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n° 05630Fiche technique11370 caractères11370
Temps de lecture estimé : 7 mn
29/01/03
Résumé:  Une rencontre sur le Net se réalise
Critères:  hh hotel amour trans intermast fellation préservati hdanus hsodo
Auteur : Jim 1  (Homme quarantaine ayant bien vécu)      
Douce fomme


"Jeune transsexuelle très féminine cherche homme pour la faire se sentir encore plus femme" : cette annonce dans une Communauté avait tout de suite attiré mon attention. Quelques échanges de mails avaient suivi avant de se fixer un rendez-vous.


Nous nous étions donné rendez-vous dans un petit bistro du Centre-ville pour faire connaissance avant de passer la soirée ensemble. J’arrivai avec une demi-heure d’avance, voulant être le premier et ne pas la faire attendre. À ma grande surprise, elle était déjà là. Je la reconnus sans peine, tellement la description qu’elle m’avait donné d’elle était fidèle : des cheveux blonds, courts finissant en bouclettes sous les oreilles, de ravissantes pommettes saillantes, une bouche aux lèvres gourmandes, des yeux d’un bleu presque gris et une petite poitrine qui saillait fièrement sous un léger pull. Il émanait d’elle une sensualité qui me fit durcir instantanément. Dissimulant mon trouble, je m’approchai de sa table et me présentai. Elle me répondit d’une voix basse, légèrement rauque, dont la féminité me donna des frissons dans le dos. Je m’assis, appelai le garçon et nous fîmes connaissance en buvant l’apéritif.


Nous nous découvrîmes beaucoup de points communs et sa culture me séduisit autant que sa beauté. Lorsque nous nous levâmes pour aller souper, elle me prit par le bras et je pouvais sentir son corps souple et chaud à travers la manche de ma veste.


Le délicieux petit souper dans un resto intime, suivi de quelques verres dans un piano-bar tout aussi intime nous rapprocha doucement. C’est au son du piano qui berçait notre slow que nous échangeâmes le premier baiser, tendre et dur à la fois, comme deux jeunes animaux impatients de se connaître tout en ayant peur d’aller trop vite. Ce baiser se prolongea encore et encore, comme si nos bouches étaient assoiffées l’une de l’autre. Mes mains caressaient son corps, son dos, ses hanches la courbe de ses seins. Ses mains m’agrippaient les bras et me collaient à elle. L’envie, irrésistible, nous submergeait doucement.


Nous savions tous deux comment cette soirée finirait, aussi nous n’attendîmes pas plus longtemps pour nous diriger vers un hôtel proche et y louer une chambre. Je ne voulais pas brusquer les choses, encore profiter de l’atmosphère de "l’avant", et lui laissai la salle de bain. Elle sortit quelques temps plus tard, enveloppée dans un grand essuie blanc. Mon excitation était à son comble et je pris possession de la pièce d’eau pour me couler sous une douche bien chaude. Mon sexe restait tendu, presque douloureux à force d’être gonflé.


Ce fut elle qui prit l’initiative. J’avais le dos tourné à la porte de la douche. Je senti l’air froid lorsque la porte s’ouvrit. Elle se glissa contre mon dos et ses mains se saisirent de mon sexe ensavonné, le caressant plus que ne le lavant. Lorsque tout le savon eu disparu, elle me retourna lentement et s’agenouilla pour me prendre en bouche. Ce fut une suite de baisers ardents, de lèches suaves et d’engloutissements humides et chauds. Je dus l’arrêter brusquement pour ne pas venir prématurément. Je voulais que ces préliminaires durent encore et lui apporter mille plaisirs avant d’assouvir le mien. Nous sortîmes de la douche et nous essuyâmes rapidement. Le lit nous attendait. Ce ne fut qu’à ce moment-là que je ne pris réellement conscience de ne pas être avec une femme "normale". Nous nous tenions l’un contre l’autre et je sentis son sexe frotter contre mes bourses. Je la serrai contre moi et l’embrassai passionnément. Puis, je la pris par la main et la conduisis jusqu’à notre couche.


Je l’étendis doucement sur le dos. Ma bouche courrait sur son visage, sa poitrine, ses bras, ses jambes. Mes mains caressaient les parties que je venais d’embrasser. Tous mes mouvements me conduisaient lentement vers son bassin, qu’elle poussait vers moi à chacune de mes caresses. J’arrêtai tous mes attouchements pour me lever et la regarder. Elle était si belle, rouge du plaisir déjà reçu. Je la tirai doucement vers le bord du lit, laissant ses pieds reposer sur le tapis moelleux. Je m’agenouillai entre ses jambes. Je saisis doucement le petit sexe, légèrement gonflé, sans présenter une érection forte et masculine. Je le décalottai, le branlai tendrement, le malaxai avec douceur, tout en caressant ses petites bourses, à la taille du pénis que j’honorais. Elle gémissait doucement et je la savais les yeux fermés. Elle murmurait : "suce-moi, suce-moi …". Alors, je le pris en bouche, tout son sexe en une fois et me mis à coulisser, serrant fortement les lèvres autour de ce bâton de chair. Mes mains continuaient à caresser ce corps de rêves aux formes androgynes.


Après quelques minutes de ce traitement, elle me dit : "Attends", puis me fit coucher sur le lit. Elle s’installa tête-bêche sur moi et reprit le traitement que je lui avais fait abandonner plus tôt. Son charmant petit sexe se balançait au-dessus de mon visage. Je le saisis d’une bouche gourmande et le fis rouler sous ma langue. Mes mains avaient saisi ses fesses et je lui pénétrai doucement l’anus avec l’index. Les caresses buccales expertes de ma compagne de lit me conduisirent presque au paroxysme, mais, sentant la jouissance approcher, elle la stoppa d’un coup en serrant les testicules dans son poing. Surpris, il me fallut un moment pour reprendre haleine. Elle en avait profité pour déballer un préservatif et l’enfiler sur mon sexe qu’elle faisait redurcir d’une main (et de seins) experte. Elle se dressa au-dessus de cette hampe et se laissa coulisser dessus. Je sentais son sexe battre sur mon ventre pendant qu’elle me chevauchait. Je lui pelotais et embrassais les seins avec de plus en plus d’acharnement. Pour la première fois depuis notre rencontre, je vis son sexe se dresser. Elle me hurla de la branler. Je le saisis et commençai à le masturber de plus en plus vite. Elle réglait ses mouvements à la montée de notre plaisir et m’amena à l’orgasme au moment-même où je sentis deux jets chauds s’écraser sur mon ventre. Elle reprit haleine, se le va, retira le préservatif et alla chercher un drap pour essuyer le sperme qui maculait mon corps.


Je nous resservis un verre dans le minibar et nous nous installâmes sur le lit, jambes emmêlées, pour le déguster. Le désir renaissait déjà sous nos caresses distraites. Nos ventres se retrouvèrent bientôt l’un contre l’autre. Nos sexes ressemblaient à deux jeunes pousses blanches qui se dressaient l’une à côté de l’autre. Nos haleines se mêlaient, nos bouches se dévoraient, nos langues s’entremêlaient, nos souffles s’accéléraient. Les verres quittèrent nos mains qui se mirent à s’étreindre. Nos bras s’enlacèrent. Nos corps se poussaient l’un contre l’autre, comme dans une tentative dérisoire de ne plus faire qu’un. De femme, elle devenait chienne, me léchait les parties du corps qui passaient à la portée de sa langue. Elle me mordait les épaules et le cou. Elle me repoussa sur le lit, à plat ventre, et se mit à se frotter sur mon dos. Ses mains se saisissaient de mes fesses. Ses jambes emprisonnèrent les miennes et sa langue me pénétra, doux dépucelage. Elle se mit à me malaxer doucement le sphincter avec ses doigts pour le détendre et lui permettre de laisser passer le doigt qu’elle m’enfonça profondément puis fit aller et venir doucement. "Pour t’habituer", me murmura-t-elle à l’oreille. En moi, la peur et le désir se mêlaient.


Elle se leva, me tirant le bassin en arrière et je me retrouvai à quatre pattes, offert. Mais c’est devant ma bouche qu’elle présenta son sexe, m’ordonnant de la refaire bander. Je me mis à lui lécher le sexe et les couilles, glissant parfois la langue jusqu’à l’anus encore rouge de ma pénétration. Elle grossit enfin sous mes caresses, se retira pour enfiler une capote, se plaça derrière mes fesses et, sans préliminaire, me pénétra d’un geste rapide. Je fus tellement surpris que je n’eu aucune réaction. Je n’avais pas mal. Je me contentais de ressentir cette curieuse sensation d’une tige de chair qui allait et venait en moi. La sensation n’était pas désagréable, même si elle ne m’apportait que peu de plaisir. Je la sentis accélérer ses va-et-vient, de plus en plus violents, qui faisaient cogner ses testicules sur les miennes à chaque mouvement. Puis, elle se raidit et s’affala sur mon dos. Je me laissai aller et elle reprit haleine, toujours enfoncée en moi.


Après quelques instants, elle se retira doucement. Je me retournai, elle me sourit. Elle posa sa tête sur mon ventre et me demanda de lui parler. Le silence après l’amour lui était insupportable me dit-elle. Pendant que je lui racontais quelques anecdotes de ma vie, elle se mit à me caresser doucement le sexe. Si bien que celui-ci grossit et vint se poser au bord de ses lèvres. Elle entrouvrit la bouche et me suça paresseusement. Le désir, à nouveau, me submergeait. Elle se mit à son tour à quatre patte et me dit : "à toi". J’enfilai une capote, me plaçai derrière elle et après avoir bien lubrifié la délicieuse "petite entrée" avec la langue, je la pénétrai en un seul mouvement. Je me mis à la baiser en grands mouvements lents qu’elle semblait apprécier. Le temps avait perdu toute existence. J’avais envie d’honorer ce cul longtemps, et longtemps. Je ralentissais lorsque le désir était trop fort, puis reprenais mon rythme. Mais tout a une fin, et la chaleur de cet étroit conduit combiné aux massages des muscles anaux, me conduisirent à un nouvel orgasme. Je restais comme paralysé, mon ventre collé à ses fesses, le sang battant dans mon sexe flasque toujours planté en elle. Saisissant mon sexe, elle le retira et le dépouilla du préservatif rempli.


Nous nous couchâmes l’un contre l’autre et nous endormîmes très vite.

Le réveil fut à la hauteur de la soirée. Je rêvais d’une bouche qui me suçait …….. mais ce n’était pas un rêve. Réveillée avant moi, elle s’était remise à l’ouvrage, sans m’attendre. Quand elle sentit que j’étais éveillé, elle leva la tête et me dit, dans un sourire : "j’avais envie". Je ne pouvais vraiment pas lui en vouloir. Je la laissai faire, jouissant de cette merveilleuse sensation. Nous savions tous les deux que nous n’avions pas beaucoup de temps ce matin. Le boulot nous attendait. Doucement, mais sûrement, elle me fit jouir, recueillant mon sperme dans ses mains et nous en maculant tous les deux en riant comme un enfant qui joue. Nous nous levâmes pour prendre une rapide douche, mais son corps contre le mien sous l’eau chaude ranima nos ardeurs. Je la pris une dernière fois, debout, appuyée sur la paroi de la douche. Ayant déjà joui moi-même, je pouvais parfaitement me maîtriser, et je ne me laissai aller que lorsque le râle qui jaillit de sa bouche trahit son plaisir.


Nous nous rhabillâmes et nous embrassâmes avant de nous quitter. Une nouvelle journée commençait.