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n° 05685Fiche technique14026 caractères14026
Temps de lecture estimé : 9 mn
10/02/03
Résumé:  Irma, en peignoir chinois sur le pas de la porte, regardait l'ambulance emmener son mari...
Critères:  fh fplusag fagée extracon grosseins intermast fellation pénétratio fsodo
Auteur : XXL anonyme
Volupteuse Irma



Irma, en peignoir chinois sur le pas de la porte, regardait l’ambulance emmener son mari. Encore une fois un calcul rénal le faisait souffrir et il partait aux urgences pour qu’une perfusion apaise sa douleur. Pierre arriva à ce moment là, appelé par sa voisine de longue date qui avait besoin d’un véhicule pour l’emmener soutenir son époux. Irma n’hésitait pas à demander de l’aide :Elle et son mari fréquentaient Pierre (et son ex épouse)depuis plus de vingt ans. Bien qu’Irma et son époux aient passé la soixantaine depuis quelques années, il s’entendait bien avec ce couple dans la force de l’ âge. Pierre un peu honteux avoua avoir forcé sur l’apéro du midi et qu’il devait attendre au moins une heure avant de prendre le volant :Alcootest oblige !Irma répliqua qu’elle avait tout son temps vu qu’ il faudrait patienter des heures avant qu’on transfère son mari des urgences vers une chambre de l’hôpital. Elle ajouta, en rigolant, qu’eux aussi avaient pas mal picolé et que, si elle était en peignoir, c’est qu’elle s’apprêtait à faire une grosse sieste réparatrice quand le calcul rénal se manifesta. Irma était très nature et sans aucun complexe pour son imposant popotin ni pour ses seins opulents. Elle demanda donc à Pierre, comme si cela était naturel, de lui agrafer correctement son énorme soutien-gorge car elle avait un peu d’arthrose et cette tâche était dévolue habituellement à son mari. Elle baissa pudiquement le haut du peignoir en le bloquant de ses mains à la ceinture, afin que Pierre s’exécute. Un maquillage soigné estompait les rides des commissures des lèvres peintes d’un rouge flamboyant. Pierre ressentit les effluves d’un parfum qu’utilisait sa mère et il effleura de la main la chevelure abondante, coiffée mi-long, très mode avec des reflets argent. Placé derrière Irma, Pierre déverrouilla le soutien-gorge et, parce qu’il était un peu éméché et qu’il en rêvait depuis longtemps, ses mains se saisirent des énormes mamelles. Irma, pour le moins surprise, ouvrit les lèvres alors que les mains masculines commencèrent un massage délicat, très lent et sensuel.



Irma ne finit pas sa phrase car Pierre la fit pivoter et colla sa bouche sur ses lèvres. Il engloutit sa langue et commença à la sucer langoureusement.. Irma avait beaucoup d’affection pour son voisin de longue date et, en plus, elle trouvait qu’il avait un magnifique petit cul mais de là … Irma voulut reprendre le contrôle d’une situation imprévue qui dégénérait mais, son corps était traversé d’ondes de plaisir, sa chatte mouillait déjà un peu, contre sa volonté et puis…. C’était juste pour une fois et puis… Aurait-elle encore l’occasion de faire exulter son corps vieillissant et délaissé depuis belle lurette par son mari ?


Elle sentit Pierre emprisonner un sein dans ses deux mains, il léchait la large auréole rose, suçait le téton. Les caresses se faisaient plus pressantes et voluptueuses. Elle était folle de se laisser emporter par la fougue inattendue de son voisin. Son amant l’avait plaqué contre le mur, il lui bloquait les bras levés en la crucifiant. Son peignoir gisait au sol et elle sentait le sexe masculin se coller à son pubis et Pierre qui lui léchait maintenant la touffe de poils sous le bras comme pour lui suggérer qu’entre ses cuisses ouvertes, il la goûterait avec la même ardeur… Elle ne prit conscience que trop tard que ses propres mains étaient maintenant entrain de caresser les petites fesses si mignonnes de Pierre (un vieux phantasme depuis qu’elle l’observait tondre le gazon en short ). Elle sentit très bien, dans leur enlacement, que la main droite de Pierre se libérait du sein et s’aventurait, par derrière, sous la culotte rose, pour pétrir ses fesses rebondies. Elle laissa faire mais en étant un peu inquiète que la légère cellulite ne fasse fuir son visiteur. Il n’en fut rien car Irma sentit les deux mains de Pierre qui prenait possession de sa large croupe. Il avait déjà réussi à baisser sa culotte jusqu’à mi-cuisse. Elle demanda d’urgence à Pierre un arrêt momentané des hostilités :


Officiellement pour faire un brin de toilette, officieusement pour ramasser son peignoir neuf que ce fougueux amant piétinait allègrement mais aussi et surtout pour faire disparaître… sa protection anti-fuite. Dans la salle de bains, Irma réussit à ragrafer succinctement le soutien-gorge pour que son amant ne voient pas ses seins s’effondrer et elle envoya un jet de parfum au jasmin entre ses cuisses. Un peu fébrile, elle rajusta le slip rose et décida de garder la large gaine porte-jarretelles à l’ancienne et ses bas noirs . Pierre seulement vêtu d’un slip moulant, et bien rempli ma fois, l’observa de façon très lubrique et elle eut juste le temps d’atteindre le pied de l’escalier pour inviter son futur amant dans la chambre d’amis car, elle ne sentait pas de taille à faire des galipettes dans les fauteuils ou sur la moquette du salon…Seule la lumière de l’escalier restait allumée quand elle sentit, par derrière, le sexe de Pierre se coller sur sa croupe. L’amant impromptu, très déterminé, sortait à présent les seins des bonnets du soutien-gorge pour en palper à pleines mains la chair abondante et moelleuse . Il distribua des dizaines de petits bisous tendres dans le coup de sa maîtresse d’un soir et lui susurra des tas de mots très coquins sur l’opulence de sa poitrine et la convivialité accueillante de son fessier de compétition. Irma se laissa prendre au piège des compliments coquins et flatteurs. Elle laissa le charmant bonimenteur baisser lentement sa culotte rose sur ses chevilles :Pierre lui avait affirmé que ce serait un péché mortel de monter un escalier avec un slip, même rose bonbon, quand on possédait une croupe qui aurait pu faire trembler Hollywood…


En montant les premières marches, pudiquement, Irma mit la main droite sur sa chatte en essayant, tant bien que mal, de cacher en même temps, sa fente et l’épaisse toison qui inondait son intimité. Pierre, lui, était au Paradis : Les deux fesses charnues balançaient de gauche à droite en laissant s’échapper de la gorge médiane, une longue gerbe hirsute de poils frisés. Plus le fessier prenait de l’altitude, plus il découvrait la moule sombre, velue, volumineuse dont la fente plus claire semblait interminable. Pierre interrompit l’ascension d’Irma en lui saisissant une cheville et s’immisça sous sa promise pour jouir du spectacle en distribuant quelques coups de langue fripons. Ce spectacle panoramique, il en avait rêvé à en mouiller son slip… Irma maintenant s’appuyait des deux mains sur la rampe d’escalier et avait décalé son pied droit, d’une marche de plus, pour s’ouvrir davantage à la virtuosité de la langue qui explorait son entre-jambes. Elle ronronnait d’un plaisir physique dont elle avait oublié l’existence après tant d’années de copulation fast-food, le samedi soir traditionnellement, tous les mois, en dix minutes chrono (douche comprise, comme un certain élu républicain assez connu…). Pierre reprit son souffle en promenant ses gros doigts et en observant la zone convoitée avec la rigueur d’un scientifique :La toison était luxuriante et ses doigts se lovaient voluptueusement dans cette forêt amazonienne. Les lèvres étaient des bourrelets épais et bruns qui sculptaient un canyon pour un Colorado qui, du turquoise, aurait viré au rose cramoisi. La fente était très longue, humide et presque béante maintenant.


Pierre pensa subitement que son sexe pourtant trapu, se sentirait un peu perdu dans cette caverne immense. Par curiosité, il y enfonça délicatement deux doigts, puis trois et il les mit en activité progressivement. Irma apprécia énormément en accompagnant la pénétration, d’un mouvement synchronisé de ses hanches larges. Pierre continua sa visite intime en léchant la rosace annale toute proche qui lui sembla aussi vaste qu’ accueillante ! Le spectacle, en contre plongée, était splendide : Tous ces longs poils qui vagabondaient autour d’orifices roses ou cramoisis, humides et luisants de luxure annoncée. Pierre voulut remercier Irma de lui avoir permis de réaliser un phantasme récurant. Il engloutit le bouton de sa maîtresse écartelée et le suça gloutonnement. Ne ménageant pas sa peine, il se permit de compléter sa prestation avec deux doigts dans la fente et un dans le petit trou ridé qui s’agitèrent en coordination parfaite avec la bouche masculine déchaînée. Irma poussa plusieurs petits cris de volupté et ne put retenir une petite éjaculation féminine.



Irma, debout au bord du lit, ne portait plus maintenant que ses bas et son porte- jarretelles. Elle était bien embêtée car elle ne savait comment aborder la suite de cette petite incartade extraconjugale !Elle fut sortie de son embarras par Pierre qui, avec un sourire coquin, lui suggéra à mots couverts, la conduite qu’il avait envisagé…Irma obéit en rougissant un peu. Elle traversa la largeur du lit à quatre pattes, ses gros seins se balançaient lourdement sous son buste. Elle atteignit l’autre bord ou Pierre l’attendait debout, le sexe ballant. Son amant lui empoigna les deux mamelles alors qu’elle avala son membre sans aucune honte. Les mains masculines peinaient à contenir entièrement les seins veinés de rigoles bleues. Irma s’évertuait à varier sa dégustation buccale :Elle léchait ce phallus trapus et humide puis les bijoux de famille de Monsieur qui appréciait énormément. Elle engloutissait ensuite le membre masculin pour lui imposer une fellation langoureuse et profonde. Irma se coucha sur le flan quand Pierre se dit prêt. Une jambe allongée et l’autre pliée à l’équerre, elle sentit le membre raidi s’immiscer dans son vagin, en levrette. Pierre la fouilla sans vergogne et vigoureusement. C’était fort agréable mais elle savait qu’elle aurait du mal à jouir une seconde fois ; A son âge, on n’était sûr de rien…Une crampe dans la jambe obligea Irma à modifier la position ce qui eu pour conséquences d’expulser provisoirement le membre en érection. Irma s’excusa et se mit sur le ventre en écartant, tant que faire se peut, ses cuisses imposantes. Elle sentit alors le phallus en érection s’introduire à l’orée de son orifice anal



Irma sourit : Son mari jugeait très peu convenable ce genre de fantaisie et, même en début de mariage, il ne s’était jamais permis une telle dépravation !



Elle poussa un petit cri de douleur à l’instant du passage difficile mais, en quelques secondes, la lubrification et la délicatesse de son amant lui firent oublier le tiraillement de la chair distendue. Elle se sentait empalée sur un pieux chaud, raide et flexible à la fois. Pierre lui caressait en même temps, d’ une main experte sa chatte trempée et béante comme pour compenser le désagrément de la sodomisation. Elle fut quand même soulagée quand un flot de liquide tiède inonda son ventre et que le cylindre flasque se retira de son postérieur inondé. Quelle aventure !!! Certes sa curiosité était satisfaite, Pierre avait dû prendre son pied, mais elle ne ferait pas çà tous les jours, c’est certain…


Après un passage dans la salle de bains, ils reprirent leur contenance, un peu gêné quand même, avachi dans les fauteuils de la véranda. Pierre s’était rhabillé et fumait une gitane tandis qu’Irma, mémorisait mentalement, dans les détails, son incartade extra conjugale, afin de peupler ses prochaines longues nuits hivernales …Un besoin pressant la fit se lever en murmurant honteusement à son amant :



Elle n’a toujours pas compris pourquoi elle accepta alors de satisfaire le phantasme pervers de son amant d’un jour…Elle se retrouva nue dans la pelouse, sans aucun pudeur : Debout, les gros seins en liberté, les jambes bien ouvertes, alors qu’une cascade bruyante s’échappait de son intimité. Elle ne ressentit pas la moindre parcelle de honte de s’exhiber à soixante quatre ans…Même qu’elle en rit encore toute seule !


J’allais relire mon texte pour le corriger une énième fois avant, peut-être, de l’envoyer à REVEBEBE. J’étais certain qu’un des juges me massacrerait parce que, dans ma fiction, aucun jeune mâle ne se faisait sodomiser pour la première fois ! qu’un autre me dirait que ma perversité voyeuriste n’intéressait personne et qu’un troisième me reprocherait de ne pas écrire comme L. F. Céline …C’était pas très grave, il fallait accepter la règle du jeu et ne pas prendre au sérieux sa libido ! J’en étais de là de mes réflexions hautement métaphysiques quand le téléphone sonna :



  • — Bonjour, c’est Irma, je suis bien embêtée car on vient d’emmener Marcel à l’hôpital et ….