n° 05810 | Fiche technique | 37287 caractères | 37287Temps de lecture estimé : 22 mn | 06/03/03 |
Résumé: Fabienne découvre la vie | ||||
Critères: ffh fbi cousins volupté lingerie init humour | ||||
Auteur : Pascalker (Bien dans sa peau, sans prétention, heureux de vivre) |
Mon obsession sexuelle permanente m’a récemment poussé à visiter ce site et à prendre un très grand plaisir à y lire les différents récits, imaginaires ou réels, on s’en moque, qui parviennent généralement à titiller ma libido jusqu’a me faire souvent descendre ma main sur mon sexe et entreprendre de royales branlettes. Très vite, je me suis dis, pourquoi pas moi, éternel branleur devant l’éternel, n’oserai je pas faire plaisir aux autres en accouchant d’un essai littéraire de genre érotique, même si je mesure très bien les risques d’égratignures que me vaudront les divers critiques qui règnent ici, mais j’assume.
Par où commencer? A tout seigneur, tout honneur, moi. Je sais, cela fait prétentieux mais faut bien faire connaissance, non. Alors, je suis un jeune homme au physique ordinaire (désolé mesdames, mais je ne suis ni Richard Geere, ni Rocco Sifreddi) mais qui plait, qui a plu et, j’espère, qui plaira encore aux femmes (et même à certains hommes). D’allure décontractée, sportif (et pas que devant la télé) assez cultivé (j’ai quand même fais les mines), je pourrais être l’homme idéal si je n’avais pas quelques petits défauts, comme les religieuses (au chocolat) et … Le sexe. Alors là, j’avoue que j’en suis un peu malade. Pas une journée sans plaisir, seul, je ne peux m’empêcher de me tripoter et me faire reluire deux ou trois fois, et lorsque j’ai la chance d’être accompagné, c’est un enfer que j’impose à ma partenaire. Si bien qu’aujourd’hui, à 28 ans, je suis toujours célibataire.
Et oui, je n’ai encore pas trouvé la perle rare qui ne me prenne pas pour un pervers, un obsédé et qui accepte mes nombreuses envies et multiples fantasmes. (En fait, c’est un message personnel car apparemment, ici, beaucoup d’écrits de mes consœurs prouvent qu’il existe ce genre de créatures prêtes à tous les plaisirs). Mais, n’allez pas croire que j’en sois complexé ou que je me morfonde dans ma solitude, que nenni, ma vie sexuelle est assez bien remplie, au même titre que les femmes qui la partage. Et oui, dame nature m’a offert une belle biroute légèrement supérieure à la moyenne qui est je crois de 15 cm alors que j’en rajoute 5,5. (Que celui qui ne l’a jamais mesurée me jète la première pierre!). Mais cesse de bavardage, entrons dans le vif du sujet, si j’ose dire.
(NDLR: Je me suis permis quelques petits commentaires personnels que vous trouverez entre parenthèses)
En fait, c’est surtout l’histoire de Fabienne dont il s’agit. C’est une jeune fille issue d’un milieu inculte, fille d’agriculteurs aussi beauf que les bœufs qu’ils élèvent, elle n’a pas eu la chance de pouvoir vivre son adolescence comme les jeunes filles rêvent de la passer. En effet, à la fin de la troisième, avec son BEPC en poche qu’elle a révisé seule après les travaux de la ferme, elle s’est vite retrouvée à l’étable ou la porcherie à nourrir les bêtes, nettoyer leur merde, traire les vaches et les brebis, faire les fromages et aller les vendre le week-end à partir de 6 heures sur les marchés de village. De cette vie pleine d’action et d’aventure, elle n’en a retiré qu’une dégénérescence chronique qui l’avait rapidement placée sur le même chemin qu’avait suivi sa conne de mère, grosse matrone complètement déjantée. Et pourtant, Fabienne est une jolie petite poupée, toute blondinette, de jolis petites billes vertes qui ne demandent qu’a découvrir le monde, et lorsque la puberté eut fini de faire son œuvre, c’est de jolis petits seins, de mignonnes petites fesses, d’attirantes cuisses qui, s’il ne se passe rien, ressembleront aux jambon accrochés dans la remise.
Mais que faire lorsque vous êtes vouée à la vie que l’on a décidée pour vous, tout cela pour assurer la pérennité d’une exploitation agricole qui représente soit disant l’avenir du pays lorsqu’elle ne passe pas par Bruxelles pour réclamer de l’argent. (ne nous égarons pas pour autant!). Dans son malheur, Fabienne a tout de même la chance d’avoir une tantine, sœur de sa mère, qui, elle a eu les couilles (si, si, j’insiste) de plaquer cet univers (impitoyable) et de faire de sa vie un paradis par rapport à ce qui lui était destiné. Comme en plus, elle était loin d’être conne (elle), elle a su jouer de ses charmes pour séduire, aimer et épouser un anesthésiste de renom et entrer ainsi dans la petite bourgeoisie provinciale.
C’est lors de l’enterrement de son père (donc du grand père de Fabienne, ça va, vous suivez) que l’une des rares occasions de rassemblement familial se produit. À cet instant, Fabienne vient de fêter (ou plutôt d’ atteindre) ses 20 ans. Elle ne se rappelle de son cousin quand celui ci, vers ses 8/10 ans, venait jouer au tracteur ou avec les animaux à la ferme. Mais, maintenant, il a 22 ans, et c’est un bel homme. Il est tout juste sorti d’une grande école et à l’air sur de lui. Tiens, leurs regards se croisent, trop vite à son goût, car la petite Fabienne baisse les siens aussitôt. Alors il insiste, tente de percer cette timidité qui habite la jeune fille, espère recroiser ses yeux verts et fait tout pour attirer son regard. En attendant, il l’examine, dans sa petit robe bleue, assez démodée et très peu sexy, son foulard noir sur sa tête en signe de deuil, laissant tout de même dépasser quelque mèches aussi blondes que les épis de blé en été, ses socquettes blanches qui tranchent avec de vilaines sandales noires. Fabienne sait qu’il l’a regarde mais n’ayant jamais eu à réagir à une telle situation, se demande qu’elle attitude avoir. La soumission que lui impose ses parents lui font baisser la tête, osant, au détour d’un toussotement volontaire, regarder en direction du cousin qui lui, n’a d’yeux que pour elle. La cérémonie se termine et, déçu de n’avoir pas pu accrocher ce regard qu’il espérait tant, il se dit que la vie l’a en fait bien gâté, surtout en découvrant ce qui lui sert de famille, regrettant presque d’être venu pour faire plaisir à sa mère, n’attendant que l’instant où il reprendra sa voiture pour retrouver Caroline, sa copine, pour une bonne partie de jambe en l’air. Mais il avait oublié le traditionnel vin d’honneur au café du village, là où tous les poivrots se retrouvent après la messe pour pleurer sur leur sort entre deux canons de rouges ou trois anisettes. Sortant de cette atmosphère enfumée et bruyante, décidé à prendre l’air et à aller pisser un coup, il se trouve un arbre derrière le café et commence à satisfaire son besoin naturel. C’est en égouttant son tuyau avant de le ranger qu’il s’aperçu que la scène avait eu des spectateurs, ou plutôt une spectatrice. Fabienne, assise sur un banc sur sa droite, avait eu la vision de ce jet qui arrosait le platane et n’avait pu en détacher ses yeux. Lorsqu’il se tourna pour se réajuster, il l’a vit, et enfin, son regard la trouva. Sans aucune gêne de s’être fait voir en train de pisser, il se dirigea aussitôt vers elle qui, affolée, tenta alors de partir avant qu’une main douce mais ferme n’attrape son petit bras pour la retenir.
"Et bien Fabienne, on ne se dit plus bonjour ? Tu ne te rappelle pas de moi ?"
"Euh si, Monsieur, bonjour monsieur mon cousin"
A ces mots, il ne pu s’empêcher de rire, n’en revenant pas à quel point la vie paysanne pouvait être consternante. Et pourtant, cette jeune fille, sa cousine, elle ne pouvait pas être ainsi, cela lui paraissait impossible, surtout que contrairement aux autres, elle était vraiment mignonne, c’était donner du caviar aux cochons.
"Pascal, pour te servir" dit il alors en la regardant droit dans les yeux le temps qu’elle supporte son regard.
"Mais dis moi, c’est pas très marrant ton coin, il n’y a pas autre chose que ce bar ?
"Euh non, euh Pascal, c’est le seul du village"
"Même pas un restaurant ?"
"Non, rien d’autre"
Soudain, la petite ampoule qui s’éclaire au-dessus de la tête, Pascal pris son portable, appela sa mère qui, obligée de faire du social, rongeait son frein entre la mère Michelle et la mère Denis, pour lui annoncer qu’il devait rentrer aussitôt, une affaire urgente l’appelait, qu’il prenait sa voiture et qu’elle rentrera avec des amis. Il pris la main de Fabienne et la fit asseoir à la place passager de sa Mégane cabriolet avant de démarrer en trombe direction la ville. Fabienne, elle, totalement surprise, incapable de réagir, se demandait ce qu’il se passer, regardant la route défiler et, se retournant, voyant son village s’éloigner, commença alors à s’effrayer.
"Mais, Pascal, que faites vous, non, ce n’est pas possible, arrêtez vous, laissez moi"
"Chut, tais toi, n’ai pas peur, je suis ton sauveur"
"Mais je dois traire les vaches et ramasser les œufs"
"Et bien elles le feront toutes seules, et puis là ou je t’emmène, tu ne regretteras pas tes bestioles"
"Mais ma mère, mon père, ils me tueront"
"Raison de plus pour partir, non?"
Satisfait de sa réplique qui l’a fit taire, il osa un regard dans sa direction pour s’apercevoir qu’une larme coulait sur la joue de Fabienne. Réfléchissant rapidement à la situation dans laquelle il venait de se mettre, en faisant rapidement le tour de la question, sa décision lui semblait être la plus logique, la meilleure, et il ne pouvait plus reculer. Apres une demie heure de route silencieuse, il pris le chemin de l’auberge du pêcheur, (c’était indiqué sur le panneau !) et c’est attablés devant un brochet qu’il lui expliqua enfin les raisons de son acte qui, pour résumer, était lié au fait qu’il ne pouvait supporter de la voir croupir ainsi et que l’exemple de sa mère était pour lui le meilleur. Apres de longues explications qui ne pouvaient que mettre Fabienne en face la réalité, ajouté au petit muscadet qui accompagnait le poisson, l’atmosphère devenait plus détendue et Fabienne commençait à apprécier la situation. Mais, éternelle inquiète, bon nombre de questions lui montaient à la tête, toutes déjouées par l’imagination débordante de Pascal.
C’est dans l’appartement de Pascal que le voyage pris fin et Caroline le vit arriver avec le plus grand étonnement.
"Caro, je te présente Fabienne, ma cousine, qui ne demande qu’a vivre"
"Et bien, il y a du boulot !"
"Oui, et c’est pour cela que j’ai besoin de ton aide"
Tout en disant cela, Pascal savait très bien qu’il pouvait compter sur Caroline pour mettre son projet en place, Faire de Fabienne une fille ’normale’, tel était son défi.
Caroline, jolie brunette de 24 ans, sortait avec Pascal depuis 3 ans. Enfin, sortir était un grand mot car c’était dans ses bras qu’elle revenait après chaque échec sentimental, à tel point qu’elle s’était installée à ’mi temps’ chez lui, avec meubles et vêtements, car il lui était impossible de se fixer avec quelqu’un. Même Pascal, au bout de quelques semaines, devenait insupportable à ses yeux. Mais le sexe était le lien de leur relation et il était en fait devenus plus complices qu’amants, des amis , des vrais, qui vivaient leur passion commune. C’est ensemble qu’ils ont assouvi la plupart de leurs fantasmes, à deux tout d’abord, découvrant tout ce qu’un couple peut faire ensemble, a trois ensuite, combinant aussi bien les femmes que les hommes, s’adonnant l’un comme l’autre au bienfaits de la bisexualité, et à plusieurs enfin, pour voir, car en fait, aucun des deux n’y a trouvé quelque chose de plus.
"Je vais faire des courses pour le dîner, tu as 2 heures pour faire de Fabienne une jeune fille digne de ce nom".
"Que 2 heures? Merci du cadeau"
Fabienne se demandait ce qu’il lui arrivait, même si Pascal, en chemin, lui avait tout avouer de ses idées, allant jusqu’au détail de son futur emploi, du futur logement. Toutes ses idées auxquelles elle avait tacitement adhéré par son silence commençaient là, maintenant, lorsque Caroline l’amena dans la salle de bain.
"Allez, on commence par une bonne douche"
"Mais je l’ai déjà prise hier"
"Et bien raison de plus, ici, on ne paye pas l’eau" (ah bon, elle ne manque pas d’air la Caro)
"Aller, déshabilles toi, et hop, sous l’eau"
Caroline se rendit compte que l’affaire était loin d’être simple et qu’elle était en face d’une jeune fille complètement apeurée, stressée, et surtout complètement coincée. La tache ne sera vraiment pas évidente.
"Si cela te gêne de mettre toute nue, je peux sortir"
"Euh, non madame, ne me laissez pas toute seule"
"Ok, mais d’abord, ce n’est Madame mais Caroline, et puis arrêtes avec ses ’vous’, aller, ma cocotte, à poil !"
Et pour l’aider à se décider, elle entrepris de se dévêtir elle même. Fabienne la regardait faire, et comme elle enlevait son pantalon en lui tournant le dos, la vue du petit string rouge qui lui séparait les fesses la surpris terriblement
"Euh, tu as vu ta culotte, elle te rentre dans les fesses" osa t elle lui dire
Cette remarque fit sourire caroline qui, relevant la jupe de Fabienne, découvrit alors la plus sexy des culottes qu’elle n’ai jamais vu. En coton blanc, elle allait du haut de ses cuisses jusqu’a son nombril
"Et bien, un vrai remède contre l’amour ton truc!"
Fabienne était rouge de confusion, ne sachant pas si elle devait continuer à se déshabiller ou partir en courant
"Je suppose que le haut est du même genre" s’empressa d’ajouter Caro et joignant le geste à la parole elle ôta complètement sa robe pour dévoiler ce que l’on pourrait appeler un soutien-gorge blindé.
Fabienne, fébrile, mal à l’aise, les bras croisés sur sa poitrine, les genoux fléchis, ne sachant plus où cacher ce corps qui lui faisait honte, commence doucement à s’effondrer en larmes.
"Et bien, on se reprend ma jolie, je vais faire de toi une autre femme, un joli bout de femme même, mais il faudrait que tu m’aide un peu. Allez, on va à la douche"
Disant cela, elle ouvrit le robinet, ôta son débardeur et son string et, se retournant vers Fabienne pour l’inciter à faire de même, elle l’a surpris les yeux rivés sur son bas ventre, la bouche entrouverte sans qu’aucun son ne puisse s’en échapper, comme si elle avait vu le loup. Regardant autour d’elle si il était là, Caroline compris alors que l’attention de son regard était posé sur son sexe totalement épilé et le percing qui ornait son nombril.
"Et alors, je porte aussi des boucles d’oreille tu sais, quand au reste, et bien tu demanderas pourquoi à ton cousin" (ça y est, c’est de sa faute au pauvre cousin)
La réponse avait l’air de suffire à Fabienne qui se décidait, enfin, à découvrir son corps des infâmes dessous qui la recouvraient. Et là, Caroline ne pu s’empêcher d’avoir un sifflement admiratif car autant sa tenue vestimentaire n’avait aucune chance de faire bander un homme, autant son corps dénudé, ses seins ronds et fermes, ses petites fesses potelées comme il le faut, ses cuisses fuselées et fines qui se terminent sur un fin duvet blond ne dissimulant qu’a peine ses lèvres intimes, pouvaient faire d’elle une miss monde (bon, ok, j’exagère un peu!)
Elle lui prit doucement la main et l’entraîna sous la douche. Ne voulant pas brusquer les choses, alors que son subconscient commençait sauvagement à lui donner des idées de plus en plus cochonnes, Caroline ne s’en tint qu’à l’accompagner sous l’eau et la laissa se laver toute seule, lui conseillant tout une gamme de produits corporels dont elle était grande consommatrice, et s’éclipsa de la salle de bain enveloppée dans son peignoir.
"Bon Pascal m’a demandé d’en faire une femme, mais pas de la sauter. Alors, ma chérie, tu te rhabille et tu fais ce que l’on te dit, même si ça te chauffe entre les cuisses" se dit elle tout en passant sa main son abricot.
20 minutes plus tard, Fabienne se sentit propre et belle. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas profiter d’une bonne douche bien chaude aussi longtemps et le parfum des produits de beauté de Caroline l’avait changée complètement de l’habituel savon de Marseille. Elle coupa l’eau, pris le peignoir sentant bon la Soupline (ça j’y tiens) et se regarda dans la glace.
"Pourquoi ne pas en profiter" se dit elle, "C’est tellement plus agréable qu’à la ferme où il fait froid dans la salle de bain et que les wc sentent la pisse".
Elle ouvrit alors la porte pour rejoindre Caroline, habillée et sage (une fois n’est pas coutume) qui l’attendait dans la chambre.
"Alors, ça fait du bien?, te voilà toute belle maintenant, aller, on continu, séquence visage!"
Elle l’a fit asseoir à la coiffeuse et commença tout d’abord par coiffer cette jolie chevelure blonde qui s’offrait à ses mains, et, en un petit quart d’heure, muni de sa brosse et son sèche cheveux, elle transforma le visage de la petite paysanne en jeune fille plus moderne. Et lorsque le savant mais discret maquillage lui fut appliqué, Fabienne ne se reconnaissait plus. Son visage s’était d’un coup transformé et pour la première fois, un sourire l’illumina, la rendant encore plus belle et désirable.
"Mademoiselle est elle contente de mon travail ?"
lui demanda Caroline, debout derrière elle, les mains sur ses épaules qui ne demandaient qu’à descendre dans l’échancrure du peignoir.
"Mademoiselle a bien travaillé, je ne me reconnais pas, je te remercie Caroline"
lui répondit Fabienne tout en soutenant beaucoup plus longtemps le regard que lui reflétait le miroir et se sentant d’un coup beaucoup plus sure d’elle.
Caroline l’avait bien remarqué et était assez fière d’elle, restait maintenant à l’habiller. Etant de taille pratiquement identique, à part une poitrine plus généreuse, elle n’aurait pas de problème à lui trouver une parure adéquate. Seulement, autant son envie d’en faire une femme à faire bander Pascal était forte, autant elle se demandait comment Fabienne réagirait. C’est elle qui lui donna la solution lorsque, lui proposant quelques culottes (les plus sages de sa garde robe, celles utilisées lors de ses périodes féminines), Fabienne lui demanda si elle pouvait mettre la même que celle qu’elle avait vu plutôt, dans la salle de bain. Un string ! Caroline n’en revenait pas, la petite complètement bloquée une heure avant, lui demande maintenant un string! Sa décision était prise, cela sera une femme fatale. Elle sortit alors tout un assortiment de petites culottes, les plus sexy les unes que les autres, et demanda à Fabienne de choisir celui qui lui plaisait le plus.
Apres avoir regarder, toucher, caresser les différents petits bouts de tissus, son choix se porta sur un string en dentelle bleue claire, assez ajourée. Caroline lui dit de l’enfiler tout en prenant le soutien-gorge assorti et, décidée dans sa démarche, pris aussi le porte jarretelles qui l’accompagnait.
"Quitte à en faire une femme, autant qu’elle soit des plus désirables!" Se dit elle et, se retournant, elle vit alors les fesses de Fabienne joliment séparées par la dentelle. Elle attrapa alors les bords de la culotte et les remonta doucement sur les hanches
"C’est comme cela que cela se porte, comment te sent tu?"
"Cela fait drôle, j’ai l’impression d’avoir les fesses à l’air"
"Mais ce n’est pas qu’une impression, tu les as. Tu verras, tu ne pourras plus t’en passer; tiens mets le soutif."
Elle l’aida à le fixer et le mettre en place mais l’ampleur des bonnets était un peu trop importante, laissant le fin tissus un peu trop vide.
"Tu ferais mieux de ne pas en mettre, d’ailleurs, tu n’en a pas trop besoin"
"Mais non, je ne pourrais jamais" s’affola t elle alors.
Caroline, ne voulant pas s’arrêter en si bonne éducation, l’a laissa faire et l’amena devant le miroir de la coiffeuse pour lui demander son avis. Fabienne était transformée à un point inimaginable et, les mains sur les hanches, se mit à tourner à gauche, à droite tout en rigolant de se voir ainsi vêtue. Lorsqu’elle se retourna pour apercevoir ses fesses dénudées, elle ne peut s’empêcher de passer ses mains dessus et regardant Caroline:
"C’est osé quand même, mais j’avoue que c’est joli"
"C’est très joli surtout quand les fesses sont jolies"
répondit la coquine, et pendant que Fabienne continuait à se découvrir dans le miroir, elle en profita pour lui fixer le porte jarretelles sur la taille, geste qui provoqua un mouvement de surprise de sa part.
"Cela fait parti de l’ensemble, alors tu n’a pas le choix. Et puis, là, ma fille, tu seras irrésistible" (et la plus belle pour aller danser comme le disait si bien Sylvie Vartan)
Elle le lui fixa, fit passer les jarretelles sous le string et y attacha la paire de bas noirs qu’elle avait choisi, les remontant doucement le long de ses cuisses douces. Caroline du se retenir de ne pas la violer sur place, tellement le désir lui montait à l’esprit. D’ailleurs, elle sentait facilement sa petite chatte devenir de plus en plus humide, elle qui prend plaisir à déshabiller les filles, la voila qu’elle en habiller une, mais l’effet était le même.
Ainsi vêtue, Fabienne était FEMME, et, pour la première fois de sa vie, elle s’en rendait compte. Sa tenue, sa coiffure, son maquillage lui avait réveillé ses sentiments purement féminins de se sentir belle, désirable, de le savoir et d’en profiter. Ainsi, lorsque Caroline lui proposa la touche finale en lui donnant le choix entre quelques robes, elle ne fut pas étonnée de la voir choisir une des plus ’classes’ mais des moins ’sages’.
C’est à ce moment qu’elles entendirent la porte de l’appartement s’ouvrir et Pascal, dans un grand vacarme volontairement annonciateur, fit comprendre qu’il rentrait.
"Ne bouge pas, je t’appellerais, on va lui faire la surprise"
Lorsque Pascal entra dans le living, Caroline était assise sur le canapé à feuilleter une de ses revues féminines qui comblent sa table de salon et dans lesquelles il aime bien jeter un coup d’œil, matant les pubs de lingerie, mais là, il s’en foutait totalement.
"Alors ?"
"Alors quoi?"
"Et Bien, elle est prête ?"
"Qui ça ?
"Arrêtes tes conneries, ou est Fabienne ?"
"Ah, elle? J’sais pas, elle doit être dans la chambre à pleurnicher"
"Que s’est il passé ?"
"J’ai commencé à lui mettre la main et puis elle l’a mal pris et on s’est engueulées"
"Putain, mais t’es intenable, faut que tu tire sur tout ce qui bouge, tu ne peux vraiment pas t’en passer"
"Parce que Môssieur n’est pas comme ça lui, alors pourquoi t’es toujours en train de bander"
"Mais je ne bande pas là, moi, mais je suis sur que toi, t’es trempée comme une fontaine"
Caroline saisit alors la perche tendue (à défaut d’autre chose pour ce coup ci)
"Ben oui, j’suis toute mouillée et je suis sure que d’ici 10 secondes ta bite sera dure comme du bois, FABIENNE, TU PEUX VENIR " hurla t elle, sûre de son effet.
La porte de la chambre s’est alors ouverte doucement, et une créature de rêve fit son apparition, moulée dans une petite robe noire qui dessinait parfaitement les courbes harmonieuses de son corps, fendue assez haut pour laisser deviner la lisière du bas noir qui recouvrait sa cuisse, de délicieux cheveux blonds ondulant légèrement avant de se perdre sur ses épaules, son visage métamorphosé par un maquillage subtile, le tout laissant Pascal sans voix pendant quelque secondes avant qu’il ne s’exprime que par un sifflement d’admiration. Alors que Fabienne marchait doucement dans la pièce, se faisant admirer, Caroline en profita pour rejoindre Pascal et, discrètement, posant sa main sur son sexe qui, comme elle s’en doutait, avait pris des proportions intéressantes.
"Alors Môssieur tout mou, elle ne te fait aucun effet ? J’en doute !"
(c’est vrai qu’il a une sacrée gaule le type!)
"Alors là, chapeau, bravo, félicitations, fantastique … (bon sa suffit). Caro, tu as fait une œuvre d’art"
"C’etait facile avec un modèle aussi …. Mouillant !"
Inutile de vous dire que les deux pervers que sont Pascal et Caroline n’ont qu’une idée en tête mais, à votre avis, comment va réagir la petite Fabienne qui, maintenant qu’elle se trouve transformée, doit certainement s’attendre à provoquer des envies tout à fait naturelles chez Pascal (Comment ça et Caroline? Attendez, une femme et une femme, même chez les cochons, cela ne se fait pas!) Et, elle même, ne ressent elle pas non plus ces sensations de désir qu’elle n’a qu’assouvi, jusqu’à ce jour, qu’a l’aide de ses doigts ? Mais non, cela ne se peut pas, n’oubliez pas, chers lecteurs, qu’ils sont cousins!
Pascal avait une impression d’étroitesse de plus en plus importante et, tout en essayant de tenir des propos cohérents, expliquait son idée du futur aux deux filles qui l’écoutaient tout en le dévorant des yeux (Du moins il y en a une qui n’arrêtait pas de se trémousser et de passer sa langue sur ses lèvres, signe d’une très grande envie de baiser!). Il l’hébergerait dans la chambre d’amis, verrait avec sa mère pour expliquer à la famille que la petite Fabienne en avait marre de traire les vaches et de vendre des fromages (il pouvait compter sur les arguments maternels qui, elle, savait de quoi elle parlait), il se mettait en charge de trouver un emploi, et qu’après, elle prendrait un appartement, elle trouverait un mari, et elle aura beaucoup d’enfants.
(Elle est pas belle la vie ?)
"Champagne !" Cria t il avant d’aller assurer le service en cuisine. Le temps de tout préparer, lorsqu’il retourna au salon, il fut surpris de voir Fabienne sangloter sur l’épaule de Caroline
"Aie, mon programme na pas vraiment l’air de te convenir"
"Si, mais (snif) je ne sais pas si j’arriverais à faire tout cela (snif)"
"A faire tout quoi ?, il n’y a rien de plus facile, c’est la vie après tout"
"Mais t’as rien compris mon biquet" intervint Caroline "……, elle est vierge!"
(Un lourd et long silence emplit le salon)
"Remarque, c’est vrai, je n’y pensais pas, mais avant de faire l’amour pour la première fois, j’étais vierge moi aussi" s’exclama alors Caroline
(Elle est forte pour décoincer l’assistance)
"C’est vrai, tu ne dois plus t’en rappeler, cela fait tellement longtemps"
ne pu s’empêcher de lui répondre Pascal, hilare de la connerie qu’il venait de sortir (pourtant elle était bonne!)
En tout cas, cela a eu le mérite de débloquer la situation et de faire sourire Fabienne.
"Tu veux que l’on t’apprenne?" lui demanda doucement, mais très sincèrement, Caroline
(re silence, mais moins long !)
"Mouii (snif)"
(c’était pas trop fort, mais elle a dit oui)
"Avec nous deux ?" Insista Caroline (celle là, dès qu’il faut baiser, elle est là)
"Oui, montrez moi, faites moi plaisir, j’ai envie"
(Alors là, âmes sensibles, veuillez fermer les yeux et boucher vos oreilles car ce qui va suivre n’est autre que le dépucelage d’une jeune fille inexpérimentée de 20 ans par un couple d’obsédés sexuels. Mais étant très respectueux de leur partenaire, il mettront tout en œuvre pour lui faire cet honneur)
Caroline lui pris la tête entre ses mains et, lui intimant l’ordre de ne plus pleurer, sauf de bonheur, entreprit de lécher tendrement les larmes sur les joues de Fabienne avant de dévier inexorablement vers ses lèvres fermées, sur lesquelles sa langue resta plus longtemps.
"Tu te laisse faire, tu ne dis rien, n’ai aucune crainte, on va s’occuper de toi, ton bonheur, ton plaisir"
Ses mots, dans la bouche de Caroline, se voulant les plus rassurants possible furent aussi le début de l’initiation érotique de Fabienne. Alors que Caroline caressaient tendrement le cou, les épaules et les seins de Fabienne, Pascal s’était assis a ses pieds et s’occupait des ses jambes gainées . Rapidement, avec un savoir faire impressionnant, Caroline eut ôté la robe de la jeune fille qui, en petit dessous, exprimait une dernière fois sa crainte avant que la main de sa partenaire ne vienne délicatement se poser sur son sexe
"Tu es déjà toute humide, laisse toi faire, tu vas voir, ça va être bon."
Pascal a alors repris ses caresses, se faisant plus pressant, remontant doucement vers le haut des cuisses pour venir déposer quelques baisers sur la peau nue entre la culotte et les bas. Son souffle se faisait de plus en plus pressant sur le sexe de Fabienne qui écartait doucement ses cuisses, ressentant les bienfaits de cette chaleur sur son petit minou, invitant Pascal à être plus entreprenant. Caroline, le jeans défait et enlevé, s’occupait maintenant des seins de Fabienne, faisant tourner sa langue sur les pointes dressées de désir, tenant les deux petits globes dans ses mains, avant d’enlever son débardeur et de présenter les siens à la bouche de Fabienne. Sans aucune appréhension, celle-ci lui rendit la même caresse, appuyée par la main de Caro qui vint se poser sur sa nuque. Lorsque Pascal posa sa bouche sur le fin tissus qui protégeait le sexe de Fabienne, un premier orgasme la secoua, fort, puissant, d’ un degrés jamais atteint dans la vie de la jeune fille. Le temps qu’elle se remette de ses émotions, Pascal ôta son tee shirt, son jeans et la déformation de son caleçon ne laissa pas Caroline insensible. Très vite, à genoux devant lui, elle baissa le dernier rempart de son partenaire pour faire jaillir sa bite, au meilleur de sa forme. Fabienne avait l’air d’apprécier le spectacle car nullement impressionnée par ce sexe d’homme qu’elle voyait pour la première fois, la vie sexuelle des animaux lui avait déjà permis de voir des engins beaucoup plus gros que le braquemart de son amant. En fait, ce qui l’intéressait au plus haut point, c’était l’activité à laquelle s’adonnait Caroline, livrant une fellation des plus torrides, se démenant comme une folle sur sa sucette, n’oubliant aucune parties des plus sensibles de l’anatomie de son étalon. Fabienne, de plus en plus curieuse, s’était rapprochée d’elle qui, bonne joueuse, l’invita à partager son met appétissant, lui montrant comment s’y prendre. À écouter les gémissements et autres commentaires de Pascal, nul doute qu’elle apprenait vite la leçon, si bien que ce dernier, comprenant que rien n’arrêterait ses deux vampires, se laissa sucer jusqu’à la jouissance qu’il déversa dans la bouche de Caroline et sur le visage de Fabienne.
Comme entrée en matière, elle était servie et avait l’air d’apprécier la précieuse liqueur qu’elle partagea avec Caroline dans un baiser au goût de sperme. Ce baiser laissa Pascal admiratif car il dura une éternité, les deux filles profitant pleinement de cette découverte, se caressant mutuellement, en profitant pour enlever chacune le petit string de l’autre. Et tout naturellement, elles se sont retrouvées en 69, se léchant le sexe, se caressant les fesses, le tout, avec beaucoup d’ardeur et d’expérience de la part de Caroline, et avec une grande envie d’apprendre et une rapidité d’adaptation de la part de Fabienne, s’amenant l’une et l’autre vers un orgasme pratiquement simultané. Pascal, quant à lui , avait retrouvé la vigueur de ses 22 ans, et s’apprêtait à passer à l’étape finale, laissant toutefois la belle récupérer de son plaisir, le temps de protéger son membre, tout en l’embrassant tendrement avant de lui demanda à l’oreille
"Tu es prête, veux tu toujours ?"
"Viens !" Ce fut la seule réponse de Fabienne.
Allongée sur la moquette, la tête posée sur les genoux de Caroline qui l’embrassait, la caressait, la rassurait, Pascal vint se placer entre les cuisses de Fabienne, lécha de nouveau ce petit sexe vierge, s’assurant qu’elle était prête à le recevoir, puis, dans une douceur et une tendresse qui surprenait Caroline, vint placer son sexe à l’entrée de la grotte serrée de Fabienne. Doucement, très doucement, il poussa son sexe entre les lèvres et une fois le gland recouvert, sorti pour recommencer plusieurs fois, faisant monter le plaisir de Fabienne. Puis, passant ses mains sous ses fesses, il lui releva légèrement le bassin et poussa un peu plus loin sa pénétration jusqu’à ressentir la barrière de l’hymen. D’un clin d’œil à Caroline, il lui fit comprendre que cela aller être imminent et celle-ci, en tant que bonne maîtresse, pris la bouche de Fabienne pour un baiser plein d’amour, couvrant la plainte de la rupture du barrage naturel. Pascal s’immobilisa quelque instants en elle, laissant sa cavité s’habituer à son mandrin, puis commença à la limer aussi doucement que tendrement, allant et venant sur une petite partie du con avant de s’enfoncer totalement en elle. Quel orgasme, qu’elle jouissance, Fabienne criait son bonheur, donnant l’air de prendre son pied toutes les 30 secondes, ne s’occupant plus de Caroline, seules ses mains labourer les omoplates de Pascal en le tirant vers elle.
Lorsqu’elle se calma, les deux amants comprirent que cette expérience était un succès et se libérant totalement d’elle, Pascal pris Caroline par la taille, la mis a quatre pattes et, après avoir enlevé sa capote, s’enfonça dans ses chairs avec une vitalité qui tranchait totalement avec sa douceur précédente. Fabienne les observait copuler ainsi, remarquant même qu’il n ’y avait peu de différence entres les hommes et les animaux, et entendant Caroline jouir à son tour, fut quelque part rassurée de savoir que cela n’arrivait pas que la première fois. Dans un dernier râle, Pascal sorti son membre du fourreau de Caroline et aspergea son dos de plusieurs jets crémeux. Et là, surprise, Fabienne vint lécher le foutre, nettoyer le dos et les fesses de Caroline, et, de la même manière que plutôt, partagea la semence en embrassant Caroline.
"Merci" ce petit mot, dans la bouche de Fabienne, eut l’effet de faire couler une larme sur la joue de Caroline (Quelle romantique celle là, une fois qu’elle a jouit!).
La suite ? Et bien Fabienne eut le temps de parfaire son éducation sexuelle grâce à ses deux amants, d’apprendre toutes leurs perversités, de découvrir (et d’apprécier) la sodomie, de jouer à des jeux de filles avec Caroline et ses godemichés et de jouir d’autre plaisir pas tous avouables.
Et maintenant, 6 ans plus tard ? Caroline est mariée avec Jérôme, un collègue de Pascal, elle a et une petite fille de 1 ans qui a pour Marraine Fabienne et parrain , Pascal.
Fabienne vit dans son appartement, elle a un petit copain avec qui cela marche très bien, il a revu ses parents 6 mois après son départ, les choses se sont faites plus tranquillement que prévu, et elle travaille en tant que secrétaire commerciale dans une société nouvellement créée.
Pascal, lui, vient de monter sa boite de commerce avec Jérôme, un collègue, il est toujours célibataire mais, obsédé comme il est, le plaisir est toujours présent dans sa vie. Seul, il continue à se branler, mais parfois, lorsqu’un dossier stressant est à traiter, il invite sa secrétaire chez lui pour l’aider à se destresser.
Un dernier truc, il s’est trouvé une activité d’écrivain, peut être talentueux, ça il ne le sait pas encore , mais il est content d’avoir pondu ce récit. Et si d’aventure cette histoire vous a plu, il est prêt à vous en raconter d’autres
PS :
Il peut arriver un tas de trucs dégueulasses sur cette planète, mais avant que Bush ne se décide, en tant que ’maître du monde’ à ’enlever le droit au plaisir, profitez en toutes et tous.
Pascal