n° 05563 | Fiche technique | 29707 caractères | 29707Temps de lecture estimé : 17 mn | 23/01/03 |
Résumé: Un homme une femme tentés de revivre une expérience passée, mais freinés par je ne sais quels scrupules. | ||||
Critères: ff fplusag handicap essayage caférestau voiture volupté voir exhib noculotte lingerie intermast fdanus journal | ||||
Auteur : Hyppocrate |
La vie suit son cours tranquillement, et au détour d’une rue le passé ressurgit, et tout ou presque bascule dans le délire et l’épanouissement.
Je suis marié, 4 enfants de deux unions différentes, mon couple est parfait, mes enfants sont adorables, j’ai passé le cap de la quarantaine sans aucun état d’âme, mon épouse est légèrement plus jeune que moi, très exactement, elle à 36 ans. Nous vivons bien, très bien même dans une ville de province du Sud de la France.
Nos activités professionnelles respectives nous créent quelques soucis, mais le dialogue conjugal permet d’atténuer ces difficultés, de retour le soir à la maison.
Vous me direz, une petite vie "pépère" que rien ne devrait perturber. Ah j’ai oublié, nos relations sexuelles sans être exubérantes, sont, quoique trop espacées à mon goût, d’un niveau tout à fait acceptable et à chaque fois c’est une redécouverte de l’autre. Bref Ca va!
Quel intérêt de me dévoiler, doivent s’exclamer les lecteurs?
J’y viens.
Dernière précision, je suis un grand cérébral, et je n’ai jamais, au grand jamais trompé ma charmante épouse.
Avant de rencontrer mon épouse, après mon divorce, j’ai passé une année en célibataire, à profiter de cette nouvelle vie, en voyageant énormément de part le monde, pour des raisons professionnelles, j’ai eu l’occasion de faire de multiples rencontres de charmantes jeunes femmes, d’ages et de milieux professionnels divers.
L’une de ces rencontres, marqua considérablement cette période. Mes soirées se terminaient souvent dans un bar restaurant très branché de la ville où je réside, endroit très bien fréquenté, dans lequel se côtoyaient, sans mentir, les plus belles filles de la ville, et une faune de mâles, étudiants, fêtards, et cadres dynamiques, tous tr-s respectueux de la gente féminine. J’ai rencontré un soir de sortie avec un collègue, une jeune femme accompagnée de deux amies, toutes plus belles les unes les autres. Elles avaient entre 20 et 26 ans, charmeuses, bien dans leurs têtes, et bien faîtes de corps. À la faveur d’un début de conversation des plus banal nous en sommes venus à parler de nos activités professionnelles respectives. C’est là que tout à commencé. Après avoir écouté sagement ces demoiselles, mon tour est venu de dévoiler mon job. À l’époque, je m’occupais de relations publiques et de promotion à l’international pour une société que je ne peux pas nommer, cette fonction avait pour avantage d’occasionner de longs et fréquents déplacements dans des pays magnifiques, tels qu’Etats unis, Canada, Amérique Centrale et Sud, Afrique du Sud et toute la Scandinavie.
J’ai donc, parlé de ces pays et relaté quelques anecdotes de voyages, pendant plus de deux heures, mon auditoire restait silencieux, mis à part quelques manifestations d’étonnement et de joie, voire quelques rires. j’ai remarqué, tout au long de mon monologue, les regards et les expressions d’une des jeunes femmes, elle se prénomme D…, pour préserver son anonymat. 22 ans, brune, des yeux marrons éclatants, un visage fin et lisse, un corps idéalement proportionné, posé sur des jambes longues et fines. D… me fixait continuellement, ses yeux semblait me dire, comme j’aurais aimé être avec toi au cours de ces voyages, et partager ces instants de bonheur! J’ai bien vu qu’elle était tombé sous le charme de mon histoire. Après deux heures de paroles, nous avons bu quelques verres, avec modération, puis avons parlé de tout autre chose. L’établissement fermant vers 2 heure nous les avons raccompagné à leur véhicule sans avoir négligé de nous fixer un rendez vous pour le lendemain au même endroit.
Soirée sage!
Le lendemain, même lieu, pas tout à fait les mêmes acteurs, je suis seul, elle aussi. Nous avons l’un et l’autre inventé un prétexte pour ne pas sortir avec nos camarades de jeux de la veille. Il y a beaucoup de bruit, un groupe d’étudiants habitué du bar, fête un anniversaire, et nous entraîne à participer. l’ambiance est géniale, la fête pour la fête!
Vers deux heures, nous quittons le bar, pour aller dans une boîte tout aussi branchée, ou nous continuons de nous dévoiler l’un à l’autre. Elle me raconte son histoire, sa famille, ses parents, son frère, ses amies, et sa récente rupture après plus d’un an passé avec un type plutôt lunatique, qu’elle tente d’oublier. Moi même je lui parle de mon divorce, ces circonstances, son déroulement, et la vie "dure" que me mène mon ex, surtout à cause des enfants.
Vers 4 heure, nous quittons la boîte, je lui propose de la ramener à sa voiture, elle me répond, qu’elle n’est pas en état de conduire et préfère m’accompagner chez moi, à la condition que je la dépose à son véhicule le lendemain matin. Pas de problème, nous faisons route vers mon appartement. Jusqu’à cet instant, à part quelques baisers langoureux, rien ne s’était passé, entre nous. Elle est là, à moitié endormie, sur le siège passager de mon automobile, détendue et relâchée, au point de ne pas remarquer que sa jupe est remontée assez haut sur ses cuisses et dévoilent une paire de bas Dim up rehaussés d’une bordure de dentelle noire.
J’ai toujours été un grand amateur de lingerie, c’est moi qui l’achète à mon épouse, Cette vision, m’a électrisé, j’ai délicatement posé ma main droite sur cette cuisse attirante, et commencé de longues et lentes caresses, passant du nylon à sa peau et m’aventurant parfois jusqu’à son entre jambe, lui aussi, recouvert d’une fine et élégante dentelle noire. Des gémissements de plaisir ont troublé le silence de l’habitacle, elle m’a avoué plus tard, avoir jouie sous l’effet de mes caresses. Arrivé au pied de mon appartement, mon pantalon affichait une érection impossible à dissimuler, qui ne lui avait pas échappé, elle avait retrouvé ses esprits et m’encourageait à me dépêcher d’ouvrir cette satanée porte. Une fois à l’intérieur, je n’ai pas reconnu D…, elle était dynamisée, s’est jetée sur moi, m’a littéralement arraché mes vêtements, et s’est emparé de mon sexe toujours aussi gonflé de désir.
Elle m’a prodigué une fellation divine, alternant douceur et fermeté, se régime était trop pour moi, j’ai joui en moins de 5 minutes au creux de ses mains.
Une seule phrase est sortie de sa bouche: 1 partout, balle au centre, on rejoue le match.
Elle en voulait encore, ,nous avons terminé notre déshabillage mutuel, dans la salle de bain, afin de prendre une bonne douche, pour attaquer la deuxième partie du match.
La nuit fût courte, mais tellement pleine de jouissance, de plaisir, de sueur, et de larmes, pour ce qui la concerne, notamment quand je lui ai fait découvrir l’art du cunnilingus.
Je précise que ces divers ébats ont été réalisés avec l’accessoire indispensable, à savoir le préservatif, nous ne nous connaissions que si peut, et nous étions au début des années 90.
Les semaines qui suivirent, furent d’une intensité et d’une débauche de plaisirs, que tant l’un que l’autre n’avaient pas connus depuis longtemps. Nous avons fait l’amour, à la plage, dans ma voiture, à la terrasse d’un café désert, face à l’océan, dans le bar ou nous nous étions rencontré, alors que mon ex femme était au premier étage avec des amies. Je garde de cette relation des souvenirs à jamais gravés dans mon esprit. Ma plus grande satisfaction est d’avoir définitivement converti cette jeune femme au port de lingerie fine et de ne pas hésiter à me la dévoiler, tant en voiture que dans divers endroits publics. Pas vraiment exhibitionniste, mais pas loin. Je mes souviens l’avoir poussée à voyager en voiture quasiment nue à mes côtés, elle y avait pris un goût certain. et les coups de klaxon des automobilistes renforçait son désir d’en montrer plus encore.
Mais tout à une fin, à cause de mon ex, et du chantage que celle-ci opérait sur mes enfants, D… et moi même avons du mettre un terme à cette relation au bout de 3 mois, aussi par le fait que les parents de D… posaient de plus en plus de questions à propos de notre relation et de notre différence d’age (12 ans). Nous nous sommes quittés, par un soir banal de Mai.
Nous ne nous sommes jamais revus, ni même téléphonés, j’ai su plus tard que son ex avait fait du forcing pour la reconquérir, mais que cela n’avait pas marché, tant D… était transformée et épanouie par notre relation.
En décembre de l’année dernière, j’arpentais les artères illuminées du centre ville à la recherche de cadeaux pour combler ma petite famille, quand au détour d’une rue bondée, je crois reconnaître une silhouette familière. Très timide, je tente de m’approcher doucement, mais ne peut rien faire, tant il y a de monde sur ce trottoir. Elle est devant moi à environ 50 mètres, puis entre dans une boutique, où là aussi il y a un monde fou.
Je m’attarde devant la vitrine, tentant de l’apercevoir, mais en vain! Je me dis que ce n’était pas elle et continu mon chemin, tout en me posant de nombreuses questions, du style qu’aurais fait? que lui aurais je dit? …
Mes divers achats m’amènent, une heure plus tard, dans une boutique de lingerie, où j’ai mes habitudes. La directrice me salue, et me déballe les dernières créations d’une marque dont les modèles illustrent régulièrement les abri bus de nos villes, par des leçons de séduction à provoquer des accidents de la circulation. Mon choix se fixe sur un ensemble en dentelle noire, SG, string et Porte jarretelles, pour mon épouse. au moment de payer la directrice me demande de patienter, car elle était occupée avec une cliente qui essaie divers modèles de cette même marque. Courtois, j’attend. Par un jeu de miroirs disposés dans la boutique on peut apercevoir le couloir et les salons d’essayage. Je jète un oeil discret, et je vois la directrice entrer dans une cabine en ouvrant largement la porte ce qui me laisse le temps distinguer le très beau corps d’une jeune femme de dos, entrain d’ajuster le string noir qu’elle essayait. La directrice de la boutique l’invité à se regarder dans le grand miroir, de l’autre côté du couloir, et là, tout bascule, par les effets de réflexion, un regard que je connais me fixe, auréolé d’un immense sourire, D… est rouge de honte, ou de surprise, toujours est il que nous restons interloqués, silencieux, et incapables de dire ni de faire quoique ce soit. Cette situation dure moins d’une minute, interrompue par la Directrice, qui s’excuse auprès de sa cliente d’avoir omis de signaler une présence masculine dans sa boutique. La seule réponse de D… fût un immense éclat de rire si communicatif, que nous sommes tous les trois partis dans un fou rire interminable. Je m’avance vers les salons d’essayage, D… me saute au coups et m’embrasse chastement. Cette fois s’est la directrice qui reste bouche bée de surprise.
Elle fait quelques pas, s’éloigne, puis revient vers moi, remonte ses seins dans le soutien-gorge pigeonnant.
Mon regard se porte plus bas, et la transparence de la dentelle du string, dévoile une fine présence de poils dominant un sexe totalement épilé.
Sur ce la directrice de la boutique, s’éloigne et nous laisse savourer nos retrouvailles.
D… entre à nouveau dans le salon, se dénude et attrape un autre ensemble, cette fois orange, pris au milieu d’une bonne dizaine de parures qu’elle avait l’intention d’essayer.
Ce dernier est assorti d’un porte jarretelles qu’elle fixe à ses bas noirs.
Il commençait à faire une chaleur étouffante dans cette boutique, j’enlève mon manteau, a cet instant D… pose un regard sur mon entre jambe, largement déformé par une érection digne de notre première rencontre.
Et là, à ma grande surprise, j’ai cru voir une photo de moi, tant cet homme me ressemble.
Ce oui me parut hésitant.
Nous nous aimons comme des fous, mais il n’a pas la même conception du sexe, comme nous l’avions toi et moi, il y a quelques années.
Au moment ou j’allais ouvrir la bouche pour proposer ma première réponse, la Responsable de la boutique apparaît, et nous trouve assis dans le salon, elle nue, à l’exception de ses bas, moi avec une érection toujours aussi visible.
Si elle savait.
Et elle nous laisse.
D’ailleurs, il aime tant cette pratique, qu’il y participe aussi, il aime quand je lui pénètre l’anus avec un ou deux doigts, je pense lui offrir une gode ceinture pour noël.
Elle se rhabille, en omettant de mettre un string.
Elle le sort de son sac, un string minimaliste dont le triangle est rendu transparent tant il est humide.
La dessus elle termine de se rhabiller, en mettant un magnifique manteau, sur sa jupe longue en cuir, fendue sur un côté, le tout sur des bottes noires qui lui affinent encore plus la jambe. En haut elle portait un pull col roulé directement sur son soutien-gorge blanc.
Je lui prends des mains les ensembles de lingerie et vais à la caisse pour les lui offrir. Ce qu’elle refuse catégoriquement, au point de se fâcher et de vouloir quitter les lieux immédiatement.
Nous payons et quittons la boutique, en direction d’un café proche.
Attablés, devant un café, nous reprenons notre conversation.
Et me revoilà parti à détailler mon projet, pendant une bonne demi heure, au cours de laquelle elle ne m’a pas interrompu.
J’ai retrouvé son regard de fascination, comme le premier jour, à la différence prêt qu’elle avait écarté le pan de sa jupe en cuir et qu’elle frottait sa cuisse contre la mienne, avec la main gauche sur la lisière de ses bas, il n’en fallut pas plus pour que mon érection surgisse à nouveau, ce qu’elle vit, et elle posa la main sur cette bosse, dissimulé des autres occupants du café, sous la table.
Ma voiture était a quelques pas, dans un parking public, je paye mon stationnement, et lui ouvre galamment la porte, en s’engouffrant dans mon véhicule elle ouvrit très largement le pan de sa jupe pour me montrer son entre jambe, ce qui me mis dans un état proche de l’explosion.
je m’installe au volant, démarre,; elle attrape les clés, coupe le contact et se jette sur ma braguette.
Elle ouvre ma braguette n’a aucun mal à extraire mon sexe bandé, qu’elle s’empresse de parcourir des deux mains faisant fi de mes réticences et des autres automobilistes qui circulent dans le parking.
Son traitement me laisse sans voix, ni réaction, je retrouve la D… que j’ai connu. Afin de préserver je ne sais quoi vis à vis de mon épouse, je lui propose de nous caresser l’un devant l’autre, mais ailleurs que dans se parking sordide.
Nous rajustons nos tenues et quittons cet endroit pour émerger en pleine ville en direction de son petit hôtel particulier dans à quelques kilomètres du centre.
Un grand portail en fer forgé ouvert laisse apercevoir une somptueuse demeure XVIII au milieu d’un parc arboré.
Nous entrons, le mobilier est d’époque, la décoration aussi, cet intérieur lui ressemble si peut.
Elle me quitte pour aller à la cuisine, je ne m’aperçoit pas de son absence prolongée, trop occupé que je suis à contempler les nombreux livres disposés sur une bibliothèque qui couvre un mur entier.
Elle réapparaît au bout de dix minutes, avec un plateau, chargé de deux verres et d’une bouteille de Perrier. Sa tenue est différente, elle porte toujours ses bas, mais la jupe a disparue, le haut n’est que son soutien-gorge blanc en dentelle.
Mon érection me reprend, elle pose le plateau et s’installe dans un large fauteuil en face de moi.
Elle se caresse, les jambes largement écartées sur les accoudoirs du fauteuil, ces doigts parcourent son nid d’amour avec délicatesse, je n’en peux plus je me masturbe, mon excitation est à son comble.
A cette phrase, je la vois s’enfoncer doucement un doigt dans l’anus, puis un deuxième, elle est comme folle, tout en restant les yeux rivés sur mon sexe, elle se donne a fond dans la recherche du plaisir.
Elle réapparaît quelques dizaines de seconde plus tard avec deux magnifiques godes, un fin et noir, l’autre d’une taille tout à fait acceptable, qu’elle lèche tour à tour, avant de s’introduire, le plus gros dans le vagin.
J’ai beaucoup de mal a répondre tant je suis surexcité.
Nous avons atteint le plaisir quasiment en même temps, elle avec ses deux godes, moi d’un poignet ferme. Elle a voulue recueillir ma jouissance dans sa bouche, et tout avaler, je lui ai donné satisfaction.
Il nous a fallut un bon quart d’heure pour recouvrer nos esprits. Après quoi, elle à tenue à me faire un show de sodomie avec ses godes. À quatre pâtes me tournant le dos, elle s’enfonçait le plus gros avec une telle ardeur que j’ai cru qu’elle allait défaillir. Mon érection n’a pas tardée à revenir, j’ai joui sur ses reins, elle s’est servie de ma semence pour faciliter les pénétrations, et continuer de plus belle, avant de jouir comme une véritable bête. Je venais de retrouver celle que j’avais connue. Une jouisseuse fantastique.
Nos ébats individuels se sont calmés, nous avons sagement pris une douche chacun de son côté, et je l’ai quitté en nous faisant une promesse mutuelle de ne plus chercher à nous revoir, et de garder cette aventure bien enfouie au fond de notre esprit, dans la case des plaisirs.
J’ai ensuite flâné pendant une heure avant de rentrer chez moi, retrouver mon foyer.
une seule fois j’ai repensé à cette aventure, avant de vous la faire partager, lorsque je suis retourné, à la boutique de lingerie, où la Directrice, m’a demandé si j’avais des nouvelles de mon amie, car pour sa part elle ne la voyait plus depuis notre séance de décembre 2001.
Cela faisait plus de six mois.