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n° 05460Fiche technique22755 caractères22755
Temps de lecture estimé : 14 mn
03/01/03
Résumé:  Après des années à rechercher le plaisir de la première fois, je l'ai retrouvé avec Gilbert, qui m'a fait jouir devant la caméra d'un ami voyeur.
Critères:  hh collection voir exhib photofilm intermast fellation fdanus fsodo
Auteur : Hostier      
15 ans après mon inititiation, j'ai redécouvert le plaisir



1. Premiers troubles avec Fernand


Malgré le plaisir que j’ai toujours éprouvé à faire l’amour avec des femmes, cela fait plus de seize ans que j’ai découvert le désir homosexuel. Mais il n’y a que peu de temps que je connais le vrai plaisir profond. Jusqu’à présent, mes quelques expériences m’avait plutôt laissé insatisfait.

Sauf la première. C’était juste après le bac, alors que je n’avais encore jamais baisé avec une fille. J’étais en vacances chez Fernand ,un copain de classe, au bord de la mer. J’ignorais encore ce qu’on pouvait ressentir l’amour entre garçons, mais je me sentais attiré vers lui, et je suis sûr qu’il le savait. Il avait en particulier une très belle bouche, bien dessinée, et avant cette expérience que je vais vous raconter, j’avais envie de découvrir le goût de sa langue, de goûter à sa salive. À 18 ans, j’avais juste embrassé quelques filles, le reste de leur corps je ne le connaissais qu’à travers des revues porno et je peinais à aller au-delà, par timidité. La vue d’une belle chatte détrempée me fascinait depuis longtemps et peuplaient mes rêves depuis l’adolescence. Or, depuis environ six mois, j’avais découvert que Fernand me troublait et je m’était mis à imaginer des scènes érotiques avec lui. Je suis tout sauf efféminé, mais pourtant dans tous mes fantasmes, c’est lui qui était le mâle et qui me pénétrait.

Les deniers temps, je me branlais aussi souvent en pensant à lui qu’en imaginant des parties de sexe avec des filles. Lorsqu’il m’a proposé de passer 2 semaines de vacances avec lui dans le studio sur la côte Atlantique que ses parents nous prêtaient, 15 jours avant qu’on parte, je n’ai plus pensé qu’à lui. Lorsque je me masturbais, j’imaginais de façon de plus en plus précise comment il pourrait me baiser, et c’était torride. Quand j’éjaculais, je sentais mon anus battre la chamade. On est partis deux jours après les résultats du bac. On était reçus tous les deux. Ses parents, très aisés, lui avaient offert une voiture en récompense de sa réussite. Ma récompense à moi, ça serait de faire l’amour avec lui. J’étais sûr qu’il avait envie de moi et que c’était pour ça qu’il m’invitait.

Il ne s’est rien passé avant la deuxième semaine.



2. Fernand me fait goûter aux joies de la sodomie


Après la baignade, nous utilisions les douches publiques au bord de la plage pour nous rincer du bain salé. On utilisait la même cabine sans se mettre nu. Un jour, il s’est mis derrière moi, et « pour rire » se colla derrière mon dos, donnant quelques coups de reins ,et faisant semblant de me sodomiser. Nous avions gardé notre maillot de bain, mais ce premier contact était suffisamment serré pour que je ressente quelque chose, une espèce de frisson entre les fesses. Je l’ai repoussé, mais sans conviction, et nous sommes rentrés à la maison. Le jeu a bien sûr recommencé l’après midi même, et les jours suivants. Il se collait de plus en plus fort contre mon postérieur, et j’attendais de plus en plus longtemps pour le repousser. Je sentais son sexe dur (que je n’avais jamais vu) à travers le tissu ,et de plus en plus une drôle de chaleur m’envahissait, et je bandais de plus en plus fort. La nuit, j’y repensais et je me branlais dans l’obscurité, désirant de plus en plus fort qu’il quitte le lit voisin et qu’il m’encule pour de bon. Je faisais du bruit, je suis sûr qu’il ne dormait pas et qu’il savait ce que j’avais ressenti à son contact.

C’est le dernier jour que c’est arrivé, à nouveau dans les douches. Cette fois-ci, je l’ai senti se positionner derrière moi, et j’ai compris que notre petit jeu irait plus loin. Alors, il a baissé brutalement mon maillot de jusqu’en bas des cuisses. Je me suis retourné et l’ai vu nu, son sexe tendu. Qu’il était beau. Un manche de taille très respectable, raide de désir, recouvert d’un peau satinée très brune, son gland brillant qui me promettait tant de plaisir, la mince touffe châtain aux reflets blonds tout autour, encore humide de notre bain de mer. J’avais autant envie de l’accueillir dans ma bouche que de voir l’instrument disparaître entre mes fesses. Fernand m’a dit « je vois que tu bandes aussi, tu vas faire la femme pour de vrai ».


J’ignorais presque tout de la façon réelle de baiser entre garçons , mais lui non, visiblement, bien que ça soit sa première fois. Il avait ramené avec ses affaires de plage un kleenex imbibé de quelque chose de gras ,il s’est enduit la verge, puis il m’a retourné pour m’enculer. J’étais très excité. Il m’a empoigné, j’ai senti son souffle court dans mon cou, puis sa tige qui commençait à écarter mon anus et à me pénétrer de quelques millimètres. Dans la position improvisée (debout les jambes écartées) il ne pouvait pas me pénétrer très profondément, mais instinctivement je me cambrais pour tenter de faciliter son intrusion. Je n’éprouvais aucun mal, au contraire cette sensation nouvelle était délicieuse. Mon cœur battait à exploser. Il est rentré dans mon cul en ébullition d’environ cinq centimètres, puis a fait machine arrière. À peine quatre ou cinq va et viens et j’ai joui, sans prévenir. J’ai poussé un cri de surprise. Fernand n’avait pas encore joui, il continuait à me limer de plus en plus vite. C’est alors qu’une femme alertée par mon cri a ouvert la porte de la cabine .

Découverts dans cette position compromettante, nous sommes sortis sous les insultes de la femme, et nous sommes rentrés en silence. Les séances d’initiation étaient terminées, les vacances . Il ne s’est plus rien passé entre nous par la suite.



3.Des années d’expériences frustrantes.


La honte d’avoir été surpris en train de me faire enculer par mon copain me poussait à tenter d’oublier l’expérience . D’autant que j’avais découvert quelque temps plus tard l’amour avec les filles et que j’adorais ça. Ce n’est que deux ans après que je me suis mis à revivre en pensée cette première expérience. Le plaisir éprouvé au cours de ma première sodomie effaçait la honte, et mon goût pour les filles ne suffisait pas à effacer mon désir de sexe avec les hommes. J’ai en premier tenté de me faire du bien en m’introduisant différents objets, c’était douloureux Alors j’ai cherché des occasions, et j’en ai trouvé quelques unes. Je ne voulais pas de relation durable, je voulais des rencontres rapides et efficaces, simplement lorsque j’étais vraiment en manque.

En quinze ans depuis ma première expérience, je me suis fait sauter une dizaine de fois, à chaque fois par un mec différent. Le plus jeune avait vingt ans, le plus vieux une soixantaine. Mais aucun ne m’a vraiment donné du plaisir. C’était toujours à la va-vite, dans des endroits honteux, sans érotisme. Je restais marqué par la peur d’être découvert comme la première fois, et ça me coinçait. De plus, ces types utilisaient seulement mon cul pour se branler dedans, et ne cherchaient pas à me procurer du plaisir. En plus, l’utilisation systématique de la capote rendait leur sexe beaucoup moins efficace. J’avais envie de sucer des bites, mais j’avais peur qu’elles fassent couler dans ma bouche du sperme HIV. Alors je m’abstenais de le leur proposer.


Déçu par ces expériences, je restais des mois sans retenter le coup, jusqu’à ce que l’envie redevienne trop forte. Je revenais toujours en fantasmes vers Fernand, je nous imaginais , reprenant notre partie de cul sous une douche, comme la première fois. Je l’avais perdu de vue l’année où il m’avait enculé , mais je continuait de me branler en pensant à lui. J’essayais de l’imaginer la trentaine , avec un sexe plus énorme que jamais, en train de me labourer le cul et moi poussant des cris de plaisirs. J’ai plusieurs fois tenté de retrouver son adresse, sans succès. En tout cas, je suis sûr que si je le retrouvais qu’il accepterait de me baiser, même s’il mène depuis une vie sexuelle « normale ».



4.Une proposition très alléchante


Il y a un an, Charles ,un homme dont j’avais fait la connaissance dans mon club de tir m’invite à prendre un pot chez lui. En discutant de nos métiers, j’apprends qu’il est dans la pub. Il me fait visiter un studio derrière le salon bourré de caméras, de micros, de bouts de décors. C’est là qu’il tourne ses spots.

C’est alors qu’il m’annonce qu’il tourne aussi des courts métrages X , pour son propre plaisir et celui de quelques amis. Il me propose de m’en montrer un, j’accepte. On s’installe sur un canapé et il met en route le projecteur à côté de nous. Le film est projeté sur un &écran d’environ 3 m sur 2. En quelques secondes, je comprends quels sont ses goûts sexuels.

Deux types font l’amour. Les images sont splendides. Il me confie que celui qui fait l’homme est son acteur préféré du moment. Il n’a pas l’air très grand, il est plutôt rondouillard, une quarantaine d’année. Il est à moitié chauve. Pourtant, il y a quelque chose de très érotique chez lui. Le caméra fait un gros plan sur son visage, puis descends sur son torse assez épais, descends encore pour fixer son sexe (sans capote) qui se redresse doucement sous les caresses légères de son partenaire. Sa bite est magnifique, brune et luisante. Surmontée d’un gland bien gonflé, elle dessine une dessine une flèche parfaite. Je suis très excité et je commence à me tortiller sur le siège, comme si c’était mon cul qu’elle allait transpercer. L’autre homme, un petit blond assez fluet commence à lui lécher la verge en caressant ses boules . Je suis fou à l’idée que ma langue pourrait être à sa place.

Bientôt, les deux amants se mettent à baiser. Le petit blond s’est accroupi face à la caméra, au-dessus de son mâle. Il s’empale sur la verge luisante de vaseline. Les gros plans sont magnifiques. On sent qu’ils prennent vraiment du plaisir. Le gros étalon redresse le blond, l’empoigne par les hanches, et commence à le prendre en levrette. Sans m’en rendre compte (mais mon voisin, ne rate aucune de mes réactions), je me caresse mon sexe tendu à bloc à travers le jean, descendant de plus en plus souvent la main jusqu’ à mon anus en feu. J’ai de plus en plus envie de me branler.


Le film se termine sur les râles du chauve et les gémissements non simulés du petit blond qu’il encule.

Belle scène n’est-ce pas, me demande mon hôte en éteignant le projecteur. Tu es mignon, je suis sûr que Gilbert ( c’est le nom du chauve) aimerait te prendre devant mes caméras.

Là, je ne m’y attendais pas. Je bégaie quelque chose au cinéaste amateur, tandis que ma tête manque d’exploser à l’idée que Gilbert puisse réellement me grimper dessus.

« toi aussi, tu en meurs d’envie, avoue, tu bandes comme un âne. » Avant que j’ai eu le temps de répondre, Charles pose sa main sur ma cuisse, puis défait ma braguette pour attraper ma bite , douloureuse à force de bander. Il commence à me sucer, et sa main gauche me caresse les fesses. C’est délicieux. Au bout d’une minute, je n’arrive plus à me contrôler, et mon sperme se déverse sur sa langue.

Je suis reparti peu de temps après, sans avoir prononcé son mot. Il m’a demandé de réfléchir à sa proposition et de le rappeler le lendemain si j’étais d’accord pour faire l’amour avec Gilbert devant ses projecteurs.

Cette nuit-là je n’ai pas dormi. Je n’aimais l’idée d’être filmé, mais j’avais trop envie de Gilbert. C’était la première fois depuis mon copain d’école que j’avais envie non pas seulement de me faire pénétrer, mais d’un mec précis.

J’ai rappelé le lendemain, et le rendez-vous a été pris pour le week-end suivant. Charles m’ a dit que Gilbert était d’accord et m’a alors raconté le petit scénario qu’il avait inventé pour mettre en scène la séance porno . En tout cas, je devais m’y conformer puis laisser faire Gilbert qui improviserait.

Je ne pouvais pas chasser une minute de mon esprit ce qui m’attendait. J’ai quand même pensé à passer au labo faire un test HIV, pour pouvoir profiter pleinement de la sauce de mon amant. Lui était négatif, Charles me l’avait assuré.



5. Quinze ans après la douche torride , Gilbert me fait jouir devant une caméra.


Samedi Je suis entré en tremblant dans le studio. Gilbert était déjà là, je ne savais comment lui dire bonjour. On commence tout de suite, nous a dit Charles.


Le décor aménagé était une boutique de fringues, avec sur le côté une cabine à rideau. Je suis supposé être vendeur dans cette boutique.

Moteur ! Une sonnette retentit tandis que je suis en train de plier des pantalons. Gilbert entre et me demande ce que j’ai en sous-vêtements. Je lui sort deux ou trois slips différents, de taille 5 (il est assez gros, je le rappelle). Il demande à les essayer , je le dirige vers la cabine dont je ferme aux 3 quarts le rideau. Mais l’ouverture me permet de le mater en train de se déshabiller et de dévoiler sa verge déjà en pleine érection. La caméra filme Gilbert en train d’enfiler le slip puis me montre me léchant abondamment les lèvres à la vue de sa bite. J’ai un peu le trac, mais je suis décidé à jouer mon rôle jusqu’au bout.

Derrière le rideau, Gilbert me dit qu’il est trop serré et me dit de venir constaté par moi-même.

Je rentre et palpant son sexe à travers le slip, lui dit que je n’ai pas de sous-vêtement assez grand pour un étalon comme lui !

« Mais ta bouche m’a l’air assez grande pour enfourner ma queue » me répond-il comme c’est écrit dans le scénario.

Je dis que je vais vérifier. Je m’agenouille et je fais glisser son slip. Sa verge, une colonne de chair de 20cm environ jaillit devant mes yeux. Elle est encore plus appétissante en vrai que dans le film. Je sens une onde chaude me remonter entre les reins. Elle est à quelques centimètres de mes lèvres. Ma langue se pose timidement à la base du gland, puis en dessine le contour. Sa main se pose sur ma tête, m’invitant à aller plus loin. Alors mes lèvres se referme sur la chair à la fois dure et moelleuse. J’adore le goût du mince filet de pré-semance qui s’échappe. Sa bite s’enfonce un peu plus dans ma bouche et je commence à travailler mon homme qui donne des petits coups de bassin. Le plaisir buccal est vraiment quelque chose de génial. J’ai l’impression d’être ivre.

Puis, Gilbert m’invite à me relever. Je m’exécute. Il approche sa bouche de la mienne et m’embrasse longuement. Je ne m’y attendais pas, mais il est si insistant que je me laisse faire. C’est la première fois qu’un homme m’embrasse .Sa langue suave mais très ferme se fraye un passage ,et je me sens devenir complètement femelle. Mes lèvres sont comme un clitoris.


En continuant à me stimuler, je sens ses mains redescendre et commencer à me déshabiller. En quelques secondes je suis tout nu, et je frissonne sous ses caresses viriles. La caméras qui suivent nos ébats sous plusieurs plans ne me gêne même pas. Gilbert est contre moi, et je sens son sexe contre ma cuisse. Il me caresse doucement l’intérieur des fesses puis exerce des pressions sur mon anus qui s’écarquille avec une facilité étonnante. Jamais je n’ai eu le feu au cul à se point là. Je sens qu’il m’enduit d’un gel intime , qu’il sort d’un tube qu’il avait à portée à portée de main. C’est un peu froid, mais pas assez pour refroidir mon envie. Je n’en peux plus.Ca n’était pas prévu dans le scénario, mais je ne peux m’empêcher de lui dire « Baise-moi maintenant, tringle-moi à mort ».

On sort de la cabine queue en avant. Un amas de linge va nous servir de lit.

J’allais me mettre à 4 pattes pour me faire prendre en levrette, mais mon amant me retiens, et me fais m’allonger sur le dos. Il relève mes jambes. Je ne connais pas cette position et je ne savais pas que deux hommes pouvaient faire l’amour face à face.

J’observe le sexe de Gilbert une dernière fois, avant qu’il me prenne. Je suis avide. Ça y est, je sens le contact de sa flèche sur mon anus. Ma respiration se coupe au moment ou elle écarte doucement mes chairs et progresse de quelques centimètres. Puis Il me perfore net. Sa bite s’enfonce en moi comme dans une motte de beurre. Elle me dilate, mais c’est délicieux. Gilbert a l’air heureux de me faire tant d’effet. Il s’agrippe à moi, commence ses va et viens. D’abord doucement, puis de plus en plus vite. J’arrive à corriger l’angle de mes reins de façon à le sentir encore plus profondément. Je n’éprouve même pas le besoin de me caresser la verge . Mon plaisir me vient totalement de ma partie femelle , du fait d’être pénétré par mon amant. J’apperçois au-dessus de moi la caméra de Charles qui me filme en train de monter vers l’extase. Je pense qu’il est content de moi. Je suis vraiment comme une chienne en chaleur. Mes yeux sont embués par l’émotion, mais je peux distinguer notre metteur en scène voyeur en train de se branler d’une main, excité par nos ébats. Je ne tarde pas à recevoir une salve de son foutre sur la joue droite. Je sors la langue pour goûter la liqueur mais n’elle n’est pas assez longue. L’odeur de cette liqueur m’enivre. J’allais rapprocher ma main pour en recueillir sur le doigt et le porter à ma bouche quand le dernier geste de Gilbert m’en empêche. Il se plante brutalement au plus profond de mon cul, me soutirant un soupir bruyant, puis se penche sur moi, et sa langue gorgée de salive vient balayer mes lèvres, plus sensibles que jamais.

Cette fois, l’orgasme monte et mon anus est pris de terribles convulsions. Gilbert comprend que je suis en train de jouir, alors il se redresse et recommence à me limer violemment en rejetant la tête en arrière. Un torrent de foutre bien chaud se répand alors dans mon cul lustré par ses assauts. Gilbert s’arrête et se retire.Je me sens bien, encore étourdi par le plaisir. Je comprends ce que ça veut dire « être comblé ». Le sperme abondant déborde de mon anus encore ouvert.



6.Drogué de sexe :


J’ai mis plus de quinze ans pour retrouver ce plaisir anal que mon copain de classe m’avait fait découvrir à la va-vite. Mais depuis ce jour, ma vie sexuelle a changé. Je rattrape le temps perdu. Je vais (entre deux femmes) régulièrement me faire sauter devant la caméra par des mecs que Charles me propose de rencontrer. Une fois par semaine environ. Je choisis uniquement ceux qui me plaisent, sur photo ou à partir des films qu’il a tournés. Je devine très facilement quels sont les amants qui me conviennent et qui seront capables de me faire jouir. Je suis devenu « une vraie salope »., un « tunnel à bites », un drogué du sexe entre hommes. J’aime tellement ça que je m’y prends très bien, même si je n’ai pas beaucoup d’expérience. Je sais que plus je donne du plaisir à mon amant, plus il m’en donnera lui aussi. Un de ces acteurs dont c’était la première expérience homo m’a avoué qu’il n’avait jamais joui aussi fort que dans mon cul. Pour le remercier du compliment , je lui ai fait une gâterie. Je me débrouille pas mal avec ma bouche non plus.


Mais aujourd’hui, je suis spécialement excité. J’ai gardé contact avec Gilbert, avec qui j’ai refait l’amour plusieurs fois chez Charles. Ce soir il doit me rejoindre chez moi, pour une partie hors caméra. J’ai hâte qu’il me baise. C’est lui qui m’excite le plus. C’est mon meilleur amant. Il m’électrise. Je compte lui proposer de me sauter dans une super-position. Je serai devant lui sur un fauteuil bas , les jambes écartées et repliées sur les accoudoirs. Mes fesses souriantes reposeront au bord du siège et accueilleront ses assauts de face, lui étant quasiment dans la position du missionnaire. Malgré son embonpoint, il est très souple et son sexe est tellement fort et agile qu’il arrive à me pénétrer dans des positions que je croyais impossibles entre hommes. Si on réussit dans cette position, le contact sera maximum. Il léchera mes lèvres tout en me tringlant puis plantera sa langue loin au fond de ma bouche au moment d’éjaculer. Ses baisers sont succulents, ils doublent mon plaisir.

Mais comme je sais qu’il est presque insatiable et que je ne peux quand même pas me faire enculer six fois de suite, je compte bien le faire jouir dans ma bouche plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il ait son compte. Rien qu’à l’idée d’être inondé de son foutre, je jouis mentalement.



7.Quand je pense à Fernand, je bande !


Tout va bien. Je suis un vrai mâle avec les femmes, et une vraie femelle avec les mecs qui me plaisent et à qui je plais. J’ai des orgasmes formidables, côté pile et côté face.

Pourtant Il me reste qu’un désir que je n’ai pas encore assouvi. J’ai envie de retrouver mon premier partenaire Fernand, que je n’ai jamais oublié, et de refaire l’amour avec lui. En fait, c’est un cercle vicieux. Plus je rencontre de partenaires qui me donnent du plaisir, et plus je repense à lui. Si j’ai la chance de le retrouver, je me sens sûr de moi, sûr de le séduire. Je suis sûr qu’il est encore plus beau à 35 ans qu’à 18 ans. Que je vais défaillir sous les caresses de sa langue. Qu’il bandera comme un cerf dès que ma bouche flattera son sexe. Qu’il me tringlera jusqu’à l’épuisement, jusqu’à me défoncer le cul. On s’endormira, lui les couilles vidées, et moi ivre de sa liqueur mousseuse, bue jusqu’à la dernière goutte. Et on recommencera aussi souvent qu’il voudra.



J’ai recommencé depuis 2 mois à rechercher sa trace. Si seulement il pouvait lire mon texte et se reconnaître!