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n° 05621Fiche technique50454 caractères50454
Temps de lecture estimé : 27 mn
28/01/03
Résumé:  En s'arrêtant à l'auberge de Madame Mireille, Chris ne se doutait pas que cette halte serait placée sous le signe de la frénésie sexuelle la plus débridée...
Critères:  ffh fbi fplusag caférestau soubrette noculotte odeurs fmast hmast fellation cunnilingu anulingus 69 fgode fsodo jeu aliments
Auteur : Chris            Envoi mini-message
Délices d'automne



En cette période de ma vie, je travaillais au contrôle de la construction d’un édifice industriel, niché dans la campagne bretonne, fonction qui m’amenait, de temps à autre, à passer quelques jours sur le site. Je prenais alors mes quartiers dans une charmante et confortable auberge dirigée par une dynamique hôtesse, la cinquantaine ronde et épanouie, veuve de son état, que tout le monde appelait Madame Mireille. Au départ brutal de son époux, au lieu de retourner vers sa Provence natale, elle avait embauché un jeune cuisinier plein de talent et continué l’activité de cette délicieuse et accueillante maison, exploitant la petite dizaine de chambres au style rustique et servant une cuisine simple mais de qualité, dans le décor chaud des boiseries et des cheminées.


Ayant découvert cet établissement quelque peu confidentiel, j’y revenais maintenant chaque fois que mes tâches me conduisaient dans la région, de telle sorte que Madame Mireille me faisait le plaisir de me compter parmi ses fidèles clients.


Une fin d’après midi, alors que je revenais de mon usine en construction, au volant de mon 4x4, et me garais sur le petit parking de l’hôtel, mon attention fut soudainement attirée par le bruit d’une valise qui tombait sur les graviers et par le tout aussi sonore " merde " qui s’ensuivit.


Je fis le tour de ma voiture pour découvrir deux dames, qui toutes deux me semblaient avoir dépassé la cinquantaine, à la tenue décontractée mais élégante, aux prises avec leurs bagages, dont l’un d’eux malencontreusement ouvert et duquel s’était échappé, chance ou malchance, quelques effets de lingerie dont un fort joli soutien-gorge de dentelle noire.


Le sourire aux lèvres, je m’approchai de la scène tandis que l’une des deux femmes, rouge de confusion, se précipitait pour remettre précipitamment dans la valise ces délicats sous-vêtements tandis que l’autre verrouillait la voiture, une berline Mercedes grise.



D’autorité, j’empoignai les deux valises et invitai les dames à me suivre.



C’est sur cet échange de politesses convenues que nous atteignîmes la réception où je laissais ces deux clientes aux mains de Madame Mireille, prenant la clé de ma chambre au passage.


Après une douche tonique et salvatrice, et quelques instants de lecture au repos de la chambre, avec une charmante vue sur la campagne environnante, je m’habillai pour descendre dîner, enfilant un pantalon de velours noir, une chemise de sport jaune paille et un pull de laine vert bouteille noué sur mes épaules. Comme j’aimais à le faire parfois le soir, j’omis de mettre un slip et c’est donc dans un esprit très relax que je gagnai la salle à manger, en toute liberté de mouvement si l’on peut dire.


Avant d’y arriver toutefois, je m’entendis interpeller…



Je me retournai et vis alors, assises au salon, les deux dames que j’avais aidées, toutes pomponnées et souriantes.



La patronne vint bientôt chercher notre commande, non sans un petit sourire à mon attention.



Nous fîmes alors connaissance et j’appris qu’elles se prénommaient Théso (un diminutif pour Marie-Thérèse, m’expliqua-t-elle) et Jeanine.


Je ne sus pas leur âge naturellement et me gardai bien de leur poser cette question secrète pour une dame. J’estimai qu’elles devaient approcher l’une et l’autre de 55 à 60 ans. En tout cas, elles étaient toutes deux coquettes, apprêtées, maquillées avec soin, délicieuses seniors en fait.


Théso, aux cheveux châtain mi-longs, coiffés avec un joli mouvement, plutôt mince et de taille moyenne, portait une jupe noire, avec un corsage de soie grise moirée. Le chemisier était fort convenable mais légèrement ouvert permettant d’apercevoir la naissance d’une poitrine moyenne mais manifestement mise en valeur par un soutien-gorge adéquat. Ses jambes étaient gainées de noir avec des escarpins de même couleur.


Jeanine quant à elle était blonde et avait noué ses cheveux longs en un petit chignon tout en laissant deux mèches de chaque coté. Elle portait de fines lunettes sans monture. Elle avait revêtu une jolie robe imprimée de divers motifs de bleu, boutonnée sur le devant, avec un décolleté carré. Plus charnelle que son amie, elle laissait voir sa poitrine de manière un peu plus généreuse. Elle portait un voile blanc sur ses jambes et de jolies et fines chaussures de cuir gris.


Elles m’expliquèrent, que veuves toutes deux, à l’aise financièrement, et toujours en grande forme (précision de Théso avec un regard disons appuyé à mon endroit) elles disposaient de beaucoup de temps et aimaient ainsi, un peu au hasard, découvrir nos belles régions, visiter les sites intéressants, les vieilles églises, etc…


A mon tour, je leur racontai les raisons de ma présence, mon goût pour cette auberge, la chaleur de son accueil, et quelques anecdotes qui les fit sourire, non sans leur glisser le message que j’étais célibataire.



Mireille revint sur un signe de ma part.



Nous continuâmes notre conversation de salon et je me trouvais très à l’aise avec des deux dames, certes mures, mais réellement attrayantes, à tel point que je commençais à imaginer une soirée plus privée, mais avec laquelle ?


Nous achevâmes ce délicieux apéritif et ce fut Théso qui me demanda si j’acceptais de partager leur table pour le dîner. Je répondis que se serait avec un grand plaisir et nous nous installâmes dans la salle à manger pas très loin de la cheminée de granit dans laquelle rougeoyait un feu qui donnait à la pièce une ambiance chaude et même sensuelle, impression rehaussée par la table ronde que l’on nous attribua, avec une longue nappe et une paire de chandelles.


Nous poursuivîmes nos propos, et au fil du repas, notre conversation devint plus légère.


Théso se retira un moment. Je ne pus que remarquer qu’elle avait dégrafé deux boutons de son chemiser au point que le haut de son soutien-gorge noir était visible. Sans doute était-ce celui que j’avais vu s’échapper de la valise récalcitrante.


Ce fut au tour de Jeanine de s’engager sur un terrain davantage propice aux confidences plus intimes, en évoquant la solitude induite par la condition de veuve, sachant laisser percer de subtils sous-entendus.


Bref, ce dîner passait fort agréablement avec ces deux commensales qui rivalisaient de charme et d’allusions ambiguës. À tel point que je pris le risque de mettre les pieds dans le plat, ce qui, à table, doit être pris au sens des plus figuré.



Elle s’interrompit là, craignant sans doute de se dévoiler un peu trop ou par égard pour son amie, m’imaginais-je.



Elles se regardèrent, et je crus percevoir dans l’œillade qu’elles échangèrent un signe de complicité. Je me surpris à penser qu’elles avaient peut-être parié entre elles de savoir si leur charme agirait et laquelle emporterait l’attention du client serviable…


Alors que la jolie serveuse (une jolie brune pulpeuse aux cheveux courts et à l’air déluré, se prénommant Sandra) poursuivait son service, et que nous entamions le dessert, je rajoutais que si elles me conduisaient dans une telle voie, ce n’était pas seulement pour marivauder. Elles se regardèrent de nouveau, comprenant ce que cela signifiait.



Je fis alors choir ma serviette et me penchai tout en soulevant la longue nappe pour apercevoir les jambes des deux coquines qui acceptaient de jouer à ces jeux dangereux. Seule Théso avait esquissé un geste en relevant sa jupe légèrement mais pas suffisamment pour dégager le panorama souhaité.


Je me relevai alors, un sourire aux lèvres.



Je renouvelai alors l’opération, comptant bien en stigmatisant Jeanine, qu’une certaine rivalité pouvait jouer.


Cette fois, je fus comblé, car l’une et l’autre avaient relevé qui la jupe pour Théso qui croisait les cuisses dévoilant des bas de grande marque avec une large lisière et attachés par une jarretelle, tandis que Jeanine avait choisi d’écarter les cuisses me permettant de couvrir des bas plus classiques et remontant moins haut sur les cuisses.


Je remontais alors à l’air libre si je puis dire.



Elles sourirent et Jeanine se pencha avec son amie pour sans doute lui susurrer une demande.



Elles me regardaient, curieuses et attentives. Je leur expliquais que j’allais bien étendre ma serviette sur ma braguette que j’allais dézipper lentement et laisser béante l’ouverture de mon pantalon. Elles pourraient alors poser leur main, farfouiller à loisir et vérifier qu’un tissu ne leur ferait obstacle.



Ce fut Jeanine qui se rapprocha la premier, glissa sa main sous la serviette et ses doigts dans l’échancrure de ma braguette. Elle fureta quelques instants et je la sentis naturellement toucher mon sexe…



Théso fit de même et elle aussi glissa un doigt dans mon pantalon, ce doigt restant toutefois un peu plus longtemps au contact de ma queue.



De nouveau, je relevai la nappe et matai les jambes de ces dames. Théso avait carrément écarté les cuisses, sa jupe relevée assez haut et exposait à mon regard une jolie culotte de dentelle noire, je suppose assortie à son soutien-gorge.


Quant à Jeanine, je pus apercevoir furtivement un slip bleu nuit. Elle aussi avait ouvert impudiquement ses cuisses.



Je les regardais l’une et l’autre.



Je ne pus m’empêcher d’observer que ce qui semblait les gêner, c’était seulement de se faire remarquer à retirer leur culotte et le fait que je puisse humer leur féminité paraissait moins les effaroucher.



Ce fut Théso qui fit le premier geste. Elle se souleva de sa chaise, et aussi discrètement que possible, baissa sa culotte. Elle l’a fit glisser sous la table et en deux ou trois petites contorsions, me tendit, à l’intérieur de sa paume, sa culotte blanche.


Je la remerciai d’un signe, et aussitôt portait ce chiffon odorant à mes narines pour humer et apprécier le délicieux parfum de son excitation.


De ma main libre, dans le même temps, passant sous ma serviette, j’extirpais ma queue de ma braguette et me masturbais doucement.


Ce geste n’échappa pas à Jeanine.



Nous nous rendîmes compte, Jeanine et moi, qu’en effet, le bras de Théso bougeait légèrement et on devinait qu’elle se touchait sous la table.



Après un instant d’hésitation, elle s’y résolut aussi mais nous dit que sa robe étant plus longue et moins souple que la jupe de Théso, elle devait se rendre aux toilettes pour procéder à ce retrait. Je lui donnais ma bénédiction pour y aller et elle se leva précipitamment, tandis que nous nous regardions, Théso et moi, en train de nous toucher discrètement.



Jeanine revint alors et aussitôt assise me remit aussi sa petite culotte, que je m’empressai de sentir découvrant l’odeur différente mais tout aussi exquise de Jeanine et surtout qu’elle semblait mouiller beaucoup plus que son amie.


J’avais maintenant une culotte dans chaque main, roulée en boule et procédai devant mes deux coquines à une dégustation comparée.



Je lus leur désappointement respectif, chacune craignant sans doute que mon choix ne se porterait pas sur elle mais sur sa chère amie.



Jeanine ne put étouffer un petit cri tandis que les lèvres de Théso esquissait un petit sourire.



Jeanine, qui semblait prête à développer des objections, finalement, nous regarda et demeura coite.



Nous nous levâmes dès que j’eus refermé ma braguette et je constatais avec plaisir que le regard des deux dames s’était de suite porté sur cet endroit de ma personne.


Nous conservâmes une attitude normale et décente pour passer à la réception prendre nos clés mais Mireille qui nous les donna ne pus s’empêcher de me faire un petit clin d’œil complice et je crus lire sur ses lèvres le mot " laquelle ". Je souris intérieurement en laissant ces deux dames me précéder dans l’escalier, alors que dans le couloir je leur pris chacune la main.


Nous atteignîmes la porte de ma chambre et je les invitai à y pénétrer. Refermant la porte, je me retournai vers elles et leur dis d’approcher, ce qu’elles firent ensemble.


Je passai un bras sur la taille de chacune, et elles se trouvèrent pressées contre moi.



Ce fut Théso qui se décida la première et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Nos bouches s’ouvrirent bientôt et nos langues se cherchèrent dans un délicieux ballet humide. Volontairement, je transformai ce baiser en un patin torride.


Je flattai en même temps la croupe de mes deux amies, leur caressant les fesses doucement.


Quittant la bouche de Théso, je tendis mes lèvres vers Jeanine, qui, sans hésitation m’embrassa avec passion et nous nous roulâmes une pelle baveuse sous les yeux de Théso, dont la main coquine s’était posée sur ma braguette.



Nous entamâmes alors un exquis et formidable ballet à trois langues, alors que la main de Théso dégrafait la ceinture de mon pantalon.



Tout en retirant ma chemise et mon pantalon, je regardai Théso et Jeanine enlever la première jupe et chemisier et la seconde sa robe pour demeurer en sous-vêtements, à l’exception naturellement de la culotte déjà disparue.


Je m’allongeai alors nu sur le lit et chacune vint d’un côté pour continuer nos jeux de langue. Chacune d’elle me caressait le torse puis le ventre et bientôt le reste. Je savourai des doigts serrant quelques instants ma hampe rigide ou une paume souple flattant mes bourses, sans savoir laquelle me gratifiait de ces attentions, nos bouches se dévorant entre elles, nos langues impudiquement sorties.


Théso bientôt se détacha et glissa vers le bas. Je sentis un souffle chaud sur ma queue puis sa main qui me branlait, sa langue sur mes couilles. Elle entrepris ensuite une savante fellation sous le regard de Jeanine qui jouait avec mes mamelons.


Je glissai une main entre les cuisses de Jeanine pour découvrir sa toison que je caressais avant de plonger d’un doigt vers sa vulve que je découvris trempée. Elle gémit et écarta les cuisses pour me permettre de poursuivre ma caresse.



Elle vint alors à califourchon, face à moi, les genoux de chaque côté de ma poitrine, m’offrir un fort joli abricot tout luisant de son désir, que je lapai et suçai avec gourmandise. Elle s’appuyait sur ma bouche, tressaillant d’excitation, alors que Théso continuait à me sucer divinement.


Quelques minutes plus tard, Jeanine se releva quelque peu pour se retourner et vint sur moi en 69, me présentant de nouveau sa chatte.


Elle pouvait ainsi se pencher vers mon ventre et alors que je continuais de la lécher voracement, caressant ses fesses, je sentis bientôt que mes deux coquines s’occupaient maintenant de mon sexe. Une bouche avalait mes bourses, léchait mes couilles tandis qu’une autre aspirait ma hampe. Elles rivalisaient d’appétit pour cette double et exquise fellation et je découvris à mon grand avantage que si elles ne pratiquaient plus aussi souvent que jadis, elles avaient conservé un savoir-faire incontestable. Je me laissai donc lécher, sucé, aspirer par ces deux gourmandes, et me retenais pour ne pas exploser à raison de ce double et délicieux traitement.


Jeanine, elle, ne se retenait nullement et je sentais, aux pressions de ses cuisses et à l’ondulation suggestive de sa croupe, que la jouissance était proche. Survint alors la déflagration humide de son plaisir et je goûtai de ma langue le nectar abondant de son orgasme.



Je vins alors placer mon engin tout luisant de la salive de celle-ci devant l’antre de plaisir de Jeanine que j’enfilais en levrette, ne résistant pas à l’appel de ce temple de l’amour généreusement offert à ma concupiscence…


Elle accepta facilement l’expression virile de cet hommage et je commençai à ramoner cet attrayant fourreau, alors que Théso, à genoux près de moi, manipulait aimablement la chair de mes fesses.



Théso ne demeurait pas inactive et a coquine vint bientôt s’allonger sur le grand lit, écartant ses cuisses pour l’exhiber en face de Jeanine et fort impudiquement, n’hésita pas à se masturber. Je regardai ce charmant et excitant spectacle tout en limant le con brûlant de Jeanine.



Mais la coquine Théso sourit à cette suggestion et approcha son bassin à portée de bouche de Jeanine, laquelle, après une seconde d’hésitation posa ses lèvres sur le papillon mur de sa copine.


Le premier pas était consommé et cette initiative libéra pour la suite les deux coquines. Je vins ensuite, accroupi devant elle, prendre Théso alors que Jeanine à son tour se levait pour offrir sa chatte, dont elle s’écartait les lèvres intimes, à son amie, qui sans hésitation lui fit à son tour minette.


Puis elles se mirent toutes deux tête-bêche, ravies de découvrir ces plaisirs réciproques et communs, alors que je venais, l’une après l’autre, ajouter à leur plaisir en les enfilant tour à tour. C’était délicieux de sentir ces langues et ces lèvres agiles, qui, empêchées de poursuivre leur léchage, se reportaient sur ma hampe dure et mes couilles.


Nous explorâmes ainsi plusieurs positions et combinaisons, dans un triolisme sans tabou.


Ce fut Théso, ce qui ne m’étonna point, qui la première posa une question intéressante, alors qu’allongée sur le dos, les cuisses écartées, elle me laissait l’enconner doucement, Jeanine, penchée sur elle, lui mangeant les tétons alternativement.



Elle releva un peu plus ses jambes, et fort impudiquement massa d’un doigt sa rosette en prenant de sa mouille.



Jeanine, curieuse, s’approcha pour observer l’opération.



Je postai alors mon gland à l’orée de cette rondelle offerte et brillante des sécrétions intimes de la coquine. À ma surprise, je puis facilement m’introduire dans cette étroitesse et commençais à pistonner lentement puis de plus en plus fort. Théso se mordait la main mais participait à cette intromission en recherchant la profondeur du contact, sous les yeux excités de Jeanine, qui penchée sur l’ouvrage, lui caressait négligemment le clitoris…


Cette double attention fit bientôt jouir Théso et moi-même, je ne résistais pas à cette excitation et me répandis d’abord dans les fesses de Théso puis dans sa toison et son ventre, au grand plaisir de Jeanine qui d’une langue habile, vint goûter à cette onctueuse léchée sur la peau nue de son amie, et sur le tissu vaporeux du porte-jarretelles.


Nous nous écroulâmes sur le lit, témoin de ces turpitudes, et après quelque temps, je me levai et laissai mes deux amies dans leur douce léthargie.


En sortant, jetant un regard sur le corps de ces deux femmes matures, je vis Théso me faire une œillade et m’adresser un baiser de son index.



Le lendemain matin, je dus me lever tôt et partir sur mon chantier dès huit heures, sans même prendre le temps d’un petit déjeuner, ayant voulu récupérer au maximum de cette courte nuit.


Lorsque je revins en fin de journée à l’auberge, je ne vis point de Mercedes grise.


Madame Mireille était à la réception, lunettes en demi-lune sur le nez, occupée à quelques travaux de comptabilité, et m’accueillit d’un sourire encore plus avenant qu’à l’accoutumée.



Je fis mon choix et regagnai ma chambre, sentant le regard de la patronne dans mon dos. Après une bonne douche et repris mes dossiers en attendant l’heure du repas, laissant mon esprit vagabonder sur la soirée d’hier.


Soudain, il me vint que ce manège au dîner avec ces deux coquines et ses suites, n’avait pu échapper à l’attention de Madame Mireille, à laquelle je me surpris à penser, de manière un peu différente que d’habitude…


Lorsque je descendis pour le dîner, je m’installai à ma table habituelle et constatai qu’effectivement, il n’y avait guère de clients, à l’exception du couple annoncé de retraités qui en était déjà au dessert.


C’est donc Madame Mireille qui vint elle-même me servir. Le dîner se passa rapidement, et cela d’autant qu’entre les plats, je parcourai distraitement les titres du journal.


Je me levai enfin pour regagner ma chambre. En passant devant la réception, où se trouvait la patronne, je la complimentai sur l’excellence de ce dîner.



Elle me fit asseoir sur le canapé près de la cheminée où finissait de brûler une bûche rougeoyante. Elle revint bientôt avec deux verres, copieusement servis, me tendis l’armagnac s’installa près de moi…



Je bus alors une autre gorgée que je gardais en bouche, la regardant dans les yeux, puis avalai cet incomparable breuvage. Aussitôt, je me penchai vers elle et posai mes lèvres sur les siennes. Sa bouche s’ouvrit aussitôt et nos langues se rejoignirent pour un baiser d’une rare profondeur, qui dura longuement, sensuel, doux puis sauvage, avec l’empreinte du vieil alcool.



Mon autre main se lança à l’assaut de ses jambes et s’engouffra sous sa jupe, jusqu’à rencontrer la lisière de ses bas alors qu’elle-même ne laissait planer aucun doute sur ses intentions, puisqu’elle posait ses doigts sur l’excroissance grandissante de ma braguette, dont elle baissa la fermeture éclair, découvrant rapidement que, comme hier soir, je n’avais mis ni slip ni caleçon.


Je sentis que cette découverte lui procurait une plus grande excitation à l’ardeur de son baiser et au rythme de sa langue dans ma bouche.


Laissant sa jupe relevée sur ses cuisses découvertes, je vins caresser sa forte poitrine au travers de son chemisier dont je dégrafai les premiers boutons, laissant ainsi surgir un magnifique soutien-gorge blanc, à mi-balconnet qui m’offrait le galbe prometteur de seins qui s’annonçaient magnifiques et prodigieux.



Je me levai aussi, le sexe bandé, sorti de mon pantalon, qu’elle empoigna ainsi, elle-même fort débraillée, le chemisier ouvert pour nous diriger vers la cuisine. Nous continuâmes à nous embrasser tout en nous déshabillant mutuellement. Je me retrouvai bien vite nu, tandis qu’elle dégrafait son soutien-gorge libérant ses plantureux seins et enlevait prestement sa culotte, restant ainsi avec ses bas jarretières noirs, dévoilant une toison noire manifestement entretenue et taillée.



Mireille se dirigea alors vers un réfrigérateur qu’elle ouvrit, sortant une jarre de mousse au chocolat, une bombe de crème chantilly, des fraises.


Elle posa ces ingrédients sur la table, tout en me prenant le sexe.



Mireille s’allongea alors à demi sur la table, ses cuisses écartées vers moi, exhibant sa chatte, épilée sur les lèvres. Elle prit alors la bombe et s’aspergea de crème. Elle s’en barbouilla les seins, le ventre, le sexe, l’intérieur de ses cuisses. Elle prit quelques fraises qu’elle posa dans la crème sur ses seins, son ventre, et en glissa une entre ses nymphes.



On se saurait résister à de tels arguments et cela d’autant qu’elle se léchait impudiquement les doigts, répandant la crème sur ses lèvres, ses joues, son menton.



Je me lançai alors dans une gourmande consommation latto-frago-corporelle, insistant sur les endroits stratégiques, ses seins d’abord dont les tétons bandaient de désir, puis le ventre et enfin sa fourche, où ma langue lapait la crème. Bientôt, j’allais chercher la fraise à demi enfoncée dans la chatte de Mireille, parcourai les plis ourlés de ce sexe mur offert au plaisir, m’aventurai vers les délices plus secrètes de sa raie et de sa rosette maculée de chantilly, pour revenir enfin sur son bouton excité que je sentais rouler sous ma langue.


Après quelques minutes d’un tel traitement, les ondulations de son bassin, l’accélération de son souffle, l’exubérance de ses gémissements m’annoncèrent la venue d’un orgasme libérateur. Elle explosa sous ma bouche, avec deux doigts enfoncés dans son vagin trempé.



Sans prendre beaucoup de temps pour reprendre ses esprits, elle se releva de la table de travail, divinement belle avec ses bas noirs et quelques traces de crème blanche sur le corps, qui avait échappé à mon appétit coquin. Elle me fit signe de m’installer à mon tour sur le plan et attrapant le pot de mousse au chocolat.



Elle les concentra pour l’essentiel sur mon ventre autour et au-dessus de ma queue. Elle me barbouilla ensuite de sa main, répandant la mousse onctueuse sur mes couilles et sans plus attendre, commença à lécher.


A demi-allongé sur la table, je la laissais faire, ma main flattant doucement sa croupe et ses cuisses. Elle léchait, suçait, aspirait, tétait, avalait la mousse répandue. Une bite au chocolat est une délicieuse friandise.



Je lui offris alors le côté pile de mon anatomie, sur lequel elle répandit une nouvelle louche de mousse. La coquine se mit aussitôt à lécher mes fesses chocolatées, se dirigeant progressivement vers ma rondelle. Je sentais sa langue frétiller sur ma raie. Cette sensation était délicieuse. Elle tournoyait maintenant sur mon anus, tantôt souple et moelleuse, tantôt plus audacieuse. Elle me branlait de sa main libre dans le même temps.


La situation m’excitait au plus haut point et j’eus presque envie de me laisser à jouir ainsi manié lorsqu’elle-même cessa ses turpitudes linguales et me demandant de venir l’enfiler. Pour ce faire, elle s’assit sur le plan de travail, cuisses écartées devant moi.



Elle me disait çà en regardant ma queue aller et venir entre ses cuisses, sortant bien de sa chatte pour se réenfoncer.



J’accélérai le rythme et Mireille cria bientôt de plaisir, alors que je me retirai de son fourreau pour juter de longs jets de foutre crémeux sur son ventre.


Aussitôt, elle se massa les seins avec ce jus, ravie, épanouie.


Je lui prêtai la main pour nettoyer la cuisine des reliefs de notre entrevue et pensai en avoir terminé, mais elle m’invita à partager sa couche. Nous nous endormîmes bientôt en raison de l’heure tardive, mais je fus réveillé quelques moments plus tard, d’une manière fort agréable, puisque je me rendis compte que Mireille était en train de me sucer et que je bandais dur dans sa bouche.



Je lui demandais de se mettre en levrette ce qu’elle fit avec dynamisme pour me présenter son imposante mais très appétissante croupe.


Je lui pris le vibromasseur des mains et commençais à préparer son petit trou, le léchant, le titillant de mes doigts, important de sa mouille, l’excitant avec la pointe du gode, de telle sorte que quelques minutes plus tard, je pouvais fourrer sans difficulté un puis deux doigts dans son fondement.


Je présentai alors mon gland à l’orée de sa rondelle et je puis m’introduire assez facilement. Elle vint bientôt elle-même au contact et s’enfila le gode dans la chatte. Je le sentais vibrer contre la fine paroi de chair alors que j’allais et venais doucement entre ses reins, la prenant bien à fond.



Elle-même s’excitant de la perspective de sentir mon explosion et moi-même coulissant délicieusement dans son conduit anal, nous ne tardâmes pas à exploser de nouveau de plaisir…


Je ne fus pas mis à contribution le reste de la nuit et dus me lever aux aurores pour vaquer à mes occupations professionnelles. J’avais libéré ma chambre car c’était ma dernière journée.




Lorsque je repassai le soir avant de quitter la région, ma note était préparée mais Mireille n’était pas là. À la lecture de celle-ci elle avait simplement barré le dessert d’hier soir et ajouté à la main " pas pris le dessert du menu ".


Seule la jolie Sandra était à l’accueil. Elle enregistra mon paiement avec un charmant sourire. Elle se proposa de m’aider à porter mon bagage jusqu’à ma voiture.



Je lui jetai un coup d’œil me demandant ce qu’elle savait de mes deux dernières nuits…


Elle prit mon sac et nous nous dirigeâmes vers le parking. Arrivés près du 4x4, j’ouvris ma portière et lui pris le sac pour le poser sur l’arrière du véhicule.



Soudain, je pensai qu’elle aurait souhaité un pourboire et je n’avais même pas un billet de 10 euros sur moi.



Elle la dégrafa rapidement et sortit mon engin au repos pour se le mettre de suite dans sa bouche. Accroupie sur le parking, elle me suçait et ne tarda pas à me faire bander dans sa bouche.



Aussitôt, elle replongea à son ouvrage. La coquine, elle avait du savoir-faire. Je me laissai ainsi aller, appréciant cette bouche chaude et moelleuse. Elle accélérait, elle aspirait, elle sentait que j’approchais de mon plaisir, mais elle redoubla d’ardeur et bientôt je vins éjaculer dans sa bouche. Elle ne se retira pas, au contraire, elle fit en sorte de ne rien perdre de ce nectar…


Elle se releva bientôt, embrassa une ultime fois ma queue et la remis dans mon pantalon…



Elle sourit et ma braguette relevée, je montai dans ma voiture pour m’éloigner, à regret, de ce paradis…





Chris

Janvier 2003



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