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Temps de lecture estimé : 14 mn
27/12/02
Résumé:  Véro a retrouvé un ancien ami de la fac...
Critères:  fhh hbi couplus intermast fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo hdanus
Auteur : Christian 4  (Christian)            Envoi mini-message

Série : Les aventures de Chris et Véro

Chapitre 03 / 03
Michel


Un soir, Véro rentre du travail toute guillerette. Un bisou puis je lui demande ce qui la rend si joyeuse :



La conversation est interrompue par la sonnette de la porte. Véro va ouvrir, me laissant seul à mes pensées. Baiser avec un homme ? J’aime, c’est vrai, quand qu’elle m’embrasse après une pipe, goûter un peu de mon sperme, j’apprécie aussi lorsqu’elle me caresse l’anus mais de là à sucer un sexe masculin et à offrir mes fesses, il y a un pas. J’en suis là de mes réflexions lorsque Véro fait entrer Michel au salon. Une poignée de main ferme et nous nous installons tous les trois dans le canapé, Véro entre nous. Michel est bel homme, châtain clair, mince, il ne donne pas l’impression d’être efféminé. Nous parlons de tout et de rien, les deux amis se remémorant certains épisodes de leur vie estudiantine. Véro propose à Michel de partager notre repas. Après s’être fait un peu prié, il accepte à la condition de participer en allant acheter une bouteille de bon vin. Il s’absente donc et Véro me demande un coup de main pour préparer le repas. Dans la cuisine, elle me demande mon avis :



Décidément, quand elle a une idée derrière la tête…


Michel revient après un quart d’heure. Pendant que le repas finit de cuire, nous reprenons un verre.

Pendant le repas, je félicite Michel pour le choix de son vin, excellent. Une fois terminé, Véro lui demande où en est sa vie privée. Michel semble un peu gêné puis il avoue avoir eu quelques aventures avec des femmes mais qu’il se sent plus attiré par les hommes. Ainsi Véro avait raison ! Elle me lance un grand sourire de victoire et s’amuse de mon étonnement. Notre ami, se méprenant sur son attitude lui demande s’il nous a choqués :



Véro, particulièrement curieuse, lui demande ce qu’il aime faire avec un homme. Michel est un peu gêné au début mais elle l’encourage. Après une longue hésitation, il nous révèle le plaisir qu’il prend à sucer un sexe d’homme, à le sentir gonfler dans sa bouche. Ma chérie l’interrompt en lui disant qu’elle aussi, adore ce pouvoir qu’elle a quand le sexe de l’homme qu’elle suce gonfle sous ses caresses. Enfin, elle me regarde puis demande à Michel :



Je suis ébahi de la proposition de ma chérie et incapable de répondre, je l’entends continuer :



Immobile, je regarde Michel s’approcher de moi. Ses mains se posent sur mes épaules et me caressent doucement. Véro nous regarde et me dit de m’asseoir sur la table. Je m’exécute, Michel face à moi. Il me regarde en souriant et, sans baisser les yeux, ouvre ma braguette et me caresse doucement. La situation est tellement étrange que mon sexe, d’habitude si prompt à réagir aux caresses, reste flasque. Guère découragé, sa main imprime de lents va-et-vient sur ma hampe puis il décide de me débarrasser de mon pantalon. Malgré moi, je l’aide en soulevant les fesses et je me retrouve le sexe à l’air. Il continue un peu ses caresses et je sens peu à peu mon sexe gonfler sous ses doigts agiles. Il se baisse alors, sa langue remplace sa main, me lèche un peu et je sens son souffle sur mon gland. Je ferme les yeux au moment où, entrouvrant les lèvres, il décide de m’avaler. Je me laisse alors aller, savourant la fellation de Michel, réellement doué. Sa bouche, chaude et douce, enveloppe mon membre et me procure de merveilleuses sensations. Comme par réflexe, mes mains se posent sur sa tête et accompagnent ses va-et-vient. Je baisse les yeux et regarde ma queue aller et venir dans la bouche de cet homme, encore inconnu il y a quelques heures. Mon érection est désormais à son maximum et je ne peux étouffer mes gémissements. Je sens alors un doigt s’insinuer entre mes fesses. Habitué à cette caresse de la part de Véro, je laisse faire et, assez rapidement, il force mon petit trou. J’approche mes fesses du bord de la table, lui offrant ainsi mon œillet. Michel est très doux, son doigt s’enfonce avec beaucoup de douceur en moi, augmentant encore mon excitation. Je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps et préviens Michel de ma jouissance proche. Ses lèvres serrent alors un peu plus mon membre, sa langue virevolte sur mon gland et son doigt s’enfonce entièrement dans mon cul. Je ne me retiens pas et, dans un long gémissement, je me laisse aller. Michel a attendu la dernière seconde avant de me sortir de sa bouche et mes jets s’écrasent sur son visage, lui maculant les joues et les lèvres. Il sort son doigt de mon anus, me laissant une impression de vide, et, se relevant, me demande si j’ai aimé :



Véro, qui n’a rien manqué du spectacle, nous regarde en souriant. Ses tétons dardés pointent sous son chemisier. La situation semble l’exciter elle aussi. Elle s’approche de Michel et, posant une main sur sa braguette, lui demande :



Elle descend la fermeture, sa main s’insinue dans l’ouverture et s’empare du membre. Je descends de la table et elle invite Michel à prendre ma place. Debout entre ses jambes, elle ouvre sa chemise et embrasse son torse, s’attardant sur les tétons qu’elle mordille. Michel, les bras en arrière, a pris appui sur ses mains et la regarde l’embrasser. La bouche descend maintenant sur le ventre musclé et atteint le pantalon. Sans hésiter, elle l’en débarrasse et pose la bouche sur le gland qu’elle agace du bout de la langue, encouragé par les gémissements de Michel. Une main s’empare des bourses gonflées qu’elle masse délicatement. Elle se relève et embrasse longuement son ami à pleine bouche. Comme d’habitude, la vision de ma femme avec un autre homme m’excite et mon sexe se redresse. Ma main caresse alors les fesses de ma chérie qui se cambre, m’encourageant à poursuivre. Puis son visage redescend à hauteur de la verge de Michel que, cette fois, elle engloutit dans sa totalité. Je contemple sa fellation, ses joues se creusent, ses lèvres enserrent le membre qui coulisse entre ses lèvres. Elle le suce un long moment puis le fait sortir et s’adresse à moi :



J’hésite un peu mais elle attire mon visage à côté du sien. Sa main tient la queue de Michel et la dirige vers ma bouche. Bientôt, son gland frôle mes lèvres qui, presque malgré moi, s’entrouvrent. Je l’embrasse timidement, découvre que la sensation n’est pas si désagréable. M’enhardissant, j’ouvre un peu plus la bouche et je sens la verge coulisser entre mes lèvres. Surpris, j’ai bientôt son sexe entièrement en moi. Ça y est ! Pour la première fois de ma vie, je suce une bitte ! Ma langue parcourt ce sexe masculin sur toute sa longueur. Je me surprends à apprécier sa présence et m’applique à le sucer de mon mieux. Je le fais ressortir et le caresse lentement, regardant de près cette verge puis ma bouche l’avale à nouveau. D’une main, je lui pelote les couilles, allant même jusqu’à griffer doucement son scrotum. Cette initiative semble plaire à Michel qui tend ses fesses. N’hésitant pas, j’envoie un doigt fureter du côté de son œillet. Contrairement à ce que je pensais, son cul est très serré. Je parviens toutefois à y entrer une première phalange et je lui branle doucement le cul. Contre mon palais, je sens les soubresauts de sa queue qui se raidit encore un peu plus sous cette nouvelle caresse. Enhardi, j’enfonce mon doigt entièrement entre ses fesses, lui tirant un gémissement, et le fais aller et venir, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Totalement concentré sur ce que je fais, j’en oublie la présence de ma femme qui se rappelle à mon souvenir en approchant sa bouche de la mienne. Je sors la queue de Michel et lui caresse les lèvres avec le gland. Elle me regarde, sourit, ouvre la bouche et l’avale à son tour. Quelques va-et-vient et, de nouveau, mes lèvres l’accueillent. Michel apprécie cette double fellation. Ses mains nous caressent les cheveux, appuyant parfois pour s’enfoncer au plus profond dans nos bouches respectives. Mon doigt lui laboure l’anus de plus en plus vite et je l’entends me dire :



Il est immédiatement exaucé et mon index rejoint mon majeur dans son boyau qu’ils fouillent profondément. Les gémissements s’amplifient et Michel nous avertit que sa jouissance est proche. Véro le fait sortir de sa bouche et, lui embrassant les bourses, le masturbe rapidement. Un dernier râle et nous sommes récompensés par trois jets puissants qui arrosent les joues et le menton de ma femme. Elle le reprend en bouche et lui tire encore quelques gouttes puis elle se tourne vers moi et me demande de lui nettoyer le visage. Ma langue s’emploie à effacer les traces de l’éjaculation et, une nouvelle fois, je me surprends en appréciant le goût de son sperme.


Après quelques minutes de récupération, Michel constate que seule Véro n’a pas eu droit au plaisir. Il s’approche d’elle, la déshabille lentement et, quand elle est nue, l’invite à s’allonger sur la table. Il se met d’un côte et moi de l’autre. Quatre mains s’emparent alors du corps de ma chérie et le caressent sans en oublier un millimètre. Nos doigts courent sur sa peau, des épaules à la pointe des orteils, montent et descendent le long de ses jambes, de son ventre, de ses bras. Nos deux bouches prennent chacune possession d’un sein que nous léchons tendrement, tétant comme le feraient deux bébés. Puis nous descendons ensemble embrasser son ventre plat, une main remplaçant nos lèvres sur la poitrine. Sa toison fait l’objet de toutes nos attentions et bien vite, ses poils sont trempés de notre salive. Je décide de laisser Michel s’occuper de sa fente et ma bouche refait le parcours inverse, s’occupant cette fois des deux seins. Je regarde ma femme : les yeux clos, elle savoure pleinement les caresses que nous lui offrons, de légers soupirs sortent de ses lèvres quand la langue de Michel s’attarde sur son bouton ou que je lui pince un téton. La respiration courte, elle se laisse totalement aller, livrées à ses deux amants. Mes lèvres se posent sur les siennes, sa bouche m’accueille et un baiser particulièrement fougueux nous unit de longues minutes. Lorsque nos bouches se désunissent, elle me regarde avec, dans les yeux, tout le plaisir qu’elle peut ressentir. Je lui souris et lui demande si elle aime :



Michel s’affaire toujours sur le minou de Véro, j’entends le clapotis que fait sa langue quand elle plonge dans le vagin que je sais être trempé. Je le regarde faire un peu puis saisit les cuisses de Véro que je remonte en les maintenant écartée. Dans cette position, ma chérie expose totalement sa fente et son œillet. Comme s’il n’attendait que cela, Michel plonge la langue entre les fesses et lui offre une feuille de rose. Mes doigts remplacent sa bouche et je caresse les lèvres tuméfiées et le bouton totalement sorti de son capuchon. Les râles de plaisir de Véro emplissent la cuisine, son ventre se tend, elle pousse un cri et jouit longuement, inondant ma main de sa liqueur. Michel plonge la langue dans la fente et se régale du jus qui coule en abondance. Véro serre la tête de Michel, l’empêchant de poursuivre ses caresses et celui-ci se redresse, le menton humide.


Nous nous rasseyons autour de la table et Michel propose de fêter notre soirée par une coupe de Champagne qu’il a également tenu à nous offrir. Nous dégustons donc le délicieux breuvage, nus tous les trois, commentant les moments que nous venons de vivre. Michel, comme moi, est toujours en érection ce que ne manque pas de remarquer ma petite coquine. Elle quitte sa chaise et vient s’asseoir sur lui, torse contre torse. Elle l’embrasse, prend son sexe en main et se caresse lentement la fente avec le gland. Les mains de son cavalier se posent sur ses seins qu’il pelote doucement, les soupesant, étirant les bouts. Véro se lève un peu, présente la verge à l’entrée de son vagin et, très lentement, s’empale, savourant chaque seconde de la pénétration, accompagnant la progression de cette queue en elle d’un long "hum" discontinu. Lorsque les bourses viennent frapper à l’entrée de sa grotte, Véro reste immobile, appréciant d’être ainsi emplie. Elle embrasse de nouveau Michel puis entame de longs va-et-vient sur sa colonne de chair. Son amant lui laisse mener la danse puis décide de prendre la direction des opérations. Il saisit Véro sous les fesses et, sans sortir d’elle, se lève, l’installe au bord de la table, saisit ses jambes qu’il met sur ses épaules et entame une folle chevauchée, alternant longues et profondes pénétrations et à coups plus rapides. Je regarde ses fesses se contracter quand il s’enfonce en elle, lui tirant chaque fois un soupir de plaisir. Je me mets à côté de la table, le sexe à hauteur du visage de ma chérie et lui caresse la poitrine. Elle tourne le visage, ouvre la bouche et je m’enfonce entre ses lèvres, sa main flattant mes bourses. Ainsi prise de deux côtés, ma chérie connaît très vite un nouvel orgasme, elle lâche mon sexe et pousse un long ’oui’ exprimant son plaisir. Michel sort alors de sa chatte, la prend par la main et l’emmène au salon. Il s’allonge sur le tapis, la fait venir sur lui et reprend possession de son vagin. Il l’attire contre son torse et me lance un sourire. Comment refuser telle invitation ? Je m’installe à genoux derrière ma femme dont Michel tient les fesses écartées, et pose mon gland au centre de son œillet. Je m’enfonce entre ses reins, accueilli par un cri de joie :



Nous nous enfonçons alternativement dans chacun de ses deux trous, encouragés par Véro qui hurle son plaisir à chaque coup de rein. Michel offre sa bouche tantôt à ses seins, tantôt à ses lèvres dont elle s’empare, l’embrassant presque sauvagement. Nous la besognons ainsi un long moment, lui procurant un autre orgasme avant que le plaisir s’empare de nous, presque simultanément. Je craque le premier. M’enfonçant à fond dans son anus, mes jets fusent dans son boyau, puissants, lui arrosant le conduit de mon sperme. Je me retire d’elle et, à ce moment, Michel sort de sa chatte et explose, arrosant le pubis de Véro de son jus crémeux.

Nous reprenons nos esprits, allongés côte à côte. Je me lève et reviens avec 3 verres pleins qui nous requinquent un peu.

Je m’assieds par terre, face à Véro et Michel. Je remarque que la main de ma femme caresse la cuisse de notre ami, flattant parfois le sexe qui, pour l’instant, repose encore entre les jambes. Michel me regarde et, avec un sourire, me dit :



Michel me fait venir sur lui en 69 et, cette fois, sans hésiter, ma bouche se referme sur son membre pas encore tout à fait érigé. Je l’avale entièrement, ma langue joue sur son méat ou lèche sa hampe, mes mains caressent ses bourses. Peu à peu il retrouve toute sa vigueur et m’emplit la bouche. Lui aussi s’applique à me sucer à fond et arrive au même résultat avec mon sexe. De nouveau, il explore mon fondement d’un doigt curieux qui me fouille agréablement allant et venant très délicatement. Au bout d’un moment, il sort son doigt et je sens une substance froide sur mon œillet, de la vaseline. Il reprend ses caresses et ajoute bien vite un second doigt qui me pénètre sans mal. Les va-et-vient reprennent entre mes reins un court moment avant que Michel ne change de place. Il me dit de rester comme je suis et je le sens qu’il se relève. Un peu frustré, je garde la position et sens bientôt quelque chose de plus large contre mes fesses. Instinctivement, je serre celles-ci.



Cette dernière remarque manque de conviction et Michel s’en rend compte.



Vaincu, je reste immobile, indiquant ainsi à Michel que je suis prêt à lui livrer mes reins. Son gland appuie alors doucement sur mon œillet. Ce dernier, préparé par les précédentes caresses, semble accueillir l’intrus sans opposer une très grande résistance et, contrairement à mes craintes, sans occasionner trop de douleur. Le membre progresse lentement en moi. Suivant les conseils de ma femme, je pousse un peu afin de faciliter la pénétration. La légère douleur initiale fait peu à peu place à une certaine forme de plaisir, une sensation étrange m’envahit, faite d’un mélange de honte et de plaisir mélangés. Véro, à côté de nous, me caresse le sexe qui, malgré la situation, ne me semble jamais avoir été aussi dur. Bientôt, Michel m’annonce qu’il est entièrement en moi. Il reste quelques instants immobile puis ressort presque totalement. Lorsque seul son gland est encore fiché en moi, il me demande si j’aime. À ma réponse positive, il me réinvestit d’une seule poussée, m’arrachant un cri, tant de plaisir que de douleur. Bien vite, ses va-et-vient réguliers me procurent beaucoup de plaisir. Son membre m’emplit complètement le boyau, me procurant une sensation étrange mais particulièrement agréable, rien à voir avec les caresses du doigt de Véro. Ses va-et-vient rapides et puissants font claquer mes fesses contre son bas-ventre, preuve qu’il me prend à fond. De longues minutes, je subis cette sodomie, y prenant toujours un peu plus de plaisir, puis Michel accélère ses coups de rein et soudain, sortant sa verge, balance son sperme sur mon dos en poussant un râle. Cela déclenche mon propre orgasme et les mains de ma femme recueillent mon jus.


Nous allons ensuite tous les trois prendre une douche réparatrice pendant laquelle ma femme propose à son ami de passer la nuit chez nous. Visiblement, d’autres surprises sont à venir !