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Temps de lecture estimé : 17 mn
22/10/02
Résumé:  Le père de Jacques a eu un infarctus. Jacques retourne dans sa ville natale et retrouve ses souvenirs
Critères:  fh fplusag parking fellation pénétratio fsodo aliments
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message

Série : Les débuts de Jacques

Chapitre 02 / 05
Les retrouvailles


Jacques est arrivé devant l’immeuble de ses parents sans même s’en rendre compte. Pourtant cela fait plusieurs années qu’il n’était pas revenu ici, il y avait trop de souvenirs, c’était toujours son père et sa mère qui le rejoignaient à Paris. Il profitait de leur venue pour leur faire visiter la capitale, autrement plus intéressante que ce trou de province. Mais sa mère l’a appelé d’urgence, son père a eu un infarctus et se trouve en réanimation, elle est affolée, perdue. Il en a profité pour liquider les congés en retard, on peut se passer de lui deux semaines.

L’attaque se révèle sérieuse, mais moins grave que ce qu’il craignait. Cet accident ne l’a pas surpris, son père est bon vivant, fumant, buvant et surtout mangeant beaucoup trop. Son médecin, un ami, lui avait dit de faire attention, mais il n’a rien voulu entendre.

Jacques sort de l’hôpital rassuré, laissant sa mère veiller le malade. Il rentre à l’appartement de son enfance.



Une jeune fille appelle, un homonyme probablement, car il ne connaît plus personne ici, en dehors d’Aline et de… mais, c’est Clémence !


Elle arrive en courant, se précipite dans ses bras, l’embrassant sur les deux joues.



Grande, élancée, belle - comme sa mère pense Jacques. Il est heureux de la revoir, mais en même temps un peu troublé par son physique très attirant. Pour lui c’est la petite sœur qu’il n’a jamais eu. Et les premières pensées qui lui viennent ne sont pas du tout fraternelles !



Il lui explique les raisons de son passage ici.



Peut-être pas pour les raisons que tu crois, pense Jacques, se souvenant des cours très particuliers que lui a donné Aline.



Aline a entendu la porte s’ouvrir, mais la phrase de sa fille la surprend, l’affole. Elles ne reçoivent jamais personne, qui a-t-elle bien pu trouver. Elle s’avance sur la défensive et aperçoit Jacques. Elle se revoit huit ans en arrière. Quelle attitude prendre ? Voyons, devant Clémence, nous nous vouvoyions. Jacques, a déjà pensé à ce problème et s’avance vers elle en disant :



Et le rituel des retrouvailles se déroule, politesses, demandes de nouvelles etc. Jacques répète la raison de sa venue. Naturellement qu’il reste à manger, a déclaré la mère, ravissant Clémence.

Le repas se déroule gaiement, Clémence fait la conversation, les deux autres convives ne faisant que lui répondre. Il y a une gêne entre eux, mais la jeune fille toute à sa joie, ne la perçoit pas. Le seul point qui la choque, c’est le vouvoiement



Et ils acceptent tous deux en protestant un peu, mais heureux intérieurement que ce problème qui risquait de devenir épineux, se règle aussi facilement.



Et elle descend rapidement. De la fenêtre, ils la voient enfourcher son scooter. Elle leur fait un signe de la main.

Pendant cet adieu, Jacques a passé son bras dans le dos d’Aline et lui a pris la taille. Elle n’a pas bougé, heureuse de voir qu’il a encore un peu d’affection pour elle.

Dans la salle de séjour, il la prend par les hanches, de face et la regarde longuement. Elle est inquiète, elle a quarante ans et même si elle a gardé une silhouette correcte, les années sont passées par là. Il sourit et lui dit :



Et il se rapproche d’elle, lui prend le visage et lui donne un baiser tendre, mais qui devient rapidement fougueux. Il sent son sexe se dresser. Aline de son côté se sent des faiblesses dans les jambes, elle s’accroche à son cou et se colle contre lui. Il la prend doucement et l’allonge sur le canapé. Avec délicatesse, il caresse les seins un peu moins fermes, mais tellement attirants. Une main remonte le long des ses jambes, glisse et atteint la fourche. Il soulève la robe et sa bouche vient embrasser la culotte qui commence à s’humecter. Doucement il tire le vêtement, le dégage par le bas. Ses lèvres peuvent alors embrasser celles, intimes, d’Aline. Sa langue retrouve le terrain de ses premiers exploits. Il se revoit puceau découvrant ce trésor. Et il rend hommage, faisant appel à la science qu’elle lui a inculqué mais aussi à son expérience. Ses doigts retrouvent l’entrée de la grotte, s’y introduisent, caressant les parois, glissant d’avant en arrière, pendant que sa langue fait éclore le bouton. Son désir est grand, son sexe est prêt, mais aujourd’hui, il veut d’abord remercier celle qui l’a initié, et lui a permis de connaître tant de bonheurs.

Aline appuie ses mains sur la tête de Jacques. Jamais elle n’a été à pareille fête. Aucun homme ne l’a jamais aussi bien honorée de la langue et des doigts. Ses jambes s’écartent, son corps se tend en arc de cercle tant elle veut s’offrir. Sa source coule à flot et soudain, c’est l’orgasme. Elle pousse un cri rauque que l’on pourrait croire de souffrance, mais qui est l’expression de son bonheur. Pendant quelques secondes, elle reste tendue, puis s’affaisse, ses fesses retombant dans les mains de Jacques.

Il vient s’allonger auprès d’elle, la prend dans ses bras et l’embrasse de ses lèvres imprégnées de son suc. Jamais, depuis qu’ils se sont quittés, aucun homme ne lui a rendu un tel hommage, ce baiser, elle ne l’aurait pas supporté. Et pourtant elle est reconnaissante à son amant de le lui avoir offert.



Ils se relèvent, vont vers la chambre, et mutuellement se déshabille. Chacun au passage retrouve le corps de l’autre ; les seins, les fesses, la fourche par les mains de l’homme, le torse plus puissant, les fesses plus dures, et surtout le sexe qui paraît beaucoup plus important qu’autrefois à Aline. D’autant qu’il est au point culminant de son érection. Elle le caresse à deux mains, faisant glisser la peau du prépuce, puis soupesant les bourses gonflées.

Ils s’allongent sans même défaire le lit. Et c’est une pénétration dans une liturgie amoureuse parfaite. L’énorme épée trouve un fourreau trop étroit mais qui s’adapte vite à sa dimension. Elle s’enfonce loin, venant buter sur le fond du ventre. Le choc au point le plus profond de son corps provoque chez l’amante un râle de plaisir. Ouvrant ses jambes au maximum, elle enserre les reins du male. Elle veut le garder sans bouger. Il obéit tacitement et attend sa décision. C’est elle qui se met en mouvement, d’abord en contractant et relâchant les parois de son vagin, puis en donnant le signal du balancement. Le rythme est d’abord calme, lent. Ils se murmurent à l’oreille des mots sans suite, « plaisir, amour, jouir, oui, encore… ». Excités par ce vocabulaire, ils accélèrent la cadence et bientôt, à grands coups puissants, il plonge et ressort de ce ventre qu’il avait délaissé.


Le plaisir monte de plus en plus fort ; ils le freinent, voulant prolonger ce moment merveilleux, mais le corps n’obéit plus à la raison, ils se lancent dans un galop effréné et c’est l’explosion simultanée des deux amants.

Le coup de tonnerre passé, ils restes unis, leurs bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment qu’il ne croyait plus jamais connaître.

Mais leur esprit vient leur rappeler les réalités, Clémence va rentrer, et il ne faut pas qu’elle devine la nature exacte de leurs relations.

Jacques quitte Aline, lui laissant son numéro de portable, ils ne se fixent pas de rendez-vous, mais savent qu’ils trouveront l’occasion de renouveler ce moment merveilleux.


Sortant de l’hôpital, Jacques consulte son téléphone et voit qu’il a un appel sur sa messagerie. C’est Clémence.



Jacques est intrigué, il se doute qu’il s’agit d’une chose dont elle craint le refus de la part de sa mère, ou à laquelle cette dernière s’est déjà opposée.

Le samedi, embarrassé d’un bouquet de fleurs et du dernier CD de techno, il sonne chez ses amies. Clémence devait l’attendre derrière la porte, car elle ouvre immédiatement et lui murmure :



Les deux femmes l’embrassent, et le font entrer dans la salle de séjour où l’attend une table parée. Elles ont dû s’y mettre toutes deux, chacune pour une raison bien différente.

Le tutoiement étant adopté, la discussion est plus libre. Mais, Clémence rapidement interpelle Jacques :



Jacques écoute cette confrontation comprenant le sens de la requête de Clémence : elle va lui demander d’être l’arbitre et de juger en sa faveur. Il est bien embarrassé, il ne veut pas décevoir la fille, mais surtout pas fâcher la mère.



Aline est enchanté d’avoir le soutien de son amant.



Depuis le début, Jacques a bien compris où elle veut en venir. Ainsi sa mère ne pourra pas lui opposer de refus. Lui qui espérait une soirée coquine.



Aline comprend que la soirée rêvée est ratée. Dans ces conditions, autant autoriser la sortie sous protection. Elle regarde son amant, il hausse les sourcils indiquant qu’ils ne peuvent faire autrement, qu’il accepte.



La remarque fait sourire les deux partenaires, si Clémence savait !



En arrivant en voiture, il voit Clémence à la fenêtre qui fait le guet, elle doit bouillir d’impatience.

Dès la porte ouverte, elle luis saute au cou. Aline lui demande de ne pas la ramener trop tard, et surtout qu’il la surveille bien.

Dans la voiture, elle exulte :



À l’arrivée, tous les copains sont là. Comme convenu elle présente Jacques comme son cousin. Les copines le regardent avec envie. Le groupe grossit de minute en minute puis arrive Joëlle et sa mère. La fille n’est pas mal, mais lui préfère la mère. Elle doit être de l’âge d’Aline, et comme elle, elle le porte bien.

Entrée en boite, musique techno. Pour lui c’est une peu trop bruyant, mais que faire. Les heures passent, de temps en temps, de la musique rétro. Au premier slow, Clémence vient l’inviter. Il sourit et gagne la piste. Elle danse bien et même se serre un peut trop à son goût, bah, c’est la danse qui veut ça. Il lui en fait tout de même la remarque :



À la seconde danse rétro, il voit la mère de Joëlle se lever et se diriger vers lui. Avant qu’elle n’arrive, il va au-devant d’elle et l’invite.



Se voulant galant, il réplique :



Et ainsi, durant toute la danse c’est un échange un peu équivoque et chacun pense la même chose, je passerai bien un petit moment coquin.

La techno reprenant, Jacques s’approche de Clémence et lui dit qu’il va prendre l’air car il s’ennuie ferme. Une personne a remarqué sa sortie.

Il va sur le parking, la boite étant situé en dessus de la ville, on a un spectacle magnifique.



Jacques a reconnu la voix, celle de sa cavalière. Elle est appuyée contre la rambarde et contemple elle aussi la ville. Il vient derrière elle, s’appuie contre elle, son bassin contre ses fesses et lui dit :



Sa cavalière comprend vite de quoi il parle, elle est en phase avec lui, elle est sortie pour ça.



Ayant son accord, il se serre contre elle, ses mains empoignent les seins. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Il glisse les mains sous le tee-shirt, caresse les bourgeons déjà dressés. Il les pince, mord doucement le cou. Elle agite le bassin, glisse la main derrière elle et se saisit de la hampe à travers le pantalon. Elle est agréablement surprise par la fermeté et surtout la dimension de l’engin. D’une main experte, elle extrait l’objet et le branle doucement. Lui, lâche ce qu’il tenait et relève la jupe. Surprise, elle n’a rien dessous.



Il fléchit légèrement les genoux. Elle saisit le sexe, le place elle-même dans son vagin et recule pour bien l’enfoncer. Elle miaule doucement comme un chat que l’on caresse. Il reprend ses tétons, les serre, pince les bouts, mord le cou, donne de grands coups de bassin, la faisant buter contre la barrière. Elle apprécie cette brutalité et gémit « plus fort, plus fort ». En homme bien élevé, il obéit, puis décidant de voir si elle est prête à accepter sa loi, il sort du vagin et pointe vers la rosette. Elle s’immobilise, attend, lui dit « oui, vas-y, encule-moi, c’est ce que je préfère ». Alors là il se laisse aller, la traitant comme une esclave, la brutalisant avec ses mains avec sa queue et elle en réclame encore.

Se sentant prêt à jouir, il sort de l’antre infernale, retourne sa partenaire, appuie sur ses épaules pour la mettre à genoux. Elle a compris son désir, qui est aussi le sien. Elle embouche le sexe, le branle avec sa main et sa bouche, sa langue le taquinant. Il ne peut résister longtemps et éclate au fond de sa gorge. Elle s’immobilise afin de pouvoir tout avaler. Quant il a fini, il ressort son sexe, s’essuie avec son mouchoir et se retourne sans un mot. Bien que soulagé, il est écœuré par un tel comportement.

Elle reste accroupie et pendant qu’il s’éloigne lui lance « merci ».

Après être passé par les toilettes, il rentre, mal à l’aise. Pourvu que Clémence… Non elle danse sagement. Quand la musique s’arrête, elle s’approche et lui dit :



Dans la voiture il reste silencieux, pensant à l’épisode sexuel. Clémence est lasse, elle lui murmure :



Jacques est soulagé, elle ne s’est aperçue de rien, il aurait été malheureux si Aline avait appris qu’il ait eu une aventure pour compenser son absence.

Leur arrivée surprend la mère encore devant la télé.



Jacques prétextant l’heure tardive se retire rapidement. Aline aurait aimé le garder avec elle, mais la présence de Clémence l’interdit.


Les jours passent très rapidement, le malade est sorti des soins intensifs, il va rentrer à la maison. Jacques s’ennuie dans cette ville sans attraits puisqu’il ne peut rencontrer Aline. Il lui téléphone pour annoncer son prochain départ.



Cette nouvelle le remplit de joie, il aurait regretté de repartir sans revoir sa maîtresse.

Ce jour là Clémence a cours jusqu’à dix huit heures. Sa mère lui a annoncé qu’elle avait invité Jacques pour le soir et qu’elle prenait son après-midi pour préparer le repas. La jeune fille est heureuse de revoir son ami et promet à sa mère qu’elle rentrera de suite.

Le jeudi, a deux heures, Jacques arrive. Il trouve Aline occupée à préparer le repas comme elle l’a dit à sa fille. Dans la cuisine, la table est garnie d’ustensiles, d’ingrédients, et la cuisinière est en tenue de travail. Il la prend dans ses bras et l’embrasse tendrement. Elle se dégage et lui dit :



Sans lui laisser le temps de réagir, il écarte les matériaux encombrant la table, bascule Aline dessus, ouvre la robe et commence à goûter le sexe à travers la culotte. Elle proteste, mais il lui dit :



Et sur ces paroles, il quitte la culotte, finit d’ouvrir la robe et abaisse le soutien-gorge. Comme promis il goûte à tous les mets, les fraises brunes surmontant les melons bien murs ; il les apprécie longuement.

Aline a renoncé à résister. Elle est ravie de voir l’enthousiasme de son amant. Elle reste passive, attendant ses initiatives. Des seins il descend à la fourche et là aussi apprécie le mets. Longuement de la langue et des doigts il tâte. Aline a posé ses jambes sur ses épaules. Elle sent monter le plaisir, dans ce décor inhabituel. Prenant un cornichon sur la table, il le trempe dans la sauce qu’il a fait monter, le tourne bien dans le vagin, l’enfonce, le ressort en croque un bout et déclare :



Et il lui met le condiment dans la bouche.



Et il enfonce son sexe au plus profond d’Aline. Elle sourit, est en plein bonheur. Elle se laisse prendre à ce nouveau jeu érotique. Il lui fait l’amour lentement s’arrêtant pour pouvoir l’embrasser, honorer ses seins, reprenant un rythme lent. Cela dure longtemps. Sentant se contracter le vagin, signe de l’approche du plaisir il se décide enfin à accélérer et elle a un orgasme en poussant de petits cris. Il s’allonge contre elle, restant en elle, il n’a pas joui. Elle le repousse et lui dit :



Elle le fait asseoir sur une chaise. Elle prend un peu de sauce tomate, enduit le sexe et lèche.



Et elle passe successivement tous les ingrédients liquides autour du pilon dressé, léchant mordillant, aspirant, s’arrêtant chaque fois qu’elle le sent prêt à exploser. Puis elle déclare :



Elle lui tourne le dos, l’enjambe et place le sexe dans son con bien juteux. Et c’est elle qui lui fait l’amour, l’amenant jusqu’à la limite et s’arrêtant assise sur ses cuisses. Puis se dégageant elle dit :



Elle se rabaisse, pointant le poignard au cœur de sa rosette. Lentement, très lentement, elle s’assied, faisant une grimace qu’il ne voit pas. Ses fesses reposent enfin sur les cuisses de son amant. Il avait été le dernier à pénétrer en ce lieu interdit, elle lui en conservait l’exclusivité. Elle essaie de contracter ses sphincters. Ce mouvement est de trop pour Jacques qui explose dans les entrailles de sa maîtresse.

Il la serre dans ses bras tendrement, sans se dégager. Il lui embrasse le cou, elle se retourne, toujours chevillée et leurs bouches se rencontrent. La queue perd sa splendeur et se dégage du piège. Ils se redressent, vont se doucher, occasion de se caresser tendrement. Il la sèche dans le peignoir, frictionnant doucement sa poitrine, ses fesses, épongeant sa fourche. Avec une serviette elle essuie ce sexe bien-aimé.

Ils vont s’allonger un moment.


Clémence les trouve tous deux dans la cuisine en train de mettre la dernière main au repas.



Aline pouffe de rire au rappel de leurs ébats. Elle pense à la chance qu’elle a eu de le rencontrer. Il va repartir, mais elle sait qu’ils garderont tous deux en plus des souvenirs, une complicité merveilleuse que jamais personne ne pourra comprendre.

Le repas, fortement assaisonné, a été un succès. Clémence est triste en pensant qu’il va les quitter, elle a un tendre sentiment, un peu trouble, à son égard. Jacques lui explique que, comme lui, quand elle aura terminé ses études, elle aura beaucoup de liberté et pourra venir le voir.

Il est parti le lendemain, heureux de voir son père en voie de guérison, mais un peu triste à l’idée de s’éloigner de ces deux femmes qu’il aime tant.