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Temps de lecture estimé : 35 mn
11/11/02
Résumé:  Où l'on apprend comment Dame Maude déniaisa son valet pour son bien et à son plus grand profit.
Critères:  f fh ffh fplusag grossexe grosseins groscul poilu(e)s neuneu campagne fmast hmast légumes hdanus init historique
Auteur : LongJacq            Envoi mini-message
Le valet de Madame Maude


Ce texte a pour point de départ le souvenir que j’ai de l’initiation de Jacques dans Jacques le fataliste de J.J.Rousseau


Dame Maude


Dame Maude, avait eu pour époux, pendant prés de vingt, ans un petit homme gris du nom de Poireau. Nom prédestiné, car l’homme, s’il avait la tête blanche, avait la queue verte…

Au début de l’année où se situe notre histoire, le brave homme s’en était allé rejoindre l’autre monde. Il laissait bien contre son gré, Dame Maude, seule, désespérément seule, à la tête d’un imposant fermage.

Dame Maude avait eu de cette union trois filles qui certes lavaient le linge et gardaient les troupeaux, mais n’étaient guère enclines à effectuer les travaux de force que la ferme exigeait.

Aussi Dame Maude, envisageait-elle de prendre à son service un valet de ferme, pour pourvoir à l’entretien de son patrimoine.


Jacques


Jacques était un jeune homme fort benêt, et très peu instruit de la chose.

En dépit de ses 24 ans, il ne savait rien de la façon dont on faisait les enfants, et dans son innocence pensait toute personne faite à son image.

Enfant trouvé, il avait été recueilli par des parents adoptifs qui l’avaient élevé, jusqu’à ce qu’il puisse travailler. Il avait été placé ensuite dans des fermes du voisinage.

Certains le considéraient comme demeuré, le fait est qu’il ne sortait guère du cul des vaches et était fort peu ouvert sur le monde.


Cette histoire contera la façon qu’il découvrit les choses de la vie, en quelles circonstances et de bien étrange manière.


Dame Maude prend Jacques pour valet


Par ouï-dire Dame Maude apprit qu’un dadais officiait dans une ferme d’un village voisin. Elle s’enquit auprès de ses patrons de la façon dont il s’acquittait de ses taches, et des raisons pour lesquelles ils souhaitaient s’en séparer.



vous me comprenez…



Jacques ne sait point par quel bout attraper la gamelle… Il s’esbaudit de voir la vache menée au taureau ! …



Ainsi fut dit, ainsi fut fait. Et c’est de la sorte que Jacques prit son service chez Dame Maude.


Où l’on apprend comment Dame Maude entretient les outils


Il se fit qu’un jour, Jacques, régalant la paille dans l’étable, pendant que les bêtes étaient aux champs, entendit des grognements bizarres.

S’agissait-il d’un goret dissimulé dans un recoin ?

Jacques devait s’en assurer et au moins l’attacher jusqu’au soir.

Il entreprit sa quête, faisant des tours et des détours, examinant chaque parcelle d’obscurité.

Se faisant, les grognements persistaient. Il les entendait de plus en plus distinctement et ne doutait pas de découvrir bientôt, l’animal en train de fureter.

Passant dans l’étable à vache, quelle ne fut pas sa surprise d’apercevoir Dame Maude, dans une étrange posture.

Appuyée contre le bas flanc, un pied sur le tabouret qui servait à traire, Dame Maude tenait d’une main ses jupes retroussées et le l’autre le manche de la fourche à paille. Elle avait la tête renversée, faisait des yeux blancs, et de sa bouche grande ouverte sortaient les grognements qui avaient tant intrigué Jacques.

Celui-ci se demanda à quel genre de travail sa maîtresse pouvait bien se livrer…

A mieux y regarder, Dame Maude ne se servait point de la fourche comme à l’habitude. Elle en pressait le manche sous ses jupes, le pointant entre ses cuisses, qu’elle tenait fort écartées.

Dame Maude s’agitait beaucoup, respirait très fort. Jacques craignit qu’elle ne se trouvât mal.



Dame Maude s’immobilisa et toisa Jacques de la tête au pied. Elle ne semblait guère satisfaite qu’il se trouvât là !

Comme elle ne disait rien, Jacques cru bon d’ajouter :



Dame Maude expira un profond soupir qui dégonfla son énorme poitrine.



Pour appuyer ses dires Dame Maude extirpa l’instrument de dessous ses jupes, et de fait, Jacques en vit l’extrémité rutilante.



Jacques demeura intrigué, mais tourna les talons et s’en fut vaquer à ces occupations.



Là, où Jacques apprend, comment femmes sont faites.


En cette belle après midi d’été, Dame Maude enjoignit Jacques à venir l’aider au jardin potager. Il devait bêcher un carré de terre où planter les raves d’automne. La chaleur était accablante et Dame Maude suait à grosses gouttes. Elle avait pour la circonstance abandonné ses lourds jupons et arborait une blouse légère qui avait du mal à la contenir.

Les personnes fortes supportent mal la chaleur, et Dame Maude était dans ce cas. Aussi pendant que Jacques s’exténuait sous le soleil, celle-ci s’était-elle retirée à l’ombre d’un pommier qui bordait le chemin.


Dame Maude cherchait à reprendre souffle. Elle ôta le large chapeau de paille qui couvrait son chef et s’en servit comme d’un éventail. Elle du prendre appui des ses deux pieds largement écartés, pour ne pas glisser sur la pente du talus. Il se trouva que le tissu tendu sur ses genoux permit à l’air de venir lui lécher l’entrecuisse. Dame Maude sembla s’en trouver fort aise et entreprit d’accélérer le courant d’air, du battement de son chapeau.

Jacques continuant son ouvrage lorgnait par en dessous de son coté. Au bout de la lignée, elle lui dit :



Il se fit qu’il se trouva assis en bas et elle en haut. De ce fait lorsqu’il levait la tête, il pouvait voir l’énorme fessier de sa maîtresse s’écraser sur le sol.

Comme il était coutume à la campagne à cette époque, Dame Maude ne portait pas culotte, et cela s’avérait fort pratique aux champs. Jacques n’arrivait pas à se faire raison de ce qu’il voyait. Tant et si bien qu’il dut lever la tête à plusieurs reprises pour être sur de ne pas se méprendre. À l’endroit où les cuisses se rejoignaient, et là où il aurait du voir quelque chose, il n’y avait rien, ou plutôt une tache sombre.

Se pouvait-il que femme ne fut point faite à son image. Cette question ne cessait de le tracasser ? Dame Maude souffrait-elle d’une infirmité ?

Dans sa candeur Jacques le lui demanda :



Dame Maude loin de s’offusquer de la naïve question, eut un large sourire.

Ce garçon était non seulement puceau, mais il ne connaissait rien des femmes !



Dame Maude tira sa robe sur son ventre rebondi, exposant aux yeux de Jacques son épaisse toison.

Il fut de nouveau surpris que des cheveux lui fussent poussés là, mais n’en dit rien de peur de passer à nouveau pour un niais.

Effectivement il n’y avait rien… rien que cette hirsute chevelure.



Et joignant le geste à la parole, Dame Maude, ouvrit de ses doigts l’épaisse fourrure, découvrant une vulve violacée, percée d’un orifice circulaire.



Où l’on apprend les vertus du lait


Après le souper, Dame Maude fit appeler Jacques dans sa chambre. Quand Jacques y pénétra, il y faisait fort sombre. Il fut surpris de trouver Dame Maude, en chemise, étendue sur sa couche.



Jacques était fier de pouvoir soutenir une conversation sur un des rares sujets qu’il maîtrisait.



Jacques baissa le nez. Il est vrai qu’il n’était pas épais, mais il avait le sentiment d’accomplir les tâches qui lui incombaient avec toute l’ardeur requise.

Dame Maude poursuivit :



Dame Maude ouvrit sa chemise, faisant jaillir les deux globes laiteux de son imposante poitrine.



Jacques s’approcha timidement de la couche de sa maîtresse.



Jacques avança le nez vers l’éminence qui s’épanchait mollement au flanc de sa maîtresse. Une aréole brune, large comme une soucoupe, se déformait sur la mamelle pendante. Il hésita à nouveau…



Jacques craignait que Dame Maude ne s’énervât et ne le chassât hors de sa demeure.


Dame Maude soupira d’un profond soupir, empoigna sa mamelle et engouffra son téton dans la bouche de Jacques.



Jacques s’exécuta autant qu’il le pouvait, tirant sur le téton avec une ardeur appliquée. Dame Maude appuyait sur sa tête, écrasant son nez dans ses chairs molles, ce qui eu pour effet qu’il vînt à manquer d’air rapidement.

Il constata que le bourgeon de sa maîtresse grossissait de plus en plus, emplissant sa bouche.

Réussissant enfin à se dégager :



Pour toute réponse Dame Maude enfourna à nouveau la tétine impudique qui pointait en l’air.

Jacques se remit au labeur, aspirant, suçant, le bout turgescent qui était censé l’abreuver. Mais il ne venait rien… Dame Maude, elle, s’agitait beaucoup, respirait fort, ouvrait la bouche, fermait les yeux… Elle triturait son autre mamelle de sa main libre, la malaxant, tirant sur sa pointe.



Entre deux soupirs, Dame Maude souffla :



Résigné, Jacques continua son ouvrage se demandant s’il s’acquittait correctement de sa tache. Il craignait de ne pas satisfaire sa maîtresse et d’être renvoyé sur-le-champ.

Il advint que Dame Maude poussa de grands soupirs, se contorsionna dans tous les sens, eut de grands battements de cuisses, pressa sa chemise contre son entre jambes et finalement retomba sur sa couche comme morte.

Jacques en fut effrayé et pensa appeler du secours. Mais Dame Maude sembla recouvrer ses esprits… Elle pressa la tête de Jacques contre ses montagnes laiteuses qui ne semblaient pas avoir dégonflé, et le maintint un long moment ainsi.



Rassuré, Jacques regagna l’étable aux vaches où il s’endormit du sommeil du juste.


Où Jacques apprend la façon d’entretenir son bâton



Il faut préciser au lecteur que ce robinet ne lui avait jamais servi qu’à pisser, ce qu’il trouvait fort pratique. Mais au demeurant, hormis cet usage, son instrument n’avait jamais montré aucune autre velléité.



Jacques tira sur la ficelle qui lui servait de ceinture et son pantalon lui tomba sur les chausses.

Le moins que l’on puisse dire, est que l’organe ressemblait plus à celui d’un enfant de six ans qu’à celui d’un adulte de son âge. L’absence totale de pilosité accentuait encore cet aspect juvénile.

Blême, l’organe était minuscule, les bourses à peine formées.

Dame Maude savait qu’elle aurait fort à faire, mais elle comptait bien sur l’aide innocente qu’elle pourrait obtenir de son valet…



Jacques avança maladroitement entravé qu’il était par son pantalon tombé à terre. Il tendit le ventre en avant, enserré dans le puissant étau des cuisses de sa maîtresse.

Dame Maude plongea les doigts dans un pot de graisse d’oie qui se trouvait là et s’en frotta les paumes.

Elle s’empara de l’organe qu’elle enduisit à son tour.



Et joignant le geste à la parole, elle commença à manœuvrer l’appendice élastique. Elle eut beau tirer, repousser, décalotter, envelopper, tourner, serrer, frotter, rien n’y faisait, elle avait l’impression de malaxer une baudruche vide.



Ces mots semblèrent illuminer la cervelle obtuse de Dame Maude et lui redonner espoir. Elle replongea l’index dans le pot de graisse, tira à elle le garçon et se mit en devoir de faire pénétrer le doigt dans son fondement.



Ce disant, son doigt s’agitait dans son trou de cul.



Jacques commençait à se trémousser sur le doigt qui le pénétrait.

De son autre main, Dame Maude, continuait à fourbir l’outil qui semblait cette fois décider à réagir.



Jacques s’effrayait de voir sa quéquette s’allonger et devenir aussi dure que du bois.



Dame Maude retira son doigt, pris du recul pour contempler son oeuvre. Certes le résultat était modeste, mais le sexe effilé tenait droit en l’air, agité de soubresauts qui le faisait osciller.



Et Dame Maude se mit en devoir de lui frictionner la trique. La consistance était plus noble et elle se plaisait à sentir ce petit dard pénétrer sa large pogne. Elle se prenait à rêver du jour, qu’elle espérait prochain, où elle le sentirait en un autre endroit de sa personne…



Jacques semblait se pâmer sous les soins vigoureux de Dame Maude.



Celle-ci coupa court à son va-et-vient, craignant d’avoir été trop avant.

La bite trembla, se contracta… mais rien n’en sortit.



Pendant ce discours, Jacques, baissant le nez, lorgnait vers cette tige qui n’avait pas baissé la garde. Il était troublé du fait que son corps fût capable de telles transformations, vaguement inquiet, mais heureux de ce qu’il avait ressenti. Dame Maude n’était-elle pas là pour parfaire son éducation ?

Il ne pouvait qu’obtempérer à ses injonctions, sans doute lui restait-il encore beaucoup de choses à apprendre…



Pendant les temps qui suivirent, on put voir Jacques, à toute heure du jour et de la nuit, dans des lieux les plus divers, suivre avec applications les conseils de Dame Maude. Les filles de celles-ci s’en amusèrent beaucoup et prirent un malin plaisir, à l’observer en cachette. Elles ne manquaient pas, quand elles le croisaient de frotter leur bâton de bergère en se riant de lui.

De son côté, Jacques s’était habitué à ses transformations réversibles. Il n’était plus inquiet et même plutôt fier de brandir une quille dure comme bois.


Toujours est-il que les prescriptions de Dame Maude firent leur effet, et que de jours en jours, le chétif organe prit de l’ampleur, et fut sur le point de rattraper la normale.


Où Jacques guérit Dame Maude d’une méchante piqûre


Dame Maude lorgnait bizarrement Jacques, qui le nez dans son écuelle, lampait bruyamment sa soupe.

Soudain Dame Maude s’esclaffa :



Elle s’agitait fort, brassant ses jupons, se levant, se rasseyant, se tournant en tous sens, comme possédée du démon.



De fait, Dame Maude respirait violemment et était devenue écarlate.

Elle hissa son gros postérieur, l’écrasa sur la table, et se tournant vers l’âtre se mit en quête pour trouver l’insecte assassin.



Jacques d’un bon fit le tour de la table, et vint s’agenouiller aux pieds de sa maîtresse. Dame Maude avait posé les deux pieds sur le banc et tenait ses cuisses généreusement ouvertes.



Dame Maude se tenait renversée, la tête en arrière, et Jacques voyait son ventre volumineux se soulever à chacune de ses respirations. Sous le couvert des épais jupons, il ne voyait qu’un antre noir et profond. Trouver une puce en ce lieu était pire que de chasser un rat dans une cave à charbon.



Ce disant, elle tira ses cotillons sur sa poitrine, découvrant les masses charnues de ses cuisses et de son ventre rond.

Jacques fut à nouveau surpris du pelage épais qui lui recouvrait la bedaine.

Une lueur de lucidité traversa son esprit. Combien de fois n’avait-il pas extirpé des chancres de sa tignasse ? A n’en pas douter la bestiole devait nicher là ! Il entreprit donc l’exploration de cette forêt broussailleuse.



Ne sens-tu point le bouton que cette bête m’a fait ?



Jacques s’exécute du mieux qu’il peut. Ses narines palpitent au fumet qui se dégage de la place.



Ainsi fut fait, et Jacques de continuer à astiquer le bourgeon de Dame Maude. Celle-ci semblait se trouver fort aise de ce traitement, et Jacques fut bien content qu’elle retrouvât ses esprits.

Cependant, alors qu’il poursuivait sa tache, Dame Maude fut prise de tremblements, ses grosses cuisses vibraient comme de la gélatine.



Dame Maude poussait des plaintes de plus en plus bruyantes…



Jacques, bien que de plus en plus sceptique, se hâta donc.

Il advint que Dame Maude se mit à remuer du bassin comme une forcenée, écrasant son fessier sur le rebord de la table, elle poussa des cris comme une truie qu’on égorge et finit par s’affaler lourdement au milieu des écuelles.

Jacques, impressionné, crut bon d’arrêter sa médecine. Il demeurait coi devant le spectacle qui s’offrait à ses yeux. La lumière chatoyante de l’âtre léchait le fondement de sa maîtresse. Elle avait la peau blanche comme du lait.

Au bout de ses énormes cuisses, le sillon de ses fesses remontait jusqu’à cette épaisse toison hirsute. Jacques se souvenait de ce que Dame Maude lui avait dit des femmes, qu’elles étaient percées derrière ce rideau broussailleux. Ce mystère restait pour lui entier. Dame Maude ronflait, offerte, en proie au plus profond des sommeils. Il se dit que c’était l’occasion ou jamais d’approfondir ses connaissances anatomiques.


Il y risqua un doigt. Sous le bouton qu’il avait si longtemps frotté, une fente humide s’ouvrait. Il fut surpris qu’elle fût si gluante et si glissante. Il retira son doigt et le huma. L’odeur qui le saisit lui fit penser à l’étale du poissonnier de la foire. Il poursuivit son inspection. Au bas de la fente, il trouva enfin la margelle d’un puits baveux. Dame Maude grogna. Après un instant, le ronflement repris comme un soufflet de forge. Il s’enhardit poussa le doigt plus avant. Et son doigt s’enfonça dans la chaleur épaisse de sa maîtresse. La sensation était étrange, à la fois douce et inquiétante.



Dame Maude s’était relevée d’un bond. Jacques ne savait plus quoi faire de son doigt qu’il avait vivement retiré.



Jacques l’oreille basse s’en fut rejoindre ce qui lui servait de paillasse, en proie au plus profond désarroi. Son avenir en cette maison semblait fort compromis, après cette expérimentation pour le moins douteuse.


De la façon dont Jacques perdit son pucelage


Tout penaud Jacques, pendant un temps ne broncha plus d’une oreille.

Dame Maude ne semblait pas lui tenir rigueur de son aventure.

Tant et si bien, que petit à petit, il reprit confiance, et s’en allait gaiement faire sa besogne aux champs.


Cependant un jour, Dame Maude le fit appeler en sa cambuse.

Jacques en montant l’escalier fut pris de profondes angoisses. Allait-elle cette fois-ci le renvoyer ?



Jacques à ses mots se senti soulagé, il ne s’agissait donc que de cela ! Fier d’avoir écouté sa maîtresse en tous points, il exhiba donc son engin, cracha dans sa paume et se mit en devoir de s’astiquer le manche.


Rapidement l’outil prit forme et Dame Maude sembla plutôt satisfaite du résultat.



Jacques frémit, sa faute n’était pas oubliée et elle risquait de lui être fatale.



Il se trouva que lui se retrouva dessus et elle dessous. Et elle pressait tant qu’elle pouvait sur ses fesses, tentant d’enfoncer ce qui ne voulait point.



Et Dame Maude se contorsionnait, se soulevant la panse, à tel point que perché comme un coq sur le bedon de sa maîtresse, Jacques ne touchait plus terre.

Elle fit tant et si bien qu’elle finit par engloutir l’instrument.



Dame Maude suait à grosses gouttes, toute congestionnée de tant d’efforts physiques. Jacques, lui ne bougeait plus, surpris qu’il était du brasier qui le cernait.



Jacques, bien que sceptique, s’en remit aux injonctions de sa maîtresse. Après tout c’était une femme d’expérience et elle devait savoir la façon de procéder… Aussi Jacques s’enfonça-t-il dans cette glaise, en ressortit, s’y renfonça… Ce qu’il éprouvait n’était pas désagréable, indépendamment du dégoût que lui inspirait cet antre baveux…



Jacques se hâta donc… Il trouvait la chose épuisante et somme toute fort mal pratique, obligé qu’il était d’agiter son bassin. Il se plut à penser qu’il montait la grosse jument et que son train ressemblait fort au trot qu’il menait pour la conduire aux champs. Il rebondissait sur le ventre de sa maîtresse comme s’il se fut agit de la croupe du cheval. Ce bondissement était parfaitement ridicule mais au demeurant fort plaisant…



Et Dame Maude le pressait entre ses bras puissants, lui écrasant le nez entre ses montagnes laiteuses. Jacques commençait à ressentir de drôles de démangeaisons à l’extrémité de sa quille. Elles le poussaient à chercher toujours plus avant et le mandrin en s’enfonçant produisait un clapotis de baratte.



Jacques sentit la bouche de Dame Maude lui presser le vit et il lâcha tout…



De fait, il tourna de l’œil et s’effondra comme un sac de son.


Dame Maude craignit d’avoir occis pour de bon son valet. Elle le retourna, lui tapotant les joues



Jacques finit par soulever une paupière, l’œil torve.



Jacques s’en retourna flageolant sur ses jambes, tout remué de ce qu’il venait de vivre.


Où Jacques commence à comprendre qu’il est fait à l’image des autres bêtes de la création


Chaque fois qu’il sentait sa quille s’ériger, Jacques courait voir Madame Maude et l’enfournait. Il s’agitait comme un beau diable, déchargeait et s’en retournait satisfait.

Il se fit que cette raideur lui venait de plus en plus souvent, et qu’à la fin, son travail en pâtit. Jacques se surprit même à astiquer son manche, comme Dame Maude lui avait auparavant enseigné, à la seule fin de quitter son travail, et de se présenter devant elle, au garde à vous.

Dame Maude ne s’en plaignait aucunement. Elle semblait même le voir revenir avec un certain plaisir…


De son coté, Jacques entreprit de parfaire par lui-même son éducation…


Il avait bien conscience que le coq montait sur la poule, s’agitait frénétiquement, comme il le faisait sur Madame Maude, puis l’abandonnait à ses caquètements courroucés. Mais il n’y avait là, point de manche à attendrir ? … Sa science fit un grand bon en avant quand il observa le chien de garde couvrir la chienne qui gardait les troupeaux. Le chien avait bien un dard, fort différent du sien, mais a n’en pas douter il utilisait un autre trou.

Celui-la même où Madame Maude avait introduit son doigt. Ne devait-il pas lui aussi, monter sur le dos de sa maîtresse et lui enfoncer la quille dans le fondement ? Cette question ne cessait de la tracasser. Il vit bien que cette pratique était chose courante. Le bouc fit de même avec la chèvre, le verrat avec la truie… Toutes bêtes allait amollir leurs dards en cet endroit ! Son opinion fut faite lorsqu’il vit près de la fontaine, la plus jeune fille de Madame Maude procéder de même avec le fils du meunier. Ainsi donc ce que Madame Maude tenait en si grand mystère était un fait coutumier… Mais elle le pratiquait d’autre manière. Tout ceci lui paraissait bien étrange…


Il se fit que Jacques dut porter un panier de linge à sa maîtresse, alors qu’elle était au lavoir. Le bruit de l’eau dissimula ses pas à son ouïe. Madame Maude s’échinait à presser le linge sur la margelle. Tout son corps allait et venait, et ses grosses tétines ballottaient au même rythme.

Jacques sentit une envie pressante s’élever dans ses culottes. À genoux derrière Madame Maude, il sortit son instrument. D’un geste rapide releva ses jupons et d’un trait lui enfonça dans le fondement.



Jacques s’agrippait aux larges hanches de sa maîtresse, heureux de la posséder ainsi.



Jacques s’agita donc dans le fondement de sa maîtresse. Son trou de cul lui serrait la pine comme un casse-noisettes.



Jacques haussa le train, déchargea et s’en trouva béat…

Madame Maude semblait fort courroucée. Elle entraîna Jacques dans sa course qui la ramenait vers sa demeure. Tout au long du chemin elle vociférait, grommelait toutes sortes d’injures à l’adresse du meunier.


Où Jacques apprend la façon de faire les enfants


N’arrêtant pas sa course Dame Maude entraîna Jacques jusque chez le meunier.



Le meunier apparut semblant sortir d’un profond sommeil.



La trogne du meunier s’illumina d’un large sourire. Il faut dire que son gars avait choisi là un bien beau parti. Maître Pendard se voyait déjà hériter du tiers du bien de Madame Maude.



Jacques ne comprenait rien à la conversation de sa maîtresse. Il crut cependant bon d’intervenir.



Le meunier sentit qu’il y avait anguille sous roche et sautant sur l’occasion…



Madame Maude battit précipitamment en retraite. Tirant Jacques par la manche, elle prit congé de Maître Pendard.

Sur le chemin du retour, Jacques se fit sermonner sévèrement. Il ne comprenait pas qu’il dût tenir secret tout ce que Madame Maude lui avait enseigné, alors que tout un chacun semblait faire de même.


Où l’on comprend qu’être fille de Poireau porte à certaines choses


La conversation avec le meunier avait troublé Jacques au plus haut point.

Qu’avait-il voulu dire, parlant de lui, de ce qu’il était censé faire avec les filles de Madame Maude ?


Jacques se dit qu’il gagnerait à savoir quels étaient leurs agissements, alors qu’elles étaient à garder les moutons. Aussi choisit-il des taches qui le rapprochait des places où elles allaient, et qui lui permettaient discrètement de les voir aller et venir.


Rose et Claire faisaient le plus souvent route ensemble, ce qui leurs permettait de tromper leur ennui. Ce jour là, elles partirent de bon matin emportant avec elles leur écot, dans un beau panier d’osier.


En passant par le potager, elles firent provision de quatre beaux poireaux, ce qui ne manqua pas d’intriguer Jacques.

Non loin de là, elles étendirent une toile sur le sol à l’ombre d’un saule, près du ruisseau, et laissèrent les bêtes s’égayer dans la pâture. Les chiens sauraient bien les garder.


Jacques était fort déçu. Il n’y avait là rien d’anormal et point de galant en vue. Il se dit que l’heure était trop matinale, que la journée était encore longue, et que bien des choses pouvaient encore advenir.


Claire et Rose étaient en grande conversation. Leur discussion était ponctuée de rires sonores qui tintaient dans l’air paisible du matin. Jacques n’entendait rien de leurs paroles, seuls des éclats de voix parvenaient à ses oreilles.



Elles demeurèrent un long temps à discuter ainsi. Semblant enfin s’accorder pour finir, Claire se leva, se saisit des poireaux qu’elle lava soigneusement à la rivière. Elle en retira les premières feuilles et revint vers sa sœur.



Jacques était bien intrigué de leur manège. Que pouvaient-elles faire de ces légumes à cette heure du jour ? Quelle ne fut pas sa surprise quand il les vit toutes deux s’étendre sur le dos, écarter leurs jupons et présenter les poireaux à l’entrée de leur motte.



Jacques voyait disparaître le blanc de la tige dans leur antre profond.

Il se dit que c’était une bien étrange manière d’accommoder les poireaux, mais après tout, peut être était-ce le bon moyen de les attendrir.



Deux panaches verts frétillaient, émergeant de leurs dessous blancs.



Jacques les entendit tour à tour pousser des cris d’agonie, alors qu’elles tendaient leur ventre en avant, dans de grands soubresauts. Elles retombèrent de tout leur long, abandonnèrent les poireaux fichés en elles, et semblèrent s’assoupir. Leurs mamelles se soulevaient au rythme de leur haletante respiration.

C’est à ce moment que Jacques réalisa que son propre poireau avait pris des proportions impressionnantes. Il y sentait une démangeaison irrésistible. Point n’était question d’aller trouver séant Madame Maude. Il entreprit donc de se frictionner le dard, résolu cette fois à ne point s’arrêter quand lui viendrait son envie de pisser, et à cracher ce lait cause de sa raideur. Il prenait goût au frisson qui le saisissait quand il se vidait dans le ventre de Madame Maude.

Tandis qu’il s’astiquait la trique, il ne pouvait détacher son regard des deux poireaux qui gisaient entre les cuisses blanches. Plus il les regardait plus sa main s’agitait violemment. Malheureusement, elle n’avait pas le moelleux des entrailles de sa maîtresse et il ne sentait pas monter le lait. Pris de furie, il s’acharna comme un forcené, se secouant le manche avec démence.

Tant et si bien qu’il se mit à jurer, à vociférer, à pousser des cris d’orfraie.


Où Jacques en apprend à celles qui croyaient tout savoir


Tirées de leur torpeur les deux filles découvrirent un spectacle peu ordinaire. Notre Jacques, cul nu, le pantalon sur les chausses, branlait furieusement à deux mains, un dard écarlate qui n’en pouvait mais.



Assises sur leur séant, jambes écartées, pour cause du poireau qui les tenaillait, nos deux commères conversaient. Et Jacques de s’agiter tant et plus, faisant des bonds en tous sens.



Jacques fit face aux deux poireaux.



Jacques ramassa tant bien que mal ses affûtiaux et franchit le ruisseau.


Ces Damoiselles lui firent place et il s’étendit entre elles.

Son vit pointait vers les cieux, raide comme la justice.

Toutes deux ce penchèrent sur cet objet de curiosité.



De concert les deux sœurs se remirent à faire aller et venir leurs légumes.

Jacques restait là, entre elles, la pine dressée, ne sachant que faire.

Mademoiselle Rose dégrafa son corsage, en extirpa deux mamelles rondes et blanches qu’elle colla sous le nez de Jacques.

Celui-ci se souvenant des leçons de Madame Maude, satisfait de se montrer à la hauteur des événements, se mit à sucer le téton avec acharnement.



Claire s’exécuta, continuant à mouvoir nonchalamment le poireau dans sa fente.

Jacques montrait des signes d’impatience, et sa quille battait l’air en cadence.

Claire, abandonnant sa sœur, se coula comme un serpent jusqu’à la verge dressée. Elle en saisit la base et l’emboucha goulûment.



Pour toute réponse Claire se mit à pomper le dard, faisant aller et venir ses lèvres, suçant, aspirant, enveloppant le gland de sa langue…



Et Rose de rejoindre sa sœur…



Et Rose engloutit le bout rond de la tige.

Claire désœuvrée, se dégrafa à son tour. Les nichons qu’elle arborait n’étaient en rien comparables aux lourdes mamelles de Madame Maude. Ils ressemblaient plus à des pommes de moisson, ronds et fermes, dotés de fort joli trayons.



Ne sont-ils pas beau à présent ?


De fait sous les doigts de Jacques les boutons gonflaient et devenaient durs.



Sauras-tu les sucer pendant que ce poireau m’occupe ?


Et Jacques d’aspirer le pis entre ses lèvres.

Pendant ce temps Rose pompait avec ardeur, des deux mains, de la bouche, elle fourbissait l’outil.

De la façon qu’elle était, couchée sur le flanc et la cuisse levée, Jacques contemplait le plumeau vert, le cylindre blanc qui disparaissait arrondissant son joli minou.



Jacques se saisit donc du plumet et se mit en devoir de la ramoner.



Toutes deux se mirent à s’exclamer, se répondant l’une l’autre, amplifiant sans cesse leurs beuglements, jusqu’à ce qu’elles rugissent de plaisir.

Jacques en fut presque effrayé. Il jugea que c’était le moment opportun pour lâcher la bonde.



Les deux sœurs, penchées sur le ventre de Jacques, le cul en l’air, leurs poireaux respectifs pendant entre leurs cuisses, regardaient surgir avec curiosité les flots bouillonnants d’une fontaine qui ne semblait pas vouloir tarir.

Le membre tressautait, agité de soubresauts convulsifs. Il expulsait ce qui finit par former une mare laiteuse s’étirant paresseusement sur la panse imberbe de Jacques.

Aussitôt elles virent le bel engin qui se retirait, se rétractait, se ratatinait, se recroquevillait, se rabougrissait…



Rose délicatement saisit le boyau flasque et baveux entre le pouce et l’index et le laissa retomber sur les bourses de Jacques. Il versa sur le côté comme un âne mort.



Claire la première trempa timidement un doigt dans le lac de liqueur, et le porta à ses lèvres.



Elle tendit son doigt à sa sœur.



Rose y mit la langue, y trempa le nez et le menton. Le sourire qu’elle adressa à sa sœur était tout englué du liquide visqueux. Elle s’en pourlécha les babines, et toutes deux replongèrent sur le précieux élixir pour s’en tartiner la tronche.

Jacques était aux anges, laissant avec délectation ces deux femelles lui lécher le bedon.

Elles eurent vite fait de nettoyer la place.

Ravigotées de cette frugale collation, elles extirpèrent les précieux légumes qui commençaient à courber l’échine, et entreprirent forces ablutions dans le ruisseau.

Jacques se ravissait au spectacle de ces deux filles, fort dépoitraillées, jupons attachés à la ceinture qui, jambes écartées, à demi baissées, s’aspergeaient l’entrejambe.

Le soleil brillait, les oiseaux chantaient et somme toute, Jacques était le plus heureux des hommes.


Epilogue


L’aventure n’eut pas de suite et Jacques n’en souffla mot. Il reprit ses visites assidues auprès de Madame Maude qui s’en trouvait fort aise.

De fil en aiguille, Jacques délaissa de plus en plus son ouvrage, tant et si bien que moult champs furent laissés à l’abandon. Dame Maude dut envisager de prendre un nouveau commis pour pourvoir aux travaux que nécessitait son fermage.

Jacques s’établit dans ses nouvelles fonctions avec satisfaction. Il occupait le plus clair de son temps à trombiner Madame Maude. Bien que ses deux filles le regardassent d’un oeil concupiscent, Jacques avait décidé de s’en tenir à celle qui lui avait appris tant de choses. Madame Maude se montra fort compréhensive à son égard. Non seulement elle lui permit de pratiquer à sa guise toutes sortes de façons, mais elle sut les enrichir de bien d’autres, y compris celles exercées par ses filles.

Il fut rapidement de notoriété publique que Jacques était devenu Maître Jacques et qu’au moyen de son instrument, il régnait sans partage sur toute la maison.


® LongJacq