n° 05052 | Fiche technique | 12963 caractères | 12963Temps de lecture estimé : 8 mn | 22/10/02 |
Résumé: Une kiné érotique | ||||
Critères: fh pénétratio massage extracon journal | ||||
Auteur : Fan Envoi mini-message |
A apprendre par cœur ! Et à replacer dans une conversation ! Pour le moment, ça me fait une belle jambe. Enfin, façon de parler, car c’est à l’épaule que j’ai mal. Mal au point de ne plus pouvoir dormir, manger et surtout exercer mon métier. Je suis maître d’armes. Un bras dans le sac, c’est la cata.
Quand je vois la longueur de l’aiguille, j’ai envie de prendre mes jambes à mon cou. J’ai tendance à être un peu douillet. Très douillet même prétend mon épouse. Si les hommes devaient accoucher dit-elle, ce serait l’extinction de l’espèce à brève échéance!
Au moins dix centimètres d’aiguille sont descendus dans mon articulation. Je dois honnêtement reconnaître que je n’ai rien senti.
Mais cinq minutes plus tard, je sais que je fais partie du cas sur dix, avec qui ça ne marche pas.
Car j’ai toujours aussi mal.
Pendant que le toubib téléphone, je regarde les posters qui habillent les murs. Des écorchés! Il y en a partout ! Il devait être médecin légiste avant de devenir rhumatologue.
Le lendemain, avec un peu d’avance, j’entre dans la salle d’attente de Dominique Derain, dit Dédé, si j’ai bien compris. C’est une petite pièce éclairée par une fenêtre qui donne sur le canal. Deux chaises paillées et une table basse sont les seuls meubles. Les murs sont chaulés en bleu ciel. Une grande photo de Beken représente une magnifique Goélette, au près, dans la brise. Quant aux revues, inévitables dans ce genre d’endroit, elles paraissent récentes et plutôt orientées vers la voile que la mode.
J’emboîte le pas à une jeune secrétaire, en short, chemisette et nu-pieds. Elle me conduit dans une salle annexe, encombrée de divers engins de torture, me prie de m’asseoir et commence à me poser des questions.
Je lui explique que je fais mon service au bataillon de Joinville, que j’enseigne l’escrime et suis actuellement détaché à la base aérienne de Cazaux pour participer à l’entraînement d’une équipe de pentathlon militaire.
Elle prend rapidement quelques notes sur un cahier d’écolier et me demande de me déshabiller !!!
Elle prend mon poignet droit et commence doucement à lever mon bras. Immédiatement, la douleur me fait gémir. Puis elle le tourne latéralement avec le même résultat.
Pendant que je lui explique n’avoir pas pris au sérieux des bobos assez fréquents chez les sportifs de haut niveau, elle commence un massage de mon épaule.
La jeune femme sourit.
Elle s’en aperçoit et se fait plus douce.
Je m’exécute, et la kiné s’agenouille au niveau de mon épaule droite, qu’elle commence à pétrir activement. Curieusement, je ne sens plus rien, tant le spectacle qu’elle m’offre détourne mon attention.
Je n’avais jusqu’alors pas réellement regardé la jeune femme, et m’aperçois soudain qu’elle est digne d’intérêt, du moins sa culotte. Le short un peu large, laisse entrevoir un slip blanc, comme ceux que mettait ma sœur avant sa puberté. La culotte anti-viol ! Mais le spectacle est malgré tout charmant et suggestif car je distingue nettement quelques petits poils blonds, d’un érotisme inattendu.
Une vive douleur dans le muscle scapulaire me ramène à la réalité.
Ai-je le choix ? Je l’assure que je suis à sa disposition et le lendemain, à l’heure dite, je suis de nouveau sur le dos attendant le spectacle.
Hélas, pas de cinéma cochon aujourd’hui ! Il pleut. Dominique est en jean et pull rouge à col roulé. Elle n’est pas réellement jolie. Petit visage banal avec comme un défaut dans le regard, bouche charnue et menton pointu. Son charme vient de sa peau. Elle a un teint nacré, très pale, qui lui aurait valu un énorme succès pendant la période romantique. L’ensemble est attirant. On a vraiment envie de la prendre dans ses bras et de la déshabiller à son tour !
Mercredi, idem !
Jeudi, il fait une chaleur à crever. C’est l’anticyclone qui s’installe. Le short est de retour. Je mate sans retenue. La petite culotte est mal ajustée, et j’entrevois une ombre rosée le long du petit élastique. C’est super bandant et je me dépêche de regarder ailleurs en poussant quelques petits grognements adaptés pour donner le change.
Cette ombre, c’est bien la naissance de son intimité. Je suis scotché sur ce doux présage de visions plus célestes encore.
Elle rit à nouveau, d’un rire frais et joyeux, qui est le doux accompagnement sonore d’une image délicieuse. En effet, pour me torturer plus confortablement, mademoiselle Derain, mais est-elle encore demoiselle, vient d’écarter légèrement les jambes. Et le slip n’a pas suivi. Le bord de la culotte est maintenant incrusté dans une merveilleuse fissure. Alors là, tant pis, je bande ! Je bande comme un jeune de vingt quatre ans sait le faire. Du béton précontraint !
Dominique s’installe plus commodément, tout en continuant à maintenir mon bras, ce qui me fait un peu mal. Je sens son sexe épouser en surface, le relief du terrain. Elle bouge très lentement, mon bras, et je ne peux retenir une plainte.
Et enfin soulagé, je me consacre entièrement à la partition. Pour le moment, c’est ma compagne qui officie. Sans un mot, elle déboutonne mon jean et rend sa liberté à l’objet de ses convoitises. Car je vois bien que je l’intéresse !!!
Sans retirer mon pantalon, elle se positionne à nouveau sur mon sexe et entreprend une lente danse du « bas » ventre.
Je vais certainement exploser, dans le sens littéral du terme. Jamais je n’ai bandé si fort. Le spectacle de ses deux cuisses maintenant complètement ouvertes me fascine. Elles sont belles et extraordinairement érotiques. Du reste, c’est le terme qui qualifie le mieux cette fille. Elle n’est pas canon à proprement parler, mais elle ferait bander un tétraplégique. Son visage, légèrement renversé en arrière, ses yeux mi-clos, ses petits seins que je ne vois pas mais que je devine et surtout ses cuisses, ses fantastiques cuisses nacrées comme des perles d’eau, sont autant de fantasmes assouvis.
Sans utiliser ses mains, toujours doucement et progressivement, Dominique parvient par des mouvements adaptés à faire déraper son slip sur le coté. Sa fente magnifique apparaît peu à peu. Au gré de la houle qui la berce, elle s’entrouvre par moments, m’offrant une perspective insupportable. Je dois tenir, mon honneur est en cause.
Les douces lèvres épousent parfaitement la colonne de chair qui devient hors contrôle. Un aller retour méthodique en retrousse maintenant l’habillage, et le prépuce se dégage, dans son insolente impudeur.
Je gémis, mais ce n’est plus de douleur. Ma geishathérapute comme l’aurait inévitablement qualifiée ma chiante moitié, sourit tendrement.
Et je me retiens. Je me cramponne à n’importe quoi. La lampe du plafond, une fissure dans le plâtre…
…A propos de fissure, celle qui est devant moi s’ouvre inexorablement. J’assiste incrédule à l’ingestion de ma bête. Un lapin avalé par un python royal. C’est inouï. Je vais venir, c’est inévitable.
Un éclair de douleur calme mon émotion. La kiné vient de me tordre le bras.
Et la progression reprend. Je n’existe plus qu’à demi. C’est doux, c’est chaud, c’est serré, c’est vivant, c’est inoubliable, miraculeux. J’ai entièrement disparu sans qu’elle ait même enlevé sa culotte. Elle peut m’arracher le bras, je m’en fous. Je gicle, je me vide, je la secoue de mes spasmes qu’elle accompagne en cadence. Elle crie à son tour, redoublant mon plaisir.
C’est fini. Jamais je ne me suis senti si bien. Dominique se retire avec précaution, et gentiment me nettoie.
Je suis revenu demain, et le demain suivant et ainsi de suite, longtemps. Je le fais encore maintenant quand je passe dans le coin.
J’ai toujours une articulation raide.
Mais ce n’est plus la même !
Fan