n° 05676 | Fiche technique | 16391 caractères | 16391Temps de lecture estimé : 10 mn | 10/02/03 |
Résumé: Une belle croisière où les sens s'éveillent | ||||
Critères: fh grp voir massage intermast fellation pénétratio | ||||
Auteur : Cate |
Cela s’est passé cet été, nous avions décidé de louer pour la première année un bateau avec des amis pour faire le tour de la corse. Nous avions (moi Cate) et Bruno mon mari ainsi qu’un couple d’amis Philippe et Catherine loué un bateau pour aller en corse à partir de Nice. Un autre couple que je ne connaissais pas mais amis de Philippe devait nous rejoindre.
Nous nous étions connus grâce aux enfants, la passion de la voile nous était commune mais c’est la première fois que prenions des vacances ensemble.
Philippe 40ans est brun assez sportif quoiqu’un peu enrobé, un bon vivant Catherine blonde avec un joli visage et une assez forte poitrine, sportive également, passionnée de natation et plongée. Pour ma part je suis un très brune assez mince avec quelques restes de maternité, Bruno un également très brun presque chauve (1 m 80).
L’avitaillement se passa dans la joie et la bonne humeur nous nous étions réservé la cabine du capitaine à l’arrière du bateau, Philippe et Catherine celle de l’avant. Nous avons pris la mer en direction de la corse sous un beau soleil en début de matinée, avec une belle brise.
Nous avions décidé de nous organiser pour faire des quarts par couple et toutes les quatre heures.
La traversée fut magnifique nous passions à travers l’écume à bord de ce 12 m.
18 h plus tard nous approchions des côtes Corse, nous décidâmes d’aller mouiller dans une baie les amis de Philippe et Catherine ne devaient nous rejoindre que le surlendemain.
J’étais installée dans le habitacle sous le taud à l’abri du soleil, Catherine et Philippe se baignaient autour du bateau. Bruno avait mis l’annexe à l’eau pour aller faire quelques courses de produits frais dans la petite ville la plus proche. Je m’installais sur la grande plage avant du bateau pour profiter du soleil, enveloppée d’un paréo, il faut dire qu’au mois du juillet le soleil donne et je ne voulais pas attraper des coups de soleil.
Catherine et Philippe sortis de l’eau m’ont rejoint, Catherine à ma surprise avait ôté son maillot une pièce qu’elle portait en se baignant seul un paréo était noué autour de sa taille. Je ne l’avais jamais vue nue sa poitrine était presque que le double de la mienne. Catherine s’allongea auprès de moi sur le ventre, Philippe arriva avec une bouteille de crème. Catherine se fit enduire de crème solaire par son mari, je regardai ses mains parcourir son dos, ses épaules, je le vis dénouer le paréo et enduire par de lents massages ses fesses puis descendre le long des jambes, le corps de Catherine était luisant, je fus légèrement troublée de voir ainsi Bruno masser sa femme. Catherine me demande : tu ne te mets pas au soleil pourtant brune comme tu es tu ne dois pas avoir de problème de coup de soleil ? Je lui explique que je n’ai que mon paréo et ne suis pas habituée à m’exposer nue au soleil. Bruno se proposa de me mettre de la crème à défaut de maillot ce sera une protection dit-il. Peu convaincue mais ne souhaitant pas passer pour une prude, je défis le nœud autour du cou et le fit glisser jusqu’à ma taille. Les mains de Bruno commencèrent à me masser le dos et les épaules, glissant vers mes reins, je le sentais un peu insistant sur le bas des reins mais le paréo autour de ma taille l’empêchait de glisser ses mains plus loin. Il fut audacieux et défit le nœud pour ouvrir le paréo, il me massa comme Catherine, les fesses et les jambes et je sentais ses mains remonter vers mon entrejambe en insistant, d’un geste je serrai les jambes pour empêcher le passage. Mais je dois avouer qu’une douce chaleur m’envahit.
Mariée depuis 15 ans avec Bruno notre sexualité me semblait épanouie et je n’étais pas tentée par d’autres aventures. Encadrée de Philippe et Catherine sur l’avant du pont, j’étais assez troublée d’avoir éprouvé un début de plaisir. Philippe s’était mis sur le côté, son paréo avait glissé en tournant la tête, j’aperçu son sexe indolent, il ne portait rien sous sa serviette. Gênée je me retournais sur le dos en remontant le paréo sur mes seins. Philippe d’un geste me tendit le tube de crème, je m’enduisis le visage quand Catherine se dressa et me dit: " ne bouges pas, restes allongée", consciencieusement elle me massa les épaules, puis descendit le paréo et posa délicatement ses mains enduite de crème sur mon ventre remontant le long de la hanche, en redescendant ses mains frôlèrent mes seins mes tétons brun surpris se tendirent. Philippe regardait la scène, il mit à genou et se saisit de la crème solaire dans les mains et me massa les pieds, Catherine dit en riant un crémage à 4 mains c’est sympa non !
Maintenant les mains de Catherine me passaient sur mes seins et allaient jusqu’au ventre, ses doigts glissaient sous le paréo pour atteindre le haut de la cuisse. Philippe s’activait par de longs massages sur mes jambes, il avait légèrement soulevé ma jambe droite pour la saisir à deux mains en cercle. Je leur dis que je devais être très suffisamment crémé comme cela mais Catherine tout à son ouvrage continuait de me masser, les yeux mis clos je regardais sa poitrine se promener libre quand elle descendait ses mains, m’aperçus que son paréo avait glissé et laissait voir une petite touffe de poils blonds sur son pubis. Les mains de Philippe remontaient le long de ma cuisse droite, Catherine adroitement glissa mon paréo laissant apparaître mon petit carré de toison brune, d’un geste je me recouvrais, mais Catherine avait glissé ses mains jusqu’à mon aine et les mains de Philippe vinrent frôler mon sexe, Catherine descendit sa main sur mon pubis et s’exclama que c’est doux. La main de Philippe pris le relais et doucement il me massa le sexe, je me mis à mouiller, je respirai de plus en plus fort. Quelques secondes plus tard on entendait le moteur de l’annexe. Bruno rentrait, d’un geste, je me recouvrais honteuse à l’idée que Bruno puisse me surprendre ainsi.
La soirée fut calme et je me trouvais gênée de ce qui s’était passé. Je souhaitais que cela ne vienne pas aux oreilles de Bruno. Le soir toujours au mouillage dans la petite baie, je n’arrêtais de me retourner j’entendais le souffle régulier de Bruno qui s’était endormi. Je suis sortie sur le pont pour prendre l’air et me calmer. Le hublot avant était grand ouvert j’entendais des bruits. Curieuse je me suis approchée, j’aperçus dans la pénombre Catherine embrasser le torse, descendre le long du ventre, s’emparer goulûment de son sexe dressé elle commença ses va-et-vient et petits coups de langue sur le gland, je me sentais défaillir mon sexe fût envahi d’une brusque chaleur, j’avais l’impression de tout inonder, je ne me doutais pas qu’être dans la position d’une voyeuse me fasse autant d’effets. Je remuais un peu, Philippe leva la tête l’espace d’une seconde, dans la pénombre nos regards se croisèrent, J’entendis Catherine accélérer le rythme, quelques secondes plus tard Philippe poussa un gémissement, il se lâchait, Catherine avala goulûment la semence.
Le lendemain nous sommes allés au port rechercher le couple d’amis de Philippe et Catherine qui devait nous rejoindre pour la suite du séjour. Lucie et Alain embarquèrent et aussitôt nous levons l’ancre pour gagner la Corse du sud. Après une nuit de navigation, nous nous sommes arrêtés dans une petite crique quasiment déserte. Quelques heures de sommeil réparateur et tout le monde se retrouve sur le pont un petit déjeuner, cela nous a permis de faire connaissance avec Lucie et Alain, tout les deux la quarantaine, sportifs, lui assez baraqué, elle toute menue, très bronzée. Je sentais une forte complicité entre les deux couples.
Après une partie de baignade et plongeons du bateau, Alain, Catherine et Bruno partirent en annexe jusqu’à terre, ils se proposaient d’aller à pied jusqu’au prochain village (à 4 Km) pour y chercher du pain frais et faire un petit tour, flemmarde que je suis; je décidais de rester à bord avec Lucie et Philippe. J’en profiterai pour me dorer et me baigner tranquillement, Lucie déclara vouloir faire la sieste, Philippe nous dit qu’il avait du bricolage à faire dans le bateau.
Après quelques plongeons et natation autour du bateau, je rentre dans le bateau pour me dessaler en descendant le carré, je tombe sur Philippe de dos nu en train de baiser avec Lucie je vois ses reins aller et venir, Lucie pousse des petits cris. C’est la première fois que je me trouve dans une telle situation. D’un grand coup de rein Philippe se retire, je vois son sexe dressé qui dans un spasme éjacule sur la peau brune de Lucie. Il se retourne vers moi nu le sexe légèrement débandant et Lucie reste à me regarder un peu interloquée de ma présence sans toutefois faire un seul geste, elle reste les jambes écartées laissant son sexe presque rasé à ma vue.
Devant cette situation plutôt cocasse, Philippe éclata de rire me disant c’est les retrouvailles avec Lucie. Lucie visiblement à l’aise se dressa pour aller sous la douche, quand Philippe sorti nu sur le pont et piqua une tête du bateau dans l’eau.
Je restais, dans le carré, littéralement scotchée par ce qui venait d’arriver, complètement troublée et envahie de désir. Je tentais de refouler ces pensées libidineuses qui m’envahissaient.
Le soir, tout le monde était rentré de la ballade et Lucie semblait être tout à fait tranquille, nous avions préparé le repas du soir sans faire aucune allusion à ce qui s’était passé. Vers 22h après le dîner, alors que nous étions tous sur le pont à siroter notre café dans la chaleur de la nuit ; Catherine déclara c’est l’heure du bain de nuit et, d’un geste, elle ôta sa robe de coton, apparaissant nue, d’un bon, elle plongea, Bruno me dit pourquoi pas un bon bain de nuit, je le vis retirer son short et également se fondre nu dans l’eau, lui qui d’habitude est plutôt prude, il m’étonna. Du coup tout le monde suivi. La plage n’était distante que de 100 m environ, avec Bruno nous allâmes jusqu’à la plage. C’était agréable d’être assis sur le sable encore chaud du soleil. Je regardais Alain, Philippe, Lucie et Catherine qui avaient décidé de nous rejoindre. Mes yeux fixaient leurs sexes ballottant au rythme de leur pas, Bruno le regard fixé sur les deux nymphes ruisselantes.
Après quelques pas, à la course, au bord de l’eau, Bruno m’attrapa dans ses bras pour me projeter dans l’eau, aussitôt Lucie et Catherine se jetèrent sur lui pour le plaquer dans l’eau, Je vis Bruno assailli par deux femmes nues, il tentait de se maintenir debout, l’une s’agrippant autour de son cou et l’autre sur son dos, le tout fini dans un plongeon où ils roulèrent enlacés dans l’eau.
Philippe et Bruno explosés de rire proposèrent une bagarre entre couple, chaque femme postée sur les épaules de son mari avec de l’eau à la taille. La bataille commença Lucie le poids plume voltigea dans l’eau la première avec Alain, je restais juchée sur les épaules de Bruno en face de Catherine et Philippe, vite déséquilibrée, je chutais à la renverse dans l’eau. Philippe le vainqueur me choisit comme nouvelle cavalière, Alain se retrouva avec Catherine et Bruno Lucie, cela me faisait un drôle d’effet de me trouver nue, mon sexe sur le cou d’un homme autre que Bruno. Dans un méli-mélo général, tout le monde chuta, je me retrouvais écrasée dans les bras de Philippe, il me maintenait contre son corps, je sentais son sexe contre mon ventre, j’aperçu à côté Bruno avec Lucie sur le dos.
Nous décidâmes de retourner à bord, c’était joli d’arriver à la nage, l’eau n’était éclairée que par les lumières du bateau, qui projetait un petit halo tout autour.
Nous sommes restés sur le pont pour profiter de la belle nuit étoilée, aucun de nous ne nous étions rhabillé, Philippe était allongé sur le dos, Lucie et moi partagions un matelas sur la plage avant du bateau. Bruno et Catherine se tenaient côte à côte ils essayaient de décrire les planètes. Alain qui était dans le carré remontait avec un flacon d’huile de massage à la main.
Il s’exclama qui veut un massage ?
Lucie et Catherine acquiescèrent toutes deux en même temps, et Catherine vient nous rejoindre, pour ma part je n’avais pas osé me prononcer devant Bruno. C’est alors que Philippe interpella Bruno resté assis « viens c’est une séance massage collective ».
Philippe directif lui dit « masses donc Catherine, je m’occupe de ta femme ». Je me posais des questions sur sa réaction, mais visiblement je pris son sourire pour un accord. Nous voici donc toutes les trois allongée nue le pont juste éclairé par des photophores. Nos hommes s’agenouillèrent devant chacune d’entre nous, Après s’être enduit les mains d’huile leurs mains s’activèrent, Philippe commença par me masser les épaules, il descendit doucement sur mes seins mes mamelons frissonnaient, il décrivait de grands cercles jusqu’aux reins je me sentais envahi d’une douce chaleur, à côté de moi Catherine était massée par Bruno, c’est la première fois que je me trouvais à côté de mon mari qui massait une autre femme. Je m’aperçus que son sexe commençait à se tendre.
Philippe avait ses mains sur mon ventre, puis, près de l’aine, instinctivement je me cambrai légèrement, ses mains descendaient le haut de mes cuisses puis il les remontaient en frôlant mon sexe, j’écartais légèrement les jambes pour laisser le passage, à plusieurs reprises ses doigts frôlèrent mon sexe, Catherine me saisit la main surprise je me tournais vers elle et je vis que Bruno avait sa main posée sur son sexe et la massait entre les lèvres, elle se laissait aller par des petits halètements. De l’autre côté Lucie avait attrapé le sexe de son mari dans sa bouche et l’aspirait goulûment. Cette situation m’excita et Philippe s’en aperçut et ses doigts commencèrent à me titiller le clitoris, à chaque mouvement au-dessus de ma tête je voyais son sexe dressé. J’avais envie de le toucher, je ne sais pas ce qui me retenait, la présence paradoxale de Bruno en train de caresser Catherine.
Me sexe était inondé, j’étais au bord de la jouissance, ma main saisie le sexe de Philippe, je me dressais et le pris dans ma bouche. Bruno s’était allongé sur Catherine la bouche sur son sexe et Catherine avait englouti sa verge tuméfiée. Le pont était couvert de gémissements.
A mon côté je voyais le sexe d’Alain aller et venir Lucie avait les jambes écartées, son bassin accompagnait le mouvement, de plus en plus fort, Lucie jouissait sous les coups de butoir de son mari.
Je ne tenais plus, j’avais envie de sentir un sexe, j’enjambais Philippe pour m’asseoir sur son sexe qui me pénétra, je me contractai pour sentir son membre au plus profond de moi même, et commençais un va-et-vient avec mon bassin,
Catherine à mes côtés fit de même et s’empala sur mon mari, nous allions toutes deux au même rythme. Nous nous tenions les mains. La cyprine inondait le bassin de Philippe j’avais des flash ; j’accélérais sentant la jouissance m’envahir, je m’agitais dans tout les sens en demandant encore et encore, je sentis un jet chaud de sperme m’envahir, je m’effondrais sur lui, son sexe dans mes entrailles, gluant de nos secrétions mêlées. Catherine n’avait pas encore joui et je pus admirer non sans un pincement au cœur Bruno jouir dans le corps d’une autre.
Cette soirée fut une révolution pour notre couple et une révélation sur le sexe, moi si prude, je m’étais littéralement lâchée ce soir et j’ai pris un véritable plaisir.
La croisière se poursuivit, nous furent initiés au sexe comme jamais durant ces vacances.
A Bientôt
Cate