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Temps de lecture estimé : 11 mn
23/01/03
Résumé:  Quoi de neuf docteur ?
Critères:  fh médical ascenseur hdomine fellation cunnilingu pénétratio fsodo humour
Auteur : Kaillzer  (Quoi de neuf docteur ?)      
Quoi de neuf docteur ?


Lundi matin. Comme d’habitude, je me prépare pour aller au boulot. Agacé par la semaine de dure labeur qui m’attends, je fais renverser mon café sur la table et je commence à gueuler :


"ho merde ! c’est pas vrai ! ça commence bien !"


Bah ouais c’est vrai, j’ai pas eu beaucoup de chance dans ma vie, à l’école on m’appelait Pierre Richard, celui qui au moins une fois par jour faisait une connerie.


Arrivé au parking, j’essaye désespérément de faire démarrer ma voiture. le moteur est complètement froid vu le temps qu’il fait. Apres quelques secondes, je réussis à la faire démarrer et je fais gronder le moteur de toutes ses forces pour réchauffer tout ça.


Dehors il fait un froid de canard, c’est insupportable. Moi j’aime pas l’hiver, mis à part Noël et le jour de l’an, je déteste ça.

Oups ! j’allais oublier de me présenter ! excusez moi ! alors voilà, moi je m’appelle Pierre, mais rassurez vous, mon nom de famille c’est pas Richard, c’est Bouffard. j’ai 36 ans et je suis médecin généraliste. je suis célibataire, hé oui, les femmes et moi ça n’a jamais été une partie de plaisir, il faut dire que je ne sais pas draguer et mon physique ne ressemble pas à celui d’un top model, non je dirais plutôt que je suis petit, maigre, le visage un peu rougeaud et dégarni (dégarni pour ceux qui comprennent pas ça veut dire que j’ai presque plus de cheveux sur la tête)

Il est vrai qu’à ce moment là quand je me regarde dans une glace sur la pointe des pieds pour voir ma tête, j’ai + envie de ressembler à Pierre Richard qu’à pierre Bouffard.


Ce sont surtout mes parents qui m’ont forcés à faire ce métier, je n’avais pas trop le choix, c’était soit médecin ou soit…..heu…..ou soit rien du tout !

Moi ce que j’aurais voulu faire c’était routier. Bon il est clair que cela n’a rien à voir avec le métier de médecin, mais parcourir des paysages toute l’année à toutes les saisons, dormir à la belle étoile dans mon camion, conduire sous un magnifique coucher de soleil pendant l’été, toutes ces petites choses qui font que j’aurais rêver de faire ce métier.

Mais avec mes parents sur le dos, c’était impossible, tout petit ils me disaient : " Tu seras médecin un point c’est tout ! maintenant finis ton assiette sinon t’auras pas de dessert ! "

Mais bon, je n’ai pas eu une enfance malheureuse, bien au contraire, j’avais tout ce que je voulais. par contre, un petit frère ou une petite sœur ne m’aurait pas déplu. Ben ouais j’étais fils unique, alors croyez moi que mes parents avaient tout le temps de s’occuper de moi, surtout pour me faire chier avec les devoirs à l’école !



Bref, assez parlé de ça. Donc, comme je vous disais, ce matin là, je me rendais à mon travail. je n’aurais jamais imaginé que ceci fût une journée pleines de surprises.

Moi je m’attendais à passer une journée comme les autres, à recevoir Mme Gautier qui se plaint toujours de maux de têtes, à recevoir Mr Gontrant qui à chaque fois retire ses chaussures ça sent le fromage de bique, à recevoir Mme Michat avec ses furoncles sur ses grosses fesses . Bref, j’en ai pris l’habitude évidemment de mes clients, je les comprends bien entendu mais ce qui m’énerve le plus c’est de les écouter raconter toutes leurs vies, à croire que je suis assistante sociale…

Un jour même j’ai eu droit à un vieil homme qui me racontait ce qu’il avait fait pendant le seconde guerre mondiale, je vous jure ! véridique !


Bref, je m’attendais à recevoir la panoplie complète de la journée. Arrivé en bas de mon cabinet médical, je croise une jeune femme très jolie qui me dit :


" excusez moi monsieur, c’est bien ici le cabinet du docteur Bouffard ? "

" oui bien sûr, c’est ici, j’en suis persuadé et vous savez pourquoi ?


La jeune femme m’a regardé d’un air bizarre et m’a dit :


" heu…non je sais pas, pourquoi ?"

" ba parce que c’est moi ! ha ! ha ! ha ! ha ! ha !!!! "


Elle m’a regardé en souriant et à dû se dire :


" merde si j’avais su j’aurais été voir un autre médecin "


Et moi comme un abruti j’ai bien enfoncé le couteau dans la plaie en lui disant :


" elle est bonne celle là non ? mouhahahaha !!!! "


La pauvre, elle a dû se demander si c’était vraiment moi Mr Bouffard.

Je lui ai ensuite dit :


" vous avez pris rendez vous auprès de ma secrétaire ?"

" oui bien sûr, je suis mlle Sabadi "

" Très bien, allez y je vous en prie, nous allons prendre l’ascenseur "


Pour tout vous dire, je détestais cet ascenseur, il tombait souvent en panne, mais ce matin là, je l’ai adoré cet ascenseur !



Nous sommes donc entrés dans l’ascenseur et j’ai appuyé sur le bouton 15 vu que mon cabinet médical se trouvait au 15ème étage, vous l’avez sans doute deviné.


Tout à coup, l’ascenseur s’est arrêté brusquement ! entre deux étages ! La jeune femme commençait un peu à avoir peur et j’essayais de la rassurer :


" ne vous en faites pas mademoiselle, j’ai la situation en main ! je vais appuyer sur le bouton d’alarme"


En appuyant sur le bouton d’alarme, rien ne s’est produit, personne ne captait…..


" au secours j’ai peur ! "

" calmez vous Mr Bouffard ! ne vous inquiétez pas, j’ai mon portable dans mon sac je vais appeler des secours !"


Et là, j’ai commencé à me calmer. Mais le cauchemar a repris de plus belle, en fouillant dans son sac, elle est devenu toute pâle et m’a dit en sanglots :


" merde je l’ai oublié à la maison ! "

" ho mon dieu c’est pas possible ! au secours ! à l’aide ! "

" je vous en prie Mr Bouffard, calmez vous voyons ! rassurez vous nous sommes tenus par des câbles très solides ! "

" au secou….!!!!!!!! ha bon ? comment vous savez ça ? "

" non mais attendez vous êtes con ou quoi ? "

" ho !!!! ne m’insultez pas ! moi je suis médecin, pas réparateur d’ascenseur ! "


Et là, je ne sais pas pourquoi, une crise de fou rire l’a prise…..


" qu’est ce qui vous arrive ? "


Puis, elle me dit :


"c’est incroyable, je suis là avec un médecin coincée dans un ascenseur lui expliquant que celui-ci est tenu par des câbles, ça c’est la meilleur, pfffff………"


" dois-je vous rappelez que ce n’est pas de ma faute, si j’avais pris l’ascenseur tout seul il ne se serait pas bloqué !"

" comment ça ! vous insinuez que je suis grosse !!!??? "

" heu……mais non voyons….vous êtes très bien !"

" fermez là je ne veux plus vous entendre !!!! "


Bref, on est resté là pendant deux minutes et puis tout doucement je lui ai demandé :


" excusez moi, je pourrais savoir au moins pour quel motif vous veniez me voir "


Et puis après quelques secondes de silence elle m’a dit :


" pour des problèmes de poids "


Je ne sais pas comment j’ai réussi à ne pas piquer une crise de rigolage, mais j’avais bien envie de lui dire :


" ben voilà ! tout s’explique ! c’est pour ça qu’on est bloqué dans ce foutu ascenseur ! "


Mais heureusement que je lui ai pas dit ça sinon c’est sûr qu’elle m’aurait mit une baffe….



Cinq minutes plus tard, je commençais à avoir chaud. On était serrés comme des sardines. Avec ma petite taille, j’avais sa poitrine juste devant mes yeux. je pouvais deviner un décolleté des plus excitants.


La sueur coulait sur mon front, et là, je me suis évanoui. Heureusement, la jeune femme m’a aidé à me réanimer en me mettant quelques claques. Et moi dans mon semi-coma j’ai dit tout doucement :


" je vais mourir….au secours, j’suis qu’une pauvre merde…."

" mais non mais non, vous allez pas mourir ! allez Mr Bouffard, un peu de courage voyons, quelqu’un va certainement venir et s’apercevoir que l’on ai bloqué ! "


Et là, j’ai refermé mes yeux, un malaise profond, j’ai commencé à trembler de tout mes membres…


La pauvre jeune femme ne savait plus quoi faire pour me réanimer, et là, je ne sais pas pourquoi elle a fait ça, elle a collé ses lèvres sur les miennes, de plus en plus vite. Puis délicatement, elle a introduit sa langue dans ma bouche laissant baigner une douce liqueur de salive. Alors moi évidemment, profitant de l’occasion, j’ai fait celui qui était mourrant, et elle, voyant que j’étais toujours endormi, elle s’est empressée d’ouvrir la fermeture éclair de mon pantalon.

Elle a glissé sa main à l’intérieur pour y cueillir mon sexe. Machinalement, elle a commencé à malaxer ma bite avec sa main. Elle avait de belles mains douces et des ongles vernis blancs. De bas en haut, elle m’a masturbé la bite qui a bien entendu bandé à toute vitesse. Moi, faisant mine d’être souffreteux et dans les vapes, j’ai commencé à glisser ma main au niveau de son décolleté pour y toucher ses gros seins. Pourtant elle n’y a même pas prêté attention, au contraire, elle a continué à s’occuper de ma queue.



Puis, délicatement, elle s’est baissée puis a commencé à me titiller le gland avec le bout de sa langue. Moi, je continuais de faire le malade mais plus pour très longtemps car je voyais bien qu’elle aimait ça et c’était plus la peine de continuer à faire la comédie.


Là, le bonheur a commencé véritablement. Elle m’a sucé la bite avec une violence inouïe. Elle crachait de grosse gouttes de salive pour bien mouiller mon sexe, moi je continuais à lui pincer les seins.

Elle rentrait entièrement mon sexe jusqu’au plus profond de sa gorge.


Puis, quelques instants plus tard, elle a relevé la tête puis m’a dit :


"t’aimes ça hein ? "

" ho oui ! laisse moi te baiser ! j’ai envie de te défoncer la chatte !! "



Elle s’est approchée de moi et m’a léché comme une chienne sur les lèvres. Nous nous amusions à faire des soupes de langues. Elle était chaude comme la braise. je vous jure c’était un pure moment de plaisir.


Puis, après nous êtres roulés des pelles, elles s’est mise debout et m’a dit :


" déhabille moi !! j’ai envie que tu m’encules ! dépêche toi !! "


Je suis resté bouche-bée ! j’étais comme paralysé après ce qu’elle venait de me dire, je me suis demandé si elle était pas devenue folle, enfin bon moi je m’en foutais je prenais mon pied alors croyez moi que je lui ai fait sa fête !


Je me suis mis à genoux et j’ai alors tiré comme une brute sur sa robe. Rien que le bruit de sa robe qui se déchirait ça m’excitait encore plus……en y rependant j’ai un peu honte quand même parce que sa robe c’était de la haute couture, donc ça valait beaucoup de pognon….mais bon elle s’en foutait complètement…


Donc j’ai continué à tirer sur sa robe qui est devenue une serpillière en tombant par terre



Elle avait une culotte à faire bander un pépé de 70 ans. C’était de la dentelle blanche. Son soutien-gorge était de la même matière sauf qu’il était noir. Moi, comme un pervers, j’ai tiré comme un fou sur sa culotte. Elle avait sa chatte toute mouillée, elle était parfaitement rasée. je me suis alors empressé de lui bouffer tout ça. à mon tour, je crachais sur son p’tit minou et je passais de grands coups de langues, et même parfois je rentrais carrément ma langue dans le trou de sa chatte. Et elle, elle criait de plaisir :


" ho oui continue, vas y bouffe-la moi ! t’arrête pas ! ho oui ! ho tu vas me faire jouir ! "


En lui léchant sa chatte, je lui ai mis un doigt dans son joli p’tit cul. Je faisais des va-et-vient avec mon doigt.


Encore plus excité que jamais, elle s’est mise à quatre pattes comme une chienne et s’est écrié :


" vas-y, défonce moi le cul ! fais moi jouir mon gros salop adoré ! vas y fourre-la bien dedans ! tu l’aimes mon p’tit cul ? "

" ho oui ! "

" alors vas-y encule moi ! "


Je ne savais plus qui j’étais ; il devait sûrement y avoir des clients qui venaient d’arriver. Les pauvres, ils attendaient comme des cons dans la salle d’attente. ma secrétaire avait certainement dû appeler chez moi pour savoir si mon réveil n’était pas tombé en panne. Pensez que tout ce petit monde qui m’attendait n’aurait jamais imaginé que j’étais en train de me baiser une superbe créature assoiffée de sexe.


Bref, je commençais alors à pénétrer ma bite dans son p’tit trou du cul. Et c’est parti ! je me mis à lui claquer les fesses avec le bas de mon ventre ! clap ! clap ! clap !


Et elle, elle criait comme une folle :


"hooooo ouiiiii !!! va-y ! défonce moi le cul ! ouiii comme ça vas y ! "


Moi en même temps, je lui pelotais les seins et de temps en temps elle retournait sa tête et j’arrivais à venir goûter sa langue. Puis, ensuite elle s’est mise sur le dos m’offrant sa belle petite chatte qui dégoulinait de mouille.


Sans plus attendre, j’introduisis ma queue dans son sexe et je lui dis :


"t’aime quand je te la défonce ta chatte ? "


" ho oui vas y ! arrrgthhh….mmmhhhh !!!! va-y !! caresse moi le clito ! "


Je commençais alors à mettre de la salive sur mon pouce et j’ai frotté son clito qui inondait de mouille.

Elle n’en pouvait plus cette petite cochonne, je la faisais pisser de joie tellement elle était contente…


Puis, excité par tant d’émotion, je sentis le moment d’éjaculer :


" ho oui je vais jouir ! je vais jouir !!!! je vais jouiir !!!"



Là, elle a retiré mon sexe de sa chatte et s’est mise à me sucer la bite…Puis j’ai éjaculé mon sperme dans sa bouche….

Une jouissance qui me faisait trembler mes jambes. Elle continuait à me sucer et en même temps elle pinçait ses lèvres de bas en haut pour ne pas perdre une seule goutte du coulis. Moi j’étais en extase…

Puis, cette petite cochonne a ouvert sa bouche me montrant tout le contenu du sperme qui était sur sa langue.


" C’est tellement bon le sperme, tu devrais goûter avec moi ! "


Moi, je me suis baissé et nous nous sommes roulés des pelles avec comme festin un mélange de salive et de sperme qui nous collait aux lèvres tandis qu’elle continuait à masturber ma bite qui était devenue toute molle…..



Quelques instants plus tard, nous avons entendu un homme qui criait :


" ne vous inquiétez nous allons vous sortir de là ! "



Après être sortis de l’ascenseur, la jeune femme est rentrée avec moi dans mon cabinet médical.


Heureusement, seulement deux personnes attendaient et ma secrétaire qui s’appelle Micheline et qui a environ dans les 45 ans m’a dit :


" ba alors Mr Bouffard ! je vous ai attendu moi ! "

" ne vous inquiétez pas Micheline, juste le moteur de ma voiture qui n’a pas voulut démarrer. Heu….. s’il vous plait Micheline préparez moi un p’tit café sans sucre vous serez bien aimable"

" tout de suite Mr Bouffard, je reviens dans deux p’tites minutes "


J’ai fait alors patienter Mlle sabadi dans la salle d’attente et j’ai commencé à recevoir les premiers patients.

Je me suis alors dépêché comme un fou avec les deux patients pour pouvoir peut-être en profiter une seconde fois avec la p’tite cochonne de l’ascenseur.

Environ 5 minutes plus tard, Mlle sabadi est entré dans mon cabinet.

Moi, malin comme un renard je lui ai dit :


"qu’est ce que je peux faire pour vous Mademoiselle ? "

"Et bien je viens vous présenter ma demande d’embauche en tant que secrétaire à vos cotés, mais comme je me suis aperçu que vous aviez quelqu’un de qualifié avec vous je ne vais pas vous embêter plus longtemps, au revoir Mr Bouffard "


A ces mots, elle a ouvert la porte de mon bureau. je suis resté là comme un abruti…. Mon visage est alors devenu tout triste et j’ai commencé à boire mon café……et là, en un instant, je suis sorti de mon bureau dans une fausse colère noire et j’ai gueulé :


" Micheline !!!!! qu’est ce que c’est que ce bordel !!!!!!!!!! vous êtes vraiment bonne à rien ! j’avais demandé un café sans sucre ! Vous êtes virée !!!!!!!!!!! "


Ma secrétaire dont je n’avais plus besoin s’est alors mise à pleurer et moi je me suis dépêcher de rattraper Mlle sabadi dans les escaliers. En la voyant je lui ai dit :


" Mademoiselle sabadi ! mais voyons ma chère enfant pourquoi s’enfuir comme ça ! tout est arrangé ! ne vous en faites pas, ma secrétaire vient juste de me dire qu’elle prenait sa retraite ! quelle chance vous avez ! "

" ho Monsieur Bouffard ! c’est vraiment trop gentil ! j’accepte avec grand plaisir ce poste de secrétaire ! Vous n’aurez pas à le regretter ! vous serez fier de moi ! "

" ho mais je n’en doute pas ma chère enfant ! rassurez vous, nous allons bien bais……heu nous allons bien collaborer ensemble, je vous le promets….."