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Temps de lecture estimé : 15 mn
22/03/03
Résumé:  Rencontre à la piscine Dunois pour un après-midi de luxure entre garçons...
Critères:  hh hbi jeunes couleurs inconnu grossexe piscine volupté exhib fellation anulingus préservati hdanus hsodo init
Auteur : CoolOthello  (Cool Othello)            Envoi mini-message
Un si bel après-midi


Samedi. Treize heures. Le moment que je préfère dans cette piscine de quartier où je vais nager chaque week-end pour me décharger d’une semaine de travail. Les enfants qui viennent le matin et encombre les lignes de natation avec leurs bouées sont partis manger. Les habitués ne viendront que plus tard. C’est l’été, et pour les parisiens il y a de nombreuses activités de plein air à préférer à cette piscine couverte de seulement vingt-cinq mètres. Alors j’en profite: crawl, brasse, papillon, je ne risque de cogner personne et ce sentiment de liberté est très agréable. L’eau est agréablement fraîche, limpide et glisse en une longue caresse le long de mes jambes.


Nous ne sommes que trois dans la piscine. Deux sœurs d’une cinquantaine d’années, encore athlétiques et très sympathiques, alignent les longueurs de brasse. De temps en temps, en faisant une pause, nous discutons un peu. Elles aussi sont des habituées et cela fait bien deux ans que nous nous côtoyons dans cette piscine. Je me rappelle comment elles ont été sympathiques quand j’ai rompu avec ma copine, comment elles m’ont aidé à prendre les choses du bon côté. On n’est jeune qu’une fois, et il ne sert à rien de se morfondre. La vie me réserve d’autres surprises, il suffit d’être patient et de profiter des bons moments qu’elle a à offrir. Aujourd’hui, nous n’avons pas beaucoup discuté. Elles parlent de façon animée de préparatifs pour leur dîner, auquel elles ont invité quelques amies. D’ailleurs, elles ne restent pas. J’ai toute la piscine pour moi seul. Le moniteur me connaît bien, me fait confiance pour ne pas me noyer pendant son tour de garde, et est plongé dans ses polycopiés. Il est étudiant et a des examens à rattraper en septembre.


Un moment, je pense à enlever mon maillot pour goûter à la sensation grisante de nager entièrement nu. Mais un plouf retentissant me ramène à la réalité. Je vois émerger près de moi la tête d’un garçon brun et souriant qui nage maladroitement jusqu’au bord de la piscine et s’y agrippe, un peu essoufflé. Nous nous saluons amicalement, puis je m’élance pour quelques longueurs. Il garde son côté de la piscine et ne me gêne pas trop. Je décide de faire un peu d’apnée et le spectacle qu’il offre vu de sous l’eau est comique. Ses bras et jambes partent dans tous les sens, il tente un crawl pitoyable, la tête hors de l’eau, le corps oblique. J’ai pitié de lui:



Démonstration à l’appui.



Pendant une bonne demie-heure, je montre à Olivier les rudiments de la natation. Comme l’eau chlorée lui pique les yeux, je lui prête mes lunettes. Il apprend vite, s’applique, avec une volonté évidente de progresser. Je lui offre un pot après sa "séance", histoire de le récompenser. C’est un garçon sympathique et ouvert, assez réfléchi pour son âge, pas du tout intimidé par les adultes. Il m’apprend que ses parents viennent d’emménager à Paris, qu’il commence à se faire des amis et qu’il est assez impatient que la rentrée en terminale arrive. Je m’étonne qu’il nage si mal. En fait, il a toujours vécu à la Réunion et a appris tout seul à la plage. Les activités sportives de son lycée ne comportaient pas la natation.



* * * * *


La semaine d’après, la piscine est toujours aussi vide. Les deux dames et moi, puis Olivier qui arrive vers quatorze heures. Les dames lui donnent quelques conseils pour améliorer sa brasse, également pitoyable au départ, et nous passons un bon moment.



Nous nous dirigeons vers les douches pour rincer le chlore. Comme il n’en a pas, je lui passe de mon gel douche. Je remarque qu’il me mate du coin de l’œil quand je me savonne les poils pubiens et je lève un sourcil interrogateur.



Olivier ne cherche même pas à cacher un début d’érection. Il a une très jolie bite, à la forme régulière, qui jaillit d’une touffe de poils bruns et légèrement frisés, plaqués sur son corps par l’eau de la douche. L’air de rien, le garçon saisit sa serviette et commence à se frictionner vigoureusement. Je le détaille. Des épaules larges, des membres bien découpés et musclés sans relief excessif, des mollets superbes, des fesses rondes et blanches, tranchant sur son dos bronzé. Un très beau garçon, ma foi. Nos regards se croisent, puis le sien s’abaisse jusqu’à ma bite qui est presque complètement redressée. Il éclate de rire.



Sa franchise me rend confus et je ne réponds rien. Je m’enroule la taille dans ma serviette, tâchant d’atténuer la bosse apparente devant, et je vais prendre mes vêtements au vestiaire, Olivier sur les talons. Quand je sors du bâtiment de la piscine, il m’attend, assis sur les marches.



Nous marchons en silence jusqu’à mon appartement. Chaque fois que je le regarde, Olivier sourit légèrement. Il essaie de siffloter pour se donner une contenance, puis éclate d’un rire nerveux. J’ai les tempes qui bourdonnent, ce qui m’arrive est trop beau pour être réel. Arrivés dans mon studio, je lui dis de se mettre à l’aise. Il balance son sac dans un coin et s’écrase sur le canapé-lit.



Pas de réponse. De toutes façons, vu mon état, j’en ai besoin également, pour me décoincer. Allons-y pour deux punchs ! Citron vert, rhum, sirop de canne et glaçons. Je prépare deux verres et je lui en tends un. Je mets un CD de jazz.



Après deux gorgées de punch, j’ai rassemblé le courage nécessaire pour m’asseoir sur le divan, à côté de lui. Sans s’aider de ses mains, Olivier se débarrasse de ses tennis. C’est l’été, il ne porte pas de chaussettes, comme moi. J’imite son geste et nous restons quelques secondes à contempler nos doigts de pied en éventail, en rigolant.



La franchise de sa question, son calme apparent, son sourire, me font craquer. Je suis sur le point de me faire un superbe minet, ma braguette va exploser et j’ai les mains qui tremblent. Je lui prends le verre des mains, pour le poser par terre, et je me tourne vers lui.



La tension érotique de cet instant est intolérable. J’ai envie de me pencher vers lui pour l’embrasser, mais je ne sais pas comment il va prendre un tel geste. Son regard est très mobile, ses narines palpitent. Il est peut-être à deux doigts de foutre le camp.



Je suis soufflé par son culot, son aplomb. Plus encore quand il se penche vers ma braguette et entreprend de défaire la boucle de mon pantalon, puis ma braguette. Quand il saisit ma bite à travers le slip, je suis sur le point d’éjaculer. Il la libère et la tient d’une main ferme, éprouvant sa dureté, l’air fasciné par mon gland au bout duquel brille une goutte de liquide cristallin.


Il commence à me branler doucement, et je sens que si je ne fais rien, je vais lui gicler dessus, là, tout de suite. Je repousse sa main doucement, et je me déshabille. Frénétiquement, il fait de même. Bermuda, chemises, t-shirts, slips, volent dans tous les sens. En quelques secondes, nous sommes nus l’un face à l’autre. Je reçois sa beauté comme une vague brûlante au visage. Les épaules rondes et musclées, le torse bien découpé, le ventre plat où des poils sombres dessinent un sillon jusqu’à la touffe de son pubis, d’où émerge une belle bite fine et droite, d’un dessin régulier. Une bite idéale, que l’on aurait taillée dans le marbre de la Renaissance, modelée dans la porcelaine chinoise, moulée dans le bronze des maîtres de l’Antiquité. Par comparaison, mon gros chibre épais et légèrement recourbé vers le bas a quelque chose de bestial. Et ce quelque chose de bestial lui plaît.


Olivier se penche vers moi, prend le gland dans la paume de sa main, achève de le décalotter et la contemple. Puis, doucement, il avance sa tête. Son front bute sur mon ventre crispé, puis je sens son souffle chaud sur ma bite et sa langue qui se pose sur le gland, trace un cercle humide, puis un deuxième, avant de filer sur la hampe et de finir par un baiser sonore sur ma hanche. Il se redresse, souriant et rouge de confusion à la fois.



Submergé par la lubricité, je le prends par les épaules, le renverse en arrière et plonge sur son torse imberbe, aspirant ses tétons, léchant ses côtes saillantes, plongeant la langue dans son nombril. Olivier se tord sous moi, partagé entre le rire et le désir qui le submerge. Je lui écarte les jambes presque brutalement pour fourrer mon nez dans ses couilles délicatement fripées. Je les agace du bout des lèvres, puis je me saisis de son sexe, que je redresse vers moi. Il se fige immédiatement et me regarde. Les yeux plongés dans les siens, j’ouvre la bouche et j’y fais entrer sa tige vibrante dans sa totalité. Je la baigne de salive et la caresse d’un lent mouvement de langue, tandis que son gland va buter au fond de ma gorge. Olivier est tétanisé, sa respiration est bloquée et ses yeux presque exorbités par le plaisir.


Je commence un lent va-et-vient, l’aspirant à chaque fois jusqu’au fond de ma bouche, et il ferme les yeux, crispé, avant de lâcher en gémissant contre mon palais une décharge tiède et salée, que j’avale, à ma grande surprise. J’avale tout, même si le goût du sperme ne me plait guère d’habitude, et je baigne sa bite qui ramollit à peine dans ma salive, la frottant de ma langue pour lui rendre sa netteté, jusqu’à ce qu’il me repousse doucement, avant de retomber en arrière.


Le laissant récupérer, je reprends mon verre de punch pour faire passer le goût du sperme. Au bout de quelques minutes, il se redresse, souriant, et vient s’agenouiller sur le sol entre mes cuisses.



Les yeux fermés, il se penche sur mon sexe, le renifle, le masturbe doucement pour en éprouver la fermeté, puis pointe la langue pour lécher le liquide salé qui coule de mon gland. Son magnifique visage imberbe me fait penser à un enfant se régalant d’une sucette, mais ses petits regards, de temps en temps, révèlent une pointe de douce perversité. Il sourit, découvrant largement ses magnifiques dents blanches, et fait mine de me mordre le gland, l’effleurant délicatement de ses canines. La sensation est presque insupportable, et il l’atténue d’un coup de langue avant de recommencer. Ce gamin est manifestement un expert, et je l’imagine soudain sur une plage déserte de la Réunion, en train de régaler un de ses petits copains allongé sur le sable d’une fellation passionnée.


Il ouvre la bouche largement pour laisser passer mon gland, que sa langue accueille par une folle sarabande, puis semble se décrocher la mâchoire pour en prendre encore plus, jusqu’à ce que je m’écrase avec délices contre ses amygdales. Sur le tiers de ma bite qui reste dehors, sa main s’active, masturbe, presse, tandis que l’autre me caresse les couilles. Je le saisis pas les oreilles et le tire doucement jusqu’à moi. Il ne dérobe pas son visage et m’embrasse de ses lèvres gonflées et échauffées par leur travail sur ma bite. Un baiser délicieux et baveux où sur nos langues se mêlent le rhum, le citron vert et le goût du sexe.


Olivier redescend, me reprend dans sa bouche et recommence à pomper, plus mécaniquement, plus efficacement. La montée du plaisir est immédiate et je le préviens avant de gicler. Ses lèvres forment un joint étanche autour de ma bite et il aspire en jouant de la langue, multipliant mes sensations. De voir ce gamin à face d’ange en train d’avaler mon foutre double mon plaisir, et je défaille quasiment. Ma culpabilité est dissoute dans l’euphorie qui me gagne.


Il m’aide à m’installer de tout mon long sur le canapé, puis s’agenouille de part et d’autre de mon visage en me disant d’une voix enjouée:



Sur ces mots, il me plante sa bite raide dans la bouche et commence à me baiser la gueule sur un rythme langoureux, en suivant la musique jazzy qui emplit l’atmosphère. Je laisse paresseusement coulisser son chibre délicieux sur ma langue, aspirant de temps en temps son gland quand il est sur le point de sortir, mordillant la base quand il fait mine de s’enfoncer trop loin pour mon confort. Olivier gémit son plaisir, murmure des encouragements, des remerciements, me caresse les oreilles, le front, s’excite, le ventre tendu en avant. Je prends ses fesses dans mes mains, je les pétris, les caresse, les écarte et les resserre, sans me décider à aller vers son oeil de bronze. Mais la perspective de cet orifice tendre et étroit me plonge dans la luxure et je rebande rapidement. Penché en arrière, Olivier me branle malaisément. Je lâche sa bite dans un gerbe de salive, et lui fais signe de se retourner. Sans perdre une seconde, il est sur moi, en soixante-neuf, et me tête le gland, un peu paresseusement, perdu dans les délices de la pipe que je lui administre.


En quelques coups de rein, je remonte un peu pour lui donner un meilleur accès à ma bite, qu’il peut enfin sucer correctement, et je me retrouve à portée de ses couilles, que je baigne de salive avant de souffler dessus pour le faire frissonner. Mais ce qui s’offre à mes yeux, c’est la vallée parfaite de son cul, encadrée par deux fesses veloutées et blanches, contrastant avec ses cuisses bronzées. Je me relève un peu, j’empaume ses fesses et je hume l’odeur de musc, de chlore et de gel douche qu’il dégage, avant de pointer la langue sur sa rosette. Olivier sursaute et me mord légèrement la bite.



Trop jeune pour savoir ce qui est bon ce gamin ! Pour le convaincre, je laboure sa raie culière d’un grand coup de langue appuyé et baveux qui lui lance un frisson dans toute la colonne vertébrale.


Olivier reste redressé quelques instants puis, vaincu par les sensations que je lui procure, il s’effondre sur mes cuisses, la bouche ouverte sur un cri muet, cambré autant qu’il est possible, m’offrant son cul à bouffer. Une fois que je suis sûr qu’il est converti au plaisir anal, je le fais agenouiller sur le canapé, les coudes appuyés sur le dossier, et je m’agenouille derrière lui pour me délecter d’un cul qu’il m’offre sans aucune retenue. De temps en temps, je me relève et je vais lui offrir ma queue à sucer. Il la frotte paresseusement sur ses joues maculées de salive, l’avale gloutonnement en ronronnant, les yeux fermés. Peut-être a-t-il un peu honte du plaisir qu’il reçoit? En tout cas, il n’y renonce pas, de plus en plus outrageusement cambré.


Je pose un genou sur le canapé, entre ses jambes, et je lui caresse la raie de mon gland, qui lubrifie abondamment. Je passe de ses couilles à son dos, laissant comme des traces de limace, je lime doucement entre ses cuisses qu’il serre, frottant mon gland contre sa peau douce, puis au bout que quelques instants, je recommence à lui bouffer le cul, à titiller sa rosette qui s’assouplit, s’ouvre, jusqu’à ce que je la poignarde d’un coup de langue. Olivier pousse un petit cri, puis m’encourage:



Il ondule d’avant en arrière, s’empale tout seul sur mon pouce mouillé de salive et s’effondre quand la pulpe de mon doigt s’écrase sur sa prostate que je caresse d’un mouvement circulaire. D’une main, je lui caresse le dos, les cuisses, et de l’autre je le pistonne doucement, avec un doigt, puis deux, puis trois, tournoyant dans son anus distendu par mes phalanges. Puis j’arrête tout.



Je fourrage dans un tiroir pour ramener des préservatifs et du gel. Je lui donne ma bite à sucer et il se jette dessus avec passion, me prenant jusqu’au fond de sa gorge, luttant contre son haut le corps, comme pour solliciter, par son empressement, un peu de délicatesse pour le viol qu’il veut subir. Je déroule un capote. Je n’ai jamais, je crois, bandé aussi dur. Mon sexe est lourd, douloureux, et cet orifice souple sur lequel je fais glisser le gel frais, avant de le faire pénétrer avec les doigts, est tout ce que je veux en ce moment précis.


Un genou sur le rebord du canapé, je pose mon gland sur la raie d’Olivier et je le fais aller de haut en bas et de bas en haut, en appuyant chaque fois un peu plus sur l’entonnoir plissé et luisant. Olivier se prend les fesses dans les mains, et les écarte fortement pendant que je pousse. Mon gland est absorbé, étranglé par son sphincter et je m’immobilise, submergé par le plaisir. C’est chaud, ça palpite autour de moi et nous nous balançons doucement, moi m’arrêtant un petit peu au moment de reculer pour qu’il s’empale progressivement sur moi. Olivier ondule sous moi et râle doucement, interminablement, agonisant sous la sensation de plénitude qui l’envahit. Je lui caresse le dos et je commence à aller et venir en lui, tandis qu’il pousse vers moi son cul merveilleusement rond et doux, s’ouvrant pour mieux m’aspirer à chaque fois.


Je me penche sur lui, l’embrasse dans le cou, lèche ses oreilles. Il frissonne, contracte son cul sur ma tige, vient sur moi, et nous nous retrouvons par terre, lui assis sur moi, empalé jusqu’à la racine, montant et descendant doucement dans une transe sensuelle. Puis je le fais basculer pour le pénétrer dans une levrette sublime. Ce superbe garçon m’offre son cul sans retenue, envoie sa main entre ses jambes pour attraper ma bite et la guider à nouveau en lui. À cette seconde précise, je suis follement amoureux et je ne voudrais surtout pas lui faire de mal. Je le lime avec retenue, précaution, attentif à sa respiration, au jeu des muscles de son dos sous sa peau luisante de sueur, et sur laquelle la lumière chaude de l’après-midi joue tandis qu’il ondule sous moi, de plus en plus vite, de plus en plus intensément.


Je lève les yeux et par la fenêtre je vois le ciel d’un bleu immaculé, pur, translucide. Le plaisir me prend là, presque immobile, tandis qu’Olivier coulisse sur ma bite, reculant de plus en plus violemment, en gémissant son plaisir qui gicle, devant lui et sur le parquet, en longs jets crémeux. Les spasmes de son cul m’arrachent un frisson brûlant qui explose dans la capote, au fond d’Olivier que j’ai saisi par les hanches et que je bourre sans retenue, porté par ses encouragements. Mon gland triture sa prostate et son cul étrangle ma bite, la vidant de ses dernières gouttes qui s’écoulent de moi en autant de décharges de plaisir intolérable.


Je m’effondre sur son dos et il s’écroule sous moi, se débattant à grand peine pour que je bascule sur le côté et que j’arrête de l’écraser. Je me retire de lui, je l’entoure de mes bras et nous nous endormons, là, sur le sol, dans un rayon de soleil.


Une bonne heure après, le bruit de la douche me réveille. Je vais à la salle de bain pour trouver Olivier couvert de mousse, se savonnant rapidement et se rinçant tout aussi vite.



Il est habillé, les cheveux encore mouillés qui sécheront avec le soleil d’été, et entre mes mains son visage est frais et doux. Je bois un baiser à ses lèvres humides, aspirant sa langue mutine, puisant un peu de sa salive avec la mienne. Ce garçon est un pur morceau d’amour. Submergé par l’émotion et le désir, je bande. Mon gland gonflé s’agace sur la toile rêche de son bermuda, mais il s’arrache à mon étreinte.