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n° 05663Fiche technique16112 caractères16112
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Temps de lecture estimé : 12 mn
07/02/03
Résumé:  Comment mon goût pour les stimulations clitoridiennes m'a amené à masturber une dame respectable.
Critères:  fh inconnu voiture voir fmast massage intermast
Auteur : Nicolas_pignon            Envoi mini-message
Jeux de mains, et de clitoris...


Sur plusieurs sites de petites annonces libertines, j’avais mis l’annonce suivante :

« JH, 25a, amateur des stimulations clitoridiennes, ch. une partenaire pour jeux de mains et de bouches autour de son clitoris, pour l’amener au bout de son plaisir à elle. Suis disponible entre 12h et 14h, sur Toulouse, ts les jrs de semaine. Si vous êtes intéressée ou juste curieuse, écrivez-moi sur nicolas_pignon@hotmail.com. »


J’avais reçu plusieurs réponses. Quelque unes d’hommes qui me proposaient avec humour leur « gros clitoris », quelques insultes, beaucoup de spam, mais aussi, une femme de Toulouse, qui m’écrivit très poliment pour me demander si j’étais une sorte de gigolo et combien cela lui coûterait d’obtenir ce que je promettais dans mon annonce. Je lui répondis que je n’étais qu’un simple amateur et que je ne demandais donc pas d’argent en échange. J’ajoutai que, même si je promettais de faire de mon mieux, je ne garantissais pas non plus à 100% qu’elle obtiendrait ce qu’elle attendait autant que moi. Enfin, je lui dis qu’en échange, j’aimerais conserver sa petite culotte ou n’importe quoi d’autre qui me donnerait un souvenir d’elle, tout en expliquant que si elle ne voulait pas, le souvenir de sa jouissance me suffirait amplement.


Je n’imaginais pas encore que tout pourrait se concrétiser si vite. Car le lendemain elle me répondait qu’elle était très intéressée, et qu’elle voulait plus de détails. Nous échangeâmes alors 5 ou 6 mails pour mettre au point tous les détails du fantasme que nous nous préparions à réaliser ensemble. Et je dois avouer que cette préparation fut véritablement très excitante. Les détails de notre future rencontre furent assez simples à définir. Mais les détails de ce qu’elle voulait que je fasse, de ce qu’elle attendait de moi, et de ce que j’attendais moi aussi d’elle, aboutirent à un échange d’e-mails délicieux. Il était incroyablement excitant de lire cette inconnue, de 44 ans, me demander, par exemple, de ne pas lui enlever trop vite sa culotte, car, disait-elle, elle « appréciait beaucoup le contact du coton sur son sexe. » Nous rêvions ensemble, par écrit, de ce fantasme que nous allions réaliser.


Nous avions convenu que cela aurait lieu dans ma voiture. Je devais la prendre à un abri bus, en ville, pour l’emmener dans un coin tranquille qu’elle avait repéré, à quelques kilomètres au Nord de Toulouse. Le jour choisi arriva bien vite. J’avais, pour l’occasion, fait lavé entièrement ma voiture, intérieur et extérieur. Elle n’avait jamais brillé autant ! J’avais vraiment envie que tout soit parfait pour Cécile. J’avais aussi enfilé mon plus beau costume. Au bureau, tous mes collègues s’étaient même demandés pourquoi j’avais troqué mon habituel blue Jeans T-shirt contre un costume deux pièces !


A 12h, je quittai le bureau pour aller chercher Cécile à son abri bus. Mon cœur battait si vite que je l’entendais. Mon ventre baignait dans une douce chaleur. L’adrénaline me fit même un peu trembler lorsque je la reconnus. Comme prévu, elle était à l’abri bus, habillée d’une jupe noire légère qui dévoilait à peine ses genoux, d’un chemisier blanc et rouge et de chaussures noires à talons. Sous sa jupe, devait se trouver une petite culotte blanche, toute simple, en coton. Il faisait assez beau, en ce mois de mars, et elle ne devait donc pas mettre de collant. L’instant était magique. Elle était au rendez-vous. Je m’arrêtai sur les zébras jaunes. Elle s’approcha. Nous ne nous étions pas décrit physiquement à travers nos mails. Non pas qu’elle eut refusé de le faire, mais simplement parce que nous avions tous deux été d’accord pour dire qu’il était plus excitant de ne se découvrir qu’au moment où il serait trop tard pour faire demi-tour. Et ce moment était arrivé.


Dans mes rêves, je la voyais comme une jeune femme de mon age. Mais ce fut une véritable « dame respectable » que je vis s’avancer vers ma voiture. Les mollets que sa jupe dévoilait étaient plutôt potelés et ses hanches assez larges. Elle avait des cheveux bruns mi-courts qui la rajeunissaient un peu. Son visage arborait un sourire radieux. Des rides soulignaient ses yeux et son sourire. Elle avait tout d’une femme respectable, d’une maman attentive, et même peut être d’une grand-mère !? Je la regardais s’approcher en l’analysant de bas en haut. Son chemisier entre-ouvert permettait d’imaginer la taille et la forme de ses seins. Ils devaient être plutôt modestes. Cela n’avait pas d’importance, car nous avions défini qu’elle ne me les dévoilerait pas. Peut être complexait-elle à ce sujet. J’étais un peu déçu au moment où elle m’avait dit que je ne la verrais donc pas entièrement nue, mais, comme elle arrivait à ma portière, je ne pensais plus qu’à ses cuisses, sa culotte et son sexe qu’elle me laisserait bientôt voir, puis toucher.


Elle ouvrit rapidement la portière, et s’installa en disant simplement : « Bonjour jeune homme ! » Elle souriait, d’un sourire coquin qui me donna encore droit à une montée d’adrénaline. Ma voix trembla quelque peu lorsque je lui répondis, en souriant aussi : « Bonjour Madame Cécile !» C’était une scène irréelle ! Une dame, inconnue, était montée dans ma voiture, j’allais la conduire dans un petit coin tranquille, elle se déshabillerait pour que je lui caresse le clitoris, et je la verrais jouir entre mes mains. J’avoue que j’avais déjà, alors que je n’avais même pas encore redémarré, une belle érection, que ne tarderait pas à deviner mon invité, à travers mon pantalon. Elle était assise à la place du passager, les mains sur ses genoux découverts, et attendait que je redémarre en me dévisageant. Mon trouble était tel que mes mains tremblaient sur le vol lorsque que je lui dis, en passant la première : « Alors ? Où allons-nous ? »


Elle me conduisit jusqu’à un chemin terreux, dans la campagne de Beauzelle, à l’orée d’un petit bois. Sur la route, pour me détendre et détendre l’atmosphère, je lui demandai si elle avait passé une bonne matinée, si elle avait eu du mal à venir à l’abri bus, etc. Elle me répondit, tout en continuant à me guider. En sortant de la ville, je déposai innocemment ma main sur sa cuisse. Elle s’arrêta un court instant de parler, étonnée, puis elle se laissa faire de bonne grâce et repris ses explications. Du bout des doigts je massais doucement l’intérieur de ses cuisses, à travers sa jupe. Je remontais doucement ma main vers son sexe, jusqu’à ce que mon auriculaire fut aux portes de ce trésor. Je ne touchais pas son sexe. J’étais à limite mais je ne voulais pas le lui caresser en conduisant. Je voulais pouvoir y concentrer toute mon intention. Nous ne fîmes aucun commentaires sur ma main. Mais ses jambes s’ouvraient doucement pour me laisser progresser. Cela me donna de l’assurance et me rappela que j’allais devoir prendre les choses en mains dès qu’on se serait arrêté. Il me faudrait vaincre ma timidité et mon manque de confiance en moi, pour lui apporter tout ce que je lui avais promis. Le simple fait qu’elle écartât maintenant fortement les jambes me donna de l’assurance. Elle semblait aimer ce que je lui faisais. Le plaisir que je lui procurais, le pouvoir que j’exerçais sur elle, me faisait oublier mon trouble. J’étais près.


J’arrêtai le moteur et, sans dire un mot, détachai nos ceintures de sécurité. Je me tournai vers elle et remis ma main sur sa cuisse. Nous ne parlions plus. Je baissai son siège à fond. Elle était alors complètement allongée. Sa jupe était un peu remontée et je voyais maintenant un peu mieux ses cuisses. Elles semblaient douces. Doucement, je relevai sa jupe. Je vis alors sa culotte. Elle était toute simple, blanche. Au niveau de son sexe, une petite tâche grise trahissait l’humidité de son sexe. Je m’aperçut donc que Cécile était tout aussi excitée que moi. D’ailleurs, si elle avait, à son tour, inspecté mon caleçon, elle y aurait trouvé aussi une petit tâche, car mon gland était, lui aussi, tout humide. Je fis glisser mes mains sur ses cuisses. Je les massais doucement. Du genoux vers son sexe, mais sans le toucher. Mes caresses se faisaient de plus en plus proche de son sexe. Je m’en approchais lentement. Mes mains s’attardaient un peu sur son pubis, sur le bord de son sexe. Petit à petit mes doigts effleuraient ses grosses lèvres, toujours à travers sa culotte, puis repartaient vers ses genoux, et revenaient encore finir leur caresse sur le tissu blanc. À chacune de mes caresses, Cécile se cambrait, m’offrant son sexe. Elle écartait les jambes et poussait son sexe vers mes mains. Mais je l’évitais, pour la faire languir. Sa respiration devenait audible.


Lorsque je me décidai enfin à effleurer son sexe, Cécile ne put retenir un petit gémissement. Elle fermait maintenant les yeux. Mes deux mains venaient maintenant caresser son clitoris et son sexe à travers le coton. Je plaçai la paume de ma main droite sur son pubis, en allongeant mon pouce contre son clitoris. Je pouvais le sentir à travers le tissu. Il était turgescent et dur, je le sentais passer de gauche à droite sous les impulsions de mon pouce. Ma main gauche se plaça contre sa cuisse. Mon index et mon majeur commencèrent à masser doucement ses petites lèvres. Sa mouille continua de couler sur le tissu. Je sentais ce liquide chaud contre mes doigts. La tache grise de sa culotte commençait à briller et j’entendais le clapotis de sa mouille entre ses petites lèvres. Je me concentrais maintenant sur sa respiration. C’est elle qui me guidait. Lorsqu’elle devenait plus profonde, j’intensifiais mon mouvement, et le relâchait ensuite. Lorsqu’elle s’accélérait, j’accélérais aussi mon mouvement. Le bas de sa culotte était maintenant trempé.


Tout cela m’excitait peut-être autant qu’elle, et je devais faire un gros effort pour pouvoir me concentrer sur son plaisir. Je pensais qu’il était temps de lui retirer sa culotte, souillée par sa mouille. Elle m’y autorisa et souleva ses fesses. Je la lui baissai jusqu’au genoux. Le spectacle de ce son sexe fut grandiose. Son pubis était taillé ras et il n’y avait aucun poil au-dessous du haut de son clitoris. Celui si bandait magnifiquement. Son capuchon semblait se détacher de son bas ventre et formait une petite montagne. Son petit gland rouge se trouvait au sommet. Il me fallut me répéter plusieurs fois qu’elle l’avait refusé dans ses mails, pour que je ne me mette pas sur-le-champ à le lécher. Mais j’en mourrais d’envie. Je l’imaginais déjà contre mes lèvres et sous ma langue. Mais elle avait insisté sur une unique stimulation digitale. Le reste de son sexe donnait aussi envie de tout autre chose. Sa mouille avait investi ses petites lèvres, ainsi que ses grosses lèvres et son périnée. Ses petites lèvres étaient tout aussi rouges que le gland de son clitoris. Elles étaient énormes et s’ouvraient sous mes doigts. Cécile refusait aussi que j’introduise mes doigts en elle. Je pris toutefois la liberté de plonger mes doigts entre ses lèvres, pour les charger de sa mouille. Puis, je me concentrai à nouveau sur son clitoris.


Je pris d’abord son capuchon entre trois de mes doigts. Je le serrais fermement et le tirais doucement. Je le faisais ainsi coulisser contre son gland. Sa respiration continuait de m’informer de la montée de son plaisir. Et il me semblait bien être en bonne voie. Mais j’avais envie de faire durer son plaisir. Et je changeais de prises, de rythme et de méthode plusieurs fois. En accélérant le rythme d’un seul et même mouvement, peut être aurait-elle joui, mais je voulais lui donner le meilleur de ce que je sais faire.

Je lâchai donc ma prise à trois doigts, pour pincer son clitoris entre deux autres. Et j’utilisai ma main gauche pour venir caresser le gland de son clitoris directement avec mon index. J’effectuais cette caresse de façon très légère, en prenant soin de toujours avoir le doigt humidifié par sa mouille, pour ne pas irriter son gland et tout gâcher par une sensation de brûlure. Sa respiration m’indiquait toujours que j’y parvenais.

Je lâchai à nouveau son clitoris, pour le masser doucement avec ma paume tout entière. Cette stimulation était bien moins précise mais assez douce et intense. Je la massais doucement quand sa respiration se changea en petits gémissements réguliers. J’ai donc continué le massage, de plus en plus intense et langoureux. Elle accompagnait mon mouvement en se cambrant, pour frotter son clitoris contre ma paume.


Je remis alors trois doigts contre son clitoris. Un de chaque coté, et un dessus. Et je choisis un mouvement rotatif. Je touillais doucement son clitoris avec mes trois doigts. Ses grosses et petites lèvres suivaient aussi ce mouvement. Ses gémissements s’amplifiaient à chaque respiration. Elle articulait parfois un « continue » ou un « encore » et même des « oui », qui provoquaient en moi des montés d’adrénaline qu’il me fallait combattre pour rester concentrer sur son clitoris. Je continuais mon massage lorsque Cécile fut pris par un premier spasme qui la fit se cambrer sèchement. Ses gémissements se firent de plus en plus fort. Je sentais monter en elle le plaisir. Son orgasme n’était plus loin et je changeai une dernière fois de caresse.


Je mis mon index à la limite de ses petites lèvres, juste dessous son gland. Et je pressais mon doigt contre ce dernier à un rythme d’abord assez lent, puis plus rapide. Cécile poussait maintenant de véritables cris à chacune de ses respirations. Et son corps entier vibrait au rythme de ses spasmes. Je ralentis mon mouvement peu à peu, au fur et à mesure que son orgasme arrivait. Je voulais la faire jouir d’un seul doigt, en effleurant à peine son gland. La caresse de mon index se fit de plus en plus douce, et de plus en plus lente, alors que Cécile hurlait maintenant dans ma voiture, à m’en faire mal aux tympans. Elle bougeait dans tous les sens et j’avais du mal à garder mon index dans sa position. Finalement, elle hurla pendant encore trois ou quatre respirations. Je savais qu’en cet instant, elle était au summum de sa jouissance. Ensuite elle mis ses mains sur son sexe, pour m’en interdire l’accès. Elle venait de jouir.


Je la regardai se calmer doucement. Ses gémissements se calmèrent en même temps que sa respiration, mais lentement. Il lui fallut presque 10 minutes avant de réouvrir les yeux. Pendant ce temps, j’essayais de me calmer. Je mourrais d’envie de jouir moi aussi, mais cela n’était pas dans notre contrat. Et les 10 minutes qui passèrent ne furent pas de trop. Elle rouvrit les yeux. Elle souriait. Elle me dit qu’elle n’avait jamais eu d’orgasme aussi fort. Je souriais aussi, j’étais vraiment fier de moi ! Je redressai son siège. Elle remonta sa culotte et rabaissa sa jupe. Elle me dit que j’avais bien mérité sa culotte, mais qu’elle ne me la donnerait qu’avant de sortir de la voiture. Car elle se sentait plus à l’aise avec. Elle eut un peu pitié de moi et me demanda si je n’étais pas trop frustré. Je lui avouai alors que je ne pourrais sans doute pas reprendre le travail avant d’avoir joui dans sa culotte. Mais je ne voulais pas la mettre en retard, et lui dis que je prendrais le temps de m’occuper de moi dans les toilettes de mon bureau. Elle sourit du même sourire coquin qu’elle m’avait envoyé quand elle était entrée dans ma voiture. L’idée que je me masturbe et jouisse dans la culotte qu’elle devait m’offrir, devait l’amuser.


Je la reconduisis donc à l’abri bus où je l’avais prise. Cécile enleva alors sa culotte et me l’offrit, en me recommandant d’en faire bon usage. Elle me remercia, se pencha vers moi, et posa un baiser sur mes lèvres. Elle me dit alors au revoir, en m’assurant qu’elle m’écrirait bientôt. Je la vis sortir et repartir vers l’abri bus. Cette dame respectable qui attendait son bus, et dont la culotte était entre mes mains, venait de jouir dans ma voiture.


Comme convenu, nous ne nous sommes pas revus ensuite. Mais nous avons encore échangé quelques mails. Mais j’ai toujours sa culotte. Et je ne pourrais jamais oublier cette après-midi incroyable.

Depuis, je n’ai pas reçu d’autre réponse sérieuse. Mais j’adorerais recommencer cette expérience fabuleuse. Et je continue de surveiller mes mails, en attendant, un jour, peut-être, de rencontrer une autre femme…