Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 05529Fiche technique10957 caractères10957
Temps de lecture estimé : 6 mn
17/01/03
corrigé 30/05/21
Résumé:  Une sélection de quelques phrases qui m'ont bien fait rigoler...
Critères:  nonéro humour -perles -humour
Auteur : Gufti Shank  (Salut !)            Envoi mini-message

Collection : "Best of" des phrases douteuses
"Best of" des phrases douteuses #1

Voici présentée une sélection des phrases qui m’ont fait le plus rire (ou grincer) parmi quelques-uns des textes plus ou moins récents. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer ; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux. Le but recherché ici est essentiellement l’humour…






Ensuite il présente sa matraque à ma chatte brûlante de désir. […] Je me sens bien remplie par ce gros gourdin qui se met à me pistonner. […] Il me pistonne alors plus rapide. […] Il me pistonne à fond […] puis il sort son braquemart.


Et tout ça en un seul paragraphe d’à peine cinq lignes…




Une poitrine de rêve mettait en valeur sa chute de reins qui me faisaient fantasmer.


Bien sûr qu’on peut fantasmer sur des reins ! À condition d’avoir un scalpel… Sinon, dans le même genre : ses doigts de pieds charnus mettaient en valeur ses grandes oreilles.




Nous habitons ma femme et moi dans un pavillon planté au beau milieu d’une bourgade nordiste.


Euh… C’est pas fini la guerre de Sécession ?




Je maintenais ma femme par les cheveux en lui faisant faire un vas et vient rapide. En bref, je lui baisais la bouche.


Un résumé clair net et précis en dit parfois beaucoup plus…




Les yeux révulsés, me bite sortait fréquemment de sa boucle pour venir se frotter sur ses joues.


Une bite avec des yeux révulsés ?




Elle avait un sexe assez poilu et sombre.


Noter la différence avec : elle avait un sombre sexe assez poilu.




Salope ! Tu croyais pouvoir m’allumer avec ta chatte poilue de grosse pute ?


Correction par Word98 : Chameau ! Tu croyais pouvoir me susciter avec ta vulve duveteuse de prostituée corpulente ?




Je l’ai attrapée par les cheveux et je l’ai tirée vers la porte du garage.


Et dire qu’on s’est fait chier à évoluer depuis Cro-Magnon… Ah si, c’est vrai, ils avaient pas de garage à l’époque…




Ta gueule, connasse !

Grosse truie, je vais t’engrosser…

Putain, salope !


Quelques mots d’amour…





Je continuais à la bourrer.


La classe, non ? Et la même selon Word98 :


  • — Tu es un chameau !
  • — Oui…
  • — Tu es une aguicheuse.
  • — Ah, oui…
  • — Coquine !
  • — Oui, oui, continue…
  • — Tu es une coquine ?
  • — Oui, je suis une coquine…
  • — Tu aimes ce que je te fais ?
  • — Oui, j’aime ceci…
  • — Qu’est-ce que je te fais ?
  • — Tu m’possèdes, malpropre !
  • — Dis-le encore…
  • — Tu m’possèdes, tu m’possèdes, tu m’possèdes…

Je continuais à cultiver la terre. (!)




Au chéri, j’ai eu peur que soit parti.


 ? ? ?





Oui, déconcertant, tellement c’est merveilleux.




Allonges toi, je vais m’enculer


Un fantasme bien étrange…




L’échancrure de ton tailleur laissait apercevoir les auréoles de tes seins.


C’est vrai qu’on transpire beaucoup dans ces maudits tailleurs.




Je commandais un verre de champagne et un whisky pour moi.


Ouah, le mélange !




Je suis professeur de sport très sportif.


Comme quoi ça existe…




Elle commença à évoquer la possibilité de prendre un amant. Je fus tout de suite d’accord, comme d’habitude. Et j’aimerai bien qu’elle choisisse Dan, il est gentil et propre.


Bien évidemment. Qu’elle l’évoque, c’est déjà normal, mais qu’il soit tout de suite d’accord, c’est déconcertant de banalité. Et pour finir : non, Dan n’est pas un chien…




Il ne tarde pas à jouir entre mes fesses, je veux tout boire.


Un petit peu de contorsion et le tour est joué…




Je pensais qu’il voulait me ramener chez moi en fait nous sommes arrivés chez lui.


Et hop !




Il avait du mal a éveillé en moi le désir et lui bandai mou.


Dansez cala, ile veau peut-être m’yeux s’abstiendre.




Il a joui dans mes intestins.


D’où l’on déduit qu’il en a une longue.




J’avais tellement chaud que je me suis dit : "je vais pas mettre de culotte".


Normal…




Comme toute salope bien dressée elle se fait un plaisir d’avaler chaque giclée de sperme sans en perdre une goutte.


Alors, si j’ai bien tout compris : la salope bien dressée s’en fait un plaisir, la salope mal dressée aimerait le faire mais ne le fait pas, la non salope bien dressée le fait mais n’aime pas ça, et la non salope mal dressée n’aimerait pas le faire et d’ailleurs ne le fait pas… Belebelebelebeleb !!!




J’espère ne pas avoir trop choqué les dames qui lisent ce récit.


C’est vrai que par, contre, les messieurs, on s’en fout !




C’était un superbe spécimen mâle africain, grand, baraqué et d’une couleur foncée luisante. Son corps était couvert de muscles puissants, même ses pieds étaient énormes…


C’est dire… Tiens, d’ailleurs, voilà une suite, dans le même goût : nous l’empaillâmes et l’exposâmes au museum d’histoire naturelle où de nombreux gentils touristes blancs viennent encore aujourd’hui s’extasier sur la taille de ses pieds.




Après quelques minutes de parcours difficile, nous sommes arrivés à ne petite hutte et d’un vieux puit.


C’est l’écriture style SFR : on n’a pas bien tout capté.




Soudainement je me suis rappelée n’avoir pris aucun moyen contraceptif et être alors au sommet de mon ovulation…


Mieux vaut tard que jamais… Dans le même genre : soudainement, je me suis rappelé que je roulais à 230 km/h et que la route était verglacée…




J’ai connu une jolie dame, que je vais appeler Mélanie, pour les besoins de l’anonymat.


Euh, l’anonymat, c’est pas quand on ne donne pas de nom ?




Je ne m’en plein pas


Et je reste un pas vide…




Plus tard elle est montée en haut. Je n’ai pas posé de question.


C’était sans doute mieux ainsi… Elle aurait risqué de descendre en bas.




Je lui procura un 2ième orgasme terrible qu’elle en tremblait


Et elle gémissa longueman de bonne heure ?




Il fessait beau dehors.


Et un peu plus familièrement : il culait très beau, même…




Après un court moment de réflexion, je lui propose un lavement.


Qu’est-ce que ça aurait été après un long moment de réflexion…




Je n’avais jamais trompé ma femme, mais là, c’était super.


Parce que c’est vrai qu’avec sa femme, c’est vraiment très chiant…





Et elle répondit : « Bien entendu », tout en se penchant en avant d’un air décidé.




Salut, moi c’est Sonia, j’ai aujourd’hui 42 ans, pulpeuse brune d’1m65 pour 51 kg, les yeux noisettes, une poitrine ferme et en pomme de 95c aux aréoles moyennement larges, mais mes mamelons sont longs (2cm) et en forme parfaite de tétine.



Transposition masculine : Bernard, 40 ans, grand brun, yeux verts, suivi de quatre lignes de description sur la forme de ses couilles.




"Haaaa, haaaaaa,haaaaaaa ouiiiiii ! ouiiiiii ma blouuuse ma blouuuuuse ma blouuuuuuse ! haaaaaaaa j’aime çaaaaa, ouiiiiiii, j’suis a poil sous ma blouuuuse, ma blouse d’infirmière, j’suis qu’une salope d’infirmière ! hoooo le nylon de ma blouuuuse !»


Mmmeeeerrrrdddddeeeee !!! Lllleeee ccclllaaaavvviiieeerrrr dddééécccooooonnnnneeeeeee eeennnncccooooorrreeee…




Je suis un type normal. C’est quoi, un type normal ? C’est un type comme moi.


Sont donc anormaux tous ceux qui sont différents. Voilà un bon compromis entre Adolf et Joseph…




Les filles étaient plus jolies les unes que les autres, même les brunes.


Quoi ? Une brune jolie ? Mais voyons, c’est impossible…