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Temps de lecture estimé : 14 mn
05/12/02
Résumé:  Après une nuit à l'hôtel, je reprends la route. Mais une seconde d'inattention, et c'est l'accident...
Critères:  h fh médical revede photofilm hmast fellation humour
Auteur : Gufti Shank  (Salut !!)            Envoi mini-message

Série : Les aventures de Valentin-Roger Praduchon

Chapitre 02 / 02
Jenny



Après cette atroce partie de billard, je repartis de la station la queue entre les jambes. J’avais l’impression d’être vraiment le dernier des crétins, et même si Gina n’avait rien remarqué, j’éprouvais une sorte de méchante honte ou de dégoût de ma personne. Je repris la route, me maudissant une dernière fois en redémarrant, puis je tentai d’oublier tout ça en repensant à tout ce que je devais encore faire. Encore deux ou trois cents kilomètres à parcourir, sans doute. Je dépassai bientôt Toulouse, il était plus de huit heures. Le soleil rougeoyait vers l’horizon, la nuit n’allait pas tarder à tomber. J’avais bêtement perdu mon temps dans cette station-service, mais j’estimais quand même avoir assez roulé pour aujourd’hui. "Je terminerai le trajet aux aurores, demain matin." pensai-je. Il fallait que je sois à dix heures du matin à Andorre. J’allais me chercher un motel quelconque pour passer la nuit. J’étais crevé, il fallait que je me détende. Peut-être qu’il y aurait une réceptionniste sympathique et dévouée…


Je me garai sur le parking d’un hôtel en bordure de la route que je devais continuer d’emprunter le lendemain matin. Je pris avec moi mon sac de voyages, et me dirigeai vers l’hôtel. Il était situé dans une sorte de zone commerciale, je trouverais bien à manger quelque part, car cet hôtel ne devait à priori pas faire restau. J’entrai, il n’y avait personne à la réception, ni personne dans le hall. Et à voir le nombre de clefs sur le tableau, il devait certainement y avoir de nombreuses chambres de libres. Je sonnai pour avertir quelqu’un.


Moi qui espérais une belle et sympathique réceptionniste dévouée, tu parles ! C’était une réceptionniste, certes, mais bon… Belle, euh… Disons que ce n’était pas trop mon genre… Sans doute à cause de ses cent-cinquante kilos… Sympathique, euh… Peut-être, mais au premier abord, j’eus plus l’impression de me retrouver quelques années en arrière, devant le sergent instructeur qui s’était fait une joie de rendre mon service militaire un enfer absolu… Dévouée, euh… Après tout, il ne valait peut-être mieux pas qu’elle se dévoue trop non plus.



Je parvins donc à obtenir une chambre, avec douche, chiottes, télé, et cendrier dans la chambre. Finalement tout se passait bien. Elle m’expliqua même où trouver à manger pour pas trop cher. Je laissai une garantie. Elle me demanda à quelle heure je voulais le petit-déj. Je lui répondis que je souhaitais être réveillé à sept heures, manger à sept heures et demie, et partir à huit heures. C’était possible. Tant mieux. Bon, ben au moins, elle était pas chiante.


Je la laissai et filai droit dans ma chambre pour y poser mes affaires. J’avais très envie d’une douche, mais j’avais aussi très faim. Je décidai d’aller manger d’abord, avant qu’il ne soit trop tard pour être servi. Je trouvai donc une table, là où ma gracieuse réceptionniste me l’avait indiqué, et mangeai rapidement un quart de poulet, un car de frites, et un quart de vin, en tête-à-tête avec moi-même. Comme c’était sympa, ce boulot ! Parfois je trouvais d’autres gens, un peu comme moi, avec qui discuter un peu, mais là personne. La serveuse du restau n’avait qu’une seule envie, c’était que je me casse, pour qu’elle rentre le plus tôt possible chez elle. Quand j’essayai d’engager la conversation, elle me répondait simplement par un sourire. Le genre de sourire qu’on fait en répondant "no habla" à un groupe de touristes japonais qui tournent le dos à la Tour Eiffel et demandent en japonais où se trouve la Tour Eiffel.


Je rentrai donc rapidement à l’hôtel, il était à peine neuf heures vingt. J’allai sans doute prendre un verre au bar de l’hôtel, peut-être y aurait-il un peu de monde… En arrivant au bar, qui était légèrement éclairé d’une agréable lumière pâle, j’y vis deux personnes: un type en costume appuyé au bar et qui discutait avec ma réceptionniste. Je m’approchai d’eux et demandai s’il était possible d’avoir un Bailey’s. Elle me répondit sèchement que oui, à condition que je le paye maintenant. Ce que je fis. J’essayai de suivre un instant la conversation des deux personnes, mais ça avait l’air plus ou moins privé. Je pris donc mon verre, allumai une cigarette et m’assis quelques minutes devant Eurosport sans le son qui diffusait un superbe match de foot: Nîmes-Gueugnon, la grande classe du football européen ! Je demandai s’il était possible d’avoir une autre chaîne. La réceptionniste appuya sur une quelconque télécommande et j’eus désormais le loisir de regarder, et cette fois-ci d’entendre, la diffusion d’un bon épisode de "Papa Schultz". Je regardai avec insistance la réceptionniste, essayant de lui signifier d’un regard que j’aurais souhaité autre chose encore. Mais la seule chose que cela provoqua fut qu’elle me fit immédiatement penser à Mama Schultz.


J’abandonnai finalement ces deux charmantes personnes pour monter m’enfermer dans ma chambre. Je ne croisai ni n’entendis personne. Que c’était triste un hôtel si vide ! J’arrivai donc dans ma chambre, et allumai la télé, mais décidant de choisir cette fois-ci moi-même le programme. Je remarquai alors que cette télé proposait un accès internet. Tiens, j’allais chater un peu avant de prendre ma douche. Ça me détendrait. Ou bien j’allais visionner quelques vidéos x sur quelques sites pornos. Ou bien encore j’allais lire quelques histoires érotiques. Oui, il fallait que je me branle un bon coup, ça m’éviterait les réactions super débiles telles que celle que j’avais eue dans la soirée à la station-service.


Je tranchai finalement en décidant de lire une ou deux histoires érotiques ou pornographiques, et puis d’aller ensuite me branler dans la douche. Ça me paraissait un bon compromis. Un bon scénario qui m’exciterait bien, et puis après je m’imaginerais jouant ce scénario, tout en savourant l’eau chaude de la douche. Je me connectai donc à la toile. Je connaissais un bon site pour les histoires érotiques. Revebebe, ça s’appelait. J’y allai donc. Je choisis au hasard une histoire. Une histoire violette, ça voulait dire que c’était en rapport au sexe de groupe. Ça m’excitait diablement ce genre de choses. Je bandais déjà doucement, rien qu’en cliquant sur le titre. "Dans l’antre du mal". Je m’imaginai déjà les pires choses.


Mais plus je lisais et moins je bandais. Je n’y comprenais rien, c’était n’importe quoi ! Et puis ce n’était pas du tout excitant. J’essayai de sauter quelques lignes pour trouver des passages un peu hard, ou au moins un peu plus bandants, mais que dalle ! C’était qui cet auteur débile ? Gufti Shank ? Avec un nom comme ça, de toute façon… Je choisis un autre texte, d’un autre auteur, un truc bien crado, du bon gros cul bien bourrin, mais rien à faire, mon érection ne reprenait pas. "J’aurais jamais dû lire ce texte de Gufti Shank !", pensai-je en éteignant la télé et en me dirigeant finalement vers la douche. Je me déshabillai et commençai de faire couler l’eau dans la douche. Je réglai la température et entrai sous le bienfaisant et apaisant jet d’eau chaude. Après quelques secondes, lorsque je fus bien trempé, je me mis à me caresser légèrement le sexe, espérant le faire regonfler légèrement, en m’imaginant des choses un peu hard. Mais les deux seules choses qui trottaient dans mon esprit étaient Mama Schultz, ma réceptionniste, et ce texte débile que j’avais lu. Au bout de quelques infructueuses minutes, je lâchai finalement mon sexe qui retomba mollement entre mes jambes, en pensant: "Gufti Shank est le genre d’auteur qu’il faut lire quand, à un moment inopportun, tu as une grosse érection dont tu n’arrives pas à te débarrasser." Je me séchai ensuite simplement, et m’allongeai à poil dans les draps, en me disant finalement: "Bah, j’aurai bien la gaule demain matin en me réveillant, et je me branlerai un bon coup."


Mais en me réveillant, j’avais surtout une grosse envie de pisser, et après, je n’avais plus du tout la gaule. Je conclus finalement que, comme j’étais pressé, je me branlerais plutôt le soir même. Et puis peut-être que d’ici-là, j’aurais rencontré une belle et charmante jeune femme sympathique et dévouée… Je me préparai donc, allai déjeuner, puis revins me brosser les dents et reprendre mes affaires avant d’abandonner définitivement la chambre. Je passai payer Mama Schultz, qui me demanda sur un air proche de celui de la Marseillaise si j’avais bien dormi. Je la remerciai de toutes ces attentions, et pris finalement congé d’elle, retrouvant ma bonne vieille Citroën. Je remis le cap vers le sud, écoutant distraitement les infos. Mais à force, après quelques dizaines de kilomètres, c’était gonflant. Que des attentats et des crimes de toutes sortes… Je zappais sur un truc musical, sans doute une radio locale, qui passait que de la musique récente et branchée. C’était à mon goût tout aussi chiant, mais un peu moins triste.


Et puis soudain, la radio diffusa une chanson que je connaissais. Je n’aimais pas, mais en l’entendant, je pensai à la chanteuse. C’était une bombe, à moitié latina. Elle était actrice aussi. Je repensais à son corps et son visage superbes. Comment s’appelait-elle, déjà ? Perez, ou Sanchez, quelque chose comme ça… Enfin en tout cas, je la trouvais vraiment super, physiquement, ou disons bonne, plutôt. Mais c’était la mode, toutes ces pouffiasses, starlettes des chansons pour midinettes, qui traînaient plus des tronches d’actrices de X que de chanteuses pour enfants. Comme la gamine américaine, là, style Barbie en vulgaire, je ne retrouvais plus son nom. Ou tous ses affreux clones, qui commençaient même à débarquer chez nous… C’est vrai qu’elles étaient plus bonnes qu’autre chose, finalement. Elles ne chantaient même pas bien… Et en pensant à tout ça, je m’aperçus que mon érection était en train de revenir. "Ce n’est pas le moment…" pensai-je.


Je baissai négligemment les yeux pour regarder la bosse qui déformait malgré moi mon pantalon au niveau de mon entrejambe. Mais je n’aurais pas dû. Je sentis soudain des à-coups. Une seconde d’inattention en trop. J’étais sorti de la route. Je freinai immédiatement, mais c’était trop tard. Je sentis la voiture qui m’échappait. J’eus une frayeur énorme. Je vis la rambarde arriver vers moi à toute allure. Je me crispai sur la pédale de frein. Rien à faire. Je sentis un choc très violent et perdis aussitôt connaissance.



Je repris vaguement conscience en entendant une sirène, probablement celle des pompiers ou du samu. Cela me rassura, je sus que je n’étais probablement pas mort. Et je me laissai aller à m’évanouir de nouveau.



Quand je m’éveillai réellement, j’étais allongé dans un lit, dans une chambre toute blanche. Ce devait être un hôpital. Je tentai de bouger chaque partie de mon corps. J’avais l’air entier. J’avais des douleurs un peu partout, et je ne pouvais pas bouger ma jambe droite, qui était partiellement plâtrée. Mais apparemment je n’avais rien de plus grave. J’avais eu de la chance. Je regardai autour de moi. Le soleil inondait la pièce. J’y étais seul. Face à moi une télé. Je remarquai un petit interrupteur rouge, sans doute destiné à appeler un médecin ou une infirmière. J’appuyai. À peine quelques secondes plus tard, une infirmière entra. Elle était magnifique. Personne n’aurait pu rester indifférent à sa beauté. J’avais de la chance dans mon malheur. Etre soigné par une fille aussi belle… De longs cheveux blonds légèrement bouclés entouraient son joli visage et retombaient sur sa poitrine, qu’on devinait imposante, malgré la blouse qui la cachait. Elle me sourit et me dit:



Je lui rendis son sourire, en hochant la tête. Elle entra et ferma la porte derrière elle. Elle prit ma fiche au pied de mon lit. Elle la parcourut du regard, puis releva les yeux vers moi:



Elle alla vers la fenêtre de la chambre et baissa les stores afin de protéger mes yeux des rayons du soleil. Je remarquai que sa blouse était légèrement transparente. Je devinai ses courbes de rêve, tandis qu’elle s’affairait après les ficelles des stores. Elle se retourna vers moi, et me dit:



Elle s’approcha de mon lit surélevé, et se pencha juste au-dessus de moi pour tâter mon front de sa main tiède. Mes yeux plongèrent dans le léger décolleté de sa blouse, et je devinai le haut de ses seins magnifiques. Elle se redressa, me souriant toujours, et me dit:



J’aurais bien souhaité prendre au pied de la lettre ce qu’elle venait de me dire, mais je n’osai pas, bien sûr. Elle fit mine de s’en aller. Je l’interpellai:



Elle se retourna:



Elle se dirigea jusqu’au poste, et l’alluma. Elle me tendit la télécommande, et s’en alla, en disant:



Quand elle fut partie, je zappai négligemment d’une chaîne à l’autre. Ils avaient tout un éventail de canaux, plus encore que dans la plupart des hôtels. Je fus extrêmement surpris de tomber soudain sur un film porno. Je ne savais pas qu’ils avaient ça dans les hôpitaux… Tiens, après tout, voilà qui allait me détendre. Je baissai le son presque au minimum, puis posai la télécommande sur mon torse, et me mis à regarder assidûment les images. En quelques minutes à peine, mon sexe fut dur comme du béton, et j’eus très envie de me masturber. Ce n’était sans doute pas un problème, après tout. J’allais juste essayer de ne pas en foutre partout… Je passai donc un bras sous le drap qui me recouvrait, pour aller me saisir de mon sexe. Mais lorsque mon coude souleva ce drap, je me rendis compte que j’avais oublié la télécommande. Elle glissa, et je n’eus pas le temps de la rattraper. Elle tomba et éclata sur le sol en mille morceaux. Ooops. Je réalisai soudain que je ne pourrais plus changer de chaîne, à moins de me lever, ce qui était impossible dans mon état.


Je réfléchis quelques secondes, puis décidai d’appeler l’infirmière. J’allais lui raconter un bobard. Je sonnai, et Jenny entra quelques secondes après. Elle observa quelques secondes la télé, puis tourna vers moi des yeux coquins:



Elle rigola et se rapprocha de moi. Elle se baissa à côté de mon lit pour ramasser les morceaux de télécommande qu’elle jeta ensuite dans la poubelle qui se trouvait sous la table de chevet. Quand elle se releva, à mon immense surprise et à ma totale satisfaction, elle posa directement une main sur mon sexe, encore légèrement gonflé et dit, toujours souriant:



Ce qui eut pour effet de le faire regonfler presque immédiatement.



Je me laissai faire, en dévorant simplement son corps du regard. Elle souleva le drap, le reposant sur mes jambes, et exhiba mon sexe, complètement raide. Elle s’en empara d’une main, et se mit à me masturber fermement. Elle me regardait toujours de ses magnifiques yeux brillants, et son sourire se faisait progressivement plus mystérieux. Elle était toujours debout à côté de mon lit. Elle se pencha soudain, et sa bouche se referma sur mon gland plus gonflé que jamais. Elle fit glisser doucement ses lèvres autour de presque tout mon sexe, aspirant doucement. Je fermai les yeux et me laissai aller à savourer ces expertes caresses. Elle me suça ainsi, très doucement, durant quelques minutes, sans s’interrompre. C’était merveilleux. Mais je sentis bientôt que j’allais jouir. Elle dut s’en apercevoir aussi, car elle s’arrêta, lâcha mon sexe, et se redressa. Elle darda de nouveau ses yeux dans les miens. Elle ne souriait plus et on aurait dit qu’elle cherchait à me transpercer du regard.


Un coup sourd résonna à la porte. Je regardai vers l’entrée de la chambre, puis retournai les yeux vers Jenny. Elle me dit calmement:



Elle me sourit une fois encore, et, d’un seul geste, retira sa blouse. Elle était presque nue dessous, ne portant qu’une très fine culotte, presque un string, et un fin soutien-gorge de dentelle. Elle le dégrafa, sensuellement, d’une main, sans cesser de me regarder, puis se débarrassa aussi de sa culotte. Je la regardai tout en me masturbant très doucement. Elle avait vraiment un corps sublime. Un nouveau coup sourd retentit contre la porte. Je la regardai encore avec des yeux interrogateurs.



Elle se dirigea vers la porte, oscillant ostensiblement des fesses à mon attention. Je la regardai l’ouvrir et sortir, tout en me branlant encore très doucement. Elle referma la porte. Je pensai l’espace d’une seconde à cette superbe fellation très prometteuse qu’elle m’avait offerte. Il y eut un troisième coup sourd, plus fort que les autres, et la porte de ma chambre vola littéralement en éclat, dévoilant juste le visage, qui me parut géant, d’un homme portant un uniforme de pompier et une lourde hache. Il me regarda, me sourit, se retourna et hurla:





Cela me fit l’effet d’une douche froide. Je repris mes esprits en un rien de temps, et réalisai que j’étais toujours dans ma voiture, à demi-déglinguée de partout. La vitre et la portière du côté passager venaient d’être défoncés à coups de haches par les pompiers. Je remballai aussi vite que possible mon sexe, à présent très très mou, mais que je tenais toujours de la main gauche. Le visage du pompier se redessina à travers la vitre brisée. Il arborait un vaste sourire, et me dit, volontairement sardonique:



Il se marra franchement, puis reprit finalement son sérieux:



Je me tâtai vaguement (cette fois-ci ailleurs qu’au niveau du sexe), et tentai de bouger tout mon corps. J’eus une vive douleur à la jambe droite.



Je tentai de me soulever pour me rapprocher de la portière arrachée. Mais en essayant de bouger, je ressentis une immense douleur, toujours à la jambe droite. La souffrance fut cette fois-ci vraiment insoutenable. Je perdis connaissance en entendant le pompier me dire:




Quand je m’éveillai, et cette fois-ci pour de bon, je me retrouvai effectivement dans une chambre d’hôpital, mais il y avait deux autres lits sur lesquels dormaient deux personnes. J’appelai une infirmière, et j’eus comme un choc en la voyant arriver: elle était énorme, et ne paraissait vraiment pas avenante. Elle me regarda et me dit d’un air bourru:



Je récupérai doucement mes esprits. Elle me dit encore:



Elle me coupa aussitôt:



Elle me coupa encore:



Mon dieu ! C’était la sœur de Mama Schultz… J’étais désemparé.



Aaaah ! J’étais tellement mieux dans mon rêve…



Arrgghh ! Mais cette femme était un monstre… Oh, j’étais tellement mieux dans mon délire ! Peut-être que si je me tapais la tête contre un mur, je retrouverais Jenny. Ça valait peut-être le coup d’essayer après tout. Je me retournai comme je pus, et me mis à me taper la tête à grands coups contre le mur, sous les yeux incrédules et incompréhensifs de l’infirmière, qui, tout en essayant de m’attraper, se mit aussitôt à hurler:





Conclusion: voilà à quoi peut vous mener la lecture d’un texte de Gufti Shank ! Attention !