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n° 05927Fiche technique22133 caractères22133
Temps de lecture estimé : 13 mn
24/03/03
Résumé:  Un frère, une soeur, incestueux non pratiquants et une belle belle soeur catalyseur.Chaude ambiance familiale...
Critères:  ffh couplus freresoeur voir intermast fellation cunnilingu fgode pénétratio ecriv_f
Auteur : Anaïs            Envoi mini-message
Inceste par procuration


Mon frère me fascine et ce depuis des années.

Il faut dire que ça n’est pas difficile. Alexandre a vingt sept ans, soit cinq de plus que moi, il est superbe, brun, cheveux bouclés, une gueule et un sourire d’ange, bâti comme un Dieu mais sans exhiber des pectoraux de body- builder. Et un sourire radieux, communiquant le bonheur. En plus, loin d’être stupide. Il est responsable de la communication dans une boîte en pleine expansion, ce qui lui donne les moyens d’une vie facile.

Il sait d’ailleurs l’attrait qu’il exerce sur sa petite sœur, comme sur la plupart des filles qui le croisent.

Nos parents, installés pour leur retraite en province, nous ont laissé le vaste et confortable appartement dans lequel nous cohabitons, Alexandre étant sensé surveiller la "petite" Anaïs, bien qu’elle prépare un doctorat en sciences Politiques, qu’elle soit majeure et vaccinée




  • — 1 -



Depuis il y a environ six mois, nos relations sont devenues un peu ambiguës… Difficile à décrire… C’est depuis un incident fugace durant lequel, pendant quelques secondes, ce fut un peu limite…


J’étais dans ma chambre, me préparant pour me rendre à une soirée chez des copains. Je portais une de mes mini jupes favorites, je m’étais maquillée un peu outrageusement et, le T-shirt soulevé j’examinais dans la glace mes seins de profil, afin de vérifier que, sans soutien-gorge, ils conservaient leur aplomb … Alexandre est entré, comme d’habitude sans frapper, et a tout de suite compris le but de mon auto inspection.

Mi troublé, mi rigolard, il s’est approché de moi: "- Ouah, la nana! tu vas mettre le feu dans les caleçons, ce soir…mmm les jolis nénés" dit-il en me les pinçant.. Je baissais brutalement mon T-shirt, repoussais ses mains et le frappais au visage… Le jeune coq se mit en colère, saisit mes mains et me fit tomber sur le lit, s’écroulant avec moi. Ma jupe s’était relevée, dévoilant ma petite culotte, en dentelle blanche et très échancrée.

Il se fit un silence trouble…. Alexandre fixant le renflement de mon pubis. Sa main remonta lentement le long de mes cuisses pour s’arrêter à l’aine, au bord de l’élastique. "- Ouf, ma puce, tu as grandi vite…". Penché au-dessus de moi, sa bouche effleura mon rouge-à-lèvres à la framboise "spécial séduction"…


Quand, plusieurs mois plus tard je repense à cet instant, je suis à peu près sûre qu’il avait très envie de glisser ses doigts sous l’élastique, je suis en tout cas certaine que moi j’en mourrais d’envie, et suis persuadée qu’il sait que j’avais envie qu’il le fasse…

Mais les tabous ont la vie dure.


Après cette scène émouvante, il n’y eut plus de geste déplacé, mais une succession d’indices qui me donnent à penser que mon Alex avait bien envie de me faire des câlins… et qui me mettaient dans un état de femelle en chasse.

Dès que je m’asseyais, comme je porte presque toujours des robes ou des jupes très courtes, il matait entre mes jambes pour tenter d’apercevoir le petit triangle blanc de ma culotte. Bien sûr, je m’arrangeais pour qu’il y parvienne, sans qu’il perçoive que j’entrouvrais volontairement mes cuisses…


Déjà peu pudique avant ça, il a commencé de plus en plus souvent à se balader dans l’appartement en caleçon. Il ne porte que des sous vêtements blancs en lycra, qui mettent en valeur plus qu’ils ne cachent leur contenu… En réponse, je me promenais dans le salon en petite culotte et T-shirt, mon petit cul cambré à mort.


Très vite, j’ai senti qu’il me lorgnait à travers le trou de la serrure de ma salle de bains. Quand je le savais là, je faisais bien sûr tout pour l’exciter, mais sans jamais dévoiler ma nudité; assise au bord de la baignoire, face à la porte fermée, je coupais les ongles de mes pieds, la jambe levée très haut faisant bailler ma petite culotte. Je m’épilais le maillot, sans ôter mon slip, mais en l’écartant à la limite de l’atteinte à la pudeur. Je me caressais dans la baignoire; je savais que, sans voir mes mains ni mon intimité, il pouvait guetter sur mon visage la montée du plaisir et y lire l’explosion de l’orgasme. Je bavais de le savoir aux aguets.


Un jour, il quitta la maison en disant "j’ai laissé l’ordinateur allumé sur un site sympa.. tu verras". J’y courus aussitôt: c’était "rèvebébé", ouvert sur une histoire torride et très explicite de sexe entre une frère et sa sœur. Pour l’occasion, le bébé se mit à rêver; je caressai mon bouton brûlant jusqu’à ce que mon ventre coule et chavire.


Puis il se mit à draguer systématiquement toutes les copines que j’amenais à la maison. La plupart, bien sûr craquèrent sans trop de résistance. Il se débrouillait systématiquement pour les embrasser et les peloter en ma présence, n’hésitant pas à farfouiller sous leur pull ou entre leurs jambes, sans cesser de me regarder… Il s’arrangea même une fois pour laisser la porte de sa chambre ouverte et faire en sorte que la petite salope du jour le prenne dans sa bouche au moment où je passais devant sa chambre, ce qui nécessitait un minutage précis de metteur en scène. Debout, bien campé sur ses superbes jambes écartées, la main ouverte sur la tête de la fille agenouillée devant lui pour régler le va-et-vient, il me fit un sourire éclatant et un clin d’œil grivois lorsque j’entrevis la scène.


Je rêvais souvent de lui, et me masturbais en pensant à lui. Mais curieusement, jamais dans mes fantasmes nous ne faisions l’amour ensemble. Je le voyais toujours faisant mille turpitudes délicieuses dans les positions les plus osées avec d’autres nanas, mais en ma présence. Et toujours, pendant ses prouesses, il ne cessait de me fixer droit dans les yeux.


En bref, ce salaud ne cessait pas de me faire mouiller…




  • — 2 -



Maintenant, c’est plus sérieux.

Airelle est arrivée. Somptueuse, deux ans de plus qu’Alex. Styliste, mannequin et acheteuse pour une marque de fringues haut de gamme. Un mètre quatre-vingt, brune pulpeuse, une bouche qui donne envie de tout, des seins petits mais très haut et manifestement très durs et des jambes immenses de coureuse de fond. Toujours sapée provoc-chicos. Alexandre l’a dégotée en prospectant pour son boulot un créateur de mode. Ils semblent être tombés accro l’un de l’autre. Il l’amène partout, en particulier chez nous, et passe son temps à essayer de lui faire plaisir, de toutes les façons possibles…

Comme avec ses précédentes conquêtes, il ne se gène guère pour l’embrasser et la caresser devant moi, mais de façon moins ostentatoire (ce qui est je pense le signe d’un plus grand respect). En particulier, il ne me regarde plus avec connivence pendant ses étreintes.

Par contre, trois évidences me sont très vite apparues concernant Airelle :



Maintenant que le frangin est un peu calmé, sa copine se déchaîne. Elle se balade dans l’appartement dans des tenues appelant le viol, avec une panoplie impressionnante de mini jupes et micro-shorts, Tshirts échancrés, strings et autres bodies. Par contre, elle paraît assez économe en soutien-gorges…


Elle poursuit, à l’évidence, des projets me concernant. Dès qu’Alex est absent, elle multiplie les provocations, entrant dans ma chambre ou la salle de bains sans s’annoncer (il a dû lui expliquer le coup), se change devant moi, sollicite mon avis pour le choix de son string… Je dois dire qu’elle est tellement superbe que j’ai très envie de me laisser aller aux amours lesbiennes. Sentant ma faiblesse, mais voyant que j’hésite, elle se fait plus directe: elle me frôle en chantonnant, me zyeute sous les jupes sans vergogne, effleure ma joue, me caresse les fesses "- t’as un joli petit cul, tu sais?". Et surtout, surtout, dès que nous sommes seules, elle ne parle que de cul.



Moi, lesbienne pucelle, je transpire… j’ai le désir qui, tel un écureuil, me grignote le bas-ventre, la culotte toute mouillée et j’ai une envie dingue de plonger ma tête entre ses cuisses.




  • — 3 -



Aujourd’hui c’est samedi.

Alex est parti faire un golf avec ses copains.

Airelle et moi traînons dans la cuisine autour d’un petit déjeuner qui envahit la table, oisives et embrumées de restes de sommeil. Doux moment… Je suis en culotte et en chemise coton avec les boutons du haut ouverts. Ma belle belle-sœur, égale à elle même, a enfilé la chemise d’Alexandre, qu’elle a attaché au niveau des pans pour voiler vaguement son buisson pubien… elle est comme toujours superbe, auréolée de beauté nonchalante.


Nous en sommes aux recettes cullino-masturbatoires féminines



Elle prend au passage sur une table basse une revue de mode. Elle en reçoit par dizaines.

Bien sûr, le hasard faisant bien les choses, c’est un magazine spécial sous-vêtements, féminins.



J’appuie ma tête sur son épaule, et regarde les photos de mode qu’elle feuillette.

Elle commente, langoureuse



Elle pose la revue, m’entoure les épaules de son bras, me regarde dans les yeux…



Elle halète, glisse sa main sous mon Tshirt, frôle mes tétons affolés qui se mettent au garde à vous comme deux micro-bites autonomes vivant leur nouvelle vie…

J’écarte sa chemise qui n’offre guère de résistance et prend ses seins dans mes mains, doux, tièdes, durs, vivants. Je pince les mamelons sans cesser de gober sa bouche et de sucer sa langue. Elle reprend vite le dessus, expérience oblige…

Elle caresse lentement mes jambes, à la manière d’Alexandre…remonte en effleurant, faisant saillir une chair de poule de désir…me glisse dans un souffle rauque l’injonction, que j’attendais, d’écarter les cuisses… et arrête la progression du bout des ses doigts, sur l’aine, au bord de l’élastique… Trouble majeur.

Je m’ouvre un peu plus, marquant ma totale acceptation de tout ce qui pourrait arriver, et ma soumission sans réserve.

C’est alors l’envolée… au lieu de glisser sous l’élastique comme j’attendais, avec une virtuosité de pianiste, elle me caresse à travers ma culotte, prenant mon sexe en coquille, faisant pression sur l’entrejambes, effleurant mon bouton, soulignant lentement mon sillon, jusqu’à le mettre en évidence à travers le tissu mouillé… revenant sur le clitoris pour le flatter par des grattements accélérés…Je suis pantelante de désir, j’ouvre mes cuisses, j’offre mes seins, je suis trempée d’envie. C’est alors, seulement, qu’elle glisse enfin ses doigts par l’échancrure de mon slip et plonge dans ma féminité, viole de ses doigts le plus profond de mon intimité, ressort pour pincer de deux doigts ce bouton qui m’empêche si souvent de dormir, pour aussitôt le câliner d’un effleurement…

Je ne suis plus rien, j’ai envie de n’être plus rien, de m’offrir.. je le lui dis :



J’obéis, ouvrant mes cuisses… Elle s’agenouille devant le canapé, écarte l’entrejambe de ma culotte et colle sa bouche sur ma bouche d’en bas !

Ma tête dodeline de droite à gauche… je vais exploser, devenir folle… jamais je n’ai ressenti ça.



Je prends son visage a deux mains, stoppe ses baisers, colle sa bouche à la mienne, goutte entre ses lèvres la saveur de mes humeurs, glisse ma main sous son ventre, jusqu’à sa touffe….. Mmm… ma première chatte. Je ferme les yeux, et comme un livre, comme pour moi, j’entrouvre son coquillage. Je glisse l’index dedans…. Ça coule, c’est brûlant, ça vit, ça palpite d’amour…je suis lesbienne, je me régale…

Le regard voilé, elle sort de sous les coussins le cadeau de mon frère qu’elle avait caché discrètement… préméditation! Elle l’engloutit dans sa bouche, sans cesser de me fixer, sans doute pour le réchauffer. Je coule…



Bruit de clef, agression sonore… "- y a quelqu’un ??" Arrivée du frangin, sans frapper, as usual… !! Le mâle, et son concert de bruits… il ne lui manque que le cheval et les éperons… Nous avons à peine le temps de nous rasseoir avant qu’il entre au salon, mais la nature de notre activité est mise en évidence par notre tenue et la rougeur de nos visages échevelés. Alexandre regarde ma culotte (d’instinct) et a le temps de voir qu’elle est humide avant que je croise mes jambes…



Il s’installe à côté d’elle, et aussitôt l’embrasse sensuellement…



Elle me tourne le dos pour mieux le sucer, me dévoilant ses fesses nues. Ma main glisse entre ses cuisses, et cherche son sexe. Elle lève haut sa jambe et pose son pied sur le canapé pour me faciliter le passage, et je retrouve avec bonheur sa fente inondée. Je la viole de deux doigts, entrant lentement au fond d’elle. À cause de ses cheveux longs, je ne vois pas le travail en profondeur qu’elle opère sur la queue d’Alexandre mais je peux en lire les effets sur le visage de ce dernier…

Il arrête d’ailleurs son va-et-vient avant l’irrémédiable, et lui demande de se retourner vers moi…



Il s’agenouille derrière Airelle, qui aussitôt cambre ses superbes fesses, et je vois ses boucles brunes disparaître derrière la croupe de son amie.

Il ne doit pas être inactif, car celle-ci interrompt ses baisers, et se met en apnée, les yeux révulsés. J’en profite pour envoyer ma main entre ses cuisses dans l’objectif de caresser son bouton-à-bonheur, mais ma main rencontre la bouche de mon frère… Je me replie sur la pointe dardée de ses seins, que je martyrise un peu.


Je vois mon frère se relever et se mettre à genoux derrière Airelle.

Le visage de celle-ci, tout près du mien a un nouveau spasme de béatitude. Il vient d’entrer en elle, en levrette. Elle souffle, et me suce la langue.

Sa main continue à caresser mon sexe. Soudain, je sens un objet dur et froid chercher à entrer en moi….

Airelle, les yeux plantés dans les miens me souffle "- j’ai trop envie de te baiser..". Brutalement, elle plonge l’olisbos dans mon ventre et m’arrache un cri, puis me poignarde avec l’engin d’acier. Je feule comme une chatte en folie.

Alex, qui ne comprend pas se qui se passe sous le ventre de son amante crochète ses hanches et se met à la pilonner comme un forcené.

Au même rythme, elle me possède avec le godemiché.


Ma tête ballote, j’enserre de mes bras la tête de mon amante, et soudain, je sens les mains de mon frère qui étreignent les miennes.


Par dessus la tête d’Airelle, son regard croise le mien et il murmure:



Lui plantée en elle, elle plantée en moi, nous jouissons tous les trois ensemble, les yeux d’Alexandre rivés dans les miens.