuré par la réaction d’Aline. Elle va se laver du sperme tâchant son ventre, léchant le bout de son doigt dans la salle de bain : elle en avait oublié le goût !

Elle retourne dans la chambre, s’allonge à côté du garçon. Il est là, bienheureux et immédiatement se réfugie dans les bras, la tête sur les seins. Doucement il les lèche, les tête, l’un après l’autre. Sa main descend entre les jambes et taquine la fente. Il découvre la géographie du lieu, frotte les lèvres arrive au bouton qu’il n’a jamais vu ni touché. Aline apprécie ces gestes malhabiles, mais désire prendre elle aussi son plaisir. Elle prend la main, amène l’index sur son clitoris et le guide pour une masturbation interposée. L’un des doigts de Jacques glisse dans le puits d’amour, puis un second. Elle impose un va-et-vient et le plaisir arrive, mouillant la main bienfaitrice. Elle gémit, le serre contre elle, écrasant sa bouche sur ses seins.

Jacques est heureux, il a donné du plaisir à celle qui sera bientôt sa maîtresse. Ce bonheur qu’il a donné, a réveillé ses ardeurs, sa queue se redresse. Il veut voir le lieu des ses exploits manuels, se retourne, se penche vers ce nid moussu encore humide. Une odeur sublime s’en dégage, il approche son nez, puis du bout de la langue goûte la rosée. Il entreprend un nettoyage complet des lèvres et du clitoris. Cela l’excite au plus haut point et sa queue se dresse sous le nez d’Aline.

Devant un tel sucre d’orge, elle ne peut résister, le prend dans la main, le décalotte et lèche doucement le gland. Puis elle le gobe et entreprend une fellation dans les règles de l’art. Jacques est au paradis, il s’active dans ce nouveau domaine, les doigts viennent suppléer la langue et pendant que l’une s’occupe du bouton, les autres pénètrent dans le puits d’amour, il la branle avec trois doigts.

Jacques s’est mis à plat ventre sur son amie, inconsciemment il la baise en bouche. Elle le freine dans son ardeur, le prenant par la taille, guide le rythme de son bassin. Elle sent monter en elle un plaisir qu’elle devine partagé, la queue se gonfle, le garçon veut se dégager, mais elle le maintient dans sa bouche. Il sent venir son plaisir, active ses doigts dans ce con bien juteux et jouit une deuxième fois. Les gorgées de sperme sont le signal de l’orgasme d’Aline.

Ils retombent sur le coté, Jacques se redresse et Aline, maternelle, le prend dans ses bras. Elle l’embrasse et ils partagent le goût de leurs sucs respectifs.

Une sonnerie stridente les tire de leur assoupissement, c’est le réveil. Il faut aller chercher Clémence à son cours. Heureusement que sa mère a eu l’idée de programmer l’heure de départ car ils avaient tout oublié, ils sont si bien ensemble.


La semaine s’est traînée, Jacques n’en voyait pas le bout. Le mercredi suivant, il vient chercher Clémence pour l’amener à la danse et retrouver sa presque maîtresse car il ne l’a pas encore baisée. Il revient très vite, Aline ouvre la porte à peine est-il parvenu sur le palier. Elle est encore plus impatiente que lui. Il a réveillé son corps endormi depuis si longtemps. Elle est folle de se compromettre avec un gamin, mais son corps n’obéit plus à sa raison. À peine a-t-il pénétré qu’il tombe dans ses bras. Leur baiser est fougueux, l’élève a bien retenu la leçon. Un chemisier transparent, une jupe, pas de sous vêtements. Elle s’est préparée depuis longtemps, avant même le départ de sa fille. Il la repousse doucement à bout de bras et l’admire ; la pointe de ses seins est dressée sous le corsage. Lentement, comme un gourmet, il épluche les fruits à point. Le vêtement tombe à terre, elle est terriblement impudique torse nu. Il se baisse pour dégrafer la jupe qui s’affale, et le buisson se trouve à portée de ses lèvres. Il y porte la bouche, ses bras enserrant les jambes. Elle s’écroule sur le canapé l’entraînant dans sa chute. Mais il ne peut s’attarder sur ce fruit mûr regorgeant de sève, car elle se redresse pour l’éplucher à son tour : la chemise laissant apparaître le torse musclé mais encore imberbe, puis le jean. Il n’a pas mis de slip afin d’être plus vite prêt. Son sexe jaillit, tendu.


Elle le prend tendrement par la queue et l’entraîne dans la chambre vers le lit déjà ouvert, prêt à les accueillir. Ils s’allongent, reprennent le baiser pendant que leurs mains font à nouveau connaissance du corps de l’autre. Il la saisit aux fesses, glisse un doigt entre les cuisses, atteint par derrière les lèvres qui bavent déjà ; elle le serre contre lui, puis saisit son sexe, s’en frotte l’entre jambe retrouvant ainsi les doigts de son amant. Se rappelant les plaisirs de la semaine passée, ils se tournent et entament un hommage buccal au sexe de leur partenaire. Mais aujourd’hui, ils vont doucement, lui ne voulant pas perdre sa puissance dans cet exercice, elle préparant la pénétration qu’elle attend impatiemment. Avec les doigts, il ouvre le fruit, le déguste, aspire le bouton, enfonce un, deux puis trois doigts dans le vagin accueillant. Il le sonde, ressort, accélère le mouvement. Le liquide s’échappe et glisse dans la vallée fessière. Le pouce taquine, masse l’œillet sans oser s’y aventurer.

Se sentant prêt à jouir, Jacques revient s’allonger sur le corps désiré. C’est elle qui le met en place et il s’enfonce doucement, tranquillement dans le vagin prêt à le recevoir. Il se met en branle, lentement puis accélère. Craignant une issue trop rapide et désirant faire durer le plaisir, elle lui chuchote à l’oreille :



Pour le freiner, elle entoure son bassin avec ses jambes, le membre entrant ainsi plus profond en elle. Mais malgré sa résolution, son corps ne peut attendre. Elle relâche son étreinte et lui crie :



Et c’est la fête pour tous les deux, l’apothéose. Des mouvements désordonnés le font sortir de l’antre magique, mais il y retourne sans effort taquinant au passage le bouton. Il se répand en elle et reste affalé entre ses bras.



Aline, malgré le plaisir qu’elle vient d’avoir, s’effraie de la violence des paroles de ce jeune garçon pour une vieille comme elle. Elle désire ce corps, mais ne veut pas de sentiments. Donner et prendre du plaisir d’accord, mais ne pas s’engager dans une aventure sans lendemain.

Elle le repousse sur le coté, le regarde et lui dit :



Ils reposent, mais les mains de Jacques ne restent pas inactives. Il caresse les flancs, descend vers les hanches et ces fesses qui l’attirent. Il les empaume, glisse ses doigts dans la vallée, les sépare. Sa queue molle vient reposer au chaud sur les poils sombres. Il retourne Aline sur le coté, se met derrière elle, prend les seins en main, les taquine. Il embrasse le cou et petit à petit sent revenir la forme. Il s’écarte pour que sa verge puisse venir se placer au bas du dos. Il la frictionne contre cette peau douce. Ces manœuvres ne laissent pas la femme insensible. Elle glisse la main, se saisit de l’outil et le met entre ses cuisses dans ses lèvres intimes. Et presque sans effort, il s’enfonce à nouveau dans le con accueillant. Aline se redresse, se mettant à quatre pattes et le voilà cavalier chevauchant cette monture la pénétrant profondément. Et bien arrimé aux tétons, cuisses écartées, il pilonne lentement, bien à fond ce cul magnifique. C’est long, très long, chaque fois que l’un sent son plaisir monter trop vivement, il ralentit la cadence, l’autre la reprenant peu après. Et à un moment, ils ne peuvent se freiner et lui coulissant puissamment, elle serrant ses lèvres intimes pour mieux le retenir, ils arrivent au paradis. Il se fige, raidi à l’intérieur de ce corps, elle, s’affaisse gardant la queue à l’intérieur d’elle-même.

Et c’est à nouveau le réveil qui les rappelle à l’ordre.


Aline s’interroge : Clémence ne va-t-elle pas se douter de quelque chose, les voisins ne vont-ils rien remarquer de ces rendez-vous ; mais surtout ce sont les sentiments de Jacques qui l’inquiètent. Elle attend le mercredi avec un double sentiment de désir mêlé de d’appréhension.

Jacques est dans le nirvâna : il devient distrait, aimable avec ses parents, tout surpris de ce changement. La semaine d’après il est au rendez-vous, impatient. Aline l’attend derrière la porte. Il entre en homme, ne se précipite pas, mais admire cette femme si belle. Après le baiser d’accueil, il s’assied sur le canapé et lui demande :



Aline est surprise de cette requête, mais en même temps rassurée : il la considère comme « une » femme et non « sa » femme. Alors elle entre heureuse dans ce jeu. Elle quitte lentement le chemisier, le jette sur un fauteuil. Elle se tourne pour dégrafer son soutien-gorge et vire en soupesant ses seins. Elle les taquine en agace les pointes. Elle les rapproche l’un de l’autre, essaie de les embrasser. Puis elle détache sa jupe, la laisse glisser lentement. Elle se baisse pour ôter sa culotte, lui faisant admirer son côté pile et l’œil sombre qui le regarde, se redressant pour lui montrer la face et lui envoyant le sous vêtement à la face.

Alors il ne tient plus : il la saisit dans ses bras et la porte sur le lit. Elle se dégage pour le dévêtir à son tour, caressant au passage le torse lisse, les hanches et le glaive déjà dressé pour le combat. Ils se jettent sur le lit, lui la chevauchant, il enjambe sa taille et sa queue retrouve entre les seins. Elle descend un peu pour que la verge soit bien en place entre ses tétons qu’elle resserre. Devinant un jeu qu’il ne connaît pas encore, il se branle entre ces outres rebondies. À chaque avancée, elle tente avec la langue de toucher le membre et bientôt le gland pénètre à chaque fois entre les lèvres. À ce rythme, il ne peut tenir très longtemps et arrose de son sperme la bouche et le visage aimé. Il ne sait quelle va être la réaction d’Aline, mais est surpris quand elle se lèche les lèvres avant d’aller se laver.

À son retour, elle le trouve décontracté, lui tendant les bras. Elle s’y réfugie et comprend que maintenant c’est lui qui se considère comme le maître. Il lui fait mille compliments sur chacun de ses attraits : ses seins sont comme des pêches duvetées que l’on lèche longuement avant de les déguster. Sa fourche est comme un nid où son oiseau vient se réfugier pour avoir son plaisir, ses fesses sont comme deux pommes bien fermes. Et il accompagne ses paroles de démonstrations manuelles. Son désir pointe et il veut comme la dernière fois la prendre profondément par derrière. Elle accède à son désir, se place à quatre pattes, lui la montant en cavalier émérite.

Il la pénètre et va-et-vient entre ses lèvres. Il caresse ses seins pendant qu’elle taquine son bouton. À chaque fois il ressort presque tant ses mouvements sont importants. Et à un moment, il se dégage et touche l’œillet noir. Il s’arrête indécis. Alors elle remonte sa main et met en place la queue face à ce nouvel objectif. Elle lui murmure :



Il pousse lentement le bout contre la rosette. Elle le guide et reculant le bassin amorce la pénétration. Les sphincters résistent d’abord, puis cèdent, laissent entrer le gland. Elle gémit, mais force toujours et petit à petit c’est elle-même qui se cheville, lui ne faisant que résister pour ne pas reculer. Il se retrouve bientôt à fond dans les entrailles. Le sentiment est nouveau, il est serré beaucoup plus étroitement, n’ose bouger de peur de la faire souffrir. C’est elle-même qui amorce lentement le mouvement alternatif. Comprenant son accord, il se met en mouvement. Sa main glisse sous le ventre et vient caresser le clitoris. Elle, s’enfonce les doigts dans le con sentant ainsi la queue de son amant. Et elle accorde son rythme avec lui, s’affale bientôt, sa main restant prisonnière, son cavalier la montant comme une pouliche rétive. Et bientôt c’est le bonheur pour lui, mêlé d’un peu de douleur pour elle. Ils restent longtemps immobile, lui prisonnier de ce piège, attendant que sa queue se rétracte pour se retirer. Il bascule sur le côté et lui murmure :



Elle est à la fois heureuse et malheureuse de ses paroles, heureuse de lui avoir tout appris, de sa reconnaissance. Elle l’a remercié d’avoir sauvé la vie de Clémence. Mais malheureuse car elle commence à s’y attacher et aimerait le garder, au moins comme partenaire sexuel si ce n’est sentimental. Mais maintenant qu’elle l’a formé, il va aller à l’aventure, vers les filles de son âge.

Pas besoin de réveil pour les rappeler à l’ordre. Ils vont se doucher, se caressant tendrement, mais sans véritable désir, ils sont repus.


Jacques repart heureux, maintenant il connaît tout, il va pouvoir draguer les filles et n’aura pas peur de leur jugement quand il les baisera. D’élève il deviendra professeur.

Ils se sont revus encore deux fois, le plaisir était toujours là, mais il n’y avait plus l’attrait d’enseigner pour l’une et d’apprendre pour l’autre.


Jacques a poursuivi ses études, quittant la ville, ils ne se reverront peut-être plus. Et Clémence regrette beaucoup son grand copain, pas tant toutefois que sa mère.