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n° 05101Fiche technique44226 caractères44226
Temps de lecture estimé : 24 mn
01/11/02
Résumé:  Son jeune amant lui fait decouvrir la vraie jouissance...
Critères:  fh fplusag jeunes couple extracon voiture voir hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Salvatore  (Salvatore.... (et non pas Laurence !))      
Claire, le chantier...



Dix heures sonnèrent au clocher de la paroisse, appelant les croyants à la messe. Claire après un dernier baiser à ses parents auxquels elle était venue rendre visite, comme elle le faisait chaque dimanche, afin de prendre des nouvelles de leur santé et de leur amener quelques courses, s’installa au volant de sa « Clio ». Là, avant de démarrer, elle prit le temps de bloquer les portières de l’intérieur ; habitude qu’elle avait décidée d’adopter après avoir vu un reportage à la télévision, où de jeunes voyous n’hésitaient pas à ouvrir les portières des automobiles afin de dérober par la force les sacs à main des automobilistes féminines. Après un dernier signe de la main en direction de ses parents, elle s’élança sur la route pour rejoindre sa demeure distante de dix kilomètres, où l’attendaient en préparant la cuisine, Jacques son mari, Isabelle et René son jeune fils. Mais comme elle passait devant le stade de foot, son attention fut attirée par une silhouette qui, son sac de sport posé à ses pieds, téléphonait à l’aide d’un portable. Son cour s’emballa soudain tandis que sa respiration se bloquait. En ce jeune homme vêtu d’un short de sport et d’un maillot aux couleurs de l’équipe régionale elle avait reconnu Guillaume.


***


Stoppant la voiture au niveau de l’adolescent, elle fit descendre la vitre, côté passager.



Reconnaissant en la conductrice de la « Clio » la femme qui l’avait initié aux jeux amoureux un mois auparavant, Guillaume sentit à son tour son cour battre la chamade et sans hésiter, tout heureux de cette rencontre lança son sac de sport sur les sièges arrières et s’installa à côté de Claire, qui redémarra les mains tremblantes d’émoi.



Tout en conduisant lentement, Claire songeait que si elle voulait profiter de la chance qu’elle avait eue en rencontrant le jeune homme, qui depuis un mois avait éveillé en elle des désirs sexuels de plus en plus incontrôlables, il fallait qu’elle fasse le premier geste, le garçon ne l’osant certainement pas.



S’apercevant de la direction du regard de le jeune homme, Claire ressentit une soudaine chaleur se propager dans le bas de son ventre et à l’intérieur de son sexe. Instinctivement elle resserra ses jambes, pressant ses cuisses l’une contre l’autre pour tenter d’atténuer le désir qui humectait sa chatte soudain éveillée. Voyant que les kilomètres défilaient et qu’ils allaient bientôt arriver à destination, sans que le jeune homme n’ait osé tenter le moindre geste dans sa direction, elle décida de prendre l’initiative ainsi qu’elle l’avait fait un mois auparavant.


Otant sa main droite du volant, elle la posa sur la cuisse nue de le jeune homme, en éprouvant un troublant malaise à sentir cette chair ferme, musclée et duveteuse frémir sous ses doigts. Le désir qui déjà lui crispait le bas-ventre et lui humectait la vulve s’accentua encore, créant dans son corps de longs frissons voluptueux. Sous ce soudain attouchement, Guillaume tressaillit de surprise et de plaisir, et tout son être se tendit dans une avide attente. Comme la main féminine si douce lui frôlait la cuisse d’une manière affolante, en remontant insensiblement en direction de son entrejambe, il sentit son jeune membre viril se gonfler inexorablement dans son slip étroit en doublant de volume. Enthousiasmé par cette affolante caresse il s’empressa d’écarter ses jambes, espérant que sa compagne allait venir le caresser plus intimement, allait venir lui enserrer la verge qu’elle avait tirée de sa torpeur, pour la branler sensuellement. Percevant sous ses doigts les longs frémissements qui agitaient la cuisse du garçon, Claire en éprouva un intense plaisir, et tandis qu’une nouvelle onde sensuelle la submergeait, elle laissa ses doigts errer au hasard sur cette chair douce et ferme à la fois, frissonnante de désir. Tout en fixant la route devant elle, elle ne put s’empêcher de revoir en songe le corps nu de le jeune homme, de son torse lisse, de son ventre dur, de sa verge longue et mince qui l’avait si bien comblée. Une envie folle de sentir sous ses doigts cette jeune virilité, qu’un mois auparavant elle avait découverte pour sa plus grande satisfaction, elle laissa sa main remonter en direction de l’entrecuisse du garçon, glisser sous la jambe du short et frôler, à travers le tissu du slip, une raideur qui lui mit immédiatement le feu au ventre. Au fond de son vagin, un véritable brasier avait pris naissance, tandis qu’entre ses cuisses sa longue fente sexuelle s’écartait en s’humidifiant abondamment, trempant l’entrejambe de sa légère culotte.



Cependant, comme ils arrivaient à un rond point, Claire retira à regret sa main de l’entrejambe de Guillaume pour reprendre le volant. Mais comme elle négociait le virage à gauche elle sentit les doigts du garçon se poser sur son genou découvert, puis comme un jeune animal craintif remonter doucement le long de sa cuisse droite, s’infiltrer sous sa jupe et tenter d’atteindre son entrecuisse. Tremblant d’émoi, elle laissa le jeune homme continuer son affolante progression en direction de son intimité moite. Guillaume, la gorge nouée par ce qu’il avait osé entreprendre, éprouvait un sensuel plaisir, à sentir la chair veloutée de la cuisse féminine frémir doucement sous ses doigts. Fixant avec avidité les genoux dénudés par la courte jupe largement retroussée, il tenta d’infiltrer ses doigts fureteurs dans la fourche des cuisses de la femme, percevant avec émotion la douce tiédeur qui s’en dégageait.


Perdant complètement conscience de la réalité sous les attouchements de plus en plus précis du jeune mâle, Claire, dont la vulve transpirait abondamment, songea qu’il fallait à tout prix qu’elle trouve un endroit suffisamment désert pour s’arrêter et profiter de l’incroyable chance qu’elle avait eue en rencontrant le jeune homme. Comme les premières maisons du lotissement ou ils habitaient tous les deux apparaissaient au loin, elle sentit une angoisse la serrer à l’idée qu’elle allait être obligée de laisser partir Guillaume, sans qu’ils aient eut un instant de solitude pour se caresser l’un l’autre et se procurer mutuellement du plaisir. Soudain, alors que les doigts du garçon devenaient de plus en plus conquérant dans son entrecuisse en tentant de s’infiltrer dans sa culotte, elle se rappela, complètement affolée, qu’un groupe d’immeubles se trouvait en construction pas très loin d’où ils étaient. Songeant que le dimanche, les ouvriers ne travaillaient pas et qu’à cette heure il y avait peu de chance que des curieux visite les lieux, elle engagea la « Clio » dans la direction du chantier désert.



Louvoyant entre les constructions en cours, Claire rechercha un endroit suffisamment désert et éloigné de la route, afin que l’on ne remarque pas la « Clio ». Lorsqu’elle coupa le contact, Guillaume avait enfin réussit à glisser ses doigts sous le nylon de son slip et malgré ses cuisses resserrées du fait de sa position de conductrice, tentait maladroitement de les enfoncer entre les grandes lèvres de sa longue faille sexuelle béante. Le bas-ventre crispé par le puissant désir qui lui ravageait maintenant les entrailles, elle contrôla une dernière fois que les portières de la voiture étaient bien bloquées, et rassurée sur une improbable intrusion, elle rabaissa vivement son dossier afin d’être à l’aise pour subir les caresses malhabiles de son jeune compagnon. Décollant les fesses de son siège, elle retroussa sa jupe jusqu’à la taille pour pouvoir écarter au maximum ses jambes et s’offrir ainsi complètement aux attouchements de plus en plus insistants du garçon.


Ayant enfin sa compagne à sa disposition, dans le silence du chantier déserté, Guillaume s’empressa de repousser l’entrejambe de la minuscule culotte de nylon, pour s’activer entre les grandes lèvres sexuelles qu’il venait de mettre à jour. Maladroitement, mais avec émotion, il chercha l’entrée du sanctuaire sacré, que la femme lui avait fait découvrir un mois auparavant et qui depuis peuplait ses rêves érotiques et embrasait sa virilité. Sans avoir à tâtonner bien longtemps, tant la femme était mouillée, son majeur glissa le long de la fente sexuelle ruisselante de sécrétions amoureuses, et s’enfonça entièrement dans ce repaire moite et velouté. Une chaude liqueur lui poissa aussitôt la main. Les yeux fixés sur l’abondante pilosité rousse qui moutonnait sur le bas-ventre de sa compagne et se perdait dans la fourche de ses cuisses grandes ouvertes, Guillaume explora avec trouble et curiosité la vulve profonde et moelleuse, agitant en tous sens, dans une onctuosité aqueuse son doigt raidi ; le laissant longuement glisser le long des parois juteuses de l’affolante galerie sexuelle, dans laquelle il avait connu pour la première fois un orgasme gigantesque. Dans son slip, sa verge terriblement tendue déformait outrageusement le devant de son short. Confortablement calée dans son siège, Claire, les yeux clos se laissa emporter par l’extraordinaire plaisir qui sous les caresses de le jeune homme envahissait peu à peu son corps, depuis les reins jusqu’à son bas-ventre. Sous son corsage, emprisonnés dans leurs prisons de dentelle, ses seins s’étaient douloureusement gonflés, tandis que ses mamelons enflés par le désir réclamaient leur part de caresses, qui les auraient quelque peu calmé. Sous ce doigt qui la fouillait intimement, elle sentait sa chatte se liquéfier littéralement.



Alors qu’il quittait la cabane de chantier, qui lui servait de logement pour la durée des travaux, afin de se rendre au restaurent routier distant de quelques mètres, Pedro aperçut avec surprise une « Clio » garée dans un coin discret du chantier. Curieux, songeant qu’il s’agissait peut-être d’une voiture volée, il s’en approcha doucement. Mais à peine en fut-il à quelques mètres, qu’il comprit que celle-ci en fait était occupée par un couple et que ce dernier était simplement occupé à se procurer du plaisir loin des regards indiscrets. Poussé par une curiosité perverse il fit encore quelques pas. La première chose qu’il découvrit à travers le pare-brise, fut le visage d’une femme, les yeux clos, la bouche entrouverte, la tête reposant sur le dossier rabattu et le haut d’un crâne, appartenant sans aucun doute à un jeune homme. Alors qu’il aurait dû se retirer discrètement, Pedro, saisit d’une curiosité vicieuse, se pencha afin de ne pas se faire remarquer et s’approcha doucement de la voiture, côté conducteur.


Ce qui vit alors, l’immobilisa le souffle soudain accéléré. À l’intérieur, la femme, a qui il donna une quarantaine d’années, d’après ce qu’il pouvait en juger, était allongée sur son siège au dossier légèrement rabattu. Sa jupe largement retroussée jusqu’à la taille, dénudait son ventre quelque peu arrondi recouvert par une fine culotte noire pratiquement translucide. Penché sur ce bas-ventre que la femme lui offrait, un jeune homme, nettement moins âgé que sa partenaire, avait largement repoussé sur le côté l’entrejambe du slip de dentelle, afin de découvrir le sexe de sa compagne. D’où il était, Pedro put voir au centre d’une épaisse touffe de poils tirant sur le roux, les doigts du garçon s’agiter follement dans la chatte rose de la femme. Jetant de nouveau un coup d’œil en direction du visage de celle-ci, le maçon portugais fut saisit par l’expression voluptueuse qui le déformait. Sentant le plaisir s’emparer insensiblement de son bas-ventre, Claire, les yeux toujours refermés, porta machinalement ses mains à sa poitrine douloureuse et comme prise d’une frénésie érotique, elle entreprit de faire sauter un à un les boutons de son chemisier qu’elle repoussa de chaque côté de son torse. Puis, gémissant doucement sous le plaisir que son jeune compagnon lui prodiguait si généreusement, elle repoussa les balconnets de dentelle de son soutien-gorge, libérant ses seins outrageusement gonflés par le désir qu’elle empoigna fébrilement, pour les presser avec une fièvre grandissante en encourageant son jeune partenaire :



De son poste d’observation, Pedro, que les occupants du véhicule n’avaient toujours pas découvert, put contempler avec envie les magnifiques mamelles de la femme, sans être trop grosses ces dernières avaient la sensuelle pesanteur commune aux appâts de femmes mures ; d’une blancheur de lait, parsemées de quelques taches de son, elles possédaient des larges aréoles roses au centre desquelles se dressait un téton d’une étonnante longueur qui attisa la curiosité du maçon. À contempler pareil spectacle luxurieux, Pedro ne tarda pas à sentir le désir l’envahir peu à peu. Dans son slip sa virilité se gonfla en se redressant lentement. Alors sans réfléchir à ce que son geste avait d’impudique, il fit prestement glisser le zip de sa braguette et se contorsionnant, il en sortit difficilement son membre raidi et terriblement gonflé. Tout en suivant d’un oeil allumé le spectacle excitant qui se passait sur les sièges avant de la « Clio », il entreprit de se masturber d’un poignet souple. Cependant, dans la voiture, Guillaume, inconscient du spectacle qu’il offrait, continuait ses fouilles sexuelles à l’intérieur de la vulve débordante de suc de sa compagne. Le visage penché sur le bas-ventre frémissant de sa sensuelle partenaire, fixant l’abondante toison couleur feue, il continua de fouiller avec ivresse les profondeurs brûlantes du sexe palpitant de sa compagne alanguie. La chatte ruisselante, les tétons douloureusement durcis, les reins arqués, Claire se laissa lentement emporter par le plaisir qui lui envahissait inexorablement les entrailles et la faisait se cambrer voluptueusement sur son siège. Mais comme l’orgasme la saisissait impitoyablement, dans un geste passionné elle s’empara de la tête de le jeune homme et l’attira contre sa poitrine dénudée, la plaquant fiévreusement contre ses seins gonflés qu’elle écrasa pendant tout le temps que dura sa jouissance. Le visage collé contre les douces rotondités mammaires, le poignet bloqué dans l’étau des cuisses furieusement resserrées, Guillaume écouta, triomphant et fier de lui, les plaintes amoureuses que son amante émettait sourdement, tandis qu’un liquide brûlant lui engluait la paume… Lentement, Claire émergea de son nuage de félicité, reprenant doucement conscience. Haletante, elle rendit alors sa liberté à son jeune amant qui venait de la faire jouir avec autant de force. Desserrant l’étau de ses cuisses, elle relâcha ainsi le poignet du garçon, qui mollement retira ses doigts gluants de la vulve trempée :



Mais alors qu’elle tentait de se redresser, elle sursauta violemment en découvrant à quelques centimètres de la vitre de sa portière, le visage d’un homme qui la fixait, le regard fou. Complètement affolée par ce spectateur surgit de nulle part, Claire songea à remettre en marche le moteur de la « Clio » pour s’éloigner au plus vite de ce traquenard. Se sentant découvert Pedro, se recula précipitamment, apeuré, dévoilant ainsi à la conductrice son sexe outrageusement dressé hors de son pantalon. Comprenant qu’ils avaient à faire à un voyeur, Claire sentit une étrange sensation s’emparer d’elle ; le fait de savoir que son orgasme avait eu un autre spectateur que Guillaume, provoqua en elle un certain contentement pervers. À ses cotés, le jeune homme aussi avait aperçu l’homme au membre viril dressé, et un malaise l’avait immobilisé sur son siège.



Ce dernier, comprenant que les occupants de la « Clio » ne désiraient pas le pourchasser, ayant autre chose à faire, s’était rapproché du véhicule pour surveiller ce qui allait se passer à l’intérieur, en se masturbant d’une main plus sure devant l’indifférence des occupants de la voiture à son égard. Devinant le regard du voyeur sur elle, Claire sentit une bouffée de chaleur l’envahir et de nouveau un certain désir prit naissance au fond de son ventre, ce qui la laissa stupéfaite ; elle qui d’habitude était si réservée, si pudique même lors de ses débordements sexuels, éprouvait en ce moment un incontestable plaisir à être épiée par un inconnu, dans une situation ou habituellement elle préférait agir en la seule compagnie de son compagnon du moment : que ce soit présentement avec son jeune amant, ou habituellement avec son mari. S’obligeant alors à ignorer le regard concupiscent avec lequel l’inconnu la contemplait, et surtout ce à quoi il était occupé, elle se tourna vers Guillaume. Le jeune homme semblait figé sur son siège. Alors pour le rassurer, elle posa sa main droite sur son bas-ventre. Si ses doigts trouvèrent aisément la protubérance que faisait le membre viril du garçon, celle-ci s’était nettement ramollie à la découverte du spectateur inopiné.


Comprenant le désarroi de le jeune homme, elle entreprit alors de ranimer son désir défaillant en le caressant doucement par-dessus le tissu du short, pressant tendrement la jeune verge momentanément engourdie. Mais se sachant pressée par le temps, Claire, dont les seins hors des balconnets de son soutien-gorge ballottaient doucement, s’empressa de baisser le short du garçon, afin de mettre à jour l’objet de ses envies. Fixant avec peine le membre ramolli, elle referma ses doigts autour pour le branler lentement, en un va-et-vient doux et sensuel, décalottant généreusement le gland rose. Tout en tentant de raviver les ardeurs amoureuses de le jeune homme, elle redressa la tête pour fixer le voyeur qui de dehors suivait tous ses gestes en se masturbant furieusement. Prise d’une soudaine envie perverse, elle se recula légèrement sur son siège, afin que l’homme à l’extérieur puisse, et contempler ses seins nus qui se balançaient mollement suivant ses mouvements, et les déplacements de sa main le long de la jeune verge au gland épanoui. Eprouvant un intense plaisir à ce donner ainsi en spectacle à un inconnu, elle s’activa le long du membre de le jeune homme, pressée de lui redonner force et rigidité. Sous le voluptueux massage des doigts féminins le long de sa virilité, Guillaume oublia la présence de l’homme qui les épiait, pour se concentrer sur son plaisir naissant. Peu à peu sa verge se gonfla en redevenant aussi raide qu’un mât de cocagne. Ne voulant pas voir ce qui se passait à l’extérieur, il porta son regard sur les lourdes mamelles laiteuses de sa compagne, qui oscillaient sensuellement au rythme de la sensuelle masturbation dont il était l’objet. Sentant la jeune verge s’allonger dans sa main en se durcissant, Claire se pencha alors sur le bas-ventre de le jeune homme et sans quitter des yeux l’homme qui penché en avant, le regard halluciné la fixait avec intensité, elle absorba le gland prodigieusement gonflé entre ses lèvres, l’aspirant fortement, l’avalant au plus profond de sa gorge accueillante. Guillaume poussa un faible gémissement de béatitude sous cette voluptueuse absorption en tendant frénétiquement son ventre en avant, à la rencontre de cette bouche chaude et savoureuse.


Alors, lentement, avec douceur, Claire commença à faire coulisser ses lèvres refermées le long de la tige de chair, la suçant avec un plaisir décuplé encore, par le fait que sa fellation avait un spectateur assidu. Désirant offrir un maximum de plaisir au jeune garçon, elle cessa son sucement, ne gardant que le gland dilaté en bouche, qu’elle lécha du bout de la langue, excitant un peu plus l’épiderme sensuellement irrité du bourgeon de chair. Tout en exacerbant le champignon turgescent et sans cesser de fixer le voyeur qui n’en perdait pas une miette, elle infiltra sa main gauche dans le short de le jeune homme à la recherche des couilles qu’elle trouva considérablement gonflées, douces et lisses malgré les quelques poils qui les recouvraient. Doucement elle les saisit entre ses doigts pour les presser délicatement, recherchant les noyaux durcis blottis dans leurs gaines de chair plissées, qu’elle pinça subtilement, faisant se cambrer Guillaume de plus belle, ce qui eut pour effet de lui enfoncer le gland qu’elle léchait, au plus profond de la gorge. Cependant, à l’extérieur, l’homme sentant le plaisir lui gonfler la queue, s’était redressé et activant sa folle masturbation, il agita furieusement sa main le long de son membre, en prenant soin de présenter son gland mafflu devant la vitre de la portière par laquelle la femme le regardait. Tout en continuant de pomper vaillamment la longue verge dressée de son jeune compagnon, Claire ne pouvait détacher son regard de l’affolant spectacle qui se passait à l’extérieur de la « Clio », fixant avec attention l’énorme bourgeon de chair violacé, qui à quelques centimètres de la vitre semblait la narguer. Soudain, elle vit jaillir un premier jet blanchâtre qui vint s’écraser contre la vitre de la portière avant de s’écouler lentement, puis un second aussi copieux que le premier, et un autre et encore d’autres, moins importants. Une véritable salve d’artillerie qui mitrailla la portière. Extrêmement bouleversée par tout ce sperme qui maculait la vitre devant elle, Claire, la chatte de nouveau trempée accéléra sa succion, avalant frénétiquement la queue palpitante de le jeune homme dans sa bouche dégoulinante de bave. Ce fut bref et rapide. Sans que rien ne le laisse présager, avant que Guillaume ne puisse la prévenir, la verge qu’elle gardait au chaud dans sa bouche explosa soudainement, lui emplissant si copieusement la gorge qu’elle s’empressa d’avaler la totalité de la semence au goût salé, pour ne pas s’étrangler. Longtemps elle pompa son jeune compagnon afin de lui vider complètement les couilles, ne relâchant le membre que lorsqu’elle sentit ce dernier se ramollir dans sa bouche. Alors, les lèvres luisantes sur lesquelles quelques gouttes de sperme restaient accrochées, elle se redressa pour jeter un coup oeil à l’extérieur de la voiture. Tout était désert, leur voyeur, ayant copieusement éjaculé avait disparu.



La montre du tableau de bord indiquait midi moins dix. Les deux amants remirent vivement de l’ordre dans leurs vêtements et Claire s’installa au volant pour quitter rapidement le chantier maintenant désert. À quelques mètres des habitations, elle laissa descendre Guillaume sur un dernier baiser, et pendant que le jeune homme s’éloignait, elle descendit de voiture un chiffon à la main afin d’essuyer les traces blanchâtres qui souillaient la vitre de la portière de côté passager, non sans éprouver un certain malaise érotique à contempler tout ce sperme inutilement répandu.




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Arrivée chez elle, Claire eut droit à un concert de protestations :



Afin de mettre fin à ces agressions verbales, elle dut rapidement inventer une excuse valable pour son retard ; elle leur expliqua alors qu’il y avait eu un accident sur la route et celui-ci avait occasionné un bouchon. Puis la faim étant la plus forte, tout le monde prit place autour de la table de la salle à manger, où tout en s’alimentant, chacun y alla de son anecdote sur les dangers de la circulation. Très vite Claire se désintéressa des propos échangés autour d’elle, pour se remémorer les enivrants moments qu’elle avait vécus dans ce chantier désert. Mais si les échanges amoureux partagés avec son jeune amant dans l’intimité de la « Clio » lui remontèrent tendrement en mémoire, ils furent vite chassés par la vision de cet homme qui les avait espionnés pendant tout le temps qu’avait duré leurs ébats. L’image de ce gland crachant sa semence contre la vitre de la voiture la bouleversait à tel point, que les moments, pourtant affolants passés avec Guillaume s’estompèrent au profit du souvenir de cet inconnu se masturbant furieusement en la contemplant. Sous ces images qui défilaient dans son esprit, un étrange désir se propagea au plus intime de sa féminité, la faisant mouiller doucement sur sa chaise.



Le repas dominical terminé, Jacques, laissant les membres de sa famille s’occuper à la cuisine, alla s’installer dans un fauteuil face au poste de télévision, afin de suivre les informations. La vaisselle lavée et rangée, Isabelle entraînant son jeune frère, s’empressa de s’installer avec un plaisir évident derrière le volant de la « Clio », sous le regard de Claire qui leur fit un signe de la main. Une fois la voiture disparue, Claire regagna le salon ou Jacques, confortablement installé regardait une émission de variété. Connaissant les habitudes de son mari, elle se dirigea vers le bar roulant afin de lui servir un verre de Cognac. Suivant d’un oeil distrait ce qui se passait sur le petit écran, Jacques suivit les déplacements de sa femme, et lorsque celle-ci se pencha en avant pour aller récupérer la bouteille d’alcool dans le meuble bas, il ne put s’empêcher de poser un regard gourmand sur la croupe ronde, qui du fait de la position de sa propriétaire, se tendit dans sa direction, plaquant le tissu de la courte jupe sur les fesses fermes et aux volumes affolants. Sous le léger vêtement épousant le contour du postérieur évasé, Jacques put discerner avec émoi le contour en relief de la culotte qui enserrait le derrière rebondi. Sous cette vision terriblement érotique, il ressentit un incontestable désir lui envahir le bas-ventre et donner vie à son membre viril. Aussi lorsque Claire s’approcha de son fauteuil pour lui tendre le verre ballon à demi rempli de Cognac, il en profita pour lancer sa main gauche en direction de ses jambes largement découvertes par la courte jupe. Comme elle se penchait pour offrir le verre d’alcool à son époux, Claire sentit une main curieuse se poser derrière son genou, puis remonter lentement le long de sa jambe, atteindre sa cuisse frémissante dans une approche terriblement sensuelle. Surprise par cet attouchement, auquel elle ne s’attendait pas, elle s’immobilisa la respiration soudain accélérée, attendant la suite de la progression.



Avec émoi, Jacques sentit sous ses doigts la peau douce, moelleuse et si soyeuse de l’intérieur des cuisses de sa sensuelle épouse. Laissant sa main remonter encore entre les deux colonnes de chair chaudes et frémissantes il ne tarda pas à venir buter sur le fin rempart de nylon de la culotte, étonné de constater que ce dernier était déjà bien humidifié. Sous cet attouchement affolant, qui accentua encore le trouble qui l’habitait depuis sa rencontre avec le voyeur du chantier, Claire écarta largement les jambes afin de permettre à la main masculine d’ouvrer à son aise dans son entrecuisse. Avec émotion elle sentit les doigts de son époux, écarter l’entrejambe de son slip, fourrager dans sa toison intime, pour bientôt atteindre sa longue faille sexuelle qui permettait l’entrée de son sanctuaire secret. Avec un gémissement elle ploya des genoux lorsqu’un doigt s’enfonça lentement entre les lèvres humides de sa chatte qui n’avait cessé de ruisseler depuis le matin.



Pour toute réponse, Claire poussa un long gémissement car un deuxième doigt venait de s’enfoncer dans sa vulve trempée, s’accouplant au premier pour ramoner habilement son conduit sexuel gorgé de sucs vaginaux, tandis qu’un troisième venait lui écraser le clitoris. Vacillant sur ses jambes, elle préféra poser le verre ballon qu’elle tenait toujours dans sa main, sur un guéridon proche du fauteuil ou Jacques était installé. Puis les yeux fermés sur son plaisir elle s’abandonna complètement aux caresses terriblement voluptueuses que lui prodiguait son époux, ployant encore un peu plus les genoux, afin de mieux se prêter à cette pénétration digitale. Dans sa chatte poisseuse les deux doigts accolés coulissaient avec une lenteur qui exacerbait ses sens en fusion, la faisant littéralement ruisseler.



Jacques qui éprouvait lui-même un énorme plaisir à explorer la grotte intime de sa sensuelle épouse, continua à fouiller à son rythme la large galerie sexuelle chaude et sirupeuse, sans se soucier des doléances de sa compagne complètement affolée, qui l’incitait à accélérer ses va-et-vient. Longuement il visita ainsi la vulve ruisselante, frottant avec délectation les parois spongieuses. Une chaude liqueur, s’échappait d’entre les grandes lèvres sexuelles et venait lui engluer la main… Ployant de plus en plus sous le plaisir qui lui irradiait le bas-ventre, Claire gémissait doucement :



Mais l’incandescence qui se propageait dans ses entrailles, déclencha en elle un accès de fièvre lubrique. Ivre de désir elle lança ses mains en direction de la ceinture du pantalon de son époux, qu’elle entreprit de dégrafer fébrilement. La braguette ne résista pas longtemps à ses doigts énervés, pas plus que le slip qu’elle repoussa impérativement, impatiente de mettre à jour l’objet de ses envies. Libérée de son emprisonnement, la verge bandée se redressa au garde à vous, présentant à la femme bouleversée, son champignon violacé et gonflé au centre duquel le méat s’ouvrait comme une minuscule bouche appelant le baiser. Refermant ses doigts autour du pieu de chair raidi, Claire entreprit alors de le branler d’un manière vigoureuse.



Mais à sentir cette colonne de chair, ferme et dure, à la peau si veloutée contre sa paume, acheva de bouleverser Claire, qui sentant le plaisir l’envahir peu à peu, se recula précipitamment, échappant dans un gémissement douloureux, aux doigts qui la fouillaient intimement. Fixant d’un air goulu la verge dressée, elle retroussa vivement sa courte jupe, en se contorsionnant pour lui faire passer les rondeurs de ses hanches évasées, puis elle repoussa sa culotte à l’entrejambe complètement trempé le long de ses jambes.



Impatiente de sentir la puissante virilité la pénétrer intimement, elle se plaça face à son mari assis dans son fauteuil et pivota sur elle-même, présentant ainsi à son compagnon ses fesses rondes et fermes. Pliant les genoux elle tendit sa large croupe en arrière afin de venir s’asseoir sur le membre viril dressé. Habilement elle plaça ses longues lèvres sexuelles gorgées de désir au-dessus du gland congestionné, et lentement elle s’assit sur les cuisses de son compagnon, aux anges. La puissante verge s’enfonça alors entièrement dans le corridor onctueux menant à son vagin en combustion, le champignon turgide refoulant ses chairs intimes, lui procurant un indicible plaisir.



Voluptueusement fichée sur la volumineuse verge qui lui emplissait la vulve, Claire s’immobilisa un instant afin de s’habituer à cette charnelle intrusion au sein de son intimité. Jacques, le membre enfoui dans la fournaise humide de son épouse s’abandonna au bien être de se sentir enfoncé au plus profond du sexe de sa compagne. Mais désirant sentir le fourreau torride coulisser le long de sa queue tendue, il empoigna les fesses compacts de sa femme, qu’il força à se soulever pour aussitôt la laisser retomber de tout son poids, lui arrachant un râle de bonheur. Tirée de sa torpeur, Claire commença alors à s’agiter. Les mains reposants sur ses genoux, elle souleva son bassin faisant ainsi glisser sa chatte trempée de bas en haut, le long de la virilité gonflée, jusqu’au moment ou sentant le gland sur le point de s’échapper de sa fente, elle se laissait retomber sur les cuisses de son compagnon, sa chatte exécutant le trajet inverse le long de la verge qui la perforait. Poussant des petits gémissements de plaisir, elle s’empala ainsi une dizaine de fois, se procurant un plaisir de plus en plus insidieux, s’aidant en cela de la vision de cet homme, qui dans ce chantier désert s’était branlé pour elle, en la fixant, jusqu’à ce faire jouir à longs jets blanchâtres qui étaient venus souiller sa voiture. De sa vulve barattée par un solide pilon de chair, un flot tiède s’échappait, poissant le tissu du pantalon de Jacques. Immobile celui-ci laissait ouvrer sa sensuelle épouse, éprouvant un plaisir double. À celui, terriblement voluptueux procuré par le va-et-vient de la chatte liquéfiée le long de sa queue congestionnée, se joignait celui suscité par la vue de la croupe dodue s’agitant follement sur son dard. Ayant empoigné depuis le début de la danse érotique de sa compagne, les fesses fermes et potelées, il les avait largement écartées l’une de l’autre, afin de s’enivrer sexuellement du spectacle de l’anus brun et plissé qui s’entrouvrait convulsivement à chaque pénétration de sa verge dans le vagin bouillonnant.


Mais à se démener ainsi, à coulisser éperdument sur la queue raide et gonflée de son compagnon, Claire ne tarda pas à sentir l’orgasme l’envahir, la submerger, lui irradier les reins, le bas-ventre et les seins. Une explosion soudaine au plus intime de ses entrailles la tétanisa toute. Dans un long cri inhumain, elle jouit furieusement, longuement, en se renversant contre la poitrine de son époux qui l’encercla de ses bras. La main gauche posée sur le ventre haletant de son épouse, à l’intérieur duquel palpitait sa verge toujours aussi bandée, Jacques laissa sa compagne reprendre peu à peu ses esprits en caressant doucement la chair moite et frémissante :



Alors en épouse consommée, désireuse d’apporter à son compagnon, le plaisir qu’il était en droit d’attendre, elle se reprit sa position d’amazone initiale et entama une nouvelle chevauché érotique, attentionnée à amener son époux à la jouissance finale. De sa chatte liquéfiée par sa précédente jouissance, un clapotis s’élevait sous les va-et-vient du membre viril qui la pourfendait, excitant un peu plus ses sens et ceux de Jacques. Mais comme elle amorçait un mouvement de retrait de son bassin, la verge, engluée de ses sucs intimes, s’échappa de sa vulve devenue extrêmement glissante de par l’abondance de ses sécrétions vaginales.



Glissant vivement une main entre ses cuisses elle saisit la queue gluante de ses déjections amoureuses et la maintenant fermement elle se réinstalla correctement au-dessus. Mais, prise d’une tentation nouvelle, elle se plaça de façon à approcher l’orifice secret de ses reins face au gland dilaté. Puis sentant le bourgeon de chair gonflé contre sa frêle corolle anale, elle appuya fermement son anus resserré sur le nœud dur et volumineux. Grimaçant sous l’effort, elle poussa de toutes ses forces, forçant son petit trou à accepter l’introduction de ce pal de chair énorme.



Comprenant les intentions de son épouse, Jacques s’empressa de la saisir par les hanches et follement excité à l’idée d’enfoncer sa queue dans ce cul étroit, qui à chaque fois lui donnait un plaisir inouï, il l’attira vigoureusement à lui, lui arrachant un long râle ou se mêlaient douleur et plaisir. Sous la furieuse poussée exercée par son compagnon, Claire sentit son orifice anal s’ouvrir, s’écarter, se distendre sous la formidable contrainte du gland volumineux. Celui-ci s’enfonça alors lentement dans le conduit réduit de ses reins, lui procurant une légère douleur, vite effacée par une exquise félicité. Une fois que l’énorme bourgeon de chair eut passé la collerette distendue de son anus, tout le reste de la verge s’enfonça dans son cul dilaté, lui procurant une extraordinaire plaisir, comme à chaque fois qu’elle se faisait sodomiser ; un plaisir plus fort, plus consistant, plus vigoureux que lorsqu’elle se faisait baiser normalement. Comme à chaque fois elle éprouva la sensation étrange d’être si profondément empalée, qu’elle eut l’impression de percevoir l’énorme gland jusqu’au milieu du ventre et qu’au moindre mouvement, le pieu qui la pourfendait allait encore s’enfoncer plus loin dans ses entrailles, pour lui remonter jusqu’au gosier. Inconscient des impressions que ressentait son épouse, Jacques remua son bassin, impatient de sentir l’étroit manchon de chair qui l’étranglait voluptueusement, coulisser le long de son membre avide d’émotions.


Le cul élargi, Claire reprit sa pose initiale, les mains posées sur ses genoux, et elle entreprit alors une nouvelle chevauchée, plus lente, moins fougueuse du fait de l’écartèlement de son orifice anal, chaque retombée de sa croupe sur le pal de chair affreusement gonflé lui arrachant un grognement. Confortablement installé au sein de son fauteuil, Jacques, les yeux fixés sur la croupe ronde qui s’agitait de bas en haut sur ses cuisses, sentait l’extase monter doucement le long de sa virilité comprimée par le cul resserré de sa compagne. Laissant le plaisir l’envahir graduellement, il s’empara du verre de Cognac que Claire avait déposé sur le guéridon, et attendit le corps crispé la venue de l’orgasme qu’il sentait imminente. Lorsque celle-ci le saisit, il eut l’impression que sa verge trop resserrée pour exploser normalement, demeurait figée, mais lâchait sa semence avec plus de force. Portant vivement le verre ballon à ses lèvres, il absorba goulûment le Cognac ambré, tandis que de son méat dilaté, son sperme jaillissait par saccades violentes et rapprochées, inondant copieusement les intestins de sa femme, qui percevant l’abondant lavement dont ses entrailles étaient l’objet, se mit à jouir pour la seconde fois, le corps arqué.


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