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03/12/02
Résumé:  Nous sommes invités ce soir chez Marc et Muriel, un couples d'amis que nous connaissons depuis pas mal d'années.
Critères:  2couples fbi grossexe strip photofilm intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo hdanus échange
Auteur : Christian 4  (Christian)            Envoi mini-message

Série : Les aventures de Chris et Véro

Chapitre 01 / 03
Un soir chez Marc et Muriel


Nous sommes invités ce soir chez Marc et Muriel, un couple d’amis que nous connaissons depuis pas mal d’années. De la salle de bains me parvient la voix de Véronique, mon épouse, qui me demande de lui amener ses affaires qu’elle a oubliées dans la chambre. Je m’y rends donc et découvre sur le lit la tenue qu’elle a prévu de mettre. Je lui amène et la regarde s’habiller.



Nos amis habitent à une quinzaine de kilomètres de chez nous et il ne faut guère de temps pour nous y rendre. Nous sommes accueillis par Marc, très souriant qui nous dit que sa femme finit de se préparer. Avec un clin d’œil, il ajoute que, sans notre arrivée, il serait en train de lui frotter le dos.


Nous nous installons au salon et Marc sert un apéritif. Muriel nous rejoint et je ne peux m’empêcher d’admirer les courbes de son corps, mises en valeur par une robe moulante et fendue assez haut. Nous parlons un peu de la pluie et du beau temps puis Marc, assez néophyte en informatique, me demande si je peux résoudre un petit problème sur son PC. Nous filons dans le bureau et, très vite, je trouve l’origine du problème. Quelques minutes suffisent pour régler le problème. Je découvre alors que Marc a fait l’acquisition d’un appareil photo numérique. Il me propose de me montrer les quelques prises de vues qu’il a faites et m’indique le chemin. Je parcours le dossier contenant quelques vues des environs ainsi que quelques photos de Muriel. Je découvre un sous-dossier appelé "chaud" et demande à Marc s’il s’agit aussi de photos. Avec un grand sourire, il me dit qu’il contient des photos de Muriel un peu plus déshabillée et m’invite à les regarder. Je clique donc sur le dossier et, sous mes yeux ébahis, défilent des photos de Muriel en sous-vêtements, puis un peu plus loin, dans le plus simple appareil.



Nous rejoignons nos femmes et Marc ressert un verre. Je regarde Muriel, essayant d’imaginer quels dessous elle porte aujourd’hui. Que je la décrive un peu : trente cinq ans, assez grande, elle est blonde comme les blés et a deux magnifiques yeux verts. Son mari, originaire de la Réunion, est lui aussi très grand mais brun, sa couleur café au lait tranche avec la peau blanche de son épouse.

Après un second verre nous passons à table. Marc nous a préparé un repas créole délicieux et assez relevé, ce qui nous fait boire un peu plus que de raison. Notre hôte s’absente quelques secondes et revient avec son appareil photo. Il fait quelques clichés de nous à table. Véronique, contrairement à son habitude, prend des poses et va même jusqu’à effleurer mes lèvres. Marc me tend l’appareil et s’assied à côté de son épouse. Je les prends, se tenant sagement dans les bras l’un de l’autre puis, comme ma femme il y a quelques minutes, Muriel embrasse son mari. Contrairement à Véronique, son baiser est profond. Je zoome et déclenche l’appareil deux fois, immortalisant en gros plan leurs lèvres jointes. L’appareil passe ensuite de main en main, chacun voulant regarder les photos. Le repas se termine dans cette excellente ambiance et Muriel nous invite à nous rendre au salon pour le café. Véronique l’aide à débarrasser pendant que Marc et moi préparons les tasses.

Les femmes nous rejoignent et Muriel sert le café tandis que Marc nous propose un digestif. Nous dégustons un punch et la conversation reprend. Marc me tend à nouveau l’appareil et me demande de reprendre une ou deux photos de lui et sa femme. Il l’enlace et leurs bouches se joignent à nouveau. Une main de notre ami se pose sur la cuisse de sa femme, remonte lentement le tissu découvrant une cuisse que je m’empresse de photographier. Ils se séparent et me rejoignent afin de visionner le résultat. Souriante, Muriel, regardant les deux derniers clichés s’exclame :



J’enlace Véronique et mes lèvres se posent sur les siennes, elle me rend mon baiser et nos langues se mêlent. Je risque une main sur sa jambe, aucune réaction, je tire un peu sur le tissu, découvrant à mon tour sa cuisse à nos amis. Appuyant un peu, j’écarte les cuisses sans qu’elle ne fasse rien pour m’en empêcher. Nous nous séparons et demandons à Marc de nous montrer les clichés. Sur deux, on voit très nettement le slip de Véro et sur le dernier Marc a zoomé et on peut admirer très distinctement le contour de la fente et quelques poils dépassant du sous-vêtement.



Nous nous rendons au bureau et Marc nous fait visionner les clichés que j’ai déjà eu la chance de voir. Marc nous raconte les conditions dans lesquelles s’est déroulée la séance ; je jette un regard à Véronique, ses joues ont rosi et je peux distinguer dans ses yeux une étincelle que je lui connais dans certains de nos moments intimes. Muriel, quant à elle, semble très fière de nos réactions et de nos félicitations sur sa plastique. Le diaporama s’achève et Véro demande alors à Muriel si elle a fait des photos de son mari dans la même tenue.



Véro a prononcé cette dernière phrase d’une voix moins assurée. Muriel l’a remarqué et insiste encore :



Je me garde bien d’entrer dans la conversation, ne désirant pas forcer ma femme. Elle me jette un coup d’œil et me demande :



Cette question me fait comprendre qu’elle est prête à le faire. Je la rassure donc sur mon accord et nous retournons au salon.



Devant trois paires d’yeux plus que curieux, Véro déboutonne lentement son chemisier. Nous voyons peu à peu apparaître la poitrine. Quand tous les boutons sont ôtés, Véro écarte lentement les pans. Elle fait ensuite tomber le chemiser, nous dévoilant son ventre plat et sa poitrine voilée d’un léger soutien-gorge pêche relativement transparent. Elle tourne sur elle-même et baisse la fermeture éclair de sa jupe, laissant deviner son fin slip de la même couleur que le soutien-gorge. Au tour du bouton et plus rien ne retient le vêtement qui se retrouve sur les pieds de ma belle. Elle nous laisse admirer et, pour Marc, photographier, son postérieur avant de nous faire face à nouveau. Véro nous offre alors le spectacle de son minou, à peine caché par le fin slip. Marc ne se prive pas d’immortaliser ce charmant spectacle tandis que sa femme félicite Véro pour son strip-tease :



Elle passe les mains derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge. Les bras croisés le maintiennent en place et, doucement, elle les laisse retomber, libérant du même coup ses charmants seins de leur prison de tissu. À nouveau, trois paires d’yeux fixent son corps, particulièrement sa poitrine dénudée. De nouveaux éclairs de flash et Véro se rassied.



Je commence à me faire du souci quant à la suite de la soirée. Véro semble énervée, pourtant, elle ne fait rien pour se rhabiller. Elle nous regarde à tour de rôle puis répond à Muriel :



Notre hôtesse se retrouve bien vite uniquement vêtue d’un slip arachnéen qui a bien du mal à cacher son sexe.



Muriel se relève et, lentement, fait glisser son slip le long de ses jambes. Elle se redresse ensuite et nous fait admirer sa fente, à peine masquée par sa toison blonde. Elle reste un instant debout au milieu de la pièce, tournant sur elle-même afin de nous exposer ses jolies fesses. Marc n’en perd pas une miette et le flash crépite plusieurs fois. Elle se rassied enfin et fait signe à ma femme que c’est son tour. Marc intervient alors. Il me tend l’appareil et s’adresse à Véro :



Véro se lève et Marc s’agenouille devant elle. Première photo ! Ses mains se posent sur les hanches de ma femme, y restent quelques instants. Marc saisit enfin l’élastique et le descend très lentement, baissant le slip centimètre par centimètre. Lorsque la fente est dénudée, il interrompt le mouvement et reste sans bouger, le regard fixé sur cette partie du corps de Véro, les yeux à quelques centimètres d’elle. Contrairement à mes craintes, ma chérie ne fait rien pour mettre fin à cette situation, les yeux baissés vers Marc, elle le regarde en souriant. La situation commencerait-elle à l’exciter ? Je ne me prive bien sûr pas de photographier cette scène. Notre ami se décide enfin et, toujours aussi lentement, continue de faire descendre le fin vêtement jusqu’aux pieds. En chemin, il ne se prive pas de caresser les jambes qui; sous les doigts, prennent la chair de poule. Véro totalement nue, Marc se relève et lui dit :



Ma chérie m’étonne de plus en plus. Je me tourne vers Muriel et la vois sourire, l’œil pétillant. Véro s’attaque à la chemise de Marc qui se retrouve bien vite torse nu puis au pantalon. Après quelques minutes, seul son slip, qui cache mal son érection, subsiste. Comme lui tout à l’heure, Véro s’agenouille et saisit le slip qu’elle fait descendre. Elle se retrouve alors face à un sexe d’une taille peu commune et ne peut retenir un "oh!" de surprise. Si la nature a été généreuse avec moi, elle a particulièrement gâté notre ami.



Véro se retourne vers moi, je lis dans son regard qu’elle souhaite que je laisse faire et je lui réponds par un sourire. Rassurée, elle pose la main sur la verge tendue et la flatte délicatement. Elle alterne caresses sur la hampe, le gland, et descend même flatter les bourses gonflées. Marc pose ses mains sur ses cheveux et approche son visage de son bas-ventre. Véro ne résiste pas et ses lèvres ne sont bientôt plus qu’à quelques millimètres du membre de Marc. Il cesse alors ses pressions sur la tête, laissant Véro décider seule de la suite. Celle-ci n’hésite que quelques secondes puis sa langue remplace ses doigts. Elle lèche la hampe sur toute sa longueur, ses lèvres s’entrouvrent et je vois pour la première fois un gland autre que le mien s’enfoncer dans la bouche de ma chérie, moment que j’immortalise. Loin de me rendre jaloux, cette vision m’excite énormément et mon sexe se trouve bien à l’étroit. Sur le canapé, Muriel paraît elle aussi stimulée par le spectacle. Je remarque une main qui caresse sa poitrine, étirant les tétons. Elle tourne les yeux vers moi et, me souriant, me fait signe de la rejoindre, ce que je fais en ne quittant pas du regard l’autre couple. Sitôt assis à ses côtés, je sens sa main se poser sur ma braguette et entreprendre de l’ouvrir. Elle a un peu de mal à libérer mon engin et je l’aide un peu, me débarrassant de mes pantalon et caleçon. Sa main me caresse lentement pendant que je découvre sa fente déjà bien humide. Véro suce toujours le sexe de notre hôte, le sortant parfois de sa bouche pour lécher les couilles. Marc la laisse faire un peu puis décide de changer de position. Il s’allonge par terre et l’attire sur lui en 69. Elle reprend sa fellation et lui, écartant les lèvres de ses deux pouces, plonge la langue dans la fente. Leurs gémissements couvrent les autres bruits. Muriel me fait signe de les photographier et le flash crépite de nouveau plusieurs fois. Je me lève pour m’approcher d’eux et les photographier à tour de rôle en gros plan. Cela me permet d’admirer de près les lèvres de ma chérie déformées par la taille du sexe de Marc qu’elle s’emploie à engloutir le plus loin possible, ses mains flatter les couilles, s’aventurant même jusqu’à la raie sombre dans lequel un doigt s’enfonce insidieusement. Marc, lui, pince le bouton entre ses doigts, sa langue lèche la fente sur toute sa longueur, s’enfonce dans la chatte trempée pour goûter le plaisir de ma femme, remonte embrasser l’œillet, y enfoncer le bout de la langue.

Leur plaisir semble proche, les gémissements s’amplifient et, la première, Véro parvient au nirvana dans un long cri. La bouche de son amant se colle à son sexe afin d’y récolter le fruit de son orgasme. À son tour, son corps se tend et il se répand entre les lèvres de Véro qui le garde et boit toute sa semence.

Je sens alors la main de Muriel se reposer sur mon sexe. Je délaisse l’appareil photo et m’allonge à mon tour. Sa bouche remplace ses doigts et elle m’engloutit jusqu’à la racine. Elle s’allonge tête-bêche à côté de moi, m’offrant son intimité que je m’empresse de déguster. Ma langue va-et-vient dans son puits trempé. Jamais je n’ai vu une femme autant mouiller ! Je lape sa liqueur à grands coups de langue gourmands, plonge au plus profond de sa grotte. Nos gémissements ont remplacé ceux de Marc et Véro, mes doigts courent de son bouton à son anus dans lequel il s’enfonce sans difficulté. Elle m’applique le même traitement, enfouissant même sa langue dans mon trou. J’ai beaucoup de mal à retenir ma jouissance mais, décidé à la faire jouir en premier, je me force à penser à autre chose. Je n’attends pas très longtemps, je sens les muscles de Muriel se tendre, son ventre s’arquer et bientôt elle me pisse littéralement son plaisir sur le visage. Son jus coule sur ma langue et mon menton et je tente d’en boire le maximum. Sous la jouissance, elle serre un peu plus les lèvres autour de ma colonne et, à mon tour, je sens le plaisir monter. Je ne me retiens plus et lui inonde la bouche de puissants jets qu’elle avale sans rechigner.

Nous reprenons tous les quatre nos esprits. Nous dégustons un nouveau punch, nus comme des vers, l’ambiance est lourde et personne n’ose parler. C’est Marc, qui le premier, ouvre la bouche :



Silence de nouveau. Muriel s’approche alors de ma femme et pose la main sur sa cuisse. Véro ne bouge pas, semblant encourager Muriel à poursuivre, ce dont elle ne se prive pas. La main remonte et atteint très vite la fourche. Les jambes s’écartent et les doigts de Muriel caressent la fente encore gonflée. Marc et moi les regardons en silence. Je remarque que le sexe de notre ami a retrouvé toute sa vigueur. Sa femme le regarde et lui fait signe de les rejoindre. Il s’approche du canapé, elle empoigne sa verge et le dirige vers le sexe de Véro. Elle s’amuse à caresser le sexe de ma chérie avec le gland de son mari puis le pointe à l’entrée du vagin. Véro a comme un sursaut et resserre les jambes.



Muriel s’empare de nouveau du sexe de son mari et reprend ses caresses sur la chatte de Véro. Bientôt les gémissements de ma femme trahissent son excitation. Sans cesser les caresses, Muriel lui demande une nouvelle fois :



Je m’assieds à côté de ma chérie et lui caresse la poitrine. Elle tourne le visage vers moi et nos lèvres se joignent. Notre baiser est long et passionné. Quand nos bouches se séparent, je la regarde tendrement et lui demande :



Marc continue de caresser sa chatte. Véro le regarde alors :



Il pointe son gland à l’entrée du vagin et la pénètre d’une seule poussée, lui tirant un cri de surprise et de plaisir mêlés. Lorsqu’il est entièrement en elle, il reste quelques instants immobile puis entame de puissants va-et-vient, arrachant des gémissements de plaisir à Véro.

Il la pilonne ainsi de longues minutes. Le visage de ma femme est méconnaissable, déformé par le plaisir qu’elle prend à se faire ainsi limer par notre ami. Je m’empare d’un sein, Muriel de l’autre et nous les pelotons fermement, pinçant et étirant les tétons. Cela l’excite de plus en plus et elle nous le dit dans des termes que je n’ai pas coutume de lui entendre dire :



Un long cri sort de sa gorge et son corps se tend. Marc ne cesse pas pour autant ses coups de reins et, très vite, ma chérie atteint une seconde fois le plaisir. Elle reste ensuite inerte, les yeux clos, savourant ces deux orgasmes successifs. Marc la lime encore un peu et, sentant le plaisir monter à son tour, sort du sexe de Véro, se relève et appuie son gland contre la bouche. Les lèvres s’ouvrent et avalent le gland. Je vois Marc se raidir et, pour la seconde fois, Véro reçoit le sperme de notre ami dans la bouche. Elle le garde un peu en bouche puis, le relâchant, se tourne vers moi et me roule une pelle. Je goûte pour la première le jus d’un autre homme et me surprends à trouver cela agréable. Muriel m’attrape alors par la main et, s’asseyant à côté de Véro, relève les jambes et m’invite à la pénétrer, ce que je me fais un plaisir de faire. Je m’enfonce lentement en elle, avec l’impression de pénétrer un volcan tant sa chatte est brûlante. Elle enserre mes reins de ses jambes et appuie sur mon dos, me faisant pénétrer au plus profond de son vagin. Véro, comme elle tout à l’heure, lui caresse les seins et le ventre. J’entends alors Muriel me demander de la prendre par derrière. Je sors de sa chatte, lui relève un peu plus les jambes et pointe mon gland contre sa rosette.



Les paroles de Marc me rassurent et j’investis ses reins sans hésiter. Son cul est souple mais serré et mon sexe est comme dans un étau. Après quelques minutes, Marc me fait signe de changer de position. Je sors du cul de Muriel et, sur les indications de notre ami, m’assieds sur le canapé. J’attire Muriel à moi et réinvestis ses reins. Marc se place entre ses cuisses et je sens son sexe pénétrer sa femme. Celle-ci crie son plaisir de se sentir ainsi prise devant et derrière. Véro ne perd pas de temps et prend quelques photos de notre accouplement. Nous baisons ainsi Muriel de longs instants, la faisant jouir trois fois puis je viens à mon tour et mes jets fusent dans son boyau, lui arrachant un quatrième orgasme qui la laisse sans force. Elle nous demande de la laisser récupérer, ce que nous lui accordons. Je prends place aux côtés de ma femme et reprend moi aussi mon souffle. Nous sommes tous les quatre en nage.


Après quelques minutes de récupération, Marc nous invite à regarder les photos sur l’ordinateur. Nous voici donc de nouveau dans le bureau. Les photos défilent sous les exclamations. Je remarque que Marc s’est installé contre le dos de Véro et que je ne vois plus ses mains. Décidément, il est insatiable ! Muriel a elle aussi remarqué le manège de son mari et le regarde en souriant. Je baisse les yeux et distingue les mains de notre ami posées sur le pubis de ma chérie. Après la dernière photo, Marc prend Véro par la taille et la fait se mettre face à Muriel. Celle-ci s’empare des seins qu’elle caresse doucement, puis pose les lèvres sur celles de ma femme. Pour la première fois, Véro roule un patin à une autre femme. Leur baiser dure longtemps, Véro caresse elle aussi la poitrine de Muriel, les doigts de Marc fourrageant toujours dans son sexe. Je m’installe comme lui derrière son épouse et entreprend les mêmes caresses sur elle. Marc nous propose de nous rendre dans la chambre. Nous voici allongés tous les quatre sur le grand lit. Marc se penche sur Véro et l’embrasse longuement à son tour. Puis, il s’écarte et laisse les deux femmes ensemble. Un peu en retrait, nous les regardons s’embrasser et se caresser. Elles se retrouvent en 69, Muriel dessous, et j’admire Véro lécher pour la première fois un sexe féminin. Je regarde sa langue parcourir la fente de Muriel, s’enfoncer entre les lèvres gonflées, embrasser l’anneau sombre de l’anus. Ce spectacle m’excite au plus haut point. Marc s’approche alors du couple et caresse les fesses de Véro avant d’immiscer un doigt au centre de celles-ci. Ma chérie ne le repousse pas, et, au contraire se cambre, s’offrant ainsi à l’exploration. Il s’empare d’un tube de vaseline dans la table de nuit et en dépose une bonne quantité sur l’œillet. Son doigt revient se poser et, aidé par le lubrifiant, s’enfonce sans difficulté dans les reins de Véro, bientôt rejoint par un second. Je le regarde aller et venir dans le cul de ma femme. Les caresses durent un moment puis il s’installe derrière elle et son gland vient se poser contre la rondelle. Véro, si elle m’a parfois livré le chemin de ses reins, n’est pas fan de la sodomie. J’attends donc de voir jusqu’où elle va aller. Attente qui ne dure guère car je distingue bientôt le gland de Marc tenter de s’enfoncer entre les fesses. Véro a abandonné se sexe de Muriel et son visage trahit l’effort qu’elle fait pour accueillir la bitte qui force son anus. Elle grimace un peu et demande à Marc d’y aller doucement. Très attentionné, notre ami pénètre son cul pratiquement millimètre par millimètre, remettant du lubrifiant sur son sexe. Après de très longues minutes, ses couilles butent contre les fesses de ma chérie. Il reste immobile, la laissant s’habituer. Muriel a, elle, repris ses caresses sur la fente et, bientôt, les gémissements de Véro retentissent dans la chambre. Ses fesses se tendent à la rencontre du sexe qui la sodomise. Marc comprend alors qu’elle est prête et, lentement, sort presque entièrement de son anus puis, après quelques secondes, l’investit à nouveau, d’une seule poussée. Un cri de plaisir sort alors de la gorge de ma femme puis :



Il ne se le fait pas dire deux fois et entame de profonds va-et-vient, faisant crier Véro à chaque coup de rein. Je m’approche du trio et, m’installant entre les jambes de Muriel, je la pénètre à son tour. Après quelques allers et retours, je change d’orifice et investis son cul. Nos deux femmes se font alors fermement enculer, continuant à se lécher la fente. En sueur, le visage congestionné, Véro jouit la première dans un long cri. Son plaisir déclenche celui de Muriel qui, à son tour, hurle sa jouissance. Marc et moi continuons de les baiser puis je sens le plaisir arriver. J’accélère mes coups de rein et, fiché dans le cul de Muriel, je me déverse dans son boyau. Marc me rejoint bientôt et inonde à son tour celui de ma femme. Repus de plaisir, nous nous allongeons côte à côte et reprenons notre souffle.


À l’invitation de nos amis, nous passons la nuit chez eux.