Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 05263Fiche technique14225 caractères14225
2397
Temps de lecture estimé : 10 mn
02/12/02
Résumé:  Désormais il ne reste plus que Russel pour sauver le monde. Y parviendra t-il? Le veut-il?
Critères:  #sciencefiction fh ffh intermast cunnilingu anulingus fdanus attache
Auteur : L Homme Poireau

Série : Un autre monde

Chapitre 03 / 03
H-16


Il est conseillé pour la compréhension du texte de lire les 2 premiers chapitres.



Comment tout a commencé?

Je l’ignore. Depuis quand sont- elles sur Terre? Pourquoi font- elles cela?

Je ne sais pas, et à vrai dire, je m’en fiche au plus haut point.

Nous avions cru pouvoir leur résister. La bonne blague! Autant bombarder un tank de boulettes de papiers.

Une larme roula sur ma joue poussiéreuse lorsque je pensai à Fred. Ma pauvre Fred…Murdoc…Bill…et Delcio…

Et toute la population de la planète allait connaître le même sort.

Nous nous étions bien fait avoir. Elles nous attendaient.

En un instant, elles avaient massacré Fred, lui ouvrant la gorge. Puis Bill fut décapité; et enfin Murdoc tenta de s’enfuir, et perdit sa tête lui aussi.

Je m’étais évanoui.

Les zaordanes avaient finalement gagné. C’était prévisible.

Des extra- terrestres se nourrissant de flux humains, ayant l’apparence de bombes sexuelles féminines, auquel aucun homme ne résiste sans Dévroxine.

La dévroxine est un puissant calmant qui agit sur les pulsions sexuelles. Le hic, c’est que je n’en avais plus. Bientôt, je ne pourrais leur opposer la moindre parcelle de résistance.

Question de temps.


Péniblement, je relevai la tête et contempla la dizaine de Zaordanes qui s’affairaient dans le salon de la suite. C’était leur quartier secret. Une banale suite dans un hôtel grandiose.

Elles étaient toutes plus belles les unes que les autres. Corps divins, visages sublimes, blondes, noires, rousses, asiatiques…

Je déglutis avec mal.

Enchaîné au mur, je ne pouvais rien faire. Personne ne savait où j’étais ni même ce qui se passait.

Le Vatican et ses hommes étaient mon dernier espoir.

Sur le sol était dessiné un Pentagramme aux formes complexes. Pas besoin d’être un génie pour comprendre que le rituel de l’apocalypse se préparait.



Mon équipe était décimée. Ma seule famille qui me restait.

Le soleil se couchait, je le regardai attentivement par la fenêtre, car c’était assurément la dernière fois que je le voyais. Magnifique, il se couchait derrière les immeubles.

Les Zaordanes s’affairaient autour de moi. L’une d’elles me fixait. Je ne soutenais pas ses yeux mais sentais le poids de son regard. Il ne fallait pas que je craque maintenant. Tenir le plus longtemps possible.

Mes bras me faisaient mal, j’ignorais depuis combien de temps j’étais attaché. Je fis craquer mon genou.

Je pouvais percevoir leur beauté sans les voir. C’était très impressionnant. Mon cœur battait à cent à l’heure.

Pauvre Russel, tu es mal barré.


Je crois que je dormis un peu. Difficile à dire. Je revis ma Caroline. Mon unique amour que cette Zaordane masculine m’avait volé.

Je revis ses magnifiques cheveux bruns, son si doux visage…

Je l’aime tant. Elle m’a rendu si heureuse.

Brusquement, je ne suis plus attaché, dans cette suite, je suis dans ses bras, dans notre ancien lit. Mes doigts courent sur sa peau nue, nos lèvres s’unissent et se désunissent. Elle gémit quand je l’embrasse dans le cou, elle me serre fort dans ses bras.

Ma langue se glisse doucement entre ses petits seins si adorables, je les embrasse et les lèche longuement. Son corps se crispe sous mes baisers, je me sens puissant entre ses bras, si fort, si complet.

Elle écarte lentement les jambes, me dévoilant son intimité. Tendrement, je dépose un baiser sur son nombril, puis descend plus bas. Son souffle s’accélère et elle saisit ma tête entre ses mains.

C’est alors que j’entends cette voix qui hante mes rêves.



Ma langue s’enfonce très lentement dans son vagin



J’ouvre les yeux et je suis toujours là, attaché.



Une femme se dressait devant moi, magnifique, sublime, une déesse à la peau basanée et aux cheveux tissés.



Elle éclata de rire et me dévisagea.



Elle secoua la tête d’un air navré.

Elle triturai nerveusement un petit collier de sa main droite.



Elle eut l’air surprise.



Elle jubilait et était nerveuse à la fois. Derrière elle, les autres semblaient dans le même état.



Je serrai les dents.

Elle se tourna lentement et je me surpris à admirer ses hanches larges.

Non, ça commençait…non!

Elle portait un jean serré et me montra ses petites fesses toutes serrées.



Elle ôta son jean très lentement, me dévoilant ses fesses, ses cuisses fuselées, sa peau café au lait qui me fit presque bander.

Je vidai mon esprit, essayant de retarder l’inévitable.

Rassemblant mes dernières forces, je crachai sur son cul. Grossière erreur.

Elle trembla et gémit.



Je rejeta la tête en arrière.

La créature partit dans un délire et me suppliait.



Elle haletait, excitée en quelques secondes.



Une sublime zaordane, d’apparence camerounaise, se mit à genoux et glissa sa langue dans la raie des fesses de la créature. Celle- ci hurla son bonheur, si fort qu’on aurait pu croire à une simulation, mais je connaissais assez bien ces ordures pour savoir que ce n’était pas de la simulation.

La langue habile lécha sauvagement l’anus; perversement et avidement, parcourant toute la raie du monstre. Elle hurlait comme une folle, tremblait et se tordait. Les mains de la camerounaise la maintenait contre elle, elle embrassait les fesses du monstre. D’un coup, elle jouit. La cyprine coula le long de ses cuisses et la camerounaise se releva en donnant une petite tape sur le cul de la zaordane.



Elle renfila son jean et me jeta un coup d’œil.



Et alors j’éclatai en sanglots.


La nuit tombait. Mon estomac gargouillait furieusement et mon esprit s’échauffait. Je ne pouvais pas bouger, mes poignets me faisaient atrocement souffrir.

Les Zaordanes étaient de plus en plus excitées. Je le voyais à leurs mouvements. Elle se collaient les unes aux autres, s’attrapaient par la taille, s’embrassaient dans le cou.

C’était répugnant.

Je bougeai un peu, essayant de dégourdir mes muscles endoloris.



La zaordane aux cheveux tissés était plus excitée que les autres. Ses mains allaient et venaient sur son corps, s’attardant sur ses seins, ses fesses, le creux de ses cuisses. La camerounaise l’attira a elle et l’embrassa fougueusement, à pleine bouche. Doucement, elle releva son t- shirt moulant et lui téta le bout des seins. La créature gémissait fortement, ses plaintes sourdes envahissaient la suite. Amina lui pelotait les fesses à travers son jean et semblait également être très excitée. Les yeux clos, elle savourait les seins de sa copine.

Je détournai le regard.



Car je sentais une certaine chaleur qui montait en moi. Les cris du monstre étaient très excitants.

Une des créatures, blonde, au corps superbe, plein, aux seins tenant difficilement dans son soutien-gorge, s’approcha de moi. C’était elle qui avait tué Bill.



Elle se posa un doigt sur les lèvres. Ses mains se posèrent sur mon crane et elle ferma les yeux.



Et alors je vis à travers les yeux de Bill, je vis ce qu’il s’apprêtait à faire, tout ça pour me sauver car j’avais été contaminé par une Zaordane et qu’il n’existait qu’un antidote. Une épreuve de plus dans notre bataille. Il me sembla que tout cela remontait à des siècles.

Je voyais comme Bill. J’étais Bill…


"B I L L



C’était une opération extrêmement délicate. Ils nous fallaient récupérer la cyprine de cette Zaoprane et ainsi sauver Russel. Donc il nous fallait la faire jouir.

Je pris une profonde inspiration et avalai trois cachets de Devroxine. Fred, elle, m’assura qu’elle allait mieux et qu’elle saurait se contrôler.

Je lui fis confiance.

C’est ainsi que nous rentrâmes dans la chambre. La créature était toujours attachée au mur. En nous voyant entrer, elle sourit. Aucun désir ne me submergea: les pilules agissaient. Fred restait impassible et s’approcha avec précaution.

La Zaoprane était sublimement belle, bien sûr: son visage était très jeune, son corps plein, ferme et désirable. Deux superbes seins, ronds et de très bonne taille, de longues jambes et une croupe tout ce qu’il y a de plus alléchant.

Le temps nous était compté.



Je me tournai vers elle.



Elle ne répondit pas et s’agenouilla devant l’extra- terrestre. Lentement, elle enleva le pantalon de coton blanc, découvrant deux jambes parfaites, galbées, à la peau basanée caractéristique des métisses.

Je m’accroupis à mon tour. Le bassin de la créature vint à me rencontre. Bien sûr, elle croyait que nous avions craqué. Un léger rire s’échappa de ses lèvres pleines.

Mes mains se posèrent sur les hanches, puis firent descendre lentement un string noir. Fred gémit en apercevant la fine toison noire, minutieusement épilée.



Fred se mit alors derrière la Zaordane, ayant ainsi une parfaite vue sur un petit cul qu’elle flatta de la main. Il fallait se dépêcher. J’écartai les cuisses de la créature, sentant au passage un délicieux parfum de fraise.

Ma langue se glissa entre les lèvres de la Zaordane, celle- ci eu un râle de plaisir. Mes deux mains sur son bassin la maintenait fermement contre moi.

Je dégageai le clitoris de deux doigts, promenant le bout de la langue dessus.

Elle dut sentir nos intentions, car les râles de plaisir devinrent des murmures d’angoisse. Ma langue allait et venait sur les parois vaginales, fouillant la chair de ses petites et grandes lèvres, que je léchai du bout de la langue. De son côté, Fred passait sa langue sur toute la raie des fesses, les embrassant parfois. La Zaordane frémissait et essayait de se dégager, mais enchaînée comme elle était, c’était impossible. Elle fit alors de son mieux pour se retenir de jouir.

Mais à nous deux, elle finirait bien par craquer, à un moment ou à un autre. Fred ramena ses doigts vers l’avant, les glissa dans l’ouverture désormais brûlante de l’extra- terrestre. Ma langue les accompagna, tapota le clitoris qui gonflait de désir. La langue de Fred humecta le rectum, tandis que mes lèvres suçaient son clitoris.

Sous ce traitement elle ne tiendrait plus longtemps.

Nos léchouilles devinrent gourmandes, effrénées. Fred prenait visiblement un énorme plaisir à glisser sa langue entre les fesses serrées de l’extra- terrestre, et rien n’indiquait qu’elle comptait arrêter son anulingus.



Ses paroles me firent craindre le pire. Elle aimait cela.



Elle avait les yeux clos, on aurait dit qu’elle léchait une glace. Il fallait faire vite. Fred devait prendre absolument de la Devroxine. Ses paroles devenaient obscènes, crues, jamais je ne l’aurais cru capable de telles paroles. J’essayai tant bien que mal d’accélérer mon cunnilingus mais cette saleté d’extra- terrestre se retenait.



C’était critique. Elle glissa deux doigts dans le rectum de la Zaordane, les fit tourner lentement, puis les retira et se les fourra dans la bouche, les lécha.



Tant pis. Quitte à tout faire rater, ma tête ressortit des cuisses de la créature.



Mais elle ne m’écoutait pas.



Je replongeai aussitôt ma tête dans le passage humide. Russel et Murdoc arrivèrent en courant, armes aux poings. Ils saisirent Fred qui se mit à glapir.



Elle se débattait comme un beau diable, alors Russel l’assomma.



J’avais répondu sans relever la tête. Mes lèvres tétaient le clitoris qui se chargeait en cyprine. Ma langue allait loin, loin dans le vagin et je crus déchirer le tendon qui la retenait.

Mais rien à faire.

Je pris alors mon colt dans ma ceinture. La Zaordane eut un gémissement de peur. Lentement, j’enfonçai toute la profondeur du canon en elle. En même temps, je glissai deux doigts dans son anus, très facilement après l’anulingus de Fred.

La Zaordane hurla, et ce fut un ruissellement de cyprine qui coula le long du canon et sur les cuisses. L’orgasme déchira la créature qui hurlait comme une folle.

Partie gagnée.

Je me relevai, les mains pleines du liquide qui sauverait mon ami.

C’est alors que je vis que la créature s’était détachée et qu’une autre se glissait derrière Fred.



Je revins à moi, dans mon corps. La tête me tournait et j’avais envie de vomir. Des étoiles dansaient devant mes yeux. La créature me surplombait et lorsqu’elle me vit reprendre conscience, elle murmura:



A suivre.