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n° 05599Fiche technique46462 caractères46462
Temps de lecture estimé : 29 mn
26/01/03
Résumé:  Une soirée spéciale avec 2 amies
Critères:  ffh copains fellation préservati pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Saul  (H 27 ans marié)            Envoi mini-message
Pat et Alex


Salut à tous et surtout bisous aux filles. Mon premier récit (n° 4596) n’a été pas trop mal accueilli, j’ai donc décidé de récidiver en prenant en compte les conseils qui m’ont été faits. Je me présente brièvement : Sébastien, 27 ans, marié depuis peu. Avant d’être marié, il y a eu une longue période où j’étais éloigné de ma femme à cause des études, stages et de l’armée.


Cette histoire m’est arrivée pendant mon service national, vers l’âge de 22 ans. J’étais dans une ville de l’est de la France, dans une caserne assez éloignée du centre d’une petite ville. C’est une période que j’ai assez mal vécu, je n’adhérais pas vraiment à l’esprit militaire et j’étais éloigné de ma copine, de ma famille et de mes amis.

Un rayon de soleil est apparu dans cette grisaille quand j’ai appris que 2 copines, Alexandra et Patricia, venaient pour les 3 mois d’hiver faire leur stage dans la ville où j’étais.

Patricia est une copine depuis 5 ans environs. Je connais un peu moins Alexandra, c’est la meilleure amie de Patricia depuis qu’elles font leurs études ensembles. Elles sont toutes les 2 mignonnes mais dans un style différent. Patricia est une grande brune aux yeux verts, elle fait beaucoup de fitness et ça lui donne un physique de rêve : des cuisses fuselées, un cul bien rebondi, des épaules bien dessinées, elle laisse deviner des petits seins bien fermes. Alexandra est un peu plus petite, fine aussi, mais sans faire autant de sport. Sa silhouette est accentuée par une poitrine qu’on remarque tout de suite. En plus, elle est vraiment charmante avec son petit minois encadré par un carré blond et ses yeux bleu lagon. On a vite pris l’habitude de se voir souvent soit chez Patricia (elle a un studio alors que Alexandra est hébergée chez sa tante), soit dans un café. Maintenant, Alex est aussi une très bonne amie, mais elle est très réservée et encore un peu secrète.

Les 4 personnes de la caserne avec qui je m’entendais à peu près (ce n’était pas tout à fait des copains) m’ont vite demandé ce que je faisais quand je les abandonnais et quand ils ont su que c’était pour voir 2 nanas, ils ont insisté pour que j’organise une soirée avec Pat et Alex.


Le rendez vous est fixé un jeudi soir dans une boite. Un des mes collègues prends sa voiture pour y aller, la caserne étant située trop loin de la ville pour y aller à pied.

On se donne rendez vous dans la seule boite du centre ville. Les filles nous attendent à l’entrée, emmitouflées dans des grands manteaux. Je fais rapidement les présentations, tout le monde est célibataire sauf moi mais sous les recommandations de Pat et Alex, j’ai demandé à mes collègues de ne pas trop les draguer. La musique est assez assourdissante dans la boite et il faut presque se hurler dans les oreilles pour s’entendre. Patricia qui a toujours été une fan des boites de nuit se rue sur la piste en entraînant Alexandra. Elle est d’ordinaire beaucoup plus réservée, mais on dirait qu’elle a décidé de s’amuser ce soir. Elles se font face sur la piste et dansent au rythme effréné de la techno. Elles ont mis toutes les 2 des habits très moulants, ça confirme ce que je pensais : Alex a vraiment une grosse poitrine. Quant à Pat, eh bien, ses habits soulignent son corps décidément parfait. On ne voit presque qu’elles dans la boite, on est dans une petite ville un soir de semaine et donc il n’y a pas grand monde, mais elles dégagent une énergie que j’ai rarement vue en boite. Quant à moi, je ne suis pas un fana de la techno, alors je reste au bar, sirotant un verre.

Comme je m’y attendais, Pat et Alex sont le centre d’intérêt de mes 4 collègues, ils forment un cercle autour d’elles et les regardent danser. Les filles ne leur accordent pas la moindre attention, elles ne doivent pas les trouver à leurs goûts. La soirée démarre mal, l’osmose n’a pas l’air de se faire entre mes 2 groupes d’amis. Parfois un mec tente un mot à l’oreille de Pat ou d’Alex, mais il ne reçoit qu’un non de la tête. De toutes façons, je n’ai rien promis à personne. Elles ne regardent personne dans la boite sauf moi, elles me font signe de temps en temps pour m’inviter à danser. Je préfère rester au bar à boire quelques verres en pensant à Marion (ma femme). Ok, je ne fais rien pour améliorer l’ambiance, mais je trouve que je fais beaucoup en présentant des charmantes jeunes filles à mes collègues, ils n’ont qu’à se débrouiller.

J’aperçois Pat et Alex qui se dirigent vers moi, je pense qu’elles viennent pour me traîner de force sur la piste de danse mais je me trompe.



Sur ce, elles tournent les talons et se dirigent vers la sortie. Je met un peu de temps à réaliser ce qu’elles viennent de me dire (premier effet sensible de l’alcool ?) et je les suis avec un peu de retard. Une fois debout la tête me tourne un peu (deuxième effet ?), en passant devant les ’collègues’, ou plutôt ex-collègues car je suis en pétard contre eux, je leur dit qu’ils n’ont pas assurés. Ils m’en veulent aussi et me disent que la prochaine fois ce n’est pas la peine de leur présenter des lesbiennes. Je ne tiens pas compte de leur remarque et je continue ma route. Il faut que je rattrape le coup avec les filles, j’arrive juste à les rattraper avant la sortie.



Ces 2 filles sont d’une compagnie agréables, et elles me changent vraiment mon quotidien militaire. En plus, je crois que je ne n’ai plus d’amis à la caserne à partir de ce soir.


L’appart, ou plutôt le studio de Patricia est à 2 minutes à pied, heureusement car il fait très froid dehors. Il est minuscule et ne contient que son canapé-lit et un coin cuisine, sa grosse télé occupant presque tout l’espace. Cependant, c’est décoré avec goût et ont s’y sent à l’aise.

Confortablement installé sur la banquette, un verre de Bailey à la main (je devrais pas boire autant je sais), on profite tout les 3 de la fin de la soirée. Personnellement, je préfère ce genre de soirée intime à une sortir en boite. On parle de tout et de rien, de la dernière blague entendue à la radio ou du dernier potin de star. Soudain, alors qu’elles sont toutes les 2 en train de rire à gorges déployées j’ai un flash … elles sont superbes et célibataires, elles sont toujours ensembles … et si mes collègues disaient vrai ? et si elles étaient lesbiennes ? … Cette pensée subite me trouble un peu et me coupe dans mon éclat de rire, ça me fait fantasmer aussi. Tout les hommes ont des pensées lubriques dès qu’on leur dit le mot lesbienne.

Leur rire s’arrête en me voyant perdu dans les pensées.



Je bascule ma tête en arrière, perdu dans des visions saphiques et mes yeux se posent sur l’horloge accrochée au mur : mon bus part dans 10 minutes, mais j’ai quand même le temps d’y aller tranquillement. Je prends congés de mes 2 copines en leur souhaitant une bonne soirée, elle me répondent qu’elles vont se coucher.

Dans la rue jusqu’au bus, je profite de la fraîcheur de l’hiver pour reprendre un peu mes esprits, l’alcool m’a embrumé un peu le cerveau et j’ai l’image de Pat et Alex dans la tête, nues et enlacées. La vision de l’arrêt de bus vide me rappelle à la réalité, j’ai bien peur de l’avoir loupé … Un coup d’oeil à ma montre me le confirme, l’horloge de Pat ne devait pas être à l’heure. J’ai le choix entre 2 possibilités : rentrer à la caserne à pied et là, j’en ai pour 3 heures par -5°, soit me faire héberger par Patricia … Je n’hésite pas entre les 2 solutions, mais je risque de les déranger toutes les 2, si elles sont ensemble. À cette pensée, mon demi-sourire et mes pensées reviennent … Je fais appel à ma mémoire (dur, dur), c’est vrai que depuis qu’elles sont les meilleures amies du monde, je ne les ai jamais vu avec un homme. Je risque fort de les déranger, mais le froid hivernal commence à me glacer et je me dirige chez Pat.

10 minutes après les avoir quittées, je tape à la porte de Patricia, en espérant ne pas avoir de surprises. Une partie de moi les souhaitent quand même en pleine action. La porte s’entrebâille et la tête blonde d’Alex apparaît. Elle est maintenant vêtue d’un peignoir en soie rouge.



Je rentre dans le minuscule studio, le canapé est maintenant déplié en position lit. Je ne peux m’empêcher d’admirer le corps d’Alex recouvert de la fine étoffe de soie, son peignoir s’arrête très haut sur les cuisses et me laisse voir une grande partie de ses jambes. La ceinture du peignoir lui fait une silhouette délicieuse. Malheureusement, l’échancrure ne me laisse même pas deviner la naissance des seins. J’entends un bruit de douche.



Elle se retourne et se penche pour faire le lit, les pans de son peignoir remontent lentement sur ses cuisses, jusqu’au bas de sa culotte. Une culotte bleu ciel en coton comme celle d’une petite fille ; je me doutais qu’Alex était du genre à mettre des dessous en coton. Je ne l’imagine pas très dévergondée, même pour une lesbienne. Je ne l’ai jamais vu ne serait ce qu’en maillot, mais il me semble que pour quelqu’un qui ne fait pas de sport, elle a un fessier à tomber par terre, pas une trace de cellulite …

Elle me tire de mes pensées en m’appelant à l’aide.



Je m’extirpe donc de la contemplation de son postérieur et je m’approche du lit pour l’aider. Quand même, je ne devrais pas profiter de la situation pour mater une de mes meilleures amies. Je me met face à elle et elle s’agenouille sur le lit pour bien aplanir les draps. Gasp !! Penchée en avant comme elle est, son peignoir baille tellement qu’il ne me cache absolument rien de sa poitrine !! Ses seins sont juste en face de moi, à quelques centimètres et ballottent librement sous le tissu, ils pendent même de façon assez obscène … Encore une fois je me dis que j’avais raison, elle a une belle paire de seins, encore plus beaux que ce que je m’imaginais, ça doit être un délice de les peloter. Je laisse échapper malgré moi un petit ’wouah’ admiratif et elle s’arrête d’aplatir le drap et relève la tête. Elle réalise bien vite la cause de mon exclamation mais ne referme pas son peignoir.



A quatre patte sur le lit, s’approchant de moi, elle ressemble à un félin qui s’approche de sa proie. Arrivée a quelques centimètres de moi, elle se redresse sur ses genoux , et me regarde en penchant la tête. Je ne peux me reculer car je suis dos au mur, mais est ce que je veux vraiment m’éloigner ?



Son visage s’illumine encore plus lorsque je dis ça.



La timide Alex que je connais ne prononce jamais de mots crus, j’en reste abasourdi. Elle profite de ma surprise pour replacer sa main. Je crois que la découvrir comme ça, ça me fait de l’effet, ça m’excite d’autant plus qu’elle n’a pas cessé de me titiller depuis tout à l’heure. Maintenant, ma queue est à l’étroit dans mon jean.

De sa main droite elle me masse carrément l’entrejambe en me fixant. Elle aventure son autre main sur ma poitrine et la glisse sous ma chemise.

Je me sens un peu stupide dans cette position, les bras ballants en train de me faire caresser par cette fille plus que mignonne. Elle me veut, c’est clair, elle veut que je me laisse aller mais j’arrive encore à me contrôler.

J’entends toujours le bruit de la douche, Patricia ne me sauvera pas.



Mais la petite dévergondée ne compte pas en rester là, elle s’affaire sur ma braguette, défait prestement mon zip et d’un mouvement de poignet extirpe mon sexe du pantalon. Je reste scotché par sa dextérité et surtout par son culot. Peut être que, inconsciemment, je me suis laissé faire. Ma bite qui attendait désespérément d’être libérée se dresse aussitôt à l’air libre.



Maintenant je suis sur qu’elle veut juste me provoquer, bien que je ne fasse pas pitié (surtout tendu comme ça), je n’ai pas les dimensions éléphantesques qu’elle veut me donner.



Profitant de ma paralysie, elle s’est jetée sur ma bite et l’a avalé au maximum. Je reste muet, je ne sens plus que la chaleur et l’humidité de sa bouche. Je reste toujours immobile pendant qu’Alex déguste mon pieu de chair, elle le fait coulisser dans sa bouche en balançant ton son corps d’avant en arrière et joue avec sa langue à l’intérieur. D’où je suis, je vois sa tignasse blonde s’approcher et s’éloigner de la toison noire de mon pubis, délicieux contraste, mais surtout, j’aperçois ses grosses loches qui balancent au rythme de sa fellation. Je ne résiste pas à la tentation (au point où j’en suis …) et je glisse mes 2 mains sous elle pour empaumer ces 2 masses de chair faites pour être caressée, j’ai les mains remplies de ses seins lourds. Elle pousse un petit gémissement qui indique qu’elle aime ça. Ça m’encourage, je garde une main caressant ses seins et de l’autre je défait la ceinture de son peignoir et je le remonte pour admirer son dos et sa chute de reins. Elle est délicieusement cambrée, les petites fossettes au-dessus des fesses bougent au rythme de ses mouvements. Je caresse maintenant son dos sur toute la longueur et ma main glisse sous la culotte en coton pour vérifier que ses fesses sont aussi douces que ses seins. Tout le corps d’Alex est un appel à la caresse tellement son grain de peau est fin.


On n’entend plus le bruit de la douche, Patricia ne va pas tarder à arriver. Je suis au bord de l’explosion, j’ai franchit le point de non retour. Mon bassin va à la rencontre de la bouche d’Alex. En bonne salope, elle accélère ses mouvements le long de ma bite. Une onde de chaleur commence à poindre dans mes reins, en même temps qu’une pensée perverse dans ma tête. D’ordinaire je ne fais pas ça avec mes partenaires, mais là elle va y avoir droit. Je passe mes mains derrière sa nuque pour bloquer son visage contre moi. Elle n’a pas de mouvement de recul, bien au contraire, elle plaque sa main sur mes fesses pour se coller encore plus. L’étincelle de plaisir me provoque une ruade et ma bite s’enfonce au plus profond de sa gorge. Le bassin agité d’une vie propre, je jouit dans sa bouche, l’inondant. Ça me coupe les jambes et je m’assied sur le lit, elle garde un instant la bouche soudée sur ma queue pour se délecter de mon jus et avaler tout mon foutre. Un petit moment passe et elle relève la tête, un filet de sperme à la commissure des lèvres. Elle me regarde avec en souriant.



Bizarre pour une lesbienne quand même.



Quand elle referme son peignoir, je remarque qu’elle a un anneau au nombril, c’est très sexy je trouve, j’adore ça et les tatouages pour les nanas.

Nous venons juste de nous réajuster lorsque la porte de la salle de bain s’ouvre et Patricia apparaît, une serviette nouée juste au-dessus des seins, jusqu’à mi-cuisse. Elle est surprise en me voyant.



Décidément, elles vont me rendre folle toutes les 2. Pat a dit ’ je vais mettre un pyjama du coup ’ ça veut dire qu’elle comptait dormir à poil ou quoi ? Avec cette coquine d’Alex à côté qui est chaude comme la braise ?

Patricia sort de la salle de bain vêtue d’un pyjama en coton assez masculin : un pantalon à carreaux assez ample et une chemise assortie tout aussi ample. Alex la remplace dans la salle de bain en lui disant.



Quel culot !



De toutes façons, je vais dormir avec le caleçon et le t-shirt que j’ai sur moi, donc je me gène pas pour enlever mes chaussures et mon pantalon devant Pat.

Alex sort rapidement de la salle de bain, elle a maintenant revêtu la nuisette assortie à son peignoir. Le tissu de la nuisette est tendu par sa poitrine, elle est canon dans cet ensemble …



Elle m’allume un max ce soir, tout à l’heure, ça lui a pas suffit.

Il faut absolument que je dorme alors je leur fait une bise à toutes les 2 et je vais me coucher. Bien sur, Alex en profite pour m’effleurer le lobe de l’oreille avec sa langue, mais je fais comme si j’avais rien remarqué et je me glisse dans les draps. Je suis volontairement un peu froid avec elle car j’ai l’impression qu’elle s’est amusée avec moi. En plus, j’ai une grosse journée qui m’attends demain, j’ai besoin de sommeil. Cela dit, elle peut recommencer quand elle veut des petites gâteries comme tout à l’heure.


La nuit est déjà bien avancée et sous le coup de la fatigue de la journée, je ne tarde pas à m’endormir. Dans un demi-sommeil, je sens le lit bouger quand les filles se couchent. Je suis rassuré en sentant un pyjama en coton contre moi. Ouf, Patricia s’est mise entre Alex et moi, je pense que je vais pouvoir dormir. À 3 dans le lit, on est un peu à l’étroit, mais ca va. Avant de tomber dans les bras de Morphée, je fais le point : je suis quasiment sûr qu’elles sont ensemble. Alex doit être bi … et nympho, Patricia doit être lesbienne, alors … Je m’endors … un sourire béat aux lèvres … en pensant à leur 2 corps nus et enlacés.

Je suis tiré de mes rêves en pleine nuit par une bestiole qui me tourne autour de l’oreille, surement un moustique mais on est en plein hiver. Non, ce n’est pas un moustique, c’est Patricia qui parcourt mon visage de sa main, c’est quand même beaucoup plus agréable. Elle laisse aller le bout de ses doigts sur mon nez, mes joues. Visiblement, elle voulait me réveiller. Elle me chuchote à l’oreille :



L’esprit encore embrumé, je ne réagis pas. Sa main quitte mon visage et passe sous le drap, le long de mon torse et se pose sur mon caleçon … tendu par mes fantasmes saphiques. Sa main entoure ma verge a travers le tissu.



Je me retourne pour lui faire face. Je lui saisi la main et l’éloigne de mon caleçon. Je lui demande :



Pour seule réponse, elle approche sa main et la mienne de sa bouche et en lèche les doigts, les siens comme les miens. Malgré la demi obscurité, je vois nettement sa langue luire dans la nuit, c’est très excitant … Pendant ce temps, son autre main s’est positionnée sur ma bite et palpe mon érection qui commence à me faire mal.



Après tout, pourquoi résister ? Je ne dis rien et suivant le principe de ’qui ne dit rien, consent’ Pat me pousse sur le dos et glisse sous les draps, jusqu’à avoir la tête au niveau de ma queue. Elle me relève les fesses et descend mon caleçon pour libérer ma virilité. Je jette un coup d’oeil à Alex, elle nous tourne le dos et respire profondément. Avant que Patricia ne s’attaque à mon mat, j’empoigne son haut de pyjama, le tire vers moi et le jette hors du lit. Hélas, je ne peux pas la voir me sucer, j’aurais adoré ça. Mais je ne peux pas bouger les draps de peur de réveiller Alex. Par contre, ses petits seins touchent mes cuisses pendant qu’elle s’approche de moi, ils sont beaucoup moins volumineux que ceux d’Alex, mais j’en sens distinctement les pointes. Elle a des petits tétons tout dur. Je perçois le souffle de Pat qui s’apprête à m’emboucher, je savoure cet instant car je sais que dans pas longtemps je vais perdre pied. Le premier contact de Pat me fait frémir, elle me tient la base de la queue d’une main et la lèche lentement sur toute la longueur, mais j’arrive à me contrôler sur les suivants. Maintenant elle me lèche depuis les couilles puis remonte lentement, sa langue faisant contact le plus possible avec ma queue. Arrivée au sommet, elle pose sa bouche sur mon gland et ses lèvres s’ouvrent pour le gober. Elle fait des petits allers-retours avec la tête, me branlant le gland. Bizarre pour une lesbienne quand même. En temps normal, j’aurai déjà joui, mais l’alcool et l’intervention d’Alex ont retardé ma jouissance, le fait de devoir rester silencieux aussi, je pense. J’en profite au maximum, les mains posées sur ses fines épaules … Soudain, la lumière s’allume.

Patricia interrompt aussitôt sa fellation. Alex est tournée vers nous.



Je voudrais bien dire quelque chose, mais aucun son ne sort de ma bouche. Pat relève le drap et reste à cheval sur mes genoux pendant que je sens ma queue rétrécir inexorablement.



Du coup, je réalise que je peux enfin contempler Patricia depuis qu’elle est sortie de dessous les draps. Ma bite se dresse toute seule à la vision de cette sculpturale déesse de l’amour. Elle est agenouillée en face de moi, le buste nu, son corps bronzé ne laissant apparaître aucune trace de maillot. Elle a un ventre plat quasiment sans pli avec d’un nombril tout fin. Ses seins sont petits mais ont une forme parfaite en pomme, ses tétons dressés pointent vers moi. Son joli visage et son cou gracile complètent le tableau. Sa seule vue me fait rebander. Patricia remarque mes yeux qui la détaillent et ma bite qui se dresse.



Elle se baisse et y dépose un baiser. Quand elle est baissée, je peux voir son dos musclé ainsi qu’un tatouage tribal ornant ses reins. Maintenant, je bande carrément.



Elle fait voler le drap du lit, elle se redresse et enlève sa nuisette. Pour la première fois je vois sa poitrine nue, elle a des seins imposants, bien ronds et qui se touchent au milieu ce qui est étonnant pour des seins de cette taille. Elle est complètement nue, cette coquine a dû retirer sa culotte avant de se coucher. Un petit duvet blond recouvre son pubis.

Patricia tient toujours ma queue entre ses doigts. Bandée comme elle est, elle dépasse largement de sa main. Alex se penche et me gobe entièrement. C’est la deuxième fois qu’elle m’engloutit sans autre forme de procès, j’en déduis qu’elle aime ça. Malheureusement, elle fait seulement un mouvement et se redresse, me laissant sur ma faim.



Alex passe alors sa main derrière la nuque de Pat et elle se roulent la pelle la plus érotique que j’ai jamais vu, toute langue dehors.



Je sais très bien où va me mener la phrase que je viens de prononcer, mais autant en profiter, ce n’est pas tout les jours qu’on peut profiter de 2 femmes exceptionnelles comme elles.



Elle entame une fellation des plus douces, destinée à me mettre en forme et pas à me faire craquer. Sa bouche forme un anneau autour de ma verge et elle le fait coulisser lentement de manière à m’humidifier au maximum.

Pendant ce temps, Alex s’est placée derrière moi, un genoux de chaque côté de ma tête et elle m’enlève mon t-shirt.



C’est vrai que je suis plutôt à mon avantage en ce moment, avec tout les footings, pompes, tractions et abdos qu’on m’impose à l’armée, je suis affûté comme jamais, moi qui n’avait jamais vu mes abdos avant, eh bien j’ai des tablettes de chocolat à la place.

Passé ce petit compliment, Alex s’avance, se plaçant juste au-dessus de mon visage et abaisse son sexe au niveau de ma bouche. J’ai une vue imprenable sur son mont de Vénus. Elle ne doit pas être très excitée car seules ses grandes lèvres sont apparentes, quelques poils parsèment le chemin menant de sa chatte à son cul. Je glisse ma langue entre ses lèvres qui s’ouvrent aussitôt. Je me trompais, ma langue tombe sur une véritable mare. Elle mouille comme une fontaine. Je lape sa vulve sur toute la longueur, je déguste son jus au plus profond de sa chatte. Son clitoris ne tarde pas à montrer le bout de son nez. Je me met à le mordiller doucement et ses gémissements se font entendre de plus en plus.


Pat a cessé de me masturber, le temps d’ôter son bas de pyjama et de me mettre une capote. Elle s’avance à genoux et met sa chatte en contact avec ma queue. Ce contact m’électrise, elle tient ma bite d’une main et la guide dans son antre, le gland écartant les lèvres. Elle lui fait faire quelques va-et-vient à la bordure de son sexe afin de l’humidifier et ensuite abaisse son bassin. Je la pénètre, lentement, inexorablement, jusqu’à ce que ses fesses touchent mes cuisses. Elle pousse un soupir qui se termine par un râle. Je suis solidement emmanché en elle, ma queue lui touche le fond du vagin. Elle commence alors à bouger le bassin, d’abord des ondulations circulaires qui me permettent de rentrer encore plus profondément en elle, ensuite des mouvements d’avant en arrière de plus en plus grands. Quand elle est reculée au maximum, ma bite sortant presque de la chatte, elle se penche pour plaquer son clitoris sur mon pieu, me tordant littéralement la bite, puis elle repart vers l’avant pour m’emmancher au plus profond d’elle.


Elle me chevauchent toutes les 2, se tenant face à face. Dans le dos d’Alex, je distingue parfois les mouvements d’un bras ou d’une main qui indiquent qu’elles se caressent.

Mes mains passent d’un corps à l’autre, palpant leurs seins, pinçant leurs tétons ou massant leurs clito. J’apprécie autant les seins lourds d’Alex que ceux plus modestes de Pat.

Je suis complètement détaché de la scène que je suis en train de vivre, sûrement parce que je suis occupé à satisfaire Alex. Mais surtout à cause de tout l’alcool que j’ai bu ce soir, ça a parfois cet effet là sur moi, mon érection reste une éternité pendant laquelle je ne jouis pas.


Pat est proche de la jouissance, elle fait maintenant des mouvements beaucoup plus violents, dirigés uniquement vers l’avant, elle me baise littéralement, puissamment. Elle va jouir, dommage que je ne puisse pas la voir. Alex doit deviner mon désir et se lève au moment où Pat se cabre en atteignant l’orgasme. Elle est vraiment sublime quand son corps fin et musclé est penché en arrière, secouée de spasmes. Elle attend un peu pour reprendre son souffle et vient ensuite vers l’avant se lover contre mon épaule. Je lui embrasse le front tendrement pendant qu’Alex lui caresse le dos. Je suis toujours emmanché en elle, comme je m’y attendais, je n’ai pas joui.


Alex murmure à l’oreille de Pat de lui laisser la place, elle enroule un nouveau préservatif autour de ma verge et vient s’empaler sur moi à son tour. Elle me baise différemment, avec uniquement des oscillations verticales. Ça fait ballotter ses seins dans tout les sens, je n’essaie même pas de les caresser, je préfère les voir s’agiter. Patricia, elle, cuve sa jouissance allongée juste à côté de nous, nous caressant. Le corps d’Alex coulissant sur ma verge est un spectacle divin mais ses mouvements de bassins ne seront pas suffisants pour m’emmener à l’orgasme. Aussi, je me relève et la bascule sur le dos. J’écarte ses jambes avec mon genoux et d’une poussée ma queue s’engouffre dans son vagin, aussi loin que possible. J’entame aussitôt un pilonnage sans ménagement, dont le but non avoué et de faire bouger ses mamelles dans tout les sens. Elle crochète ses jambes dans les miennes pour pouvoir me guider un minimum et je me met à faire de grands piston en terminant ma course le plus loin possible en elle. Elle n’est pas longue à venir, je la vois rapidement secouer la tête d’un côté puis de l’autre, se mordant la lèvre inférieure. Soudain elle soulève les fesses, projetant son bassin vers moi. Elle pousse un ’oh oui …. humm …’ de contentement et s’arque ; je reste fiché en elle. Ses magnifiques yeux bleus me sont reconnaissant de cet orgasme. Elle me caresse les fesses, le souffle toujours haletant.

Je retire le préservatif, la bite toujours au garde à vous, Patricia laisse vagabonder sa main dessus.



Pas besoin de me faire un dessin, je met le bout de caoutchouc et je me place à genoux derrière elle. Je place ma queue sur sa fente et c’est elle qui recule pour me recevoir en elle. Je m’agrippe ensuite à ses hanches et je me met à la pilonner. Vu la façon dont elle m’a baisé tout à l’heure, elle doit apprécier les coups de reins de soudard. Depuis qu’on a commencé nos galipettes, j’ai envie de la prendre en levrette car j’aime les dos musclés des femmes pratiquant la gym à outrance, mais encore plus depuis que j’ai vu son tribal au bas des reins. J’ai les yeux rivés sur son tatouage tout en la pilonnant. Ses fesses claquent à chaque fois qu’elles touchent mes cuisses. Patricia tend ses bras devant elle et couche sa poitrine sur le lit ses fesses vers le haut, ce qui fait que lui lime le fond du vagin. Pat m’encourage de la voix.



Ses gémissements deviennent de plus en plus fort, je continue en accélérant encore le rythme. Le plaisir la gagne progressivement, elle se tortille en laissant échapper un râle haché par mes coups de boutoir. Enfin, elle contracte tout son corps, la respiration coupée. Je ralentis mes mouvements et je me retire. Une fois son orgasme passé, elle se relâche et soupire. Je n’ai toujours pas eu d’orgasmes, mais un plaisir continu, c’est encore mieux. Alex est assise en tailleur et nous a contemplé en se branlant avec 2 doigts.



Après un petit intermède pour changer de capote, je la fais se mettre en levrette et je m’enfonce en elle, mes mains emprisonnant ses seins. Mes coups de reins sont lents et ne sont pas destinés à la faire jouir, plutôt à faire monter son excitation, car j’ai une idée en tête. J’approche mon index dans sa bouche, et elle le suce comme un petit sexe. Mon autre bras enserre la taille d’Alex, la main sur le clito. Mon index mouillé par Alex se pose sur son petit trou, j’ai envie de lui jouer un tour comme celui qu’elle m’a fait tout à l’heure. Elle a un petit mouvement de recul mais je la retient collée à moi.



Ca va être une première pour moi aussi, mais vu que je ne semble pas près de jouir grâce à l’alcool, je peux prendre tout le temps nécessaire pour la préparer.

Tout en continuant les coups de reins dans son sexe et le massage du clito, je presse à nouveau mon index sur son oeillet. Le muscle se relâche et la première phalange de mon doigt lui rentre dans le cul. Je prends mon temps pour lui dilater l’anus, je fais des mouvements circulaires avec l’index pour en détendre les muscles et en même temps je l’enfonce un peu plus. À présent, elle n’essaye plus de fuir cette caresse. Patricia se lève du lit, elle ne doit pas aimer me voir faire ça. Ma deuxième phalange a du mal à rentrer. Je demande à Alex si elle n’a pas mal, les yeux fermés, concentrée sur son plaisir, elle me réponds que non. Son anneau est vraiment serré.



Patricia est revenue avec un tube de lubrifiant qu’elle vient de sortir d’un tiroir. Je ressort mon index de l’anus d’Alex et il se referme aussitôt, Pat verse une noisette de lubrifiant et maintenant mon doigt y pénètre entièrement. Alex n’a toujours pas mal. Maintenant je ne m’occupe plus de sa chatte, je fais uniquement des vas et vient avec mon index entre ses fesses. Patricia entretient mon érection d’une main et approche l’autre du cul de sa copine. Elle retire ma main, remet du lubrifiant et insère maintenant 2 doigts, difficilement au début. Je me contente de regarder Pat doigter le cul de sa copine et d’écarter ses fesses pour faciliter le passage des doigts. Alex commence à nous encourager de la voix. J’ajoute encore du lubrifiant et Patricia insère un troisième doigt. Le cul d’Alex doit être suffisamment dilaté maintenant, j’approche mon gland de son trou. Pat retire sa main et s’allonge sous Alex, en 69. Elle écarte les fesses d’Alex, faisant ressortir son trou du cul. Je demande à Alex si elle est prête et quand elle me donne son autorisation, je m’agrippe à ses hanches et commence mon intromission dans ce cul tout blanc. Mon gland progresse lentement, écartant l’anneau de chair, Alex halète comme une femme enceinte mais elle ne se crispe pas. Je continue ma première sodomie et une fois que le gland est passé, ma queue peut rentrer sans obstacle dans ce fourreau étroit. Je sens l’anneau culier me serrer délicieusement la bite. Je fais un halte quand ma queue est rentrée à moitié, guettant un signe de la part d’Alex. Elle se retourne et me fait un sourire.



Ayant reçu le feu vert, je la sodomise jusqu’à la garde. Afin de ne pas lui faire trop mal, je reste fiché en elle au maximum et je me contente de faire des ondulations du bassin. Elle m’encourage à rester comme ça, mes mouvements n’ont pas trop d’amplitude mais toute la surface de ma queue est en contact avec son conduit anal. C’est la première fois que je ressens cette sensation. C’est aussi la première fois qu’on me lèche les couilles pendant une pénétration, Pat passe sa langue de la minette d’Alex à mes bourses. Alex, elle, ne reste pas inactive et gouine Pat avec application. Je décide de changer un peu de rythme, Alex ne proteste pas quand plusieurs fois d’affilée, je ressort ma bite de son cul, le temps de contempler le trou se refermer petit à petit, et je me réintroduit lentement jusqu’à la garde. Mieux, à en juger par sa respiration, elle a l’air d’aimer. Ça m’encourage à limer son cul de plus en plus. La boule de chaleur qui grandit dans mes reins me fait accélérer encore et encore, je sens le plaisir arriver. Alex ouvre la bouche comme pour crier, mais aucun son n’en sort. Elle tremble de tout son corps, elle doit être en train de jouir. J’atteint le nirvana en même temps qu’elle, la boule de chaleur dans mes reins vient d’exploser se répand dans toutes les particules de mon être. Ma jouissance a été longue à venir mais n’en est que plus importante, toujours agrippé à ses hanches, je me vide en longs jets puissants dans les reins d’Alex, puis je m’affale sur le côté, épuisé.


Alex vient se blottir contre moi. À côté de nous, Patricia est en train de se masturber. Je voudrais l’aider mais je n’ai plus la force, mes paupières se ferment toutes seules. Avant de sombrer dans le sommeil, elle jouit, m’offrant un beau spectacle qui me guide sur le chemin des rêves …

Je dors comme un loir.

Quelques heures plus tard, je me réveille de la plus belle des manières : nu et entouré par mes 2 superbes amies, nues elles aussi. Nous sommes tous les 3 imbriqués comme des cuillères. Je jette un coup d’oeil sur cette ’satanée’ horloge (qui est à l’origine de cette soirée, faut il le rappeler), la matinée est déjà bien avancée ! Je vais avoir de sérieux ennuis à la caserne. Cela dit, ça m’est bien égal, rien ne vaut d’être dans ce lit avec Pat et Alex, ma peau contre leur peau douce et soyeuse.


Une fois qu’Alexandra et Patricia se sont réveillées, on s’est embrassés tous les 3 très tendrement, pour émerger le plus doucement possible. On a pris notre temps ce jour-là, déjeunant en tenue d’Eve et d’Adam et passant l’après midi à discuter sous la couette. C’était un des plus beaux moments de ma vie, plus encore que la partie de baise de la veille, il y avait une telle tendresse entre nous.

Quand je suis arrivé à la caserne le soir, j’ai effectivement passé un mauvais quart d’heure, j’avais loupé des manoeuvres surprises et j’ai eu droit à une semaine de gnouff. Mes collègues ne m’ont jamais pardonné de les avoir lâché ce soir-là. Je pense aussi qu’ils se sont doutés de la fin de la soirée et qu’ils étaient jaloux. J’ai donc passé le reste de mon service militaire sans amis.

C’était le dernier de mes soucis car je retrouvais Pat et Alex presque tout les soirs, on finissait quelques fois tous les 3 sous la couette, mais surtout on passait des soirées extrêmement complices. Ce soir-là, c’était plutôt Alexandra qui avait eu ma préférence, mais j’ai eu l’occasion de me faire pardonné auprès de Patricia.

Aujourd’hui, elles ont un copain toutes les 2, parfois on se retrouve à 6 pour des soirées avec Marion et leurs copains qui dont aussi mes amis. On est même parti en vacances ensemble. Il va sans dire que ce qui s’est passé entre nous 3 reste notre petit secret.