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n° 05168Fiche technique28202 caractères28202
Temps de lecture estimé : 17 mn
13/11/02
Résumé:  Chose promise, chose due, je suis allée chez Mélanie et Cédric
Critères:  grp fbi hbi hépilé fépilée amour exhib lingerie travesti fgode double fsodo hgode hsodo ecriv_f
Auteur : Karine Bou1  (Jeune femme heureuse de vivre)      
Un week de rêve


A Cédric et Mélanie.



L’avion a quitte la piste sous la pluie lundi matin, emportant mon corps mais laissant mon esprit aux souvenirs de ce fabuleux week-end. Comme je vous l’avais annoncé dans mon précèdent récit, enregistré sous le numéro 4816, pour ses trois jours de Toussaint, je suis ’montée’ en Bretagne, chez Mélanie et Cédric.


A mon arrivée, le vendredi midi, habitée d’une certaine appréhension en quittant la passerelle, j’eus rapidement l’immense soulagement de m’apercevoir que rien n’avait vraiment changé depuis l’été dernier et si Cédric me fit la bise avec un certain flegme qui le caractérise parfaitement, Mélanie, quant à elle, n’hésita pas à m’embrasser à pleine bouche sous le regard amusé des hôtesses qui assuraient la sortie des passagers. Il est vrai que nos conversations téléphoniques régulières ne pouvaient que laisser croire à cet accueil, mais, ces retrouvailles m’avaient quelque peu turlupinées l’esprit. Arrivés dans leur belle maison bretonne, ils m’en ont fait faire le tour du propriétaire, me montrant ma chambre, somptueuse qui faisait face à la leur. Une maison très joliment meublée notamment au salon ou trônait une immense cheminée.. Le seul problème pour moi, est il était de taille, était cette pluie qui ne cessait de tomber.


Après un bon repas, la fatigue pris le dessus, et je m’excusais de devoir les laisser pour une petite sieste bien sage, histoire d’être en forme pour le reste du week-end. Je n’étais à peine en petite culotte et tee-shirt dans les draps, que je les ai entendu roucouler dans leur chambre, ne laissant aucun doute sur le fait que leur sieste serait plus crapuleuse que la mienne. Une main sur mon sexe, je n’ai même pas eu le temps de me caresser en pensant a eux, que le sommeil m’emporta jusqu’en fin d’après midi. Cette première journée se termina tranquillement, sans coquinerie, n’en ressentant pas vraiment le besoin, seulement quelques allusions de la part de Cédric, tellement nous étions heureux de nous retrouver et de parler de tout et de rien tranquillement installés devant la cheminée, nous amenant tranquillement vers 2 heures du matin où la sagesse nous poussa au lit.

Le lendemain, j’ai rejoins Mélanie dans la cuisine et la voyant de dos, en petite nuisette et culotte plus que transparente, j’avoue que je n’ai pu m’empêcher de poser mes mains sur ses fesses puis les glisser vers son ventre avant de l’embrasser dans le cou pour lui souhaiter le bonjour.



C’est alors que l’apollon de service nous rapporta ses très bons croissants, caressant au passage les fesses de Mélanie, et me regardant assise devant mon bol:



La journée débutait donc sur ces faits et après un petit restau sympa le midi, c’est chaussée de bottes et d’un ciré jaune (un vrai petit matelot) que j’ai découvert une région qui, même sous la pluie, à la mérite d’être très jolie. De retour à la maison, vers 18H00, Cédric nous annonça:



J’interrogeais du regard Mélanie qui m’entraîna dans la salle de bain.



Ses propos n’ajoutaient qu’un peu de trouble à mon esprit mais bien vite, de la voir nue devant moi, prête à entrer sous la douche, me ramenait à l’instant présent. Je la regardais, toujours aussi belle, ayant changer l’anneau de son nombril par un petit pendentif en or, ses fesses désormais ornées d’un petit tatouage représentant un dauphin, elle m’excitait de plus en plus.



Je l’ai alors rejointe sous la douche et bien vite le frottement de dos s’est terminé en savantes et sensuelles caresses qui nous ont amenées à un premier orgasme.

Apres nous être séchées et maquillées, nous avons traversé nues le couloir jusqu’à nos chambres, offrant nos corps à la vue de Cédric qui était, pour sa part, en plein préparatifs du dîner.



Elle m’entraîna dans sa chambre et me demanda en ouvrant son tiroir à lingerie.



Je suis retournée dans ma chambre et les portes ouvertes, nous nous sommes habillées de concert. Une fois nos dessous enfilés, nous avons fait le point, tout en riant, sur nos pouvoirs de séduction. Elle portait une guêpière mi seins, ce qui les mettaient encore plus en valeur, les faisant ressortir des bonnets jusque sous ses auréoles. Elle lui arrivait au-dessus du nombril, mettant en valeur son ornement, en mailles résille noires cela lui donnait un petit air délicieusement coquin et pervers à la fois. De longue jarretelles soutenaient une paire de bas résilles alors qu’un très petit string de la même matière ne couvrait que partiellement son sexe. Pour ma part, j’avais préparer un ensemble de satin et dentelle jaune, soutien-gorge, porte jarretelle et string, la dentelle ne cachant rien de mes seins et mon sexe que j’avais soigneusement fais épilé avant de partir. Une paire de bas blancs, pour assurer de ma pureté, terminant ce chef d’œuvre! Le reste, surprise. Nos portes fermées se sont réouvertes et Mélanie portait une longue robe fuseau noire, fendue jusqu’à la taille ce qui laissait apparaître ses bas et le lien de son string à chacun de ses pas. Sa poitrine ressortait pratiquement du décolleté débordant qu’elle offrait. Quant à moi, j’avais opté pour une petite jupe plissée écossaise, m’arrivant a mi cuisses, juste en dessous de la lisière de mes bas et un chemisier blanc qui ne cachait rien de mon soutien-gorge, me donnant une image de (presque) sage écolière. Cédric venait de terminer ses préparatifs et lorsqu’il se dirigea vers la salle de bain, en nous croisant, ne pu s’empêcher de siffler tout en reluquant nos derrières, et, déjà en proie à des pulsions coquines, je fis tomber mon bracelet. Je me suis alors pencher en avant, sans le moins du monde plier les jambes, lui offrant mes fesses séparées de mon string.



Le temps de se préparer, de nous rejoindre, vêtu d’un pantalon style cosaque, ample et soyeux et d’une chemise bouffante, que la sonnette retentit. Il nous présenta alors Jérôme, mignon jeune homme aux yeux bleus sous une tignasse bouclée blonde, en pantalon de cuir noir et chemise bleue claire, légèrement efféminé, je compris alors les propos de Mélanie.

Cédric avait préparer un buffet garni qu’il apporta sur une table roulante et c’est avec la dextérité d’un maître d’hôtel qu’il nous proposa cet encas, accompagnant l’excellent champagne qui faisait office de boisson. Le cours de ce repas était rythmé par une sympathique musique d’ambiance et le crépitement de la cheminée rendait la situation des plus sympathiques.


Avec Mélanie, nous profitions de chacun de nos mouvements pour faire des effets de jambes très sensuels, offrant la vue de nos dessous aux deux hommes qui n’en rataient rien. Puis, Cédric se décida à donner une autre orientation à cette soirée, posant son assiette, s’essuyant les mains, il se plaça derrière Jérôme. Il lui passa les mains sur les hanches, le serra contre lui et l’embrassa dans le cou. Jérôme tourna alors sa tête pour lui offrir sa bouche qu’il s’empressa de prendre pour un baiser passionné. J’étais là, immobile à les regarder, bêtement, ne revenant pas de leur attitude, alors que Mélanie me regardait tendrement, scrutant ma réaction, envieuse de m’administrer le même traitement. Nos regards se sont croisés et la même lueur brillait dans nos yeux, lueur qui eut l’effet de nous rapprocher et bras dans les bras, nos lèvres se sont soudées pour un baiser amoureux. Subjuguée par la situation, et je dirais même excitée, je voulais avant tout profiter du spectacle offert par Cédric et Jérôme, et je pris la main de Mélanie pour l’amener à venir s’asseoir à mes cotes sur le canapé. Ainsi installées, elle entrepris de me caresser doucement les seins et le ventre alors que je regardais les deux garçons continuer leur ébats. Cédric avait entrepris de déshabiller Jérôme et une fois la chemise et le pantalon enlevé, celui ci apparu la taille cerclée d’un porte jarretelle de dentelle noire et portant, par dessus, un body string en tulle noir entièrement transparent sous lequel l’on pouvait deviner son sexe encore mou et replié sur lui même. Cette vision m’excita au plus au point et lorsqu’il se retourna pour s’agenouiller devant Cédric, lui déboutonna le pantalon, le fit glisser pour dévoiler ce sexe que je connaissais déjà mais que je trouvais encore plus attirant, je ne pu m’empêcher de ressentir un petit sentiment de jalousie en voyant Jérôme y déposer doucement de petits baisers dessus avant de passer sa langue sur le bout du gland puis de le prendre entièrement en bouche. Mélanie, qui avait largement remarqué mon trouble, n’en avait pas moins profité pour glisser sa main sur ma cuisse et la remonter doucement vers mon sexe, qu’elle caressait d’un doigt a travers le tissus de ma culotte. Comme par envoûtement, mes cuisses s’ouvraient toute seule lui laissant alors la possibilité d’écarter mon string et de me pénétrer sans aucun problème tellement j’étais trempée. Alors que Jérôme suçait Cédric plus qu’amoureusement, j’eus mon premier orgasme sous la masturbation douce mais efficace de Mélanie. Elle suçait alors ses doigts et me dit:



Elle s’agenouilla alors devant moi, enleva ma jupe, fit glisser mon string sur mes jambes gainées et, prenant mes cuisses dans ses mains, les écarta et plongea sa tête entre elles. Bien vite sa langue trouva mon clitoris et, tout en continuant de mater la fellation de Jérôme, je poussais sa tête de mes mains pour qu’elle me ’dévore’. Cédric commençait a gémir et encourageait par des mots assez crus Jérôme, tout en s’activant de plus en plus vite dans la bouche de son amant. Il s’arrêta d’un coup, sûrement proche d’une éjaculation qu’il voulait retarder le plus longtemps possible, sortant son membre luisant de salive de la bouche de son partenaire pour venir nous rejoindre. À mon grand désespoir, il fit relever Mélanie, l’embrassa a pleine bouche et fit glisser sa longue robe le long de son corps de déesse, dévoilant alors sa tenue qui me parût alors encore plus sexy que quelques heures plutôt. Il l’a fit s’asseoir sur le fauteuil, lui écarta les cuisses et s’adressa à Jérôme:



Celui ci ne se fit pas prier et, écartant alors le petit string de Mélanie, s’empressa de venir glisser sa langue sur le sexe de mon amie. Cédric en profita pour venir la remplacer et reprendre l’activité qu’il lui avait fait abandonner à mon plus grand plaisir. C’est ainsi que les deux filles ont été amenées au plaisir par ses 2 langues masculines, pratiquement au même moment et une fois leur oeuvre achevée, les 2 hommes se sont partagés nos liqueurs dans un baiser plein de tendresse. C’était la première fois que je voyais 2 hommes ensemble et je dois avouer que cette situation m’avait particulièrement excitée, au point d’être impatiente de voir la suite qui se profiler. En effet, la main de Cédric glissa entre les cuisses de Jérôme pour détacher le fond du body et le lui enlever dans la foulée. Il pris ensuite son sexe en main et d’une petite masturbation lui donna une certaine raideur. Le voir ainsi, le sexe bandé et entièrement épilé, encadré dans le porte jarretelle, voir ses deux boules et son pubis tout lisse, me laissait une drôle d’impression. Je devenais voyeuse car il était évident que je prenais plaisir à se spectacle. Cédric fit retourner Jérôme, qui prit appui sur la table et écartant ses fesses, lui colla sa langue entre celles ci, titillant l’anus, le pénétrant, le faisant râler. Mélanie en avait profiter pour s’équiper de son godemiché préfère et, me faisant alors un clin d’œil qui voulait dire beaucoup, mis un préservatif sur le sexe de Cédric. Elle se retourna, s’approcha de moi, posa sa main sur ma chatte et me dit:



Ne pouvant nier l’évidence, ma réponse fut de prendre son membre dans ma bouche et de lui administrer une fellation en règle. Cédric, quant à lui, s’était allongé sur le tapis du salon et, le sexe dressé et protégé, attendait que Jérôme vienne s’y empaler. Il se plaça au-dessus de lui et, lui tournant le dos, descendit doucement ses fesses en direction du phallus de son amant. Il le prit dans sa main et le pointa sur son anus. Doucement, il se l’enfonçait au plus profond de ses chaires, grimaçant parfois lorsque la douleur était trop vive, mais très rapidement, ses fesses reposaient sur le pubis de Cédric. Alors, il commença un lent va-et-vient sur son sexe. C’est a cet instant que je pris l’initiative de me mettre a quatre pattes devant lui, entre les jambes de Cédric, le regard rivé sur cette sodomie masculine, offrant mes fesses à Mélanie et lui priant de me prendre. Ma tête devant l’anus déformé par le sexe de Cédric, je senti bien vite le godemiché de Mélanie venir me remplir le vagin et me pénétrer jusqu’à la garde, m’arrachant un cri de plaisir. Pendant qu’elle me baisait ainsi, je pris dans ma bouche le sexe lisse de Jérôme et entrepris tant bien que mal de le sucer en même temps. La situation était d’un érotisme torride et me cramponnant aux cuisses soyeuses de Jérôme, je subissait les coups de boutoirs de Mélanie qui mettait toute son ardeur a me faire l’amour. Le résultat ne se fit pas attendre longtemps, j’ai jouis la première tout en essayant tant bien que mal de continuer à branler Jérôme que je ne pouvais plus tenir en bouche, avant que je ne sente son sperme couler le long de ma main. Cédric, au même moment, remplit bruyamment le préservatif de son plaisir, tout comme Mélanie qui s’administrait une masturbation passionnée. Ce premier plaisir commun nous mis quelque peu sur les rotules et reprenant nos esprits, nous nous pouvions nous empêcher de rire de nos exploits, se critiquant gentiment les uns, les autres sur nos capacités à faire jouir son partenaire, se lançant ainsi des défis qu’il a bien fallut relever.


C’est ainsi que je me suis retrouvée à mon tour équipée du godemiché afin de prouver mes capacités à la pénétration et, ayant les 3 derrières devant moi, un par un, je me devais de les pénétrer du mieux que je ne pouvais, m’efforçant a leur faire connaître le plaisir sous l’effet de mon ardeur.

En fait, je dois vous avouer que je ne suis pas très douée pour cela car bien vite cela a tourner au fiasco. Si Mélanie a bien joui après plusieurs allées et venues dans son sexe, surexcitée qu’elle était, après m’être en vain démenée dans les fesses de Jérôme, je fus incapable de pénétrer Cédric, ce qui m’a valut les moqueries de mes partenaires. Mélanie, rieuse et surtout vicieuse, me dit alors:



Ne sachant plus à quoi m’attendre, elle me fit allonger sur le tapis, le sexe factice dressé, et elle vint s’empaler dessus, jusqu’à sentir son pubis se frotter au mien. Elle se pencha pour m’embrasser et restant dans cette position, elle invita Cédric à venir la sodomiser. Je la voyais souffrir de la pénétration anale qu’elle endurait et une fois qu’il fut entièrement en elle, les yeux mi clos, elle soupirait de plus en plus fort. Cédric donnait le rythme à cette relation particulière que je ne pouvais que subir, n’ayant que peu de possibilité de bouger mon "sexe" en elle mais je la sentais tout de même monter et descendre le long de celui ci. Au bout d’un instant de va-et-vient infernaux, elle pria Jérôme de venir devant elle et prit son sexe dans sa bouche. Prises par ses trois orifices, elle se démenait de plus en plus fort, laissant parfois échappé le sexe de Jérôme qui s’efforçait de le lui remettre en bouche le plus rapidement possible. Alors qu’elle semblait partir dans une jouissance incontrôlable, Jérôme, devant l’impossibilité de rester dans son orifice accueillant, se masturbait au-dessus de son visage et c’est ensemble qu’ils eurent leur orgasme, Mélanie hurlant (il n’y a pas d’autre mots) son plaisir, alors que Jérôme éjaculait, éclaboussant son visage, ses seins et ses épaules. Cédric sorti alors des fesses de sa femme et mit son sexe dans la bouche de Jérôme qui se fit un devoir de lui administrer une fellation digne de ce nom, suçant, léchant, caressant le sexe, les fesses de Cédric jusqu’à ce qu’il jouisse dans sa bouche. Le sperme coulant encore aux commissures de ses lèvres, Jérôme prit la tête de Mélanie et tendrement, partagea avec elle la semence de son mari.



La soirée, déjà bien entamée, continua par une rigolade générale dans la salle de bain qui bien vite se retrouva dans un état d’inondation très avancé à force de s’arroser les uns les autres, et c’est revêtus de manière plus pudique qu’elle s’est terminée au salon, devant une dernière coupe de champagne, bavardant comme de vieux amis comme si rien ne venait de se passer.

C’est l’odeur du café et des croissants qui m’a fait ouvrir les yeux vers 10H00 en ce dimanche matin, et j’ai retrouvé mes hôtes dans la cuisine. Un coup d’œil dehors, la pluie s’était arrêtée et un petit coin de ciel bleu apparaissait à l’horizon ce qui me fit dire.



Nous avons ensuite fait un peu de ménage, rangeant notamment nos effets qui traînaient dans le salon, préparant ensuite le repas, le tout dans une humeur joyeuse et rieuse. Après celui ci, Cédric nous abandonna pour aller disputer une rencontre de tennis (en salle m’a t il rassuré) et après avoir débarrassé le repas, nous nous sommes retrouvées toutes les deux a discuter devant notre café. Nous avons surtout parler très franchement de notre relation, envisageant même de vivre ensemble tous les trois. Devant le ridicule de cette situation, nous sommes redescendues de notre petit nuage et c’est à cet instant que j’ai eu une folle envie d’elle, elle seule, pour moi et mon plaisir, pour elle et le sien. Je me suis levée sans la quitter des yeux, je lui ai prise la main et l’ai invitée à me suivre jusqu’à ma chambre.



J’ai enlevé son sweet, dévoilant sa poitrine enveloppée dans un soutien-gorge de coton rose, poitrine que j’ai pris entre mes mains pour déposer un baiser sur chaque parties visibles de ses seins. Gardant mes mains sur ses fruits d’amour, ma bouche descendait doucement vers son ventre pour venir jouer avec le petit bijou ornant son nombril. Abandonnant sa poitrine, mes mains se sont concentrées sur les boutons de son jean que j’ouvrais un par un, la regardant dans les yeux pour lui exprimer le désir qu’elle faisait naître en moi. Je fis glisser son pantalon pour la laisser en culotte et je la fis allongée sur le lit. Otant mon pull et ma jupe, restant également en string et soutien-gorge, je me mis à l’embrasser sur chaque centimètre carré de son corps, l’interdisant de bouger et de me toucher. Commençant par son visage, le front, les yeux, le nez, sa bouche, je sentais qu’elle voulait participer à mes baisers en ouvrant ses lèvres mais je refusais sa langue pour descendre dans son cou. Ses oreilles furent aussi l’objet de ma langue ce qui la fit plutôt rigoler et, continuant par ses épaules, je fis glisser sa bretelle avec mes dents avant de continuer mes baisers le long de son bras jusqu’à l’extrémité de sa main. Ayant exécuter le même rituel sur son bras gauche, je glissais ma main sous son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Laissant celui en place sur ses seins, je m’amusais a en faire le tour avec ma bouche. Je la sentais impatiente, son souffle s’accélérant, n’attendant que ma bouche sur ses seins.



Et je repris mon activité buccale en continuant par son ventre jusqu’à la limite de sa culotte. Malgré mon envie de l’enlever, et la sienne aussi, je décidais de descendre directement vers ses pieds et remonter doucement le long de ses jambes, l’une après l’autre, pour arriver à l’intérieur de ses cuisses. Les écartant alors doucement, elle m’offrait l’accès à son sexe qui, humide de désir, en avait taché le coton de sa culotte. Se fut terriblement difficile pour moi de ne pas le prendre car, alors qu’elle s’attendait elle même à sentir mon souffle sur son intimité, je refermais ses cuisses et la fit se retourner sur le ventre. À genou sur elle, je recommençais mon petit jeu sado coquin en descendant le long de sa colonne vertébrale pour arriver à ses fesses. Mes mains sur les 2 cotés de sa culotte, je la lui fis alors doucement glisser le long de ses jambes, embrassant chaque morceau de peau dévoilé. Lorsqu’elle fut totalement nue, je le retournais à nouveau et enfin, je plongeais entre ses cuisses. Ma langue se mit en action et je m’amusait à augmenter son désir, qui était déjà très visible, en la léchant uniquement autour de son sexe, évitant de toucher ses lèvres. Puis, d’un seul coup, je remontais tout le long de sa fente, lui arrachant un soupir de plaisir. Sa liqueur coulait comme une fontaine à laquelle je m’abreuvais comme une morte de soif. Tournant autour de son bouton d’amour, j’écartais alors de mes doigts ses jolies lèvres roses pour enfoncer mon organe au plus profond de son puits d’amour. C’est à cet instant qu’elle s’est contractée, a serré ma tête entre ses cuisses et dans un râle de jouissance explosa dans l’orgasme que je lui avais provoqué. Continuant doucement à l’embrasser sur le sexe et autour, le temps qu’elle reprenne ses esprits, elle m’attira ensuite sur elle et m’embrassa longuement, partageant sa liqueur d’amour avant de me dire tout simplement:



C’est alors que les larmes me sont montées aux yeux et que je n’ai pu m’empêcher de retenir, provoquant son étonnement puis son interrogation. Je n’ai simplement pu que m’excuser d’être si sensible et que c’étaient des larmes de bonheur. Reprenant alors le dessus et voulant faire revenir mon sourire, elle dit alors:



Et très vite, elle m’a fait jouir de la même manière que je l’avais fais auparavant, sa langue et ses doigts ont eu raison de moi da façon aussi sensuelle et douce qu’une femme sait faire à une autre femme (cela ne veut pas dire que les hommes s’y prennent mal; messieurs !). Nous nous sommes endormies toutes les deux et c’est Cédric qui est venu nous réveiller. Le pauvre, excité par nos corps nus entrelaces sous la couette, se voyait déjà entre nous deux. Mais ni Mélanie, ni moi ne voulions rompre notre petit bonheur commun. Et comme en plus, il avait perdu son match, ce n’était vraiment pas son jour!

La journée s’est ainsi terminée, heureuse mais quelque part triste de devoir reprendre l’avion le lendemain matin, ayant passé un moment incroyable, mémorable, agréable et surtout convivial et sincère.


L’avion a quitté la piste sous la pluie lundi matin, emportant mon corps mais laissant mon esprit aux souvenirs de ce fabuleux week-end.


Karine



Avec ce texte, ainsi que le précèdent, je vous ai offert un moment intime de ma vie qui, je m’en rends encore plus compte aujourd’hui, m’a particulièrement marqué. Je me devais de le partager avec ceux qui m’ont encouragée après mon premier récit et c’est pourquoi je me suis un peu forcée à l’écrire. (notamment pour toi, Pierre). Sachez seulement que ce sera le dernier que j’enverrai sur ce site.

Je sais d’or et déjà que l’on me qualifiera (encore) de pipelette, que l’on me reprochera mes longueurs, mais de grâce, ne gâcher pas mon bonheur issu de cette aventure.