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04/12/02
Résumé:   L'évolution de la relation avec la femme que je croise chaque jour. Notre relation de dépendance. La révélation des aspects cachés de sa vie intime.
Critères:  fh inconnu nympho jardin magasin essayage parking caférestau toilettes volupté fsoumise hdomine humilié(e) voir noculotte fellation pénétratio fsodo uro sm gifle fouetfesse
Auteur : Lauriolan      Envoi mini-message
La femme de dix heures un quart


Cette année là, je travaillais tous les matins assez tard dans le service de documentation d’une bibliothèque. C’était un boulot qui ne me passionnait pas, mais qui me permettait de financer les études qui occupaient mes après-midi.

C’est ainsi que naturellement nous en étions venu à nous remarquer.


Elle, c’était une femme d’une trentaine d’années. Elle était grande et longiligne.

Tout de suite j’avais été frappé bien sûr par sa beauté. Avec ses lignes parfaites et la noblesse de son maintien elle faisait penser à ces mannequins célèbres. En même temps elle n’avait pas cette froideur qui trop souvent caractérise ces femmes qui sont ou se croient trop évidemment belles.

Ainsi très tôt nous en étions venus à nous dire bonjour, en nous croisant, ce qui à Paris n’est pas toujours évident.

Curieusement c’était toujours à peu près à la même heure que j’apercevais sa superbe silhouette, que j’étais venu à reconnaître même , alors que je la distinguais à peine au bout de la rue. Aussi, elle était devenue pour moi la femme de dix heures un quart.

Mais tout aussi curieusement ce n’était jamais tout à fait au même endroit. Parfois elle m’apparaissait au coin de la rue commerçante , un autre jour au niveau du parc, lorsque c’est moi qui avait une avance sur elle. Au contraire lorsque j’étais en retard , ce pouvait être près de l’église ou de la caserne toute proche.


Ainsi c’est presque tout le parcours entre chez moi et mon travail qui se trouvait mis en relief par cette seule rencontre.

Peu à peu chaque recoin de ce trajet que j’accomplissais avant sans enthousiasme, me rappelait ce moment particulier où nos regards s’étaient croisés les jours précédents, et portait en lui cet espoir de la revoir, sans être jamais déçu.

J’avais ainsi le plaisir d’admirer son éclatant sourire tous les matins et c’était vite devenu pour moi un des moments privilégiés de mes journées ,par ailleurs si moroses.



Je ne voulais pas rompre ce rituel et en même temps j’avais bien d’autres désirs.

Cette femme dégageait une sensualité incroyable. Sa démarche ferme et rapide, car elle était toujours pressée, soulignait cette élégance naturelle , quelque soient les circonstances ou je la voyais.

Et comment rester insensible à ses jambes magnifiques supportée par des talons qui en magnifiaient le galbe, et qui selon les saisons dévoilaient leurs attraits par le port d’une jupe courte, la fente d’une plus longue, ou encore celui d’un short court ou d’un pantalon moulant, quand ce n’était pas sous des voiles transparents aux motifs discrets de bas ou de collants.

Toujours habillée de façon sexy, elle ne paraissait jamais ni provocante, ni vulgaire.


Un jour enfin je réussis à vaincre ma timidité et lui proposais de l’inviter à prendre un verre au café du coin. Elle me répondit d’un large sourire :"C’est avec plaisir, mais je n’ai pas beaucoup de temps".

Et en effet notre conversation ce jour là ne dura pas plus d’un quart d’heure. J’appris qu’elle était mariée et qu’elle travaillait dans une grosse société d’informatique où elle s’occupait du service de relation clientèle. Je compris aussi pourquoi je la voyais toujours à la même heure. Elle quittait la maison mère de sa société pour rejoindre les bureaux de son travail . C’est son mari qui la conduisait le matin vers 8h30. Et c’était lui aussi qui allai la chercher le soir.

Elle accepta que l’on se revoit ainsi le lendemain puis le surlendemain… Le troisième jour sans un mot elle me pris par la main et m’entraîna vers le plus proche café.

Ainsi entre nous s’était instauré une nouvelle habitude qui s’était substituée à la première. Dés que nous nous apercevions, nous prenions la direction du café le plus proche. Nos entrevues ne duraient jamais plus d’un quart d’heure, mais elles prenaient en tout cas pour moi, une place bien plus démesurée dans le déroulement de mes journées.

Les sujets de conversation évoluèrent naturellement . Nous parlions ainsi des passants dont nous partagions chaque jour brièvement la présence. Nous nous moquions parfois de certains aspects de leur apparence, mais savions aussi repérer et vanter des beautés particulières. Nos avis souvent convergeaient .

Il s’était crée ainsi entre nous une réelle complicité dans l’espace réduit de cette contrainte de ne pouvoir se voir chaque jour plus d’un quart d’heure. Mais nous n’étions pas dupes. Quelque chose d’autre, de plus profond était en train de naître et de se développer entre nous.

De plus en plus souvent, à cette débauche de paroles des premiers temps, justifiée sans doute par la contrainte de ces moments qui nous étaient comptés, succédèrent de longues poses. Dans ces instants de silence, nos regards seuls se parlaient. Je la trouvais alors plus belle et désirable que jamais. Ces moments partagés qui étaient au début un pur bonheur se transformaient avec le temps comme des parts de frustration, des parts de souffrance qui me renvoyaient chaque jour à cette solitude du reste de ma journée.


Le désir absurde d’aller plus loin, puisque nous n’en avions pas la possibilité, me dévorait chaque jour davantage.

J’avais besoin pourtant de lui en parler , de lui parler de ce désir impossible qui m’obsédait littéralement. La vision de ses cuisses tant de fois convoitées, du sillon de ses seins si proches de moi, si souvent, de sa bouche sensuelle, de ses épaules parfois découvertes, de sa silhouette, de ses mains … Tout était prétexte à nourrir des fantasmes inaccessibles auxquels je repensais sans cesse.


Un matin, pourquoi ce matin là? A peine assis face à elle je lui dis: "J’ai terriblement envie de te sentir contre moi, de sentir ma peau contre la tienne."

Je n’avais pas terminé ma phrase qu’elle avait posée sa main doucement sur la mienne. Elle me caressait délicatement tout en me regardant dans les yeux. Bientôt nos paumes se serraient l’une contre l’autre. Je ne sais pas combien de temps cela dura, mais déjà il fallait se quitter… À l’instant de se lever, elle s’approcha de moi et murmura dans mon oreille: " Moi aussi j’en ai terriblement envie."

Et puis je l’ai vue s’éloigner comme d’habitude la première , m’offrant le spectacle de ses superbes fesses moulées ce jour là dans un pantalon de satin noir.


Le lendemain ,elle était habillée d’une tenue bien différente qui m’avait étonné par son audace. Elle portait une jupe de velours sombre fendue très haut de chaque coté. Le jeu de transparence de son corsage et de son soutien-gorge blancs, m’offraient le spectacle à peine dissimulé par une veste au large décolleté, d’une poitrine généreuse et arrogante. J’avais presque du mal à la reconnaître, si ce n’est cette chaleur déjà familière de sa main dans la mienne, et ce regard à la clarté pénétrante dans lequel je me noyais plus que jamais.


Sans prendre la peine de s’asseoir elle me demanda de descendre dans les toilettes et de l’y attendre. Mon émotion était telle que mes jambes tremblaient en atteignant l’escalier, et que mon cœur se mit à battre comme lors de mon premier rendez-vous amoureux.

J’entendis bientôt ses talons claquer contre les marches, pour voir alors ses jambes somptueuses se diriger vers moi. J’eu le temps à peine d’entrevoir le haut de ses cuisses nues au-dessus de ses bas, qu’elle était tout contre moi et qu’elle me poussa avec détermination dans un réduit obscur.

Elle repoussa la porte et alluma une faible lumière. Sa poitrine était déjà nue et elle plaqua fermement mon visage contre ses seins. Pendant se temps elle glissa ses mains sous ma chemise pour me caresser le torse. Elle me griffait légèrement de ses ongles et me pinça la pointe des seins. Mais il fallait faire vite là encore. Elle se retourna alors, s’appuya sur le rebord de ce qui devait être une poubelle et relevant facilement sa jupe d’un geste sec, m’offrit le spectacle d’un fessier majestueux habillé seulement par la ficelle d’un string.

Je la pénétrais facilement tant son sexe était humide. Et commençait tout en empoignant fermement sa croupe que je malaxais des deux mains, à lui infliger des mouvements de va-et-vient amples et réguliers.

L’intérieur de son con était brûlant, ainsi que le trou de son cul dans lequel j’introduisais deux de mes doigts pour la masser en profondeur. Mais tout en poussant des soupirs étouffés, mon amante pressée me supplia de venir jouir en elle .

C’est elle maintenant qui imprimait des mouvement de butoir en faisant claquer ses fesses contre mon bassin.

Je n’ai pas pu me contrôler plus longtemps et j’inondais l’intérieur de son ventre. Elle se rajusta alors rapidement et déposa ses lèvres sur les miennes. J’eu tout juste le temps t’entendre une dernière fois sa voix: "A demain…" qu’elle avait déjà gagné le haut de l’escalier.


Toute la journée au travail, je repensais à cet instant incroyable où je me glissais en elle. Tout cela me semblait irréel et pourtant je sentais encore son liquide onctueux qui enveloppait mon sexe.



J’avais peur que la rapidité de notre étreinte n’ai détruit chez elle tout autre désir de recommencer un tel acte.

J’étais vraiment effaré cette fois si ,par l’idée de la perdre pour de bon. Qu’elle magie une femme aussi belle qu’elle pouvait-elle trouver à faire l’amour dans de telles conditions avec un être comme moi, même si mon physique plaisait assez souvent aux femmes.

N’avait elle pas la possibilité de trouver tout aussi beau que moi ailleurs? Je n’avais de plus pas les moyens financiers de l’aider à satisfaire son goût pour les vêtements de mode.

Il ne m’avait en effet pas échappé que pas une seule fois je ne l’avais vue habillée pareil.

Par peur d’avoir à affronter son éloignement où son indifférence j’envisageais le plus sérieusement de l’éviter, le lendemain. Pour une fois de me dissimuler à son regard.

La croiser pour la voir s’éloigner à nouveau m’était insupportable, comme le signe d’un retour en arrière, d’un désaveux.

J’avais honte d’avoir été un amant aussi peu endurant, moi qui affectionne si particulièrement les étreintes durables.


Le matin ainsi par lâcheté, j’étais parti un peu plus tard, espérant qu’elle serait arrivée à son travail avant que je ne la croise. Tout cela me semblait absurde mais j’avais presque peur de la rencontrer à nouveau, en me disant que rien ne serait plus comme avant. Je ne croyais pas si bien dire.


Alors que je venais tout juste de croiser l’angle de la rue , je me trouvais nez à nez devant elle. Et je voyais ses superbes yeux rougis embués de larmes. Cette femme que j’avais toujours vu si forte me semblait maintenant si fragile. Elle m’entraîna sous le premier porche venu: "Où étais-tu ? Tu n’a pas aimé la dernière fois ? Tu ne veux plus de moi ?… Tu ne me trouves pas assez belle ? "

En même temps elle avait dégrafé les boutons de son corsage pour offrir à ma vue le superbe spectacle de ses seins généreux aux aréoles brunes superbement dressées à la pointe de ses globes laiteux.


" Dis-moi est-ce que tu les aimes ?"


La seule réponse que je pu lui apporter fut de plonger mon visage au creux de sa poitrine. Et alors que j’avançais mes deux mains pour pétrir ses sublimes mamelons. Elle me dit d’une voix entrecoupée de sanglots: "Je ne veux pas que tu m’abandonnes… J’ai trop besoin de toi…. besoin de recevoir ton amour…" Elle était à genoux devant moi comme suppliante . Elle pencha son visage , fit glisser ma braguette pour libérer et engloutir mon sexe dans sa bouche.

J’observais tout à loisir le spectacle de son petit nez, dont les narines se gonflaient à chaque secousse, de ses lèvres carmins qui coulissaient le long de ma verge, de ces cils soyeux humectés encore de quelques larmes , de ses épaules dénudées dont de rares grains de beauté rehaussaient encore la blancheur, de ses seins souples et fermes à la fois, qui répondaient à mes caresses par l’érection de leur larges tétons.

Cette femme au corps de rêve m’offrait l’offrande de sa bouche.

Lorsque mon sperme gicla dans sa gorge, elle continua à ma sucer pour nettoyer mon gland jusqu’à la dernière goutte.

Elle avait à peine dégluti, et alors que quelques traces de ma semence perlaient au coin de ses lèvres, qu’elle me dit cette phrase incroyable: "Excuses-moi, je ferais mieux la prochaine fois…" Elle se releva alors pour partir en courant.


La prochaine fois ce fut donc le lendemain.

Ce matin là je recherchais à nouveau sa silhouette avec la peur de ne pas la revoir. C’est avec un bonheur enfantin que je reconnu sa démarche souple et tendue. Aucune femme ne portait des talons hauts avec autant d’assurance et d’élégante détermination.

Ce jour là au contraire j’avais pris de l’avance sur elle . C’était un jour de pluie, d’une pluie chaude d’été à la charge sensuelle si particulière pour des amants qui se découvrent…

Nous étions à la hauteur du parc. Pour la première fois c’est moi qui pris l’initiative. Je l’entraînais dans un sombre bosquet . Elle portait un short étroit que je fis glisser jusqu’à ses genoux. Elle n’avait pas de culotte ce jour là.

J’entrepris d’approcher mon visage pour caresser de ma langue le sillon amer et succulent de ses lèvres intimes. Très vite ma maîtresse ne pu retenir de petits râles aigus. C’est alors qu’elle empoigna mon sexe pour le porter à son anus. C’est elle qui par un mouvement de ses reins empala sa croupe sur ma verge. Je sentais sa gaine serrée se frotter autour de mon gland. Elle agita son fessier en mouvements désordonnés.

Les gouttes de pluie perlaient sur ses fesses luisantes.

Pendant qu’elle s’activait ainsi , je sentais sous mes mains au travers du corsage trempé, la pointe de ses seins durcis. Je me retirai juste pour lâcher ma semence dans la raie brillante de son cul. Puis j’étalai la crème visqueuse sur ses superbes globes fessiers.

Après un bref instant d’abandon elle utilisa quelques feuilles pour essuyer son sexe et sa croupe , déposa sur mes lèvres, ce qui devint un rituel, un fougueux baiser, pour disparaître rapidement derrière les buissons.


Le lendemain elle entraîna dans le parking d’un immeuble.

Elle portait ce jour la une magnifique robe de satin bleu, assortie à ses chaussures aux hauts talons aiguilles, très largement fendue sur le côté. Elle était plus féline et sensuelle que jamais.

En voyant ses hanches sublimes onduler sous le tissus brillant, cette jambes gainée de soie qui livrait son dessin parfait à mes yeux à chacun de ses pas, plus que jamais j’avais l’impression de vivre un rêve. Mais quand elle se retourna pour plaquer ses fesses contre le pare-choc d’une voiture et qu’elle me laissa m’étendre sur elle, enfouissant mes narines dans sa douce chevelure brune, les émanations de son odeur captivante et familière me ramenaient à la réalité.

Cette femme somptueuse que je "baisais" dans un sombre parking et qui s’abandonnait impudique était bien réelle .

Pourtant cette réalité m’échappait en partie. Je me disais que cela ne pourrait pas durer.

Je ne connaissais pas même son nom, elle m’avait toujours répondu d’un sourire mystérieux qu’elle ne pouvait pas me le dire… Pour plus tard m’avouer que son mari était célèbre. Je ne connaissais pas même un prénom auquel me rattacher. Elle me disait que c’était mieux, qu’elle pouvait avoir ainsi à mes yeux tous les prénoms possibles.

En vérité désormais nous ne nous parlions presque plus. L’essentiel de nos échanges étaient ces instants fugitifs d’abandon à nos pulsions sexuelles immédiates.


Comme elle était belle ! Elle m’offrait la vision, le long d’étroits porte-jarretelles, de ses magnifiques cuisses à la blancheur nacrée, de ses fins poils pubiens aussi sombres que sa chevelure souple qui ondulait sur sa poitrine et ses épaules à chaque secousse.

J’avais devant les yeux ce sexe humide et chaud qui coulissait le long de ma verge jusqu’à buter contre mes propres poils. Et puis son visage d’une pureté irréelle, cette bouche délicatement maquillée qui s’animait tour à tour d’un sourire de jouissance ou se livrait ouverte aux cris de l’abandon.

C’est précisément ce qui se passait alors que j’entendais des pas se rapprocher et que je distinguais maintenant une silhouette d’homme.

Je prévenais mon amante qui pour toute réponse accéléra ses mouvements. Elle ne pouvait littéralement pas s’arrêter s’en avoir accédé à la jouissance. L’homme était tout près maintenant et nous regardait, alors que je la sentais partir en même temps que moi . En recevant mon foutre elle soupirait: " J’ai honte, j’ai honte…". Cette fois là, nous nous rajustions plus vite encore pour nous dérober à la vue de l’inconnu . C’est juste avant de quitter le parking qu’elle déposa ses lèvres humides sur les miennes.


Chaque jour il y eu une nouvelle rencontre et chaque jour un lieu différent pour nos ébats: des cages d’escalier, un local à poubelles, des toilettes publiques, un couloir dérobé de la caserne des pompiers et même la cabine d’essayage d’une boutique.

Plusieurs fois nous étions sur le point d’être surpris, mais cela ne modérait en aucun cas notre désir de vivre le lendemain une nouvelle expérience.

C’était comme une drogue. Nous étions désormais totalement dépendant l’un de l’autre. En même temps notre relation devenait comme immatérielle. Nous échangions tout au plus deux ou trois mots. Dans le cadre restreint de notre désir sexuel notre complicité était totale, mais il fallait que je perce le mystère de celle qui était toujours pour moi une belle inconnue.


Un matin je décidais de me lever plus tôt afin de remonter plus en avant sur le parcours de mon amante.

Il était un peu plus de dix heures lorsque j’eu la surprise de la voir sortir d’un hôtel de luxe. Il me fallu dissimuler mon émotion et rejoindre mon parcours habituel comme si de rien n’était… Ce jour là c’est dans la réserve d’une boutique de chaussures où nous nous étions glissés discrètement que je la pénétrais…


Le lendemain je m’étais levé beaucoup plus tôt, je n’arrivais d’ailleurs plus à dormir. Il était environ 9 heures , alors que j’étais posté devant l’hôtel, quand je la vis, car c’était bien elle, sortir d’une superbe Jaguar noire au bras d’un homme de type méditerranéen qui devait bien avoir 70 ans! Leur attitude ne laissait aucune ambiguïté sur la nature de leur relation. Ils s’enlaçaient et, en montant l’escalier, l’homme d’un geste vulgaire effleura les fesses de sa compagne.

Malgré ma souffrance je parvins à tout dissimuler, et à "tenir mon rôle" un peu plus tard , allongé sous ma compagne qui me pistonnait avec ardeur dans un local à vélos. En voyant ses seins superbes que j’avais libéré, ballotter sous mes yeux, j’en venais presque à pleurer en pensant aux mains et à la bouche de cet homme qui venaient sans doute quelques instants auparavant, de les caresser.


Je la découvrais le jour suivant fidèle au rendez-vous du vieil homme. Nous nous étions contentés ce jour là de nous masturber mutuellement assis dans le recoin d’un café à l’abri du regard du serveur qui nous servait des boissons chaudes.

La main dans sa culotte je sentais la chaleur gluante de son intimité, mais ce liquide visqueux qui glissait sous mes doigts avait peut-être une autre origine… La vision du vieux beau m’apparaissait ,alors que ma belle voisine me caressait consciencieusement, me laissant entrevoir le léger rosissement qui gagnait son large décolleté et ses joues alors que son onctueuse chatte s’était crispée dans ma main.

Mais le baiser familier qu’elle m’adressa me tira de mes rêveries: J’étais bien décidé à la suivre.


Je prenais donc discrètement le sens inverse de mon travail (j’avais prévenu le matin que je ne venais pas) , pour me laisser guider par le claquement envoûtant de ses pas.

Il n’était pas encore 11 heures quand elle pénétra le portail grand ouvert d’un hôtel particulier. Je me glissais dans le jardin derrière elle. Un homme tout aussi âgé que le précédent mais sensiblement plus mince, l’attendait en haut de l’escalier.

Mon audace n’avait plus de limites et je me moquais du reste, d’être ensuite découvert .Je profitais aussi d’une porte-fenêtre que j’avais vue entrebâillée pour me glisser dans la maison.

Je me trouvais maintenant dans une vaste cuisine obscure qui communiquait avec le salon .

En m’approchant de la porte je vis bientôt ma ravissante compagne assise sur les genoux du bellâtre qui glissait sa main fripée le long de ses douces cuisses. Abandonnée langoureusement entre les mains de cet homme dont le seul attrait résidait sans doute dans cette liasse de billet posée négligemment sur une table basse, elle paraissait plus resplendissante que jamais. Plus jeune aussi, et cela certainement par le rôle que lui faisait jouer son complice.


"Alors, comment va ma petite fille audacieuse aujourd’hui ?" " Qu’as-tu fais comme bêtises ?" "Raconte-moi tout, et peut-être que je ne te punirais pas !" "Si tu es une fille bien sage , tu auras droit au cadeau qui t’attend sur la table !"


Alors que l’homme poursuivait ses caresses maintenant plus précises entre les cuisses offertes, et que de l’autre main il dégrafait le corsage… J’entendis cette voix jusqu’alors si douce décrire dans les moindres détails notre scène du café.

Visiblement, tout cela excitait au plus haut point le vieil homme qui tétait goulûment le sein dressé. Il frottait nerveusement son sexe mou duquel s’échappèrent bientôt quelques gouttes blanchâtres.


"Viens boire ta récompense!" Alors elle s’approcha pour laper délicatement de sa langue soyeuse le gland fripé.


Puis d’un geste il la fit se relever, fit ensuite glisser ses vêtements à ses pieds afin qu’elle se retrouve face à lui presque entièrement nue, n’ayant gardée que ses chaussures et ses bas soutenus d’un porte-jarretelles noir.

Il avait désormais le sexe de ma brune tout près de son visage.


" J’ai envie de manger un oeuf dur assaisonné du jus de ta chatte, va me chercher un oeuf dans la cuisine!"


J’avais l’intention de ne pas bouger pour qu’elle me voit , qu’elle sache que je savais tout.

Elle alluma la lumière, elle était devant moi à nu, au propre comme au figuré. Elle réussit à peine à étouffer un cri.

Nos regards se fixèrent un instant qui paru une éternité.

Sans un mot j’ai quitté la pièce pour courir , courir et ne plus m’arrêter …que devant chez moi.

D’un seul coup j’avais le poids de tous ces instants qui s’effondraient sur moi pour m’accabler de façon obsédante.

Je revoyais cet instant où elle caressa ma main dans le café, la première fois où elle se donna à moi près des toilettes, … et puis il y eu la vision de la main du vieil homme sur ses fesses près de l’hôtel…


Le lendemain en descendant dans la rue , j’étais sûr que je ne la verrais pas ce jour là, qu’elle n’aurait pas le courage d’affronter si tôt mon regard.

Pourtant cette femme superbe que j’avais repéré au loin avec sa jupe si courte, c’était elle.

Malgré ma volonté je ne réussis pas à l’ignorer, ni même à détourner mon regard de ses yeux chargés de larmes.

Nous étions bientôt dans un café, et elle me parla d’elle plus qu’elle ne l’avait jamais fait auparavant.

Elle m’affirma que ce qu’elle m’avait dit sur son mari était vrai, et qu’il ignorait lui même sa double vie. Que si elle faisait tout cela avec des hommes plus âgés qu’elle, c’est parce qu’elle avait besoin de se sentir humiliée plus encore qu’avec ce mari, qui la pénétrait sans l’aimer et la trompait avec tant de jeunes femmes.

Elle me révéla sous vice immodéré pour l’argent qui lui faisait accepter tout cela, ainsi que la jouissance du rapport de dépendance qu’elle créait avec des hommes plus âgés qu’elle . Elle s’excusa de m’avoir menti, elle me répétait sans cesse qu’elle ne voulait pas me perdre, qu’elle serait mon esclave si je le voulais, qu’elle ferait tout ce que je voudrais.

Je ne lui répondis pas, je la regardais se livrer à moi suppliante et je la trouvais en pleur avec sa voix de petite fille entrecoupée de sanglots, plus belle que jamais.

C’est moi qui me levait ainsi pour la première fois et je devais la quitter sans lui adresser la parole.



A partir de ce jour notre relation pris une tournure nouvelle.

Je me prêtais à ce jeu peu habituel pour moi , de considérer ma partenaire comme un pur objet sexuel.

Nos ébats étaient toujours mêlés de ses gémissement, me suppliant de la posséder violemment, de lui mordre les seins, de lui faire mal…

Elle murmurait aussi, alors que je l’enculais sans ménagement, qu’elle était une petite salope qui méritait d’être punie.

Une autre fois elle me demandait de la fesser bruyamment et de lui gifler les seins jusqu’à ce que sa peau devienne écarlate.

Le lendemain elle me suppliait d’uriner sur elle, dans sa bouche puis sur ses fesses…


Peu porté jusqu’ici sur le sadisme, j’en venais moi-même à ne désirer plus que ces jeux de soumission. Il fallait toujours aller plus loin et je me disais qu’il faudrait s’arrêter avant qu’il ne soit trop tard…

Et puis il y eut ce matin où elle arriva en larmes. Je lui en demandais la raison, mais elle ne voulu pas me répondre.

Elle entraîna sous l’escalier d’un immeuble sordide et me pria avec insistance, en se basculant en avant et en relevant sa jupe, de l’enculer plus fort encore que les fois précédentes.

J’avais sa croupe familière entre les mains, … mais quelque chose très vite me perturba lorsque je malaxais fermement les globes de ses fesses.

Je cherchais en tâtonnant un interrupteur et lorsque j’allumais la lumière, se fut pour découvrir horrifié le spectacle de son fessier lacéré de profondes cicatrices , ainsi que des traces de griffures et d’hématomes tout le long de son corps.

Elle me révéla alors avoir demandé à l’homme de l’hôtel de l’attacher , de la frapper de coups, puis de fouetter violemment son postérieur avec une verge d’osier. Il l’avait ensuite pénétrée en levrette tout en griffant profondément son dos et ses seins.


J’étais décidé le lendemain à lui dire ma volonté que tout cela s’arrête, mais je ne pu pas le faire.

Je ne la vis pas , ni ce jour là, ni le lendemain…

Le matin suivant je ma postais devant l’hôtel ,mais elle n’était pas là davantage, pas plus que son vieux complice de débauche.

Je me précipitais alors vers la villa, vers laquelle je devais retourner les jours suivants pour ne trouver plus que des portes et des volets clos.

Je ne savais rien du nom ni même du prénom de mon amante.

Je ne devais plus jamais revoir celle que dans mes souvenir je continue d’ appeler: la femme de dix heures un quart.