Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 05193Fiche technique23342 caractères23342
Temps de lecture estimé : 14 mn
16/11/02
corrigé 08/11/16
Résumé:  Pas facile d'être un laideron lorsque l'on est cernée de jolies filles, quoique...
Critères:  ff jeunes copains laid(e)s école volupté cunnilingu anulingus 69 fgode fdanus init ecriv_f
Auteur : Nathalie 3  (Nathalie)      
Cité U

25 septembre


Il faut que je pense à m’acheter une mitraillette, des grenades, un lance-flammes et un couteau de chasse. Combien de fois me suis-je imaginée en treillis, armée jusqu’au serre-tête, patrouillant dans les couloirs et faisant sauter, une à une, des chambres pleines de Barbies, toutes plus stupides et détestables les unes que les autres.


Je les hais.


Je sais, je sais, c’est pas joli-joli d’être amère parce qu’on est moche, mais bon, lorsque l’amertume tourne à la rage, ça donne ce qui pour moi se rapproche le plus de l’orgasme. Je prends un pied fou à visualiser des pogroms de blondinettes, des charniers de gravures de mode, des génocides de taille mannequin.


Faut dire que l’environnement n’est pas fait pour ménager mes petits nerfs de laideron, j’habite à la cité universitaire pour filles d’une ville du sud.


Je suis étudiante en communication, je me suis trompée de voie, ce sont des statistiques que j’aurais du faire, j’y aurais peut-être compris un des grands mystères de ma vie : pourquoi la proportion de moches est-elle ridicule, dans les universités du sud de la France ? POURQUOI ?


Aujourd’hui, c’est le pompon, le destin s’acharne. Non content de m’affubler d’un physique grotesque, Notre Père qui est aux cieux, a décidé de l’humiliation finale : cette année je partagerai ma chambre avec une « collègue » étudiante. Moi qui tenais ma solitude comme le dernier rempart de ma dignité, c’est bien de la veine.


Chambre 34 : Josiane Balasko et Laetitia Casta, à tous les coups, avec ma chance, ma colocataire viendra grossir les hordes de bellasses fadasses, il faudra que je l’entende fanfaronner des heures sur ses multiples petits amis, que je l’aide à choisir les microtissus avec lesquels elle cachera son fessier de rêve, que je l’entende me donner des conseils stupides pour faire « ressortir ma beauté intérieure » et j’en passe.


Voilà à peu près l’état d’esprit dans lequel je suis, lorsqu’on frappe à la porte (« toc-toc-toc. Qui est là ? 90-60-90 ! Grrrrr. »)

Évidemment.

Elle est là, devant la porte, avec deux petites valises.



J’ai du mal à ne pas hurler ma douleur : elle est sublime ! Une beauté fragile, des membres fins mais ronds, un port de tête haut mais humble, un regard limpide mais maladroit.

Je vais souffrir le martyre.




25 Octobre


Surprenante. Outre le fait qu’elle soit tragiquement belle, Sandrine est surprenante.

D’abord, elle est loin d’être idiote (il faut que je revoie mes préjugés), étudiante en économie, elle est également incollable sur la philosophie, la littérature du 19e, la peinture, la bonsaï-culture et la cuisine.


Ensuite — et c’est là le plus surprenant — elle est maladivement rongée par la timidité, pire que moi ! Elle en est à un tel point qu’elle ne sort quasiment jamais, ne parle que très difficilement, et, au final, sa vie sociale est presque aussi vide que la mienne.


Pour finir, et c’est ce qui la rend attirante, elle doute. Elle doute de tout. Elle doute du douteux (les informations télévisées, l’enseignement, la météo, les religions), elle doute de l’acquis (la suprématie de l’homme sur les animaux, la nécessité d’une vie en société, les sciences « exactes ») et elle doute de l’indubitable (sa beauté, son intelligence, sa place sur la planète).


Ça fait un mois qu’on vit ensemble (vu qu’on ne sort ni l’une ni l’autre, il s’agit bien de 30 jours complets et intensifs), et j’avoue que sa présence me fait du bien. Je caresse même l’idée de m’en faire une amie et je suis sûre que de son côté, je lui plais bien aussi. En un mois, elle a reçu quatre coups de téléphone, les quatre de sa mère. Elle ne reçoit pas de courrier, n’a pas épinglé de photos d’hommes sur les murs, n’a pas mis de tenues sexy, n’a pas roulé un joint, pas bu une goutte d’alcool.


Cette fille est une énigme, elle titille ma curiosité et — foi de boudin — je vais creuser, je finirai bien par trouver ce qu’elle renferme.




25 Novembre


Ça y est, on en est aux confidences.

Il faut dire que j’ai un peu fait le forcing, je suis arrivée hier avec une bouteille de whisky et une bouteille de Schweppes.


Ça couvait depuis un moment, on se tournait autour, on parlait peu, mais juste, on se comprenait pas mal, et on se sentait toutes deux des affinités. Alors voilà, hier, on a pris une cuite, histoire de se dire tout une fois pour toutes et de sceller une amitié qui, sans l’aide du jus de malt, aurait mis des mois à percer.


Passé la demi-bouteille, je lui ai montré mes deux amis en plastique, j’ai cru qu’elle allait nous faire un arrêt cardiaque, elle n’avait jamais vu de godemiché !



Elle ponctue ma blague d’ivrogne d’un petit rire nerveux assez charmant, qui laisse paraître une rangée de dents trop parfaites.



J’étais loin de m’être douté de ça, mais j’avais tapé dans le mille : miss univers en expansion était plus pucelle que Jeanne d’Arc !

Elle n’eut pas besoin de me répondre, la couleur écarlate de son front valait un NON hurlé à pleins poumons (qu’elle avait très jolis aussi, vous l’aurez deviné).


J’ai donc passé le reste de la bouteille à raconter à Sandrine mes lamentables expériences sexuelles glanées à la faveur d’un bistrot sombre où l’alcool est plus fort que la lumière des plafonniers.

Nous avons toutes les deux beaucoup ri à l’évocation de ces malheureux coïts et l’ambiance en fin de soirée était totalement relâchée.


Elle m’a été reconnaissante de ne pas faire grand cas de son pucelage, et d’en faire moins grand encore de mon « expérience » dans un domaine qu’elle ignorait totalement.


De mon côté je sentais de moins en moins la barrière entre ma laideur et sa beauté, et de plus en plus l’attirance que j’éprouvais pour elle. À l’usage, elle valait cent fois mieux que tous les hommes que j’avais jamais rencontrés.




25 Décembre


Mon cadeau lui a plu, le sien m’a comblé.

On a toutes les deux usé d’un prétexte fallacieux pour échapper au réveillon familial, il était entendu que nous passerions Noël ensemble.


Pour l’occasion, j’avais racheté une bouteille de Haig et une de tonic, et Sandrine nous avait préparé une dinde (je ne comprends toujours pas comment elle avait fait pour mettre la dinde dans notre petit four d’étudiantes).


Nous avons passé un réveillon délicieux, à nous moquer, pêle-mêle, de nos collègues, des profs, de nos familles et tout le toutim : deux femelles en roue libre.

Lorsque minuit a sonné, nous étions toutes deux passablement éméchées mais très heureuses et épanouies.



Je me précipite dans la chambre (non sans me déboîter l’épaule contre le chambranle de la porte, whisky oblige) et en ramène mon paquet.



Elle ouvre son paquet avec des étoiles dans les yeux, juste le temps pour moi de penser qu’elle est belle à en couper le souffle.



Et en prononçant ces mots elle laisse glisser sur son corps l’ensemble soyeux qu’elle portait.

J’en reste sans voix. Ses seins sont deux pures merveilles ; fermes, lourds et laiteux avec deux petits tétons nacrés qui invitent au baiser, sa taille est d’une finesse hallucinante et dessinée dans une courbe indescriptible qui ne se résout sûrement pas en équation.


C’est à ce moment-là que je comprends que j’attendais cela depuis trois mois, que j’y avais travaillé. Au pied du mur, je me sens paralysée. Je n’ai jamais eu de relation avec une femme, et encore moins avec un top model fascinant. C’est Sandrine qui fait le premier pas. Elle penche le parfait ovale de son visage vers le mien, m’embrasse légèrement sur le coin de la bouche et murmure à mon oreille :



Ce baiser et ce murmure suffisent à me liquéfier, je suis maintenant totalement fébrile, à deux doigts de l’apoplexie, ma belle assurance s’est fait la malle.

Elle est maintenant en train de me déshabiller et je reprends mes esprits :



Évidemment, elle a raison. Je capitule donc, l’aide à ôter mes vêtements et nous nous retrouvons rapidement toutes deux nues, au milieu de la pièce. Sans répugnance, Sandrine laisse aller ses doigts sur mes épaules tout en m’encourageant du regard. J’aventure maintenant mes doigts sur son corps. Mon Dieu que sa peau est douce ! Je caresse doucement la naissance de ses seins, là où la peau semble vierge, le désir monte en moi doucement et l’angoisse s’apaise.


Nos corps, comme mus par une énergie extérieure, se rapprochent l’un de l’autre, mes seins touchent les siens et ce simple contact ressemble à un coup de poignard.


Avec la différence de taille, sa poitrine est presque posée sur la mienne, ses tétons sont déjà durs et les miens presque douloureux. Le désir m’emporte et je me hisse sur la pointe des pieds pour atteindre sa bouche, tout mon corps se hisse contre le sien, c’est une délicieuse friction, mon bas-ventre en est tout frémissant et je suis sûre de commencer à mouiller.


Notre baiser chaste se transforme vite en baiser passionné, sa bouche s’entrouvre, puis nos langues se rencontrent, timidement d’abord, puis plus sûrement. C’est le meilleur baiser que j’aie jamais reçu, plein de tendresse et de désir. À ce moment précis je suis amoureuse, je ne veux d’elle que son bonheur. Sa salive a le goût du meilleur miel, sa langue est douce, chaude et soyeuse. Je ferme les yeux, comblée.

Nerveuse, je romps la gravité de l’instant :



Je la prends par la main et l’entraîne vers le canapé mousse, bon marché.

Ma jambe, maintenant, est contre la sienne, je détaille son minou et, comme de bien entendu, il est à l’image de sa propriétaire, sa toison est lisse et claire, parsemée de poils fins et soyeux, je jurerais sentir son odeur chaude et légère. En détaillant, on aperçoit sous cette forêt, un petit papillon nacré. Je crève de goûter ses ailes, mais il n’est pas encore l’heure, il faut prendre son temps, laisser monter le désir.


Je passe mon index sur ses lèvres, elle ferme les yeux et dépose un baiser sur mon doigt, puis sa langue vient à sa rencontre et mouille doucement ma phalange.



Je ne me fais pas prier, et je laisse ma main se promener sur ses seins, mes doigts se rapprochant perfidement de leur centre, mon pouce enfin se repose sur l’extrémité de son sein droit. Doucement, je le tourne, accentuant peu à peu la pression sur son bouton.

Je sens maintenant ses doigts autour des miens, c’est délicieux. Par ses caresses, elle m’invite à plus de fermeté, elle me serre les tétons sans ménagement. Dieu que c’est bon !



Incroyable ! Elle prend le dessus de notre relation saphique, alors même qu’elle est vierge de partout. Il est temps que je me ressaisisse !



Cette diablesse a compris que je me vexais, et prend le temps d’un petit sourire ironique avant d’enfermer mon téton gauche entre ses lèvres, exquise caresse. Je sens bientôt ses dents poindre, elle me jette un regard interrogateur.



Je suis maintenant tout entière à mon excitation et n’éprouve plus aucun type de gêne. Pour lui montrer ce que j’aime, je me penche à mon tour vers sa poitrine, nous sommes maintenant dans une espèce de 69 pulmonaire, léchant chacune un téton de l’autre.


Sandrine répond à mes caresses en gémissant, et ne tarde pas à comprendre que je la lèche comme j’aime être léchée. Nos baisers prennent un tour plus sauvage et nous jouons maintenant toutes deux des dents et de la langue, les seins érigés, les bouts durs comme l’acier. Négociant une nécessaire transition, je glisse maintenant ma main vers sa chatte et lui caresse doucement l’intérieur des cuisses.



Encouragée, je balaie maintenant sa toison pubienne, délicatement, rapprochant imperceptiblement mes doigts de ses lèvres. Je sens sa chatte gonflée de désir et risque un doigt à l’entrée de son vagin. La pucelle mouille invraisemblablement.



Mon index et mon majeur sont trempés du jus de Sandrine. Ne pouvant me retenir, je les porte à ma bouche et goûte ce nectar : un vrai délice de saveurs épicées.



Et, joignant le geste à la parole, je replonge mes doigts vers son sexe béant. À nouveau, j’y rencontre une humidité digne d’une zone tropicale, à la saison des pluies. Je l’invite ensuite à goûter sa propre cyprine, elle hésite d’abord, puis lèche avidement mes doigts, me procurant une nouvelle sensation. J’imagine déjà sa langue sur mon sexe et ne peux réprimer un gémissement de plaisir anticipé.



Une immense vague de tendresse m’envahit et je me précipite presque, pour lui donner un baiser appuyé, passionné, amoureux.


Décidant de ne plus lâcher ma proie de la bouche, j’accélère le rythme de notre étreinte et dirige mes baisers au sud tous azimuts. Je lèche consciencieusement ses tétons, alors qu’elle s’abandonne à mes caresses, délaissant mon corps pour se concentrer sur son plaisir. Cette idée me plaît. Après tout, je suis censée être une espèce d’initiatrice, même si jamais je n’avais parcouru de corps féminin.


C’est donc doucement, et à pleine langue, que je lui tire des soupirs de satisfaction, des « oh ! » de surprise et des « oui ! » d’enthousiasme. Mais déjà, elle encourage ma hardiesse en pressant doucement mon crâne vers son ventre.


Poussant mon avantage, je décide de la surprendre, et alors que ma bouche parcourt ses cuisses, je la fais se déhancher pour que ses fesses ne reposent plus sur le sofa. Attrapant ses jambes, je les pose sur mes épaules, écarte ses fesses de mes deux mains, et plonge rapidement ma langue vers son anus.


Elle ne peut retenir un sursaut de surprise et décolle promptement son petit trou de ma bouche, puis, comme je m’y attendais, elle se ravise, reprend position et, plus fort encore :



Et comme pour m’assurer de son concours, elle repousse mes mains et écarte elle-même ses deux ravissantes fesses, exposant tout entier son anus à ma bouche.


J’y replonge illico, tête la première, grisée par cette saveur âcre et nouvelle, mon plaisir est total, ma langue explore là ou personne n’est allé, et mon nez s’enivre des parfums émanant du sexe de Sandrine.


Celle-ci, visiblement, apprécie la caresse, et, plus encore, lorsque de ma main droite je me mets à masser son clitoris. Je suis au paradis, moi, le laideron incassable, je suis en train de donner à une princesse ses premiers émois sexuels. Cela suffirait presque à mon bonheur.


Ma langue, maintenant chargée d’arômes exquis, entreprend des voyages plus longs sur les zones sensibles de ma dulcinée, et je la lèche amplement de l’anus au clitoris, lui arrachant à chaque passage des gémissements extatiques. Puis, voyant Sandrine au bord de l’orgasme, je concentre mes efforts sur son clitoris, et, tout en introduisant mon pouce dans son vagin et la pointe de mon majeur dans son cul, j’entreprends de lécher son bouton sur un rythme plus techno que soul.


Sandrine est déchaînée, son corps se tend, et enfin, je sens son orgasme l’entraîner dans d’hystériques et incontrôlables soubresauts. Je m’aperçois dès lors que j’ai adoré la faire jouir, que, peut-être, je devenais lesbienne et que, quoi qu’il en soit, je n’en avais rien à foutre tant que j’étais avec elle.



Tu parles d’un Noël ! Le petit vieux en rouge, avec sa tête de pochtron et sa barbe séculaire, existe bel et bien, pour qu’une fille comme Sandrine me dise de telles choses !

Avant qu’elle n’ait pu se raviser, je m’étais installée à califourchon au-dessus de son visage, prête pour un 69 que je sentais mémorable.


C’est pleine d’enthousiasme qu’elle m’attaque le minou, y enfonçant sa langue faite musclée pour l’occasion, puis se radoucissant, elle gobe doucement mes grandes lèvres avant de lécher longuement ma chatte suintante de bonheur.


De mon côté, mon champ de vision élargi, j’aperçois le gode tout neuf, qui, de dépit, tenait sur la table compagnie à une dinde peu ragoûtante. Notre chambre est si petite que je me saisis de l’objet, sans même décoller le cul de la bouche de ma colocataire. Pleine d’attention, je m’étends alors sur son ventre, pour la préparer à réceptionner l’engin (choisi — tout de même — de taille modeste). Je m’attelle donc à relaxer Sandrine, d’abord avec ma langue, puis avec un doigt, puis avec deux doigts que j’enfonce précautionneusement dans sa chatte de pucelle. Enthousiaste, ma victime accompagne mes assauts de son bassin, tout en continuant à me donner un plaisir inconnu jusqu’alors.


La sentant prête, je frotte maintenant le popol contre son clitoris. Réalisant ce qui se passe, elle passe elle aussi à l’inédit, en me léchant l’anus. Cette garce avait raison, la sensation est extrêmement plaisante et nous sommes deux maintenant, à mettre à rude épreuve le sofa Ikea, tortillant nos postérieurs de tous côtés et gémissant de concert.



Abandonnant là mes derniers scrupules, j’introduis doucement l’engin dans le trou de Sandrine.

Comme pour m’encourager, sa langue redouble d’agilité et je me demande si je tiendrai longtemps sous son feu.


Peu à peu la bite plastifiée gagne du terrain, et rapidement les couilles seules apparaissent au jour. Je décide de l’y laisser un instant et reprends mon léchage de bouton. Doucement, enfin, j’entame un lent mouvement de va-et-vient avec le gode, tandis que Sandrine, loin de me laisser du répit, fait aller et venir sa langue sur tous mes orifices disponibles.


Tout s’accélère. Conjointement, je sens ma partenaire prise de frénésie orale, et lui réponds à coups de gode, de plus en plus accentués, tout en savourant le goût délicat de sa vulve. Nous gémissons toutes deux avec force, et je sens un orgasme tsunami naître dans mon ventre. Énergisée, je pistonne maintenant Sandrine à toute berzingue, et, loin de s’en plaindre, celle-ci entreprend de me ficher deux doigts dans la chatte et un dans le cul. Quelle bonne idée ! Il n’en fallait pas plus, et en quelques secondes de ce traitement de choc je me laisse aller, inondée par un plaisir comme jamais je n’en ai ressenti. Galvanisée sans doute par le cri que je pousse en jouissant, Sandrine, à son tour se tétanise, saisit le gode à deux mains, et dans un rugissement se l’enfonce aussi profondément que possible, crispée dans son plaisir sur ce nouvel engin.


Il nous faut quelques minutes pour récupérer de cette équipée sauvage, quelques minutes pendant lesquelles je me dis que jamais je ne me suis sentie aussi bien.

Comme dans un rêve, mon ange se penche sur moi :



Elle m’embrasse et rajoute :



Elle rougit un peu, à cette remarque :





(Nouvelle correction : 11/2016)