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24/11/02
Résumé:  Clémence doit faire un stage ; Jacques lui trouve une entreprise
Critères:  fh ff amour strip intermast 69 fgode pénétratio fdanus fsodo init
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message

Série : Les débuts de Jacques

Chapitre 05 / 05
Le stage



Cet appel d’Aline soulage Jacques. Depuis leur dernière rencontre il n’avait pas osé l’appeler, encore moins la rencontrer, maintenant qu’elle était avec Pierre. Il va pouvoir renouer sans avoir à faire le premier pas.

Dès son arrivée, il la prévient. Elle l’invite à venir partager leur repas le lendemain midi. Armé d’un bouquet, il sonne et, comme à l’ordinaire, c’est Clémence qui lui ouvre et se précipite pour l’embrasser.



Aline apparaît, lui sourit et l’embrasse amicalement sur les joues.



Et tout le groupe va prendre l’apéritif. Le repas est animé, chacun voulant connaître les activités de l’autre. Et c’est ainsi que le problème de Clémence vient dans la discussion.



Jacques sait que dans son travail, on embauche des stagiaires surtout si elles sont recommandées. Aussi, il obtient facilement l’accord pour Clémence.



Aline a rappelé Jacques pour lui donner la date où Clémence serait libre. Accord a été pris et cette dernière a pris le TGV pour rejoindre la capitale. À l’arrivée, elle se trouve perdue sur ce quai noir de monde. Mais Jacques, comme convenu, l’attend près de la sortie. Elle lui saute au cou :



Et il la guide dans les couloirs, lui indiquant la façon de trouver son itinéraire, de se repérer. Ils arrivent à l’immeuble.



Pendant le repas, il lui explique ce que sera son entretien et les particularités de l’entreprise.

Le lendemain, ils rejoignent leur lieu de travail, Jacques la laisse entre les mains d’une secrétaire qui la conduira à son rendez-vous, puis la quitte.



Comme convenu, Jacques passe le soir prendre Clémence. Il la trouve en compagnie d’Isabelle, la secrétaire à qui elle a été confiée pour la mettre au courant du travail. D’entrée cette dernière, quand elle a appris qui lui avait fait obtenir ce stage, a souri, elle le connaît bien pour avoir passé quelques moments agréables. Aussi, à son arrivée, il est accueilli chaleureusement :



Et ainsi tous deux rentrent à l’appartement ; chacun de leur coté, ils travaillent, l’un à classer ses dossiers du jour, l’autre à apprendre.

La deuxième semaine, Jacques doit remplacer un collègue malade sur un secteur éloigné, il ne pourra pas rentrer tous les jours. Il est ennuyé de laisser Clémence seule, et s’en ouvre aux deux femmes. Isabelle, très gentiment s’offre à la loger chez elle, quand il sera absent. Jacques est enchanté, ainsi que Clémence qui s’est liée d’amitié avec elle.

Ainsi le lendemain, elles rentrent ensemble chez Isabelle. Dès son arrivée, cette dernière se met à son aise, se douche et sort toute nue de la salle de bains en chantonnant pour aller dans sa chambre. Clémence, un peu surprise, s’aperçoit qu’elle porte bien son âge, ses seins un peu lourds sont quand même fermes, et son bassin large lui fait un cul somptueux, elle doit faire tourner la tête de bien des hommes.



Clémence décide de jouer le jeu et comme elle, va se doucher et sort dans le plus simple appareil.



Elles se mettent à table, puis après un peu de télé, vont se coucher. Clémence revoit quelques dossiers dans son lit, Isabelle vient en nuisette et lui propose :



Elle s’allonge près d’elle, la conseille, lui explique. Son bras en passant frôle l’épaule, puis le sein. À un moment, elle laisse traîner sa main dessus, le caresse, le tâte. Clémence reste quelques instants immobile, puis se tourne, leurs visages se trouvent tout proches. Isabelle lui prend la tête et l’embrasse sur la bouche. Surprise, elle reste inerte, puis prend goût à la chose et répond avec empressement.



Isabelle prend l’initiative, caresse à nouveau les seins, puis descend vers le pubis. Elle met la main sur la fourche et cherche le bouton. Avec patience, elle le titille, le masse, le pince ; son doigt s’aventure entre les lèvres et cherchent à s’introduire doucement. Clémence est un peu gênée, face à cette femme et elle rend timidement la pareille.



Et Isabelle pivote, son visage à hauteur de la fourche, Clémence se retrouvant dans des conditions identiques. Avec beaucoup de science, l’aînée écarte les lèvres et sa langue lèche la fente, remonte jusqu’au clitoris. Elle frétille et ce mouvement fait tomber les dernières craintes. Clémence ouvre grand ses cuisses et de son côté entreprend de rendre les honneurs à sa partenaire. Sa langue elle aussi goûte à ce morceau, et curieuse, elle aventure ses doigts dans le con ruisselant. Elle en enfonce sans difficulté, un, deux, puis trois. Elle entreprend un mouvement alternatif.



Clémence obéit, son pouce se trouve face à l’œillet sombre. Elle le masse et à un moment elle essaie de l’introduire et surprise, y parvient facilement. Elle prend en pince la mince cloison et agite toujours sa main. Sa langue agissant sur le clitoris bien dressé. Isabelle apprécie ce traitement et crie :



Et replongeant entre les cuisses, elle s’active pour faire partager à son amie le plaisir qu’elle éprouve. Elle y arrive rapidement et les deux femmes retombent sur le coté.

Isabelle se redresse et vient à côté de Clémence.



Elle se lève et va chercher un godemiché de bonne taille.



Et Isabelle prend l’outil à la main, le présente devant sa bouche, le lèche, suce le gland bien imité, se l’enfonce en bouche et simule une fellation. Clémence, ignorante en la matière, regarde et pense qu’elle pourrait ainsi essayer sans danger cet exercice. Son amie devine ses pensées :



Clémence hésite un instant, puis s’en saisit, et imite les gestes qu’elle a vu faire. Son amie pendant ce temps se masturbe, excitée par la vue de cette pipe factice.



Le retirant de sa bouche, elle le présente devant le trou suintant et l’enfonce facilement. Elle l’agite, descend son visage à hauteur du vagin et regarde l’effet de son manège. Les jambes écartées, Isabelle halète, puis à un moment resserre ses cuisses emprisonnant la tête curieuse. La bouche se trouve à hauteur de l’outil, descend plus bas, devant la rosette entrouverte. Agitant toujours le hochet, elle lèche l’entrejambe, glisse sa langue dans le trou du cul. Elle la remplace par ses doigts et bientôt le mouvement est régulier devant et derrière. C’es est trop pour la suppliciée qui explose.



Elles ont discuté une partie de la nuit sur ce sujet. Clémence a avoué pour la première fois qu’elle aime Jacques, Isabelle de son coté, est décidée, sans rien dire à son amie à provoquer cette rencontre amoureuse.


Les deux nouvelles amies sont devenues totalement complices. Clémence apprend beaucoup dans la journée à son poste et donne satisfaction aux supérieurs et encore plus le soir à Isabelle, qui lui enseigne toutes les subtilités de la séduction et de l’érotisme.

Jacques a été absent plusieurs jours et est heureux de voir que les deux femmes se sont bien entendues. Aussi décide-t-il de remercier Isabelle. Pour cela il l’invite le samedi soir au restaurant, puis au spectacle.

Pendant le repas, puis au spectacle, les deux femmes font preuve d’une complicité, dans leurs propos, leurs attitudes qui étonne Jacques. À la fin de la soirée, Isabelle se dit un peu fatiguée et s’invite chez Jacques. Clémence sourit en elle-même car elle sait quels ont été les relations entre eux et comment va finir la nuit. Dès l’arrivée à l’appartement, elle prétexte une grande fatigue et gagne sa chambre. Jacques en profite pour lutiner Isabelle qui répond volontiers à ses avances.



Et Isabelle entreprend un strip-tease afin d’exciter Jacques qui n’en a nullement besoin. Assis sur le lit, il admire le spectacle révélé par la robe qui en tombant révèle des jambes gainées de bas avec porte jarretelle, mais sans culotte. Le soutien-gorge est ajouré et laisse apparaître le bout des seins. Un pied sur la chaise, elle dégrafe les bas, faisant admirer ses fesses et un entrejambe prometteur. C’est le tour du haut, elle saisit ses tétons à pleine mains et vient les promener sous le nez du spectateur.

Mais ce dernier reste immobile, bouillant intérieurement, mais attendant une initiative de sa comparse. Elle se jette sur lui, l’embrasse, déboutonne rapidement sa chemise, lui mordille le torse, arrache les pantalons et le slip et saisit le sexe tenu au maximum.



Et elle la prend en bouche. Il la laisse faire, mais elle est trop experte et il ne veut pas jouir en égoïste. Il la soulève, l’embrasse tendrement sur la bouche et la touche partout. Depuis bien quelques temps, il ne s’était pas retrouvés dans un même lit. Ils refont connaissance, redécouvrent les particularités de l’autre. Jacques pivote pour pouvoir honorer le nid où il va bientôt se réfugier. Il embrasse les lèvres intimes, glisse la langue dans le divin canal, remonte jusqu’au bouton. De son côté elle lèche la queue, embrasse le gland, le gobe, enfonce le tout jusqu’au fond du gosier et le branle avec sa bouche.

Ils font tout cela en silence, mais dans l’encadrement de la porte, une spectatrice suit les évolutions du couple. Isabelle lève les yeux, la voit, lui fait signe d’approcher. Après une hésitation, sans bruit, en se courbant, Clémence vient mettre sa tête à côté de celle de son amie. Celle-ci ressort le morceau de sa bouche et l’invite à prendre sa place, à continuer le travail. Hésitante, elle le prend en main puis en bouche et se rappelle ses exercices sur le substitut en caoutchouc. Elle y prend rapidement goût surtout que sa compagne en profite pour la caresser. Jacques ne peut résister longtemps à ce traitement de faveur et bientôt il explose dans la bouche qu’il croit amatrice de son sperme. La surprise de Clémence est totale, mais le réflexe est bon, elle avale tout ce qui arrive. Isabelle qui a profité des faveurs de son amant prend également son plaisir. Elle se retourne et vient embrasser son bienfaiteur. Celui-ci réalise tout à coup qu’il a des lèvres contre les siennes et d’autres sur son sexe.

Il comprend, se redresse et voit Clémence entre ses jambes. Il est perdu, Isabelle éclate de rire et part en courant.

Les deux jeunes se regardent, lui interloqué, choqué, confus par l’acte qu’il a fait, elle satisfaite de lui avoir fait comprendre qu’elle le veut. Elle s’allonge à côté de lui.



Il s’empare alors de sa bouche qui garde encore le goût de son sperme. Il la caresse comme un objet précieux. Elle, se serre contre ce corps qu’elle a tant désiré. Ils restent enlacés tendrement en amoureux platoniques.



Pour toute réponse Jacques reprend ses baisers, puis se soulevant, il allume la lampe et admire le corps féminin. Il retrouve la beauté d’Aline, mais avec la fraîcheur, la finesse de la jeunesse. Il reste un long moment et c’est elle qui se saisit du sexe encore au repos. Dans sa main, il reprend vigueur, se redresse lentement. À cette sollicitation, il répond par la caresse de cette poitrine qu’il découvre. La fermeté des globes, les bourgeons qui se dressent sous le pincement de ses doigts accroissent encore son désir. Il vient le premier téter ces petits melons fermes. Elle de son côté commence le branle. Il abandonne la poitrine, libère son sexe et vient poser sa bouche sur la fourche. Avec la langue il explore toute la région, les lèvres, le trou encore neuf, le bouton bien caché. Il insiste longuement sur ce point et bientôt les cuisses viennent reposer sur ses épaules et des gémissements prouvent que le traitement est apprécié.



Et elle reçoit le paiement du plaisir qu’elle lui a donné. Il revient à côté d’elle.



Il est profondément touché par ces mots orduriers, dits avec amour. Il se place sur elle, son sexe contre son ventre, comme pour l’habituer à sa présence. Il se frotte contre elle, sa queue empruntant le sillon de sa vulve, le gland taquinant le bouton. Elle glisse sa main entre eux deux, le saisit et lui dit



Il se soulève, elle le met en place, il descend doucement. Elle enserre ses hanches, appuie avec les talons sur son bassin, se soulève et vient ainsi elle-même se dépuceler. Il se laisse descendre sur elle, la pénétrant bien à fond.



Il commence alors le balancement voluptueux. Dans cet étroit fourreau, il est au paradis ; il baise celle qu’il a toujours voulu protéger, et qu’il protègera encore, mais d’une autre manière. Il sent le plaisir monter, ralentit, la regarde dans les yeux et lit une joie intense malgré quelques grimaces involontaires, signes de la difficulté à se mouvoir en elle. Puis la lubrification augmente, il coulisse mieux. Sur le visage, apparaît un sourire de bonheur. Alors il accélère la cadence et c’est bientôt un galop effréné se terminant par une culbute commune dans le plaisir.


Ils restent unis, lui dans elle, elle le serrant dans ses bras, pleurant et riant à la fois : son rêve s’est réalisé. Elle ne pourra peut-être pas en garder l’exclusivité, mais elle sent qu’il aura pour elle un sentiment plus fort que pour les autres femmes. Lui se sent soudain attiré par cette gamine, comprend qu’il ne pourra plus jamais aimer une autre femme sans avoir le sentiment de la tromper.

Ils se séparent enfin, couchés l’un à côté de l’autre.



Ils se parlent longuement, puis la fatigue les saisit et ils s’endorment.

Une odeur de café les réveille, Isabelle est sur le pas de la porte avec un plateau garni. Elle est descendue chercher les croissants.



Et posant le plateau sur une chaise, elle fait sauter sa robe qu’elle avait enfilée sans sous vêtement et se précipite dans le lit de l’autre côté de Jacques.



Isabelle saisit le sexe, celui-ci commence à s’ériger.



Et rejetant les draps, elle porte à la bouche ce qu’elle tenait en main et entreprend une savante fellation. Clémence de son côté embrasse son amant, ses lèvres, sa langue violent la bouche qui veut rester fermée. Mais elle cède rapidement. Les mains de l’homme viennent saisir les seins, les malaxent et agacent les bourgeons. L’une glisse vers le bas entre les fesses, par derrière atteignent le vagin, un doigt y pénètre, puis vient taquiner la rosette, retourne à l’avant. Mais ces exercices manuels, complétés par les bouches qui s’occupent de ses lèvres et de son sexe, l’amène rapidement au plaisir et il éclate dans la gorge d’Isabelle. Celle-ci avale, puis nettoie consciencieusement l’outil.



Ils s’installent tous les trois dans le lit, un peu serrés, mais le contact de leurs corps ne leur est pas désagréable, loin de là. Ils mangent en silence, chacun pensant à la suite à donner à cette première escarmouche.

À peine la collation achevée, Isabelle débarrasse et vient s’allonger, Jacques se trouvant entre les deux filles. Par petites touches, elles l’agace, peignent les poils de son torse, effleurent le sexe, taquinent les bourses, baisent le visage. À ce régime, le désir revient et bientôt le grand mat est hissé. Isabelle attire la tête de Clémence et lui murmure quelque chose à l’oreille. Celle-ci écoute, puis hoche la tête, donnant son approbation.



Clémence se retourne, se saisit du sexe et entreprend une fellation. Jacques se trouvant en position, lui rend un hommage semblable. Les deux amants déploient tout leur savoir. Pendant ce temps, Isabelle vient par l’arrière honorer les fesses de son amie. Sa langue virevolte autour de la rosette, la lèche, rencontrant parfois la langue de l’homme. C’est un baiser entre eux, honorant simultanément les antres du plaisir. Jacques glisse un doigt puis deux dans le vagin. Isabelle, elle enfonce doucement un des siens, bien mouillé, dans l’anus. Elle parvient à l’introduire complètement et bientôt, les doigts des deux mains entament un ballet, se percevant à travers la fine cloison. L’effet est terrible pour Clémence qui bientôt lâche le morceau qu’elle tétait et remonte contre Jacques. Elle lui tourne le dos afin qu’il puisse mieux saisir ses seins. Le visage d’Isabelle descend à hauteur des sexes des amants, prend la queue et la glisse en place. Ils font l’amour, lentement pour ne pas blesser la nouvelle amante. La langue de la complice lèche les sexes, augmentant leur plaisir. Puis Clémence se dégage, son amie saisit le sexe et vient le placer contre la rosette. Et les deux femmes travaillent afin qu’il entre dans ce nouveau conduit. Jacques est surpris, puis comprend le sens de leur conciliabule. Alors il entre dans le jeu, et un peu dans le cul. C’est difficile, mais la langue burette d’Isabelle vient graisser le piston pendant que son doigt excite le bouton de démarrage du plaisir. Et bientôt le gland passe, provoquant un petit gémissement, les fesses se relâchent, s’écartent au maximum et tentent de reculer pour mieux recevoir l’intrus. Et après quelques instants d’effort, le bassin vient buter contre les fesses. Afin de soulager la patiente, Isabelle s’occupe de la partie avant, de la langue, des doigts elle excite le sexe, faisant ainsi oublier la douleur de l’intromission. Bientôt elle est récompenses, la source recommence à suinter.



Et en amant obéissant, Jacques commence à se mouvoir dans ce tuyau qui le serre si bien. Isabelle à chaque passage lèche la queue afin qu’elle ne blesse pas. Ces actions conjuguées ont vite fait de faire jouir Jacques qui s’immobilise lâchant son sperme dans les entrailles. Isabelle de son coté, s’occupe activement de son amie afin qu’elle ne reste pas frustrée et bientôt Clémence a un orgasme lui faisant oublier le mauvais moment précédent.



Clémence, toujours chevillée, lui sourit et lui dit :



Jacques se dégage du corps de sa maîtresse, la regarde et lui sourit.



Isabelle éclate de rire et vient les embrasser tendrement tous les deux.


Le lundi, le stage a repris, et s’est terminé dans de très bonnes conditions. Clémence a beaucoup appris à Paris, et quand elle est redescendu avec Jacques chez sa mère…

Mais comme dit Rudyard Kipling « ça c’est une autre histoire ».