n° 05895 | Fiche technique | 22945 caractères | 22945Temps de lecture estimé : 14 mn | 21/03/03 |
Résumé: La decouverte de celle qui a fait celui que je suis | ||||
Critères: fh amour volupté voir lingerie anulingus 69 fdanus humour | ||||
Auteur : Pascalker (Bien dans sa peau, sans prétention, heureux de vivre) |
Tout d’abord, un grand merci aux critiques de ne m’avoir pas trop "taillé", et croyez bien que je vais tenter d’appliquer vos conseils, et ensuite, pour la quinzaine de personnes qui m’ont écrit, même si je n’ai pas trouvé l’âme sœur (je pense à vous Margot et Christelle!), je vous remercie de vos encouragements et de vos propos sympathiques. Ne serait ce que pour vous, je me permets de me lancer dans mon deuxième ’best seller" en espérant qu’il soit aussi apprécié que le premier (n° 5810)
Dédié à Caroline !
Etudiant bon chic mais pas tous les jours bon genre, dans la belle ville de Versailles, j’aimais traîner mes guêtres du côté du château et plus particulièrement vers la pièce d’eau des Suisses. En effet, nombre de jeunes mamans venaient y faire gambader leurs bambins et, assis sur un banc, je prenais plaisir à les mater, espérant trouver là une jeune femme de la bourgeoisie en mal d’amour. (Ah!, les fantasmes, lorsqu’ils vous tiennent).
C’est lors d’un nouveau retour bredouille vers ma chambre d’étudiant que je l’ai vu. Ou plutôt, que j’ai vu son cul. Magnifiquement moulé dans un pantalon en cuir noir, bombé à souhait, je pouvais aisément deviner la marque du string qui lui faisait office de culotte. Je suis resté 2 ou 3 minutes à regarder ce petit cul qui s’animait devant moi, derrière cette vitrine car, en fait, elle était tout simplement en train de l’aménager avec les différents produits de la nouvelle collection. Mais qu’acheter dans un magasin d’ …. Animalerie lorsque vous n’avez ni chat, ni chien et que vous ne supporter pas les oiseaux en cage ?
La clochette venait de teindre et je me retrouvais au milieu de cette jungle, les poissons m’accueillant par de grands "gloups gloups", avant qu’une femme d’un âge certain ne m’accueille par un bonjour monsieur des plus banals.
"Vous désirez ?"
"A vrai dire, je suis intéressé par le petit animal que vous avez en vitrine"
"En vitrine, mais à part les cages, et les litières, il n’y a pas d’animaux"
"Ah bon, j’en ai pourtant vu un des plus charmants"
La pauvre ne comprenait rien à ce que je lui racontais, et un peu déstabilisée, elle me demanda de le lui montrer. Elle me suivi dehors et devant la vitrine, la charmante petite biche nous regardait avec ses yeux ronds et interrogatifs.
"Vous voyez bien qu’il y a un charmant animal" lui dis je très sérieusement
"Monsieur, vous n’ êtes qu’un malotru , faire perdre son temps aux commerçants respectables, c’est une honte. Au revoir monsieur !"
Et à disparaître aussitôt dans sa boutique en prenant soin de me fermer la porte au nez.
Ma petite biche me regardait tristement, ayant compris mon désarroi suite à l’attitude de sa patronne, puis descendit de sa vitrine et disparue dans le magasin.
Il était 18H45, soit un quart d’heurs avant la fermeture et comme Jeanne D’arc, une voix me dit d’attendre à quelque pas de là. Comme prévu, à l’heure dite, je vis une grille descendre devant la vitrine, et très rapidement, le petit animal et sa respectable commerçante en sont sorties et ont baissé le dernier rideau. Là, il y a des jours où tout va mal, ou elles auraient pu partir ensembles de l’autre coté, ou encore ensemble de mon coté, ou alors chacun d’un côté me laissant bien entendu avec la patronne, mais il y a aussi des jours où tout va bien, car c’est exactement ce que je souhaitais qui arriva (vous voulez un dessin ou une explication ?). Rapidement, elle dépassa l’arrêt de bus ou je me trouvais embusqué, et prenant sa suite, je l’abordais:
"Dites Mademoiselle, votre patronne est toujours aussi coincée?"
"Ah, c’est vous! Mais que c’est il passé pour l’avoir mise de si mauvaise humeur"
"Bien je désirais tout simplement caresser le joli petit animal qui était en vitrine"
"Mais je peux vous assurer qu’il n’y avait pas d’animal dans la vitrine, d’autant plus que j’étais en train de la refaire"
"C’est bien ce que je disais, mais là, il vient de s’échapper"
Elle eut le réflexe de se retourner vers la boutique et d’un coup, elle s’arrêta net, comprenant d’un coup qui était le petit animal ce qui l’a fit rougir.
"Puis je me permettre d’accompagner quelque peu cette petite biche et la protéger des méchants chasseurs?"
"Je vais prendre mon train à la gare! "
"C’est ma direction"
Et là, j’ai tout appris de sa vie professionnelle qui l’ennuyait à mourir, obligée de supporter sa "charmante" patronne qui en fait était une amie de l’amie de l’amie de …. je ne sais plus qui, et qui l’avait embauchée à titre de service qu’elle devait rendre, soit, en clair, à contre cœur, avec tous les inconvénients qui en découlaient pour mon petit Bambi. Bref, cette discussion nous amena à Versailles Chantier, terminus de notre promenade, mais ponctué d’un "merde" qui marquait le fait que son train venait de partir, laissant le prochain dans 45 mns.
"Ecoutez, je me sens entièrement responsable de vous avoir retarder, alors pour m’excuser je vous propose trois possibilités. Un, je vous offre un verre dans cet infâme buffet de la gare enfumé et bruyant en attendant votre prochain train, deux je vous offre le dîner dans un petit restau sympa, ou trois, je me propose de vous ramener chez vous avec ma petite voiture de sport"
Là, mon air con a du se remarquer dans tout le hall de gare, ayant sorti mes propos comme tout jeune homme en état de drague avancé, attendant bêtement sa réponse qu’elle préparait en me regardant en souriant.
"Et bien pour la peine, puisque vous m’avez gâcher ma soirée, je prendrais la proposition numéro 2" ……un petit silence et elle ajouta "Puis la 3 !"
Un petit coup de portable et la table était réservée, le temps de passer dans la rue des lilas et nous étions dans ma twingo (de sport), et 15 mns plus tard, je saluais José qui, vu que j’étais accompagné, se dispensa de ses blagues limites. Il a au moins ça de bon le José, quand il faut se faire discret, il sait le faire et nous proposa même une table tranquille, à l’écart du reste de la clientèle. Oh, ce n’est pas Maxim’s ou le regretté Loiseau, c’est une petit restau sympa, bonne bouffe simple, ambiance calme sauf quand l’on débarquent à 20 étudiants pour des soirées que la morale m’empêche de vous décrire.
Mais revenons à ma petite biche
"Bien, voila une heure que j’ai ramassé un petit animal perdu et je ne sais toujours pas comment il s’appelle"
"Caroline, et mon sauveur ?"
"Pascal, tout simplement, pour te servir. Euh, vous permettez que je vous dises tu?"
"C’est quand même plus sympa, non?"
Plus je la regardais et plus je sentais de bonnes vibrations entre mes jambes. Et oui, cette fille me faisait bander, Oh pas une érection à ne plus tenir, mais une légère grosseur, une de celles qui viennent toute seules, lorsqu ’une idée, une image ou une situation coquine vous traverse l’esprit. Ces yeux verts, son petit nez en trompette, ces quelques taches de rousseur sur ces joues, ses lèvres parfaitement dessinées, le tout encadré dans une jolie chevelure brune qui lui arrive à mi épaules, qu’est ce qu’elle est belle!
"Mais dis moi, sans vouloir être indiscret, mais un peu curieux quand même, personne ne t’attends à la descente du train?"
"On m’attendait il y a encore 3 semaines, et puis vu qu’il arrivait de plus en plus en retard à la gare, et bien, un jour, je lui ai dis que ce n’était plus la peine qu’il se déplace et je crois que cela l’a arranger, qu’il devait même avoir un autre train à attendre!"
"Ah! " Telles furent les seules paroles qui ont pu sortir de ma bouche à cet instant (quel vocabulaire impressionnant !)
"Tu vois que tu ne te trompais pas beaucoup lorsque tu parlais d’un petit animal perdu. Au fait, que m’as tu dis tout à l’heure?, qu’elles étaient tes intentions lorsque tu as vu le petit animal en vitrine"
"Euh je ne sais plus trop, tu sais c’était juste pour t’accoster"
"Je crois que tu as dis que tu aurais bien voulu caresser ce petit animal" me rappela t elle
Silence
"Et je crois que le petit animal a besoin de caresses" ajouta elle de manière très coquine.
Tout le monde, je pense, aura compris que c’était, comme on dit, dans la poche, surtout que sa main est venue se poser sur la mienne (un peu de romantisme dans un monde si cruel !) Et ses yeux plantés dans les miens
"Et je suis sure que tu dois être très caressant"
Les dés étaient jetés et comme je l’avais personnellement cherché, je ne me voyais pas faire marche arrière, d’autant plus que ce que j’avais entre les jambes, qui des lors, était presque à son maximum, m’interdisait cette issue. J’ai simplement demandé à José l’addition, faisant l’impasse sur le dessert que je comptais bien lui proposer plus tard, et comme celui ci est vraiment intelligent, c’est avec une grand sourire qu’il dit à Caroline
"Bonne soirée, Mademoiselle"
Et se tournant vers moi, clin d’œil à l’appui
"J’espère que Monsieur n’es pas trop ’lourd’ après ce petit repas, bonne soirée Monsieur"
Une fois dehors, juste avant de reprendre ma voiture de sport, Caroline se fit plus pressante contre mon épaule, allant jusqu’a me bousculer pour en fait me plaquer le long d’une porte cochère, me prendre par le cou et me rouler un patin de chez patin.
"Excuses moi, mais j’en avais trop envie" me dit elle après de longues minutes de baiser enflammé ou j’ai pris grand plaisir à goûter sa langue agile et gourmande.
"Mais je t’en prie"
En voiture, après m’avoir indiqué la direction Trappes, elle me commença à me parler du restau en me disant que j’avais l’air de bien connaître le patron. Que voulez vous répondre si ce n’est qu’en effet, pratiquement tous les vendredi soirs, ce lieu rassemblait un certains nombre de personnes triées sur le volet pour de folles soirées de délire. Bien sur, je ne lui ai pas dis que la salle de jeux située au sous sol (tout à fait légalement, je tiens à le préciser, ce n’est pas un tripot clandestin) devenait lors de ses soirées, un lupanar ou chaque couples pouvaient s’envoyer en l’air, comme si j’allais dévoiler tous mes petits secrets le premier soir.
C’est un petit appartement sympa qui nous a accueilli, et même si le rangement était loin d’être parfait, je me rappelle d’une petit culotte et d’un soutif qui traînait sur la table, c’était assez douillet
"Ne regarde pas le bordel, mais ce matin, je ne pensais pas ramener un charmant jeune homme ce soir"
Et ramassant ces dessous, elle me les montra
"Je comptais mettre cela ce matin mais je me suis ravisée"
"Il est certain que le string que j’ai deviné sous ton pantalon dans la vitrine est beaucoup plus sympa"
"Parce que tu m’a maté le cul!"
"Bien oui, c’est toi qui me le montrer"
"Salaud! Aller sert nous un verre, je vais prendre une petit douche, je pue trop"
Ah, au moins quelqu’un de propre. C’est important la propreté, non. Personnellement ayant terminé la journée par 2 heures de sports, j’étais encore ’frais’ et le déodorant faisait encore largement sont effet (Adidas Sport Field pour ceux que cela intéresse)
Apres cette pause publicitaire, entendant la douche couler, je criais pour lui demander ce qu’elle voulait boire
"Comme toi" me répondit elle
Alors ça, je n’aime pas. Comme moi et si elle n’aime pas ce que j’aime, on fait comment? Un coup d’œil dans les bouteilles et j’opte pour une boisson au goût peppermint ,vais chercher des glaçons dans la cuisine, faisant comme chez moi, et sers deux verres. Apres, et bien comme tout le monde dans ces cas là, je fais le tour du propriétaire, regardant les bibelots, les diverses photos, les revues, cherchant je ne sais quoi de la vie de ma nouvelle compagne. Lorsque la douche s’arrêta, toujours comme tout le monde, je me suis installé sur le canapé pour attendre son arrivée. En la voyant sortir, je ne pu m’empêcher de penser à toutes ces histoires qui racontent le même scénario, car la belle m’apparut en peignoir de satin, assez court, simplement fermé par une petite ceinture nouée sur son ventre. Elle aurait pu apparaître dans un déshabillé transparent avec le porte jarretelle, ou alors tout simplement toute nue, et bien non.
"Tiens tu aime le …(bip), moi j’adore cela surtout avec des glaçons, et je vois que tu as pensé à tout, tu as l’air d’un petit gars bien"
Et lorsqu’elle vint s’asseoir a mes cotés, mes yeux n’ont pu s’empêcher de lorgner vers le pan de son peignoir légèrement ouvert me dévoilant une poitrine dont je suis aussitôt tombé amoureux.
"Comme je vois que tu ne te gêne pas pour me mater où les fesses où les seins, laisse moi à mon tour voir ce qu’il y a l’a dessous"
En dans la foulée, vint se mettre a genoux sur mes cuisses, ôta mon sweet et mon tee shirt, découvrant un torse pratiquement imberbe mais assez bien musclé (je vous l’ai dit, je fais du sport!) sur lequel sa bouche commença à courir quelques instant avant de reprendre la mienne pour un nouveau baiser.
"Tu sens bon, j’ai envie de toi" (Adidas, je vous dit!)
Et de redescendre sur mon torse mais sans s’y arrêter cette fois puisqu’elle se fixa entre mes cuisses, s’agenouillant sur la moquette. Alors, telle une petite coquine que l’on ne rencontre que dans les films pornos, elle passa sa main sur ma queue, jugeant son volume et un petit sourire aux lèvres, commença à me déboutonner le jeans. L’aidant à l’enlever complètement en soulevant les fesses, il se trouvait sur mes chevilles lorsque sa bouche s’est posée sur mon membre a travers mon caleçon. Hum quel délice, rien que cette caresse m’a mis dans un état indescriptible. Que vous dire alors une fois qu’elle eut découvert tout cela. Et bien tout simplement que c’était divin. Je ne me souviens pas d’une pipe si sensuelle, si raffinée, jouant de sa langue, ses doigts, ses lèvres, mon pompant, me léchant me branlant, caressant mes couilles comme si elle voulait en extraire le maximum de jus, me reprenant en bouche, me relêchant. Bref, vous l’avez compris qu’à ce rythme, et bien le père Pascal n’en pouvait plus et j’ai eu beau l’avertir de mon plaisir imminent, elle ne m’a pas lâcher pour autant, me faisant jouir dans sa bouche, avalant tous les jets crémeux que je sentais sortir de mon sexe (Je vous l’avez bien dis qu’elle aurait son dessert).
Terminant ma toilette pendant que je me remettais doucement de ce traitement de choc, elle me dit tout simplement
"Au moins comme cela, tu seras plus endurant pour mon plaisir" (Ben voyons!)
Le temps de me défaire de l’étreinte de mes vêtements, j’étais nu devant elle, la bite légèrement ramollie mais sachant très bien que ce n’était que temporaire. Je me suis alors agenouillé pour prendre la même position qu’elle occupait et mes mains remontèrent doucement sur ses cuisses bronzées, passant par dessus le peignoir, remontant sur son ventre et ses seins avant d’aller à mon tour l’embrasser. Puis, comme elle l’avait fait précédemment, je redescendais sur son corps ayant pris soin de dénouer sa ceinture et tomber sur ses deux globes appétissants et réceptifs à mes caresses. Mon dieux qu’ils étaient beaux, ronds et bien fermes, un bonheur de petits seins. C’est elle qui m’a poussé à descendre plus bas, et écartant complètement le peignoir, ma langue se coinça sur un petit anneau qui ornait son nombril
"Hum ça c’est super mignon" lui dis je
Je continuais alors ma descente au paradis pour trouver un petit string en tulle transparent qui laissait deviner une jolie petite chatte brune appétissante, et les marques de mouille qui imprégnaient l’entre jambes démontraient le plaisir de la belle.
"Puisqu’ apparemment tu as aimé deviner mon string tout a l’heure, j’ai pris l’initiative d’en mettre un autre"
"Tu ne crois pas si bien dire ma belle" (moi qui suis un fou de lingerie, j’étais aux anges)
Ma langue s’appliqua alors à mélanger ma salive à sa mouille, même si ce fut impossible, avant d’écarter ce petit bout de tissus et d’offrir le premier orgasme à Caroline, qui, gémissant gentiment, m’en mis plein la bouche.
"Hum, c’était divin comme hors d’œuvre. J’attends le plat de résistance avec impatience, mais viens"
Et elle me pris la main pour m’amener dans sa chambre. Le lit défait, sa nuisette qui traînait, cela ne nous a en rien arrêter et très vite, nus l’un contre l’autre, nos avons repris nos activités par de nouveaux baisers et sentant ma bite sur son ventre, elle me tendit un préservatif et me demanda de la prendre. Me sentant d’humeur faignante, je me suis allongé sur le dos et la queue fièrement dressée je lui ai dis de se servir toute seule. Elle m’a protégé d’un geste que je qualifierais d’habitué, c’est ensuite placée au-dessus d’elle et la tenant bien en main, se l’ai guidée vers son minou et s’est tout doucement empalée dessus. Elle me regardait, la bouche entrouverte mais d’où ne sortait aucun son jusqu’au moment ou complètement au fond, elle lâcha:
"Mouiii, qu’est ce que c’est bon"
Elle menait elle même le rythme, montant et descendant le long de mon membre, accélérant, ralentissant, alors que mes mains plaquées sur ses seins, je mettais tout mon ardeur à lui faire durcir les bouts. Et ce qui devait arriver arriva, elle jouit comme une folle, râlant, jurant son plaisir. Moi j’étais content car ayant réussi a supporter ce traitement, j’étais toujours d’ardeur à la satisfaire (C’est comme cela que l’on se fait une réputation) et la laissant quelques instant se remettre:
"ça c’était le premier plat, passons au deuxième"
Je la fis mettre à quatre pattes et c’est en levrette que je me remettais en elle (Ca, j’adore!) Que c’était bon, que c’était beau, son petit cul qui remuait devant moi, ma queue qui entrait et sortait de sa chatte trempée, ses seins qui ballottaient son corps et ses halètements à chaque fois que je m’enfonçais au plus profond d’elle, à ce rythme, c’est moi qui suis venu en premier, déchargeant dans la capote ce qu’elle ne m’avait pas pomper précédemment.
"Quel gâchis" me dit elle alors que je retirais cette dernière
"Désolé, cela sera pour plus tard"
"C’est que je re veux du dessert moi!"
Quelle gourmande cette Caroline
Vous pensez bien qu’une petite pause était bien méritée et me relevant pour aller chercher les verres qui n’étaient pratiquement pas entamés, j’ai failli tomber en glissant sur un …. Godemiché. Je m’en saisis et le lui montrant
"Eh, que veux tu, je t’ai dis que cela fait trois semaines que j’ai changé de compartiment, mais d’après ce que j’ai vu ce soir, je peux le ranger" me dit elle dans son plus beau sourire
Alors là, ma fierté était au top du top et c’est en 69 que nous avons repris notre lutte amoureuse. Elle sur moi, me présentant son petit minou ouvert et offert, alors que bien vite, ma bite retrouva une forme raisonnable entre ses lèvres actives, sa langue fouineuse et ses mains caressantes. Prenant ses fesses à pleines mains, ma langue s’agitait à partir de son petit clito gonflé jusqu’à son petit trou serré, sa petite rosette qui m’attirait de plus en plus. Et comme ce traitement avait l’air de lui plaire; a en croire ses mouvements et gémissements, c’est tout naturellement que mon doigt a forcé le passage étroit de son anus, si bien que, comme tout homme qui se respecte, je n’avais qu’une idée en tête, l’enculer. Et bien, non! A peine s’être sortit de ce "tête à queue" endiablé, lorsque j’ai pointé mon gland devant ce petit trou à l’origine de mes nombreux fantasmes, j’ai entendu
"Désolée, mais pas par là !"
"et pourtant la porte à l’air ouverte !"
"Oui, mais trop douloureuse pour t’accepter"
Bon, même si le désir s’efface devant le respect, c’est une nouvelle fois dans son sexe que ma petite copine de biroute s’est plongée avec joie. Et là, vous pouvez me croire, elle s’est défoulée comme une bête, plongeant, sortant, re entrant, prenant un immense plaisir à visiter cet âtre chaud, doux et humide. Et la belle Caroline avait l’air d’apprécier mes coups de reins, gémissant, haletant, criant à chaque plongée aux royaume des délices. Si bien que ce qu’il devait arriva, la belle partit dans un orgasme terrible, prenant, émouvant même. Et moi, au bord de l’ éjaculation, me rappelant alors sa dernière réflexion, je me suis empressé d’ôter ce petit capuchon de latex si désagréable (mais o combien important de nos jours!) pour glisser Popaul dans la bouche de ma chère et le laisser déverser le fruit de notre union, emplissant sa bouche du dessert tant réclamé. Alors là, dans le feu de l’action, je me suis retrouve à partager ce nectar lors d’un baiser passionné. Et, pour tout avouer, autant l’idée d’avoir du sperme en bouche ne m’était jamais venu à l’esprit, trouvant même cela d’une répugnance indescriptible, et bien, oui, j’ai partage ma semence avec Caroline.
Cet acte, aussi simple soit il (en y repensant maintenant) fut en fait le début d’une relation amoureuse, torride, entière, et surtout complice dans l’amour.
Depuis, Caro est ma muse, ma complice, ma confidente. Nous savons tout les deux qu’entre nous l’acte sexuel n’est que plaisir et qu’il en sera toujours ainsi, heureux que nous sommes de nous retrouver quand le besoin s’en fait sentir.
Et pour vous le prouver, je ressortirais bientôt ma plume (mes doigts sur mon clavier, bande d’obsèdés!) pour vous raconter d’autre passage de notre union sensuelle et ô combien tumultueuse
A bientôt
Pascal