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n° 05808Fiche technique47064 caractères47064
Temps de lecture estimé : 27 mn
05/03/03
Résumé:  J'ai retrouvé l'ancienne voisine de mes parents. J'avais 25 ans, elle 47. Ces retrouvailles furent bouillantes surtout lorsqu'arriva la meilleure amie de cette belle femme.
Critères:  ffh fbi fplusag grossexe grosseins groscul fépilée intermast fellation anulingus 69 hdanus
Auteur : Varavave  (Denis, 30 ans)      
Les chaudes retrouvailles



Je n’étais pas rentré au pays depuis dix ans. Je veux dire là où j’avais grandi, passé l’essentiel de ma vie encore courte. C’était un village à la campagne, où j’avais vécu, heureux, chez mes parents. À quinze ans, nous avions déménagé, à 18 j’avais pris mon indépendance, trouvé un boulot, qui m’avait conduit vers d’autres cieux. À 25, j’avais décidé de renouer avec mes racines, d’aller voir là-bas, si ça avait changé.


Et me voici donc dans la rue de la principale ville voisine. C’est l’été, il fait très chaud et je me promène. Depuis une semaine, je suis invité à droite et à gauche, chez des oncles, des tantes, des cousins. C’est agréable, finalement. Mais aujourd’hui, je fais un break. Je vis pour moi.

Je prends mon temps pour flâner, et j’entends soudain mon prénom, prononcé fort par une voix féminine.



Je me retourne, machinalement, pas vraiment persuadé que l’on s’adresse à moi. Je croise pourtant le regard d’une dame d’une quarantaine d’années, que je reconnais tout de suite : Françoise ! L’ancienne voisine de mes parents, chez qui j’allais, de temps en temps, boire un jus de fruit ou un chocolat chaud.



Nous nous asseyons à une terrasse, commandons à boire et je lui raconte : ma vie, mes voyages, où j’en suis, mes vacances actuelles… Elle aussi me parle longuement de ce qu’elle est devenue : elle a divorcé peu après notre déménagement, ses enfants sont grands, ils font des études à la fac, elle ne les voit pas beaucoup. Elle vit bien, elle a 47 ans - elle me le dit sans même que je le demande. Elle est heureuse, elle habite dans un village pas trop loin. Elle m’invite à déjeuner demain midi si je veux. J’accepte sans hésiter.


Au bout de trois heures, nous nous quittons, une bise sur la joue. Je la regarde s’éloigner et je me sens un peu bizarre. Pendant tout le temps de notre conversation, j’ai bien détaillé le visage de Françoise, ses cheveux châtains mi-longs, ses yeux verts, sa bouche pulpeuse, son sourire, ses longs cils. Elle n’est pas vraiment jolie Françoise. Disons qu’elle est agréable à regarder.


Mais surtout, pendant tout ce temps, je me suis retenu de ne pas plonger mon regard dans son décolleté. Parce que là, mes aïeux, quel spectacle ! Françoise, à chaque fois qu’elle se penchait, laissait apparaître le début de sa poitrine, dans un chemisier bleu très gonflé.

Maintenant qu’elle s’éloigne, je regarde son cul se balancer doucement dans ce pantalon moulant. Françoise est sacrément bien foutue ! Dix ans après, elle se porte comme une reine. Tiens, je le lui dirai demain, si j’ose ! On verra bien.



LE DEJEUNER



Il n’est pas encore tout à fait midi lorsque j’arrive chez Françoise. Je n’ai pas eu trop de mal à trouver, finalement. La maison est un peu excentrée. Je me présente devant une barrière qui donne sur un grand et magnifique jardin. Je sonne. La barrière s’ouvre automatiquement. Je fais quelques pas et la porte d’entrée s’ouvre d’elle-même sur Françoise, tout sourire.



Je fais la bise à Françoise, lui offre un bouquet de fleurs et je la suis. Nous traversons une pièce puis deux puis une troisième jusqu’à une terrasse arrière, qui donne sur une petite piscine. Effectivement, je comprends pourquoi Françoise me dit qu’elle vit bien. C’est agréable ici.


Mais dans cette traversée, mes yeux ne se sont guère portés sur le paysage, plutôt fixés vers le bas : les jambes de Françoise. Un joli tableau, là encore. Françoise est vêtue d’une robe flottante, blanche à fleurs bleues qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Ses pieds sont chaussés de mules en cuir à petits talons. Bref, ses mollets et le bas de ses cuisses sont en plein dans ma ligne de mire. Ses mollets sont musclés mais pas trop. Ses cuisses semblent plutôt charnues, costauds disons. Sa peau est délicieusement bronzée.


Françoise m’invite à m’asseoir sur un fauteuil. Lorsqu’elle pivote, je constate que ce que j’avais entraperçu de ses seins la veille n’était pas une illusion : le haut de sa robe est très rempli, très très rempli. C’est magnifique, d’autant que les deux boutons du haut ne sont pas attachés. Je vais avoir du mal à me retenir…

Françoise s’assied en face de moi, ouvre une bouteille de champagne "pour fêter nos retrouvailles", me sert une flûte. Nous trinquons. Elle s’installe confortablement dans son fauteuil et nous discutons.

A la troisième flûte de champagne, Françoise est beaucoup plus décontractée. Elle s’est installée en travers sur son fauteuil, en tournant son visage dans ma direction. Sa robe a donc remonté ses jambes jusqu’en haut des cuisses et l’un de ses seins est un peu écrasé par l’autre. Ils sont tout simplement énormes.



Je n’ai même pas le temps de répondre que Françoise est déjà partie dans la cuisine, dans mon dos. Je reste seul un instant. Je sens soudain une main qui caresse mes cheveux et ma joue, rapidement : "Ca fait vraiment plaisir de te voir. Allez, viens manger".


Je me lève et Françoise me regarde longuement : "Vas-y, marche un peu le long de la piscine que je vois comment tu as changé". Interloqué, je m’exécute, amusé. "Tu es devenu un sacré beau gars, Denis. Ça fait plaisir".


Je reviens vers Françoise, qui me glisse un regard étrange. "Tu as surtout une belle paire de fesses", dit-elle en me fixant le postérieur. "C’est un bonheur à regarder".

Cette fois, je décide de me lancer dans le bain : "Toi aussi, c’est un bonheur de te regarder. Je te trouve encore plus belle qu’il y a dix ans".



Déjà, je crois que nous sommes un peu troublés tous les deux. Pourtant, aucun de nous ne fait le pas qui manque en direction de l’autre. Nous allons manger, très gentiment, dans le salon. Il fait plus frais que dehors, c’est agréable. Le déjeuner est très bon, le vin aussi.



LA DIGESTION



Nous retournons sur la terrasse pour boire le café. Je me sens un peu chose : j’ai un peu bu, ma tête tourne légèrement… et Françoise me fait un drôle d’effet. Elle aussi semble un peu dans les vapes. Elle sourit béatement, me fixe du regard, depuis son fauteuil qui me fait face.


Moi je fixe sa poitrine, ses énormes seins que je vois pointer à travers la fine robe. Les deux boutons du haut sont toujours détachés, le spectacle est insoutenable. À mon avis, ils sont encore plus gros que du 95. Je n’ose pas imaginer qu’ils dépassent le 100.



J’adore le cul des mecs, c’est l’un de mes fantasmes, mais cela fait bien longtemps que j’en ai pas vu. Alors s’il te plaît, fais ça pour moi. En retour, comme tu peux le voir, tu ne seras pas déçu.

En disant cela, elle se cambre vers l’avant pour bien faire ressortir sa poitrine qui n’a pas besoin de ça pour m’échauffer. Je me lève de mon fauteuil, me place devant elle, détache ma ceinture et fait descendre mon jeans jusqu’à mes chevilles. Mon caleçon est un boxer qui moule mes fesses et mon sexe.



Je recule, Françoise passe une main sur mes fesses, puis les deux.



Françoise se lève, je prends sa place, obéis exactement à ses consignes. Elle caresse mon cul sans arrêt puis fais glisser mon caleçon sur mes fesses.



Sitôt dit sitôt fait. Françoise, après m’avoir littéralement malaxé les fesses avec ses mains, les touche désormais avec ses lèvres. Elle me suce la peau, je la sens qui bave, qui couvre mon postérieur de salive. Elle me mordille le cul, me lèche le trou, passe sous mes testicules. Ses doigts, eux, n’ont pas quitté mes fesses. Pour mieux profiter de cet instant, je me cambre vers l’arrière. C’est divin.


Je n’ai pas besoin de vous dire que, dans mon caleçon - qui ne me recouvre plus les fesses - mon sexe est devenu très dur. Je bande comme jamais et Françoise, que je commence à trouver délicieusement salope, le sait bien. Mais cela ne la pousse pas pour autant à venir investiguer, avec sa langue, dans cette contrée. J’aimerais bien, pourtant, parce que je vais avoir du mal à tenir longtemps, si ça continue comme ça.

Françoise se lève et vient se placer devant moi. Elle détache ses cheveux et me dit, en souriant : "Maintenant, à moi de tenir ma promesse".


Je reste immobile, j’attends que le miracle s’accomplisse. Françoise, les cheveux tombant sur ses épaules, approche son visage du mien et nous nous embrassons longuement. "Avec un cul pareil, je ne peux rien te refuser, Denis", murmure-t-elle au creux de mon oreille.


Elle défait alors les boutons du haut de sa robe et ses seins m’apparaissent, énormes, pressés dans un soutien-gorge blanc à balconnets. Je devine de larges aréoles qui se détachent nettement de la peau qui semble douce; Françoise passe ses mains derrière son dos et le soutien-gorge tombe au sol. Incroyable ! Jamais je n’ai vu une paire de nibards comme celle-là.



J’empoigne les deux fantastiques globes, les caresse d’abord puis les triture, les malaxe. Je porte le sein droit à ma bouche, puis le gauche. C’est du délire. Françoise soupire. Manifestement, mes caresses lui plaisent. Je mordille ces nichons extraordinaires, les mange littéralement. À genoux sur mon canapé, je suis l’homme le plus heureux du monde.



DU SERIEUX



Pendant que je lui léchouillais les nichons, Françoise a fait glisser sa robe le long de ses cuisses, jusqu’au sol. Mes mains ont empoigné ses fesses, aveuglément et je dois avouer qu’elles sont bien remplies. Le cul de Françoise semble en adéquation parfaite avec sa poitrine, doux, un peu mou mais pas trop, excitant, quoi.

D’un geste, je commande à le belle de se retourner et me voici en face d’une paire de fesses de compétition. Son postérieur est tout rond, bronzé comme tout le reste de sa personne - ce qui me laisse à penser que Françoise passe beaucoup de temps à poil dans et autour de sa piscine. Seul vêtement que porte toujours mon hôtesse à ce moment de la journée : un string blanc, qui lui rentre profondément dans la raie des fesses. Les deux cordelettes, très fines, enserrent des hanches pleines et gracieuses.



Je joue avec le cul de Françoise comme un gamin avec des ballons en plastique. Je le caresse, le tapote, écarte les fesses, les malaxe. Je fais glisser le string et voilà ma Françoise cette fois-ci complètement dénudée. Une paire de nibards, un cul, des cuisses de rêve. Je sens que je vais exploser, dans mon caleçon, si ça continue.

Ma verge, d’ailleurs, dépasse de mon boxer depuis maintenant de longues minutes. Françoise s’en aperçoit et me dit : "Viens prendre ma place, je vais m’installer sur le canapé".

Elle se met donc à genoux à son tour sur le fauteuil et je me place devant elle. Elle prend mon sexe dans sa main droite :



Françoise commence à lécher ma bite dure et tendue. Elle ne la touche même pas, ses mains étant plaquées contre mon cul. Sa langue court lentement le long de ma hampe, jusqu’aux couilles, qu’elle engloutit une première fois dans sa bouche. Puis elle avale mon gland, sa langue s’entortille autour langoureusement. Voilà une pipe experte, nom de Dieu. De mon côté, je lui laboure littéralement le dos avec mes ongles puis je presse ses seins avec ma main, déjà bien écrasés contre le dossier du fauteuil.


Cette comédie-là ne peut pas durer trop longtemps. Je suis complètement fasciné par le cul bombé et sacrément appétissant de cette femme. En même temps, elle me suce tellement bien que je n’ai pas envie de mettre fin à ce délice. Pourtant, je finis par retirer ma bite de la bouche de Françoise et vais me placer derrière elle.


Elle a évidemment bien compris la manœuvre. La voici qui se cambre encore plus qu’auparavant, écartant ses fesses au maximum. Elle s’aide même de ses mains pour écarter encore plus sa raie et, du même coup, sa chatte.

Je n’hésite pas une seconde et place ma bouche exactement sur son petit trou. Avec ma langue, j’exerce quelques petites pressions successives, puis la lèche plus vigoureusement. Françoise commence à soupirer. J’écarte bien ses fesses avec mes mains et enfonce encore ma langue. C’est doux, souple et de plus en plus humide, à l’intérieur. Le trou du cul de Françoise s’élargit au fur et à mesure.


Je m’assois sur le canapé, sans que Françoise ne change de position. Je suis en face de sa chatte, complètement rasée, à l’exception d’un tout petit triangle au bas du ventre. C’est une grosse et belle chatte, avec des lèvres épaisses et un clito déjà bien turgescent.


C’est par lui que je commence. Modestement, j’avoue que c’est l’un de mes domaines préférés. Je pourrais rester des heures à lécher une vulve et je ne m’en prive pas. La chatte de Françoise sent bon, très bon même et elle se met rapidement à mouiller, à dégouliner presque. Mes mains sont toujours plaquées contre le cul de la plantureuse et je commence l’introduction d’un puis de deux doigts.


Françoise remue dans tous les sens. Un sein tombe parfois sur mon visage, je laisse alors sa chatte pour venir sucer un téton goulûment. Mais ma bouche retrouve rapidement le clitoris et les grosses lèvres inondées de ma compagne de jeux.

C’est elle qui, alors, reprend les choses en main.



Sans discuter - qui discuterait dans ces situations ? - j’obéis et m’allonge sur un grand matelas en mousse situé tout près de la piscine. Sur le dos, je vois mon sexe qui, dans mon souvenir, n’a jamais été aussi gros. Je place un coussin sous ma tête après quoi Françoise s’allonge sur moi, à l’envers. Dans cette position du 69, je sens ses nibards qui s’écrasent mollement sur mon ventre. La sensation est très douce et très excitante à la fois. Aucun de nous deux ne fait le moindre effort, nos corps s’emboîtent comme s’ils étaient fabriqués l’un pour l’autre. Françoise caresse bien mes poils pubiens, me lèche la bite, les couilles, me suce avec appétit. De mon côté, je suis idéalement placé, les mains solidement scotchées au cul bombé de cette sacrée salope, la langue bien enfouie dans sa chatte.


Il ne faut pas longtemps avant que Françoise ne commence à vibrer. Disons qu’elle respire un peu plus fort, pousse davantage de soupirs et de petits cris. Elle se trémousse, son cul danse entre mes mains. En quelques minutes, elle atteint la jouissance très bruyamment. Je ne la lâche pas pour autant et continue à lui sucer le clitoris. Encore quelques minutes et la belle lâche son deuxième orgasme. Elle se relève, se masse les seins, passe ses mains dans les cheveux.



Elle se sent tout chose, Françoise. Ses yeux sont brillants, tout comme sa chatte, que je vois très nettement au-dessus de mes yeux. Je bénéficie d’ailleurs d’une vue superbe, en contre-plongée, sur les cuisses et les fesses de cette très bandante personne. Je goûte aussi le paysage extraordinaire que constituent ses deux gros nichons qui retombent lourdement en direction de son ventre. J’ai de la cyprine plein la bouche et je me suis régalé de cette gâterie. Ma langue a longtemps tourné entre les grosses lèvres roses de Françoise, sans aucun mal pour se frayer un chemin. J’ai aspiré ce liquide avec délice.


Maintenant, un problème se pose : j’aimerais continuer à baiser avec cette jolie dame excitée mais elle semble vouloir s’arrêter. Seulement voilà : mon sexe est très tendu. Je n’ai pas éjaculé et je suis encore en pleine bandaison.



L’INTRUSION




Il doit être 4 heures et demi, quelque chose comme ça et le soleil tape très fort. Sans attendre, Françoise se glisse dans l’eau. Je me lève, la queue en porte-drapeau et j’entre à mon tour dans la piscine. L’eau froide a un effet relaxant sur moi. Je fais quelques brasses et rejoins Françoise dans un coin. Elle a les bras écartés, accoudée au bord, tournée vers moi. Je me presse contre ses gros seins et l’embrasse goulûment sur la bouche. Elle me caresse le cul. Nous restons quelques minutes dans cette position ce qui, bien entendu, contribue à un nouveau durcissement de ma bite.

Encore quelques brasses puis je sors de l’eau et vais m’asseoir, les jambes pendantes, sur le bord, juste à côté de Françoise, qui s’est retournée.



Et c’est reparti !

Françoise caresse rapidement ma verge qui s’est un peu ramollie et la place dans sa bouche. Elle grossit vite et mon hôtesse semble apprécier, si j’en crois ses soupirs. Un coussin se trouve à proximité, je le place derrière mon dos et me laisse aller dessus.

Je ferme les yeux, savoure cet instant fabuleux… Le vent est doux sur ma peau. Je me sens en pleine forme, heureux. Ma tête est vide mais mes couilles pleines.



J’entends soudain une voix derrière moi. Je n’ai même pas le temps de me retourner pour voir qui vient de prononcer ces quelques mots que Françoise a déjà sorti brusquement sa tête d’entre mes cuisses.



Je me laisse glisser dans la piscine pendant que Françoise sort précipitamment. Elle empoigne un drap de bains, s’en couvre le corps. J’aperçois sur la terrasse une dame d’une cinquantaine d’années qui se tient dans l’ombre. Les deux femmes se font la bise.



Les deux amies partent dans la maison. J’en profite pour sortir de l’eau, m’essuyer et me rhabiller. Mais j’ai tout juste le temps d’enfiler mon caleçon que Françoise et Jeanne rappliquent.



Françoise se rend compte un peu tard ce que signifie réellement cette phrase. Elle rougit, tente de se rattraper : - - - "Enfin, je veux dire, très recommandable". Encore une belle gaffe. "… tu veux boire quelque chose, un peu de champagne ? Car nous avons déjeuné au champagne. Pour les grandes occasions, on ne se refuse rien !"



Françoise se retire dans la cuisine et nous nous asseyons chacun sur un fauteuil. Je suis un peu gêné, en caleçon moulant, devant cette femme bien mise. Elle porte une robe bleu foncé boutonnée jusqu’en haut, des nu-pieds à talon en cuir. Elle est châtain clair, les cheveux mi-longs, bien maquillée. Ses yeux sont bleus foncé aussi. Elle sort une cigarette de son sac, l’allume…



Je lui raconte brièvement que je suis aujourd’hui installé à l’étranger pour mon travail et que j’avais très envie de faire un petit retour aux sources.


Elle me dit qu’elle aussi a vécu un temps à l’étranger, où elle suivait son mari. Aujourd’hui, elle a une petite boîte de secrétariat à quelques kilomètres d’ici. "J’ai bien été obligée de travailler quand mon mari et moi nous sommes séparés". Elle connaît Françoise depuis au moins vingt ans. "Plus jeune, on faisait les 400 coups ensemble. Maintenant, nous sommes devenues sages", glisse-t-elle en souriant.



Nous trinquons tous les trois. Françoise a troqué sa serviette contre une petite robe très fine. Elle s’assied dans le fauteuil exactement en face du mien et je constate illico qu’elle n’a pas mis de culotte.



J’ai mon maillot dans la voiture. Je vais aller le chercher dans un instant.

Jeanne finit son verre puis se lève pour se rendre à sa voiture. Ni une, ni deux, Françoise s’approche de moi et me souffle à l’oreille :


Tu ne t’es pas rhabillé, petit polisson ?



Effectivement, le retour de Jeanne est de toute beauté. Elle a également enfilé une robe de plage blanche, qui laisse apparaître les lanières d’un maillot de bains sombre. Premier choc : sa poitrine. Je suis incapable de dire si elle est plus volumineuse que celle de Françoise. Mais une chose est sûre : c’est exceptionnel. Deuxième choc : son cul. Il est beaucoup, beaucoup plus rond et large que celui de Françoise. Ses cuisses elles aussi sont plus charnues, presque grasses. Mais Dieu que c’est appétissant. Pour moi qui n’ai pas encore joui, c’est presque un calvaire.


Je me tourne vers Françoise et, dans un murmure, lui souffle : "Il vaut mieux que je m’en aille. Je vais devenir fou".



Fausse impression, mon cher.



LE RECHAUFFEMENT



A ce moment-là, nous nous trouvons près de la piscine, Françoise et moi, si bien que Jeanne ne peut pas nous entendre.



Je n’en mène pas large. Jeanne s’est penchée un instant et j’ai entraperçu un string noir entre ses énormes fesses. Mon sexe commence à frapper à la porte de mon caleçon. Il faut que je trouve une solution. Peut-être la piscine…



Gêné par cette érection incontrôlable, je préfère sauter dans la piscine et nager jusqu’au bord opposé. "Excusez-moi de ne pas vous avoir attendues, mais il fallait que je me rafraîchisse en vitesse".



Jeanne s’approche à son tour. Elle aussi est en string mais porte un soutien-gorge. Une vision insoutenable en vérité. Ses nibards sont à peine retenus par deux bonnets très échancrés. C’est un maillot de bains noir. Lorsque sa poitrine touche l’eau, les seins flottent un instant, comme s’ils avançaient devant elle. "Ah, ça fait un bien fou ! J’ai bien fait de venir, Françoise".



Je suis au milieu de la piscine, Françoise et Jeanne sont côte à côte près du bord. Le spectacle devient insoutenable.



Lorsqu’elle passe à ma portée, je lui souffle quelques mots : "Tu y es allée un peu fort, peut-être". "T’en fais pas", murmure notre hôtesse.


Jeanne, à son tour, se met à nager. Ses nibards sont impressionnants, dans l’eau. Je reste aussi un long moment à regarder son cul. Serré dans la cordelette du string, il est explosif. Ses cuisses sont aussi très charnues. Ses épaules rentrent doucement dans l’eau qui dégouline sur son dos. C’est beau, apaisant et excitant à la fois.

Dans mon caleçon, malgré l’eau froide, la vie est revenue. Difficile de se contenir dans un tel contexte. Je demande aux deux femmes si elles désirent un peu plus de champagne. En m’éloignant, ce sera peut-être l’occasion de me calmer.


Je sors de la piscine et ma bite tend dangereusement le tissu de mon caleçon. Françoise le voit, me fait un signe discret, pouce en l’air.


Je reviens quelques instants plus tard avec trois coupes de champagne sur un plateau. Françoise et Jeanne s’accoudent sur un bord de la piscine pendant que je m’assieds, les jambes pendantes dans l’eau. Nous trinquons en souriant.



LA SECONDE MANCHE




C’est sans doute ça le bonheur : du soleil, une piscine, du champagne, des belles personnes à ses côtés… sourit

Françoise. Ça donne envie…

Un grand silence s’installe. Françoise me regarde, puis tourne la tête vers Jeanne. Leurs regards se croisent et mes yeux tombent sur leurs poitrines. Jeanne me surprend en train de contempler ses roploplos, puis nos yeux se rencontrent. Elle me sourit, je lui rends son sourire. Un ange passe.


L’échange visuel avec Jeanne m’a électrisé. Elle vide doucement sa coupe de champagne en me regardant du coin de l’œil. "C’est vrai que ça donne envie… Tu viens dans l’eau, Denis ?"

Je finis ma coupe et me glisse dans la piscine. Je me trouve au milieu des deux femmes, chacune à quelques centimètres de moi. Miraculeusement, en même temps, les deux se retrouvent collées à moi. Françoise est à ma droite, Jeanne à ma gauche et je sens leurs seins contre mon corps.


Mon caleçon descend sans attendre sur mes jambes et les mains des deux femmes vont et viennent sur mon cul. Ma bite est au garde-à-vous. Je lance moi aussi mes doigts à la rencontre des deux culs. La langue de Jeanne, la première, vient trouver la mienne. Notre baiser dure un bon moment. Puis c’est au tour de Françoise. Là encore, nous restons de longues secondes bouche contre bouche.



Avant de sortir de la piscine, je me débarrasse de mon caleçon qui entravait mes pas et le jette sur le bord. Françoise est déjà assise sur le canapé sur lequel nous avions chaudement commencé cet après-midi. Jeanne s’installe à côté d’elle et Françoise dit alors : "Denis, nous sommes à toi".


Moi, j’appelle ça un honneur. Evidemment, ce sont d’abord les nichons des deux magnifiques femmes qui me font envie. Je m’installe à genoux, par terre, entre elles. Françoise est à ma gauche, Jeanne à ma droite. Je caresse leurs roploplos avec de plus en plus d’insistance, en prend un en bouche, le tète goulûment. Puis un autre, celui de Jeanne cette fois. Il est un peu plus dur, le téton un peu plus fin. C’est un bonheur. Ma bite, bien entendu, est très enflée. Je suis dans une sorte de paradis mammaire.


Tour à tour, je lèche les quatre seins qui se trouvent offerts à moi. Les mains de Françoise et Jeanne me caressent le dos. Françoise, à un moment donné, se lève et passe derrière moi. Ses nichons sont collés à mon dos, ses mains me caressent le cul et le sexe. Je me love dans les bras de Jeanne, l’embrasse avec volupté, mes mains glissent sous ses fesses. Elle pousse des petits soupirs.

Je me lève, prends ma bite dans ma main droite et regarde Jeanne droit dans les seins :



Jeanne empoigne un nichon dans chacune de ses mains et ma verge vient s’encastrer dans ce cocon. Elle commence à me branler doucement. Françoise n’a pas eu besoin de dessin pour comprendre la manœuvre : elle se penche vers l’avant et offre sa poitrine à ma bouche. Je peux vous dire que ces deux-là ne sont pas des novices en matière de cul. Mon sexe, dans son fourreau de mamelles, est fou de joie. Poussé par l’excitation, je bouffe littéralement les nénés de ma Françoise. Je bave, crache, répand ma salive sur sa poitrine. Le liquide dégouline jusque sur son ventre, pénètre dans son string. Mes mains sont agrippées à ses fesses. Je les frappe, les malaxe, les étire. J’écarte son cul, passe un doigt sous la corde du string…



Nous nous regardons un court instant, Jeanne et moi. Françoise, elle, est allée s’allonger sur un tapis de sol, un coussin sous sa nuque.

Je m’approche d’elle tandis qu’elle fait glisser son string le long de ses jambes. "Je vais m’en occuper de ta chatte, ma Françoise. Je crois que Jeanne n’est pas encore tout à fait assez chaude".


Je me place à genoux, retourne Françoise sur le flanc et lui tape violemment sur les fesses. "T’as un sacré cul, Françoise. Viens là, Jeanne, montre-toi un peu ?"

Jeanne est debout devant moi, de dos. Je mate son cul. Elle danse sur place, à la manière des strip-teaseuses. Ses fesses rebondies ballottent. "Putain, Jeanne, ton cul est encore plus gros que celui de ta copine. J’espère que ta chatte sera aussi bonne que la sienne".


Françoise écarte les jambes, je me penche et ma bouche embrasse les lèvres baveuses de ma plantureuse compagne de jeux. Son sexe est mouillé, complètement. Je m’attarde d’abord sur le clitoris, sachant que la belle réagit au quart de tour. Ça ne manque pas. Françoise crie plusieurs fois. Au bout de deux ou trois minutes, elle est prise de spasmes.


Je lève la tête un court instant. Jeanne est assise sur un transat à nos côtés, a enfoui sa main dans son string et se caresse. Un doigt dans la bouche, elle goûte doucement au plaisir du spectateur. J’aurais envie d’aller voir à l’intérieur de ses jambes, d’enfouir ma langue entre ses grosses lèvres comme je viens de le faire avec Françoise. Mais j’attends les ordres, car, comme l’a dit Françoise tout à l’heure, c’est elle qui commande.


Je replonge entre les jambes de Françoise. Je suis maintenant allongé sur le ventre, mon sexe pressé sous moi contre le tapis, ce qui ne fait qu’augmenter les sensations.

Je sens soudain deux mains qui me caressent le cul, écartent mes fesses. Je sens la bouche de Jeanne - ça ne peut être qu’elle ! - qui se colle contre mon anus, la langue qui va et qui vient avec insistance.

Mais Françoise réagit promptement : elle ordonne à Jeanne de venir vers elle, lui montre ses nichons, l’invite à s’en occuper.


Je me suis arrêté un court instant pour observer le spectacle. Jeanne avance une main vers la poitrine de Françoise, tente une rapide caresse. Puis elle s’enhardit, grisée et ses gestes se font plus fermes, plus beaux aussi. Elle donne des coups secs sur chaque néné, tire dessus puis les laisse retomber lourdement. Elle les empoigne d’un seul coup et les porte à sa bouche, les léchouille d’abord puis les mord carrément.

Un instant après, Jeanne s’approche encore plus près de Françoise et les deux femmes se collent l’une à l’autre, nibards contre nibards.


Je me redresse légèrement et, par gestes, guide Jeanne vers moi. Ses jambes sont maintenant de part et d’autre de celles de Françoise, écartées, et je me retrouve avec un spectacle unique : deux énormes culs posés l’un sur l’autre. Celui de Françoise est collé à terre, celui de Jeanne regarde le ciel. Sauf que Jeanne porte encore son string, ce qui ne fait que la rendre encore plus cochonne et excitante. Or c’est à l’intérieur du string que se trouve le plus intéressant.



Jeanne pointe son cul vers le ciel, Françoise en profite pour glisser un peu vers le bas, jusqu’à ce que sa bouche arrive à hauteur des seins. Là commence une séance de bouffage de nibards comme je n’en ai encore jamais vu. Françoise est littéralement sauvage. Les magnifiques nichons de Jeanne lui recouvrent complètement le visage. Les mains de Françoise viennent tirer sur la corde du string de Jeanne mais je ne l’ai pas attendue pour lui chauffer l’intérieur de la moule.


D’une seule main, j’ai empoigné les cordes du string et je tire vers moi, plusieurs fois. Des marques rouges se forment sur les hanches de Jeanne et ses fesses se compriment à chaque mouvement. Elle halète, sa main dans la bouche. Je finis par faire glisser le string le long de ses jambes et, me penchant sous son cul, retourne mon regard vers sa chatte. Elle est poilue, large, sent fort, très fort. Elle est surtout liquide, de transpiration et de mouille. Ma position est trop inconfortable pour y glisser ma langue. En revanche, c’est idéal pour un doigté.

En fait de doigté, je finis par passer quatre doigts dans cette chatte totalement offerte. Si j’y pénètre ma verge, je ne suis même sûr qu’elle sentira quelque chose, tant elle est écartée.



Je m’approche d’elle, le sexe en avant. D’une main, elle le guide vers sa bouche.



Jeanne engloutit mon vit d’un seul coup, le fourre au fond de sa gorge, donne quelques coups de langue puis le relâche.



Jeanne se tient solidement à quatre pattes. J’empoigne fermement ses fesses et les écarte. Le trou qui s’offre à moi est large et luisant, tant la pulpeuse femme est excitée. Mon gland entre en contact avec l’orifice et je commence à exercer un lent mouvement de pression. Ma bite entre sans vraiment forcer et Jeanne émet un premier râle. Lorsque j’arrive au fond, elle crie, puis débutent les va-et-vient dans son anus. Mon sexe est gonflé à l’extrême et je ressens très fort les frottements dans ce petit trou.

Jeanne est totalement hors d’elle. Elle remue le cul si puissamment que je suis obligée de la bloquer avec mes mains. Je donne deux claques sur le fessier surgonflé.



Françoise, elle, s’est glissée dans ma direction, toujours sur le dos. Sa bouche est maintenant située au niveau de l’entrejambe de Jeanne. Laquelle Jeanne est accoudée sur le sol. Son petit trou s’ouvre un peu plus, mon sexe coulisse toujours mieux et plus vite. La langue de Françoise glisse sur mes couilles puis va se placer entre les grosses lèvres de Jeanne. Jeanne crie à chaque coup de bite.



Un violent spasme secoue Jeanne qui s’écroule littéralement sur le sol. Je sors ma verge, prêt à éjaculer, repousse vivement Jeanne sur le côté puis la retourne sur le dos. Je me couche sur son ventre, ma tête sur sa poitrine tandis que Françoise vient enfourner mon sexe dans sa bouche. Elle me branle de la main droite, caresse mon cul de la main gauche et il n’en faut pas plus pour que j’éjacule en longues saccades dans sa gorge. Rapidement, Françoise relâche mon sexe et mon sperme se répand sur ses seins. Je jouis ainsi longtemps, les yeux fermés, les dents serrées. Je me redresse, Jeanne se lève puis se met à genoux devant Françoise et lui lèche les nibards, lui nettoie littéralement la poitrine, ne laisse échapper aucune goutte. Je lui caresse les fesses. L’extase totale.



Nous nous couchons tous les trois, collés l’un à l’autre. Je fais face à Françoise, Jeanne est collée à mon dos, son visage relevé au-dessus du mien. Elle me roule un patin délicieux, lent et long. Les mains se baladent, les chairs se frottent. J’embrasse Françoise puis revient à Jeanne et ainsi de suite. Un délice qui dure, dure…


Nous nous levons au bout d’un long moment et Françoise se glisse la première dans la piscine. Nous la suivons, nous frottons encore les uns contre les autres, dans l’eau. Le soleil est en train de se coucher.