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n° 05949Fiche technique27341 caractères27341
Temps de lecture estimé : 16 mn
25/03/03
Résumé:  Jean fait une chute en moto...
Critères:  2couples inconnu vacances douche voir intermast fellation cunnilingu pénétratio sandwich échange
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message
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Jean hurle sous son casque pour se faire entendre de Corinne, sa copine, qui l’admire sur le bord du chemin. Il fait chaud en cet après midi d’été. Elle est assise à l’ombre, sa jupe remontée sur ses jambes fines, le corsage largement échancré afin de profiter du soleil. Elle se trouve trop grosse avec ses soixante kilos pour un mètre soixante sept, mais Jean aime bien ça, il préfère avoir de quoi toucher. Lui est un gaillard d’un mètre quatre vingt, soixante quinze kilos, tout en muscles. Ils s’entendent bien, dans tous les domaines.

Il zigzague dans la garrigue dans un vacarme assourdissant, sur la moto de trial qu’il vient d’acheter avec ses premiers gains. Certes, il ne s’agit que d’une 250, mais déjà elle lui donne un sentiment de puissance en comparaison du cyclo trafiqué qu’il avait avant. Il passe de bosse en bosse, grimpe sur des rochers, pas très grands mais quand même souvent à la limite de la perte d’équilibre.

Et vlan, c’est la bûche. L’engin n’a pu monter sur le bloc et bascule sur le coté. Jean envoie le bras pour amortir sa chute, et pousse un grand cri de douleur. Corinne, effrayée se précipite vers lui, dans un réflexe coupe le contact pour faire taire la moto. Elle se penche vers son ami qui serre son poignet droit. La douleur le paralyse au sol. Enfin aidé par sa copine, il se relève grimaçant de douleur.



Il essaie de prendre sa moto, mais ne peut se servir de son bras droit.



Et les voilà tous deux cheminant vers la nationale, Jean grimaçant, pestant, elle le rassurant, lui disant que l’on trouvera bien une solution.

Les promeneurs sont nombreux, la circulation est intense en ce mois d’août mais les automobilistes les ignorent, ils n’ont pas le temps ou pas confiance, surtout en le voyant avec son équipement de motard. Durant un quart d’heure, rien, c’est le désespoir et les injures du blessé fusent envers ces enfoirés.

Seule Corinne continue à agiter le bras, Jean est désespéré.

Un chuintement de frein, une BMW s’arrête à leur hauteur. Un couple de « vieux », 35 ans, pas des fauchés juge Jean. S’approchant, il voit la passagère dont la mini jupe, laisse apercevoir de longues jambes brunes. Le haut n’est pas mal non plus.



C’est Corinne qui répond car son copain est fasciné par cette silhouette.



Ils descendent tous deux de voiture, la femme examine le poignet de Jean, le mari suit Corinne.

Arrivé à la moto, il constate que la machine n’a pas souffert de la chute.



Il lance le moteur, Corinne monte derrière lui, le serre très fort car le parcours est chaotique. Mais le conducteur est champion et c’est en douceur qu’ils rejoignent la voiture.

Le diagnostic est rassurant, il s’agit d’une foulure. Le poignet a été bandé, Anne ne se séparant jamais de sa trousse. Mais pas question de bouger la main, encore moins de conduire la moto.



La solution enchante les jeunes gens, la moto est récupérée, le poignet soigné et ils rentrent à la maison, ou plutôt chez les parents de Jean. En effet ceux-ci sont partis quelques jours et leur ont laissé la garde de la villa. Cela ne change pas grand chose, puisqu’il vit encore chez ses parents. Corinne qui vient de terminer ses études et se trouve pour l’instant sans emploi est venu cohabiter ces quelques jours. Le salaire de débutant de Jean ne leur permettant pas encore de s’installer.

Ils arrivent devant la villa, Corinne ouvre la maison et fait entrer Anne pendant que Jean indique le garage à Marc pour y laisser la moto.



Les « vieux » se regardent, sourient et acquiescent.



Marc va chercher les bagages ; Anne et Jean préparent le lit.



Tous deux rejoignent la cuisine.

Le nouvel examen du poignet confirme la foulure. Après un pansement plus complet, Anne lui demande de se déshabiller afin de voir les contusions du coté. Le jeune homme est un peu gêné par la demande. Le voyant hésiter :



Fataliste, il quitte son pantalon de cuir, son polo, puis après une hésitation son slip. Le choc a laissé un hématome pas très important mais qui vire sur le bleu, heureusement pas de plaie. La palpation fait réagir le blessé, l’endroit est douloureux.



Elle ouvre sa trousse, sort une tube, étale la crème et commence à frictionner. Le contact de la main douce de cette belle femme, fait réagir le male ; Jean tente de cacher son érection. La toubib sourit et tout en poursuivant ses soins remarque :



Jean est décontenancé, et fataliste ne cherche plus à cacher son sexe dressé.



Ils vont à la salle de bain, elle se déshabille entièrement et il peut admirer son corps encore svelte avec des seins un peu lourds. Bien que déjà nu, il la laisse entrer la première, dans la cabine, attendant sa sortie.



Il entre, et malgré une cabine assez grande, il est obligé de la frôler. De son côté elle frictionne la hanche et glisse vers le sexe dressé. Elle le caresse une peu au passage, sans insister, se rince et sort. Elle rejoint sa chambre toute nue, les vêtements sur le bras.

Après sa douche, Jean va lui aussi vers la sienne. Il enfile un short et un polo léger.


Corinne n’est pas très à l’aise dans cette cuisine qu’elle ne connaît pas. Certes la mère de Jean lui a bien indiqué l’emplacement des ustensiles, mais elle ne se souvient pas très bien, d’autant qu’elle est troublée par la présence proche de cet homme séduisant. Marc, décontracté, lui parle gentiment, puis lui suggère :



Ils se déplacent dans la cuisine et Corinne constate qu’à plusieurs reprises Marc la prend par les épaules pour passer, se frotte au passage. Cela est loin de lui déplaire, mais elle ne sait comment réagir. Elle glisse la pizza dans le four et se baisse pour voir à travers la porte vitrée. Dans ce mouvement, son compagnon se trouve collé à elle ; elle sent son érection dans ses fesses. Elle reste immobile, il se redresse, lui prend les épaules doucement ; elle se relève, se tourne et se trouve face à Marc, en contact. Ils restent un instant ainsi, il lui dépose un baiser sur le coin de la bouche, puis s’éloigne en souriant. Elle est perdue n’ayant jamais constaté une telle décontraction chez un homme.



La jeune fille est soulagée d’entendre le tutoiement d’Anne, pas de problème. Celle-ci est vêtue d’un chemisier, d’une robe, mais ne porte pas de sous vêtement, cela lui saute aux yeux. Mais elle peut s’en passer constate-t-elle.



Corinne est bien décidée à se laver, mais ne sait comment opérer, qui va y aller en premier ?



Elle lui montre la salle de bains, il la pousse à l’intérieur, commence à se déshabiller sans se soucier d’elle. Elle fait de même, mais reste en sous vêtements. Il entre dans la douche. Elle remarque son sexe au repos, plus important que celui de Jean. Il suit son regard, sourit :



Elle quitte ses derniers vêtements et attend hésitante.



Elle se glisse, son corps touche celui de Marc. Ce dernier prend un gant et commence à la savonner franchement sur tout le corps pour un véritable lavage. Cela la rassure un peu et pourtant elle se sent troublée. Puis il se retourne :



Elle frictionne le dos, les fesses ; il se retourne, prend la pomme de douche et arrose les deux corps. Ils sortent, leurs corps se touchent, les mains se posent sur les fesses, la poitrine, mais cela semble un geste familier chez cet homme. Puis lorsqu’il est sec, sort tout nu. Elle hésite un instant puis fait de même.



Marc est en short et polo comme Jean. Corinne, a choisi un chemisier, une jupe et, un peu par défi, n’a pas mis de soutien-gorge. Jean remarque cela ; la tenue de ces deux femmes l’excite terriblement.

Ils s’installent, et la conversation s’engage sur des banalités, le temps, la région, les curiosités. Jean a sorti pastis et whisky, sert ses hôtes. Bien que d’ordinaire tous deux ne boivent pas d’alcool, ils dérogent à leurs habitudes et se joignent à leurs hôtes. La température agréable, la décontraction et surtout une légère ivresse décontracte le jeune couple. Les « vieux » les regardent en souriant



Au cours du repas, les Parisiens avouent qu’ils sont accaparés toute l’année par leur travail respectif et que finalement, ils ne se voient pas beaucoup. Aussi les vacances sont l’occasion de moments de retrouvailles, de relaxation, de décontraction. Ils sont heureux ensemble, s’aiment depuis longtemps, tendrement, ce qui ne les empêche pas toutefois de profiter de certaines occasions, sans que cela provoque la moindre jalousie entre eux, à la seule condition qu’ils se racontent tout. Cette attitude, leur franchise surprend, étonne les jeunes.

Jean a sorti un bordeaux de la cave paternelle. Tous quatre apprécie cette bonne bouteille, mais elle a un effet euphorisant, surtout sur Corinne.



Cette dernière ne dit rien, mais, dans son ivresse estime qu’après tout…



Les trois autres ont compris le non dit. Jean est un peu surpris mais voit là une autorisation… si l’occasion se précise.


À la fin du repas, quelqu’un suggère qu’un café serait le bienvenu. Marc propose à Corinne, comme ils sont de corvée d’aller le préparer. Dans la cuisine, la jeune fille prépare la cafetière et Marc les tasses. En attendant la fin du filtrage, il met les mains sur ses hanches et lui dit :



Elle reste silencieuse, se sentant sur un nuage, et lorsqu’il se penche vers elle et pose ses lèvres sur les siennes, elle les entrouvre, met ses bras autour de son cou et c’est elle qui déclenche le baiser. Elle apprend alors ce qu’est un véritable baiser. Lentement, il s’empare de sa bouche, l’apprivoise, puis la force et bientôt le ballet de leurs langues l’étourdit, l’enivre, elle désire plus. Le sifflement de la cafetière les ramène à la réalité et lentement, souriant, il la laisse. Avec le plateau et rejoignent les autres.

Anne a la main sur la cuisse de Jean. Ce dernier l’enlace et sa main est posée sur le sein. Il est surpris par leur arrivée, mais son amie lui sourit, compréhensive.


La soirée est douce et la température très agréable. La terrasse conserve la chaleur emmagasinée dans la journée. Après avoir bu son café, Marc s’allonge à même le sol et Anne l’imite. Elle met les mains sous la nuque ; Son chemisier remonte et la gêne, elle le déboutonne et ses seins, apparaissent libres. Jean se couche à côté d’elle, pose sa tête sur l’avant bras. Après un instant, sa tête glisse doucement et bientôt repose sur un sein. Il se tourne, sa bouche trouve le bourgeon et sa langue le taquine. Un ronronnement de l’intéressée répond à cette caresse, le bras d’Anne se rabat et enserre les épaules du jeune homme. Fort de cet accord tacite, celui-ci pivote et se retrouve la tête appuyée sur le buste de sa partenaire. Sa bouche va d’un téton à l’autre, jouant de la langue puis bientôt de la main.


Comme fascinée, Corinne contemple ce manège ; sans s’en rendre compte elle quitte son fauteuil, s’assied à terre sur le coté, ses mains appuyées devant elle sur le sol. Les attouchements de Marc dans la cuisine, l’ivresse du repas, l’atmosphère particulière lui font perdre ses repères familiers. Elle ne trouve rien de choquant à cette scène. Derrière elle, Marc se redresse, pose une main sur la hanche ; l’autre remonte sous le chemisier et saisit un sein. Elle ne s’en rend pas compte. Un souffle vient caresser sa nuque, lui murmurer des mots doux qu’elle entend mais n’écoute pas : « Regarde comme ils sont beaux, comme ils sont heureux. On ne peux pas être jaloux devant un tel bonheur. » La tête de Corinne bascule en arrière, une main défait son vêtement et le fait glisser de ses épaules. Un bras saisit ses épaules et l’invite à s’allonger. Le sol chaud l’accueille, une bouche s’empare de ses seins. Elle ne sait plus qui la caresse, son amant ou l’étranger. Elle ferme les yeux, elle est bien.


Jean glisse sa main sous la jupe, rencontre la peau nue de la cuisse puis la fente et le buisson. Il n’est pas habitué à une telle liberté, hésite un instant, puis caresse doucement l’entre jambe du bout des doigts. Son majeur se replie, suit la fente qui commence à suinter. Le bouton lui semble énorme par rapport au grain de riz de sa maîtresse, on croirait un petit pénis. Il le pince, provoquant un gémissement plus accentué. La main d’Anne s’est glissée par l’élastique du short et rencontre le gland au niveau du nombril. Jean se redresse pour se libérer de ses vêtements. Elle déboutonne sa jupe qui reste au sol. Le garçon s’allonge sur sa compagne, sa verge sur la fente, immobile. Il reprend les seins en bouche, se soulève légèrement pour qu’Anne puisse saisir sa verge afin de se masturber avec. Ce frottement a un double effet, l’organe se tend au maximum et la source ruisselle inondant l’entre jambe. Elle place ce glaive face à la plaie et le garçon s’écroule, embrochant sa partenaire. Il reste sans bouger, merveilleusement bien, c’est elle qui contracte et relâche ses muscles intimes.


La tête de Corinne a basculé sur le coté. Elle ouvre les yeux et voit les amants unis. Cette image ne la choque ni ne la fâche, inconsciemment désire connaître un tel bonheur. Marc le comprend, remonte la jupe, baisse la culotte. Elle soulève le bassin pour lui faciliter la tâche. La bouche vient se poser sur son triangle. Les joues hirsutes grattent ses cuisses. Elle replie les genoux, écarte les jambes pour lui faciliter le travail. Il lèche doucement la saignée, trouve le petit bouton et avec la langue le fait dilater. Corinne saisit la tête entre ses mains, la guide et s’en sert comme d’un coussin avec lequel elle se frotterait. Marc avec ses mains soulève les cuisses afin de mieux atteindre le périnée. Sa langue va de la rosette au clitoris. Corinne n’a jamais voulu que Jean touche cet orifice sale. Et pourtant maintenant, ce contact lui procure comme un choc électrique. Comme la langue s’insinue dans son vagin, elle voudrait qu’elle aille aussi dans ce conduit. Transmission de pensée ou expérience, Marc comprend ce désir et affûte sa langue en poinçon pour qu’il ouvre ce nouveau chemin. C’est l’apothéose et un long cri modulé, ininterrompu, sort de la bouche de la jeune fille.

Jean, dans son nirvana, entend cette expression de bonheur, il regarde son amie, croise son propre regard et ils se sourient. Ils sont tous deux heureux, à la fois unis et séparés. Il commence un lent balancement du bassin, entrant et sortant de cette antre enchanteresse. Et très rapidement c’est l’explosion de bonheur, partagée par sa compagne.


Corinne a serré ses cuisses sur la tête de Marc durant toute sa jouissance. Puis elle se relâche, étalée, écartée sur le sol. Son partenaire se glisse auprès d’elle, l’embrasse. Pour la première fois elle goutte son propre suc. Elle ne sait comment le remercier. Mais lui ne demande rien, il se relève et sourit sans un mot.

Tous quatre reposent en silence. Anne se lève, va à la cuisine chercher des boissons. Ils s’assoient, se regardent et sourient en étanchant leur soif.


La fraîcheur qui descend, les ramène au salon à même le grand tapis. Ils sont restés nus, cela semble naturel, surtout aux jeunes qui sont pourtant pudiques d’ordinaire. Aucune parole n’a été échangée, mais ils se sont compris. Plus que de grandes explications, l’expérience qu’ils viennent de vivre est la démonstration de la philosophie du couple. Elle montre que l’amour s’épanouit dans la liberté. Mais Jean et Corinne attendent une suite à ce prélude ; pourtant ils ne savent comment la suggérer, la provoquer.



Corinne est surprise, mais pas choquée, par cette proposition. Elle n’avait jamais envisagé une telle situation. Anne s’est approchée de son mari, elle fait de même. C’est d’abord un baiser profond de l’épouse. Lorsqu’elle se redresse, son amie l’imite. Ce prélude a réveillé les sens de Marc.



Elles s’allongent parallèlement à l’homme, la tête à hauteur des cuisses. La main d’Anne saisit la verge qui se redresse. Corinne approche la tête, sa compagne lui présente l’engin, l’invite à embrasser. Timidement elle pose un baiser, puis un coup de langue. La réaction du sollicité est rapide. Alors elle prend le gland en bouche, taquine le filet comme le lui a appris Jean. Puis elle fait entrer le maximum, mais une partie reste à l’air libre.



Anne prend sa place et, miracle, sa tête s’empale entièrement sur l’organe. Elle monte et descend à plusieurs reprises. La jeune fille est stupéfaite et comprend qu’elle fait entrer jusque dans sa gorge.



La hampe est maintenant au maximum, bien lubrifiée.



Et Corinne enfourche Marc et vient s’empaler. Elle reste immobile, n’ayant pas l’habitude de prendre l’initiative. Anne vient face à elle, enjambe la tête de Marc lui présente son sexe qu’il honore immédiatement. Puis elle saisit la tête de sa partenaire et l’embrasse à pleine bouche.

Jean regarde cette figure de ballet, triangle sensuel, surpris et émerveillé. Son amie s’est mise en mouvement sur pieu de Marc qui honore Anne, les femmes s’embrassant avec fougue. La forme est revenue et il aimerait bien participer. Mais il est trop tard, Le majeur de Marc, bien lubrifié s’introduit dans l’anus de Corinne qui se redresse en poussant un long feulement et reste immobile, tétanisée de plaisir sous cette double intromission. Anne se bloque sur le visage de son mari puis se relève. Marc ne bouge pas, il prend la jeune fille aux hanches et la couche doucement.



Obéissant, il s’allonge, son sexe dressé, échauffé par tout ce qu’il vient de voir. Elle l’enjambe et vient s’enfiler dessus. Et c’est elle qui commence la danse. Elle varie le rythme, ralentissant chaque fois qu’elle sent l’homme prêt à jouir.


Corinne, allongée sur le coté, regarde son amant qui à son tour va prendre son plaisir. Elle est étonnée quand elle voit Marc venir derrière son épouse, la prendre aux hanches et présenter son dard entre les fesses. On lui avait parlé de cette pratique, mais jamais d’une double intromission ; et pourtant, la cavalière comprenant les intentions s’immobilise, se courbe et attend. Lentement, avec douceur, le membre s’enfonce dans le cul. Prise en tenaille, elle se redresse et son nouveau partenaire lui prend les seins en main. Puis commence le ballet. C’est elle qui s’agite sur ce double pal en grognant de plaisir.

Les deux jeunes sont pris dans cette orgie, Jean en participant, ressentant un plaisir inconnu. À travers la mince cloison il perçoit l’autre membre. Sans bouger, l’action de la femme et aussi son imagination l’amènent à une jouissance extraordinaire. Marc immobilise son épouse, se déverse en elle ; c’est le signal de son orgasme. Ils s’affaissent sur le coté, terrassés par le plaisir.


Après un long temps de silence, lentement Marc puis Anne se relèvent et vont à la salle de bain. Les deux amoureux se regardent, se rapprochent et s’embrassent tendrement.



Restés seuls, les jeunes se lèvent, et après la douche vont également au lit.


Un rayon de soleil à travers le volet réveille la jeune fille. Elle se lève doucement afin de préparer un café pour tous.

Dans la cuisine, un papier.

« Comme nous vous l’avons dit hier soir, nous avons un long chemin à faire. Nous garderons un souvenir inoubliable de cette soirée. Aimez-vous bien. »

Pas de signature ni de coordonnées. Aucun renseignement. Il leur reste seulement deux prénoms. Mais surtout une grande leçon : un grand amour n’est pas obligatoirement exclusif, il faut accepter parfois de partager.