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Temps de lecture estimé : 15 mn
18/02/03
Résumé:  Où l'on fait la connaissance de Grant, d'Elyna Solberg, de mademoiselle Pénélope, et de l'inspecteur Brouwer
Critères:  fh collègues uniforme grosseins voir exhib intermast fellation policier -policier
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Palmyra's murderer

Chapitre 01 / 04
J'ai toujours rêvé d'être inspecteur




L’homme eut une moue de dégoût en sentant l’haleine de la jeune femme:



Il marqua une pause, puis continua:



Le policier la parcourut rapidement, et demanda:



Il tapota quelques lignes sur son clavier, puis reprit:



Le policier releva la tête vers la jeune femme, et dit d’un ton froid:



Il marqua une pause, replongeant le nez sur le clavier de son ordinateur, et ajouta, d’une voix presque inaudible, comme pour lui-même:



Un très léger sourire vint se peindre sur le visage de la jeune femme. Il reprit:



L’homme soupira longuement, et finit par dire:



Elle hésita, et dit:



L’homme rebaissa la tête, et tapota à nouveau quelques lignes sur son clavier. Il ne fit plus attention à la jeune femme. Celle-ci finit cependant par intervenir:



Excédé, il finit par dire, toujours le nez sur son ordinateur:



Intrigué par cette remarque, l’homme leva les yeux. La fille avait relevé son tee-shirt et exhibait fièrement sa poitrine imposante, en arborant un grand sourire.



Les yeux du policier se posèrent sur cette magnifique poitrine, et, de longues secondes durant, ne parvinrent pas à s’en détourner. Elyna Solberg s’amusa même un instant à se tortiller en tous sens sur sa chaise, afin de faire se balancer ses seins lourds, pour provoquer un peu plus encore son interlocuteur. Celui-ci finit par recouvrer toute sa rigueur, et dit simplement, rebaissant les yeux:



La jeune femme lâcha son tee-shirt, qui retomba par-dessus sa poitrine. Elle parut un instant déçue, mais ses yeux pétillèrent bientôt à nouveau et elle dit:



La jeune fille fit un instant mine de bouder, cherchant maintenant à attendrir le policier. Mais celui-ci ne broncha pas, et continua à taper quelques lignes de texte. Voyant que cela ne prenait pas, Elyna Solberg décida de tenter autre chose:



L’homme hésita un moment, comme interloqué, puis lui fit:



Il réfléchit quelques secondes, puis répondit, à voix basse, comme pour lui-même:



La jeune femme éclata de rire en entendant cette remarque. Puis elle sortit tranquillement une cigarette et un briquet, et se mit à fumer, toujours en regardant l’homme. Celui-ci leva les yeux, au moment où il entendit le bruit du briquet. Il attendit qu’elle allume sa clope, et dit alors d’une voix morne:



Le policier soupira longuement, mais ne répondit rien. Il écrivit encore quelques mots sur son ordinateur, puis mit en route l’imprimante. Il fit enfin à la demoiselle:



Elle ne répondit rien, se contentant de sourire, toujours avec malice. Une feuille finit par sortir de l’imprimante. Le policier s’en saisit, puis la relut, et la donna à lire à la jeune femme. Elle la parcourut lentement des yeux, puis acquiesça de la tête, et demanda:



Son interlocuteur lui tendit un stylo, et lui désigna un endroit en bas de la page, en disant: "Ici." Elle parafa à l’endroit montré, puis referma le stylo, et le porta jusqu’à sa bouche, tout en regardant le policier droit dans les yeux. Elle fit un instant mine de le sucer doucement, ses yeux droits dans ceux de l’homme en uniforme. Celui-ci resta à l’observer sans broncher, bien que cela lui demanda un effort. La jeune femme finit par remettre le stylo en place, en émettant un long bruit de succion tandis qu’elle le retirait de sa bouche, et elle nargua encore le policier:



Et lui la regardait toujours, sans parvenir à décoller ses yeux de son visage. Cette petite salope jouait avec lui la carte de la provocation. Il ne fallait pas qu’il craque. Il fallait qu’il arrive à rester calme, zen. Mais c’était vrai qu’elle l’excitait. Il sentait même son slip se tendre, sous son uniforme. Et il pensait, bien entendu, à des choses bien réprouvables.



Il rêvait même, maintenant, laissant ses yeux descendre le long du corps de la jeune femme. Elle était vraiment magnifique. Ses longs cheveux blonds légèrement bouclés encadraient un visage extrêmement joli et tombaient par-dessus ses fines épaules, le long de ses seins qu’on devinait gonflés sous le tee-shirt légèrement trop petit. Et ses yeux clairs semblaient deux gouttes d’eau au milieu de la blancheur aride de son visage.



Mais elle le coupa:



Elle porta son index à sa bouche, et le suçota un instant en regardant son interlocuteur dans les yeux. Puis elle ajouta:



C’en était trop pour le pauvre homme. Son sang ne fit qu’un tour; il se leva et se jeta en un bond jusqu’à la chaise où se trouvait Elyna Solberg. Il déboutonna à la hâte le bas de son uniforme, sous les regards amusés et triomphants de la jeune fille.



Puis elle s’en saisit d’une main, et se mit à le masturber lentement. Très lentement, tout d’abord, puis accélérant très légèrement, presque insensiblement. En quelques secondes, le policier fut tout à fait raide. Il laissait échapper quelques longues et discrètes plaintes de plaisir, savourant les caresses expertes d’Elyna Solberg. Elle dirigea bientôt son autre main à la base du sexe de son partenaire, et malaxa alors doucement ses testicules. Il se tendit encore sous l’effet de ces nouvelles caresses. Puis la demoiselle se décida à sucer l’homme. Sans aucune hésitation, elle recula sa main sur la queue tendue, et en approcha son visage en ouvrant tout grand la bouche. Et ses lèvres se serrèrent autour du gland gonflé, puis glissèrent lentement le long de presque tout l’engin, jusqu’à venir toucher la main qui l’enserrait encore. Le policier émit quelques sons plus brusques, plus rauques, mais restait concentré, voulant ne pas hurler. Elyna Solberg resta quelques secondes ainsi, et fit jouer sa langue sur cette chose qu’elle avait enfouie au plus profond de sa bouche. Puis elle recula de nouveau doucement sa tête, serrant encore ses lèvres sur le tronc, et aspirant légèrement. Et cette fois-ci, l’homme ne parvint pas à réprimer un gémissement de plaisir. La jeune femme retira complètement son sexe de sa bouche, et le regarda avec un sourire en lui disant d’une voix douce:



Il ne répondit toujours rien, se contentant d’attraper de ses deux mains la tête de sa partenaire, et de la pousser rudement vers sa queue plus raide que jamais. Elyna Solberg se laissa presque faire, ouvrant de nouveau ses lèvres, et accueillant bientôt de nouveau l’engin que lui tendait l’homme. Et elle le suça cette fois-ci presque plus profondément encore, mais fit plusieurs rapides allers-retours sur ce sexe, l’enserrant doucement dans le piège de sa bouche avide.



Mais la porte du bureau s’ouvrit soudain, sans que personne n’ait frappé. Le policier sursauta, mais n’eut pas le temps d’envisager autre chose. Elyna Solberg le sentit néanmoins déjà se ramollir quelque peu. Elle avait toujours cependant le sexe dans la bouche lorsqu’elle aperçut, sans doute en même temps que son partenaire, la personne qui était entrée et qui les dévisageait tous deux avec dans les yeux un mélange de consternation et d’amusement. C’était une femme d’une quarantaine d’années. Tout le monde resta un instant bloqué, comme paralysé. Le policier voulut se renfroquer, mais Elyna Solberg maintint fermement sa main autour de son sexe, qu’elle garda même dans la bouche, et reprit tranquillement son activité précédente, sans du tout plus se soucier de la nouvelle arrivante. Celle-ci, une fois sa surprise passée, dit simplement à l’homme que l’inspecteur Brouwer l’attendait dans son bureau, puis sortit en esquissant un dernier sourire.



C’était désormais un sexe plutôt mou que s’évertuait à pomper Elyna Solberg, et tout son savoir-faire ne suffit pas à le faire se retendre. Elle s’arrêta, et leva les yeux vers le policier. Il était tout rouge, et paraissait presque honteux, en remballant sa marchandise.



Cette fois-ci, plus rien ne l’avait empêché de le dire. Il s’en voulait énormément d’avoir cédé à cette petite pétasse, et crut sans doute pouvoir oublier sa faiblesse en déchargeant sur elle toute sa colère. Il se renfroqua en silence; elle le regardait, attendant de voir quelle serait sa réaction à son sujet. Il finit par faire, d’une voix morne:



Il eut envie d’ajouter que maintenant qu’elle l’avait sucé, même son slip sentait la bibine, mais il ne dit rien. Il fit se lever la jeune femme, l’attrapa par le poignet et elle se laissa guider à travers le commissariat jusqu’à une porte faites de barreaux. Il la fit entrer et lui dit que la meilleure chose qu’elle avait à faire était de dormir. Il n’y avait personne dans la salle. Et rien non plus. Juste un banc. Elle décida de s’y allonger. C’était vrai que sa vision était dangereusement altérée. Ça tanguait drôlement. Elle s’étala de tout son long sur ce banc, ferma les yeux, et se mit à pleurer doucement, réalisant seulement enfin ce qui lui arrivait…



Le policier abandonna donc Elyna Solberg à se lamenter au fond de sa cellule de dégrisement, et se dirigea ensuite vers le bureau de l’inspecteur Brouwer. Il frappa à la porte. Il n’y eut pas de réponse. Il frappa de nouveau, puis sans guère attendre, abaissa la poignée et entra. Et il réalisa alors qu’il n’aurait peut-être pas dû entrer. Un homme, l’inspecteur Brouwer, était tranquillement assis sur un fauteuil en cuir, la tête levée au ciel, plongé dans une sorte de mutisme, tandis qu’une femme était agenouillée à ses pieds et le suçait avec une avidité résolue. Le nouvel arrivant reconnut la femme qui était précédemment entrée dans son bureau, et les avait interrompus, Elyna Solberg et lui, quelques minutes avant.



L’inspecteur fit signe à la femme (sans doute sa secrétaire) de se relever et de remettre à plus tard la fin de cette belle démonstration. Celle-ci s’éloigna par une porte latérale, après avoir relâché la queue encore tendue, que Brouwer eut le plus grand mal à remballer dans ses frusques. Ce faisant, il reprit la parole, à l’attention de Grant:



Grant garda le silence et soutint le regard amusé de son collègue, qui poursuivit:



Brouwer observa Grant sortir de son bureau, et remarqua qu’il arborait une sorte de sourire. Il avait l’air content de cette proposition, et devait sans doute espérer que son chef veuille bien le détacher au service d’inspection. Brouwer se fit la réflexion que Grant n’était ni trop jeune, ni trop vieux, et ni trop con, ni trop intelligent pour le type de boulot qu’il lui demanderait. C’était tout à fait l’homme qu’il lui fallait pour le seconder. Puis chassant cette pensée, il rappela:



La femme entra à nouveau.





Quand Grant revint au bureau de Brouwer, il frappa, et cette fois-ci, se souvint qu’il valait mieux qu’il attende qu’on lui dise d’entrer. Mais la réponse fut immédiate:



L’inspecteur marqua une pause, goûtant du bout des lèvres le breuvage fumant. Puis il reprit, relevant les yeux vers son nouvel assistant:



Grant ne répondit rien, se contentant d’un sourire d’acquiescement.



L’inspecteur fit une pause, le temps de s’allumer une cigarette.



Grant réfléchit, mais ne voyant pas, répondit:



Grant essaya d’imaginer vaguement, mais après quelques secondes, préféra tenter d’oublier tout cela. Il s’alluma à son tour une cigarette, puis demanda à l’inspecteur ce qu’il attendait précisément de lui.



Grant eut envie de dire quelque chose, mais il se reprit. L’inspecteur tourna donc les talons et sortit du bureau. Grant décida de s’asseoir dans le fauteuil de Brouwer, et de parcourir vaguement les quelques pages du dossier qu’avait commencé de monter celui-ci. Quelques notes, prises à la hâte. Et des articles de journaux. Quelques lignes seulement. Ah, et là, les fiches détaillées des renseignements concernant les deux premières putes qui avaient disparu. Avec une photo ou deux, pas très claires. Mais où donc se trouvait la fiche de celle qui venait de disparaître ? Grant retourna encore le dossier en tous sens. Ah, il y avait une feuille qu’il n’avait pas vue. Une feuille volante sur laquelle on pouvait lire quelques notes manuscrites, probablement de Brouwer. On pouvait notamment y deviner que la troisième disparue s’appelait Melinda Falken, et avait 24 ans. Y était notée aussi son adresse, et puis quelques lignes que Grant ne parvint pas à comprendre. Il chercha une photo, mais n’en trouva point. Ça faisait un peu léger pour commencer une enquête, pensa-t-il. Il réfléchit encore quelques instants, puis décida de se préparer à partir pour Palmyra. Brouwer lui avait parlé d’une douche. Ça aurait en effet pu être bien. Un peu de détente avant le stress de sa première "enquête". Il appela:



Dix secondes à peine s’écoulèrent avant que la secrétaire (très) particulière de l’inspecteur ne rejoigne Grant dans le bureau. Il leva les yeux vers elle; elle traversait la pièce pour venir à sa hauteur.



Mais il s’interrompit tout net, la femme continuait de s’avancer, et était en train de s’agenouiller juste devant le fauteuil où il se trouvait. Elle posa immédiatement une main sur sa cuisse, et entreprit également d’ouvrir son pantalon.



Elle s’arrêta dans son élan, et leva les yeux vers lui.



Il hésita.



Il la regarda instamment. Elle n’avait pas l’air d’avoir froid aux yeux, en tout cas. Elle continuait de sourire, et s’était remise à déboutonner son uniforme. Il repensa à ce que lui avait dit Brouwer: "Détendez-vous cinq minutes." Bof, pensa-t-il, après tout…