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Temps de lecture estimé : 11 mn
20/02/03
Résumé:  Les amis de Bernard, lui ont ce jour-là réservé une petite tente, juste à côté de leur caravane...
Critères:  fhhh couplus extracon campagne photofilm lingerie fmast hmast intermast facial fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio sandwich fsodo partouze attache yeuxbandés
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard - Photographe amateur)      

Série : Betty du Cap

Chapitre 04 / 04
Sous la tente (Betty, la coquine du Cap - 4)

Merci à tous les fidèles lecteurs de mes histoires qui je le répète sont réellement vécues. Je comprends fort bien les incrédules qui pensent que j’affabule, car lorsque je ne connaissais pas ce milieu, j’avais le même sentiment. Mais j’ai cherché et j’ai trouvé ces aventures. Faites comme moi, cherchez, vous les vivrez aussi !



Mes amis Betty et Tanguy, vraiment très sympas, m’ont proposé d’utiliser leur emplacement de camping et même planté une petite tente à côté de leur caravane pour moi !

Un soir d’été j’étais invité à manger avec un copain connu par correspondance. Nous étions partis le matin vers Le Cap qu’il ne connaissait pas du tout. En route, il regarde mes albums photos, époustouflé de voir ma collection impressionnante et bien sûr excité ! Arrivé là-bas, je lui fais tout visiter, y compris les plages bien sûr !


Mais je l’avais averti que s’il me voyait aborder un couple, qu’il reste un peu à l’écart sauf si je lui faisais signe. Dès notre arrivée, dans une galerie marchande, j’abordais une femme enceinte avec son mari, qui très sympas acceptèrent que je fasse quelques vues d’elle à côté de leur voiture, sans aucune suite.

Avant d’aller à la plage, j’abordais encore une fille très fournie côté poitrine avec sa mère, mais il me faudra voir le père le lendemain. Puis à la plage, on matait tout ce qu’il nous était permis de voir, pour enfin arriver chez nos amis.


Bien accueillis, apéro, repas, plus ma bouteille de champagne, il n’y eut qu’un problème, mon copain était assez coincé et ne répondait pas beaucoup aux sollicitations et aux allusions qui auraient permis de s’amuser à quatre de nouveau. D’ailleurs Betty, en douce me le dit et ils prétextèrent un rendez-vous avec un couple pour rester corrects.


J’étais dépité mais cela se termina beaucoup mieux…


Je lui fis visiter Le Cap la nuit, admirant des tenues toutes plus sexy les unes que les autres, j’abordais encore un couple belge et le lendemain on aura la permission de faire tous deux des photos d’une jolie femme à la fente nue.

Puis, il fallut penser à dormir, mon copain dans ma voiture viendrait me rejoindre sous les douches au matin, et moi j’allais vers « ma tente » pour constater que mes amis étaient là, il y avait leur voiture mais tout était éteint, hélas !

J’avais déjà fait ma toilette et m’apprêtais à fermer la tente lorsque j’eus l’impression de ne pas être seul !

Je tâte alors le matelas, touche une jambe douce, j’entends une respiration, je ne dis rien, remonte cette jambe, la cuisse, une fente sans poil !



Je me love à côté d’elle, sur le dos.



Elle était vraiment charmante, gentille ce que j’apprécie beaucoup car il y a plus que le sexe pur, il y a complicité, sensualité, échange, tendresse aussi !



Je la remercie d’un baiser, un petit puis un autre plus langoureux qui n’en finit pas. J’aimais ça en elle, le flirt, elle aimait se sentir désirée et l’embrasser à pleine bouche était un régal. Puis on commence à se caresser et déjà elle respirait fort. Dans ce petit espace clos, les sons étaient étouffés. L’obscurité presque totale, c’était très curieux et je n’avais jamais fait l’amour dans une tente. Après de très longs baisers avec nos mains parcourant nos corps, l’excitation est déjà très forte et elle prend l’initiative



Elle ajoute



C’est encore plus excitant ! Je dis donc :



A peine le temps de le dire que ses lèvres douces tètent mon gland. J’en rajoute :



Et c’est vrai que c’était une experte en fellation. J’imaginais son mari écoutant nos paroles, se branlant sans doute… Un dialogue un peu exagéré mais super excitant :



Elle vient au-dessus de moi, ma langue cherche son intimité.



On rompt le silence de temps à autre.



Et elle :



Elle aimait ça ! ou encore :



…Texto !


Puis exprès un peu plus fort, je lui dis :



C’est un jeu très excitant car on fait ça pour nous et pour l’autre qui écoute certainement. Je me place donc derrière elle ; heureusement ce n’est pas si petit que ça. Je caresse le corps de Betty cambré au maximum. Je sens son dos creusé, sa tête posée sur le lit. Je palpe un superbe petit cul tendu, offert à mes doigts. J’en enfonce un, puis deux dans sa fente.



Je sens sa main toucher son clito.



Elle est si ouverte que je glisse un quatrième doigt.



Elle jouit violemment, secouée de spasmes et cela du s’entendre chez les voisins ! Elle se laisse tomber sur le côté, je la félicite pour cette belle jouissance, et je me place contre elle, mon sexe raide contre ses fesses, elle roule une cuisse :



Je présente mon gland et tout de suite il glisse à l’intérieur.



C’est un régal cette petite chatte et elle se pousse vers moi pour mieux me sentir en haletant, puis on se met en « croix » car il fait très chaud, elle sur le dos, moi en travers. Elle se tient les cuisses très haut, je lui malaxe les seins, elle m’encourage :



Elle aimait qu’on la traite de salope une fois partie. Moi :



Puis, elle se lâche une jambe et se branle de nouveau :



Je faillis jouir tellement c’était sublime, je sors de sa chatte, m’agenouille devant elle, la branle encore avec trois doigts, puis je replonge en missionnaire… Elle se branle toujours sous moi et de l’autre main agrippe mon dos. Au moins dix fois elle dira fort :



Et complètement parti, je me demande comment j’ai pu me retenir. Après ce deuxième orgasme, elle se relâche, je la laisse se reprendre en lui disant des mots gentils et sincères mais murmurés cette fois


Puis on s’embrasse encore follement et cette fois je me mets sur elle pour un soixante neuf merveilleux au cours duquel je parvins à lui mettre encore quatre doigts et elle à me sucer en gorge profonde. Je faillis encore jouir puis elle me demande assez fort :



Nos corps se trouvent dans l’obscurité, je sens à nouveau ce dos très cambré, ma langue titille son petit trou



Je la fais un peu languir pour faire monter encore l’excitation



Je présente mon gland, pousse à peine, déjà il entre.



J’ai failli jouir encore ! Je me retiens, puis je peux y aller en longues pénétrations, très lentes.



Elle est si ouverte que ça glisse comme dans sa chatte. En plus elle se pousse sur moi après s’être relevée. Je la laisse faire sans bouger.



Je l’attrape aux hanches et je la baise à fond, je gicle en elle, un délire entre elle et moi, le mari qui écoute… La folie ! On s’affale sur le côté encore emboîtés.

On ne dit plus rien, chacun dans sa jouissance, je débande. Je l’entends encore me dire :



Je la sens se mettre la main sous les fesses, elle se lève, j’ouvre la tente, l’embrasse en la remerciant à mon tour.


Je la devine entrant dans la caravane. J’entends la porte, aucun bruit. N’aurait-il pas écouté nos ébats ? J’essuie mon sexe après l’avoir lavé au petit lavabo dehors. J’écoute vers la fenêtre, ça y est ! Je l’entends haleter mais sans distinguer car la fenêtre est maintenant fermée. Par contre j’entends des bruits de literie et bientôt elle pousse des petits cris, je comprends qu’elle jouit de nouveau.


Le lendemain matin, éveillé le premier, je vais chercher des croissants et trouve mon copain à qui je raconte tout. Puis on déjeune tous les quatre sans en parler, sauf que Tanguy à part m’a remercié de l’avoir bien fait jouir et m’a confirmé qu’il l’avait enculé avec mon sperme !


Nous étions nus, sauf Betty, en culotte de dentelle blanche ce qui la rendait encore plus excitante, c’est ça le plaisir du naturisme !

Avant de quitter mes amis, je vais avec mon copain aux douches. Il me dit que j’ai bien de la chance de les avoir rencontrés et d’avoir fait tout ça avec eux. Je lui ai bien sûr raconté les rencontres précédentes et il a vu les photos.


Il la trouve sublime, même s’il n’a rien fait avec (je lui parle de rien) et il me remercie de lui avoir fait connaître le Cap et ce milieu naturiste où il peut mater tous ces corps nus. Une fois rasés et tout propres, on revient à l’emplacement de mes amis et ne les voyant pas, j’appelle. J’entends Tanguy :



Je monte les deux marches et je reste interloqué, je vois Betty à genoux sur un oreiller, les mains attachées dans le dos, les yeux bandés, le sexe de Tanguy dans la bouche !

Comme si de rien n’était, il dit :



Il me fait un clin d’œil, me fait signe de venir, pendant que j’appelle mon copain. Il ajoute :



Et ce dernier entre, alors que Betty me suce déjà, je vois encore la surprise sur son visage et son sourire égrillard quand Tanguy lui dit :



Il semblait ne pas y croire quand on lui laissa la place, il ne banda d’ailleurs qu’après avoir été léché une minute par la langue, puis la bouche de Betty. On s’amusa à se faire sucer à tour de rôle ou tous ensemble, un vrai régal partagé car elle adorait sucer. Tanguy était ravi et la traitait de cochonne, de salope, de vicieuse, ce qui l’excitait encore plus.


Je demandais par signe à Tanguy l’autorisation de la caresser, il accepta, je m’agenouillais derrière elle, lui caressais les seins, le dos, le ventre, la culotte sur les fesses. Elle respirait fort et je voyais en gros plan son visage, sa bouche, ses lèvres entre lesquelles glissait un sexe ou l’autre. Je ne dis rien pour ne pas qu’elle sache qui la caressait. Je passais entre ses cuisses pour sentir une humidité certaine, elle frissonna et j’insistais un peu, puis écartais d’une main le fin tissu, l’autre venant caresser sa fente… Elle ronronna et agita son bassin. Je lui massais la fente et le clito, puis glissais un doigt dedans. Ses bras n’étaient attachés que symboliquement et je défis le lien tout en la masturbant.


Tanguy invita Didier à s’asseoir sur le lit, Betty se pencha pour continuer sa besogne… son corps penché me permit de me présenter au milieu derrière elle pour la prendre, encouragé par Tanguy. Surtout que je la vois se cambrer et tendre son petit cul vers moi, j’écarte sa culotte, glisse mon sexe entre ses lèvres et je m’enfonce à nouveau en elle avec délice. J’adore en plus qu’elle n’ai pas voulu enlever sa culotte, c’est encore plus excitant et je m’agite en elle de plus en plus fort, elle émet des bruits de gorge, tortille son bassin, un régal ! Je fais signe à Tanguy de me remplacer, mais au lieu de cela, il tape sur le bras de Didier pour qu’il y aille ! J’étais ravi pour lui et nous échangeons nos places. Betty branle et suce nos queues avec énergie, secoué par Didier. Je me rappelle m’être dit qu’il se rappellerait de sa première visite ici ! Baiser une belle coquine à dix heures du matin ça marque ! Mais je comprends qu’il ne tiendra pas longtemps. Il demande par signe s’il peut jouir en elle. Tanguy accepte et moi je me branle alors qu’elle tête mon gland. Elle comprend que je veux lui remplir la bouche et ne se dérobe pas, au contraire, sa main remplace la mienne et bientôt j’explose en plusieurs saccades dans sa bouche ! Quel bonheur ! Et presque aussitôt Didier se vide aussi en elle qui jouit aussitôt. Elle se redresse pour exprimer son plaisir et je la vois encore avaler ma semence, le trop plein lui coulant sur le menton, une vision, de rêve dont je n’ai pu faire des photos, hélas ! Tanguy lui enlève le bandeau alors qu’elle se lèche les lèvres :



Elle avait compris que c’était moi et elle nous remercia, on lui rendit la politesse ! On a rebu un café pour nous remettre et on les quitta jusqu’à la prochaine fois en ce qui me concerne. C’était le bon temps où l’on pouvait se passer des préservatifs. Je ne les revis que deux ou trois fois sans mieux à raconter, sauf un soir où Tanguy me demanda de rentrer avec lui vers minuit à la caravane avec une arrière pensée : Prendre sa petite femme pendant son sommeil ! C’est très insolite car en faisant très doucement on ne la réveilla pas au début. Elle eut l’impression d’un rêve érotique mais finit par s’éveiller pour comprendre qu’elle ne rêvait plus au moment j’entrais en elle « concrètement » ! Un merveilleux souvenir que j’ai pu vivre aussi avec une autre sans qu’elle ne se réveille mais dans des circonstances particulières…


Quant à mon copain il fut évidemment ravi de tout cela… et du reste également, ayant pu aussi faire quelques photos dans l’après midi..


Bernard photographe – février 2003