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n° 05967Fiche technique33822 caractères33822
Temps de lecture estimé : 20 mn
29/03/03
Résumé:  L'été dernier, lors d'une soirée passée avec 3 jolies copines et un très bon ami, je découvre un nouveau niveau de jouissance!
Critères:  f fh ff ffh fffh grp fbi jeunes copains vacances plage piscine sport campagne danser volupté voir exhib noculotte strip lingerie odeurs fmast intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio jeu init
Auteur : Benjisexxxy  (Je suis un homme qui vit pour l'amour et les joies du sexxx!)      
Un océan de plaisirs...


Je m’appelle Benjamin. J’ai 21 ans, je suis de taille moyenne, brun, les yeux vert-amande, le corps plutôt musclé. En général, les filles et les femmes me trouvent assez mignon, et très bon amant. Mon rêve depuis toujours, c’est d’inventer les caresses les plus vibrantes, de pouvoir offrir les baisers les plus émouvants, de faire fondre les femmes rien qu’en leur frôlant la joue. Toute ma jeune vie a été une recherche de ce qui pouvait me rendre inoubliable pour mes compagnes, et de ce qui pouvait leur permettre d’accéder à des niveaux de plaisir inconnus jusqu’alors. L’histoire que je vais vous raconter m’est réellement arrivée. Elle s’est passée l’été dernier…




Un soir d’été, je m’étais attardé dans mon haras, car l’une de mes amies, Sophie, devait y passer la nuit.


J’étais avec Marjolaine, une jolie brune aux seins rebondis, Sylvia, une jeune femme toute en rondeur et en timidité, la seule d’entre nous à n’avoir pas encore perdu son pucelage, Jérémy, un ami de longue date, et, donc, Sophie, une nana assez mignonne, avec un je-ne-sais-quoi de très animal et de terriblement sexy à l’intérieur d’elle. Mes amis étaient tous un peu plus jeunes que moi, ils avaient entre 19 et 21 ans.


Tous les cinq, nous formions une bande presque inséparable depuis plusieurs années. Nous avions passé toute notre adolescence, puis notre vie de jeunes adultes, à monter à cheval ensemble, à s’éclabousser dans une piscine, à partir en voyage près de la mer. Pourtant, rien de plus… poussé, on va dire, ne s’était jamais passé entre nous. (Jérémy et Sylvia étaient bien « sortis » ensemble il y a quelques années, mais ça n’avait duré qu’une soirée, et ils n’avaient échangé que quelques simples baisers.) Pourtant, j’aime beaucoup la beauté et la douceur presque maternelle de Marjolaine, les sourires aphrodisiaques de Sophie et le caractère secret et mystérieux de Sylvia…


Il était 21h30. Nous étions dans le dortoir des écuries, là où dorment habituellement ceux qui restent en stage ou les amis des propriétaires des lieux. L’heure à laquelle je rentrais chez moi en général après avoir monté ma jument était dépassée depuis longtemps. Mais l’air frais de la soirée, le plaisir de partager du temps avec ces amis que j’aime, et puis quelque chose de coquin et d’agréable dans l’atmosphère m’avaient donné l’envie de faire durer plus longtemps cette soirée.


Pendant qu’on parlait autour de Sophie, Sylvia s’amusait à nous faire des tours de magie avec un jeu de cartes: des tours incroyables, et drôles, et vraiment incompréhensibles!


Au bout d’un moment, après nous avoir bien impressionnés (notamment la disparition d’un as de cœur qui reste pour moi un véritable mystère…), après nous avoir impressionnés, donc, elle nous proposa de jouer ensemble à un petit jeu de cartes.


"Moi, je voudrais bien jouer, mais le seul jeu que je connaisse est le strip-poker!" lança Jérémie d’un air faussement attristé.

"N’importe quoi! On va pas jouer au strip-poker !" lança Sylvia, presque menaçante.

"Pourquoi, "n’importe quoi"? Tu n’aimes jouer qu’aux jeux pour les enfants sages?" la provoqua Sophie, sur un ton sulfureux.

"Non… Bien sûr, euh, que non…" bredouilla la petite Sylvia, qui visiblement ne savait plus où se mettre et regrettait ce qu’elle venait de dire.

"Bon, alors, qui est contre un petit strip-poker?" lança Sophie avec un regard de femelle en chaleur. Ses yeux vinrent croiser ceux de chacun de ses amis, un par un. Elle put alors découvrir le visage pourpre et hésitant de Sylvia, les prunelles intéressées de Jérémy, les yeux pleins de peur et de désir de Marjolaine, et mon sourire impressionné par une telle témérité.


"Bon, ça me fait vraiment plaisir!" s’écria-t-elle, joyeuse. Ses perles bleues illuminaient son visage, elle était vraiment belle et appétissante, cette maligne de Sophie. D’autant plus qu’elle était très peu habillée, et que cela promettait du spectacle pour nos yeux.


Avec Jérémy et moi, elle entreprit de coller un lit de chaque côté de celui dans lequel Sylvia devait dormir cette nuit. Tout en faisant cela, je ne pouvais m’empêcher de regretter qu’on ne puisse jouer au valet de coeur (jeu qui ne se joue qu’à 4, 2 contre 2), car Jérémy et moi avions des techniques de triche ultra-sophistiquées. Des techniques qui nous auraient assuré de ne pas finir nus. Là, il y avait bel et bien un risque…

Nous nous sommes installés en cercle sur les lits.


"OK. Vous êtes prêts?" dis-je en mélangeant les cartes avec concentration.

"Oui. D’ailleurs, Benjamin, j’espère que tu es prêt à te prendre la vautrée de ta vie.", déclara Marjolaine. "Ca fait assez longtemps qu’avec Sophie et Sylvia on se fait des pokers, et on a plutôt un très bon coup de main. J’espère que tu n’as pas trop honte de ton sexe, parce qu’on va bientôt pouvoir l’admirer!" annonça-t-elle en me lançant un clin d’œil et en rigolant.


A ce moment, je réalisai que je n’avais joué que quelques fois au poker, et que donc j’allais certainement perdre. Mon esprit travailla alors très vite pour essayer de trouver une solution à ma situation. En vain. Il me fallait jouer, et peut-être me faudrait-il perdre.


"Tu es bon, toi à ce jeu?" demandai-je à Jérémy.

"Ben écoute, je me débrouille, mon vieux. Je n’excelle pas, mais je me débrouille."

"C’est ce qu’on va voir…" dis-je, déterminé, en distribuant les cartes.


L’atmosphère était soudainement devenue plus sérieuse, tendue par l’enjeu. Chacun réalisait dans quoi il s’était embarqué, et ce qui pouvait l’attendre.


« Les règles sont simples », annonça Sophie, qui avait l’air d’avoir beaucoup de pratique dans ce genre de jeux. « Après avoir changé une fois entre 1 et 4 cartes, chacun "mise un habit", sans se déshabiller réellement. Puis, celui qui a la main a le droit de surenchérir, ou de se coucher. Donc tout le monde enlève à chaque fois au moins un habit, sauf le gagnant qui n’enlève rien. Prêts ? »

« Prêts ! » répondit un chœur de voix curieuses.


Mon premier jeu était sans bonne surprise. Pas même une paire ! Je m’efforçais de cacher mon agacement, et essayais de paraître naturel. Je décidai de changer deux cartes, et j’obtins du coup une paire de roi. En regardant autour de moi, je constatai que la majorité de mes amis avaient l’air radieux, égayés par leur jeu.


Prudemment, je choisis de me coucher.


« Oui, moi aussi ! » déclara Sylvia.

« Bon, vous avez peur ? » demanda Sophie, qui avait la main. « Moi, je mise un deuxième habit. »

« Hmmmmm ! Intéressant ! Ca pourrait bien aller vite, tout ça ! » fit Sylvia, amusée.

« OK, moi aussi, je me couche ! », dit Jérémie.

« Moi, j’en mise trois. » dit soudain Marjolaine, qui jusque là avait été très discrète. « Est-ce que tu vas oser me suivre ? » dit-elle en plantant ses beaux yeux noisettes dans ceux de Sophie.


« Non, j’abandonne ! » rigola-t-elle. « En fait, j’ai voulu tenter un coup. Je n’avais pas de jeu. Mais je ne peux pas risquer de perdre trois habits ! »

« Dommage pour toi, parce que moi non plus je n’ai rien », montra Marjolaine. Puis, elle éclata de rire et fit le tour de la pièce en chantant.


Bilan de la première manche : Sophie dut enlever deux habits ; elle se retrouva en débardeur rose clair, très moulant, dévoilant une partie de sa superbe poitrine aux tétons proéminents. Nous, on la laissa faire, et on enleva chacun une chaussette.


La seconde manche commença bien mieux pour moi. J’ai deux paires ! Une paire de valets, une paire de 10. Je décidai de ne pas changer de cartes. Ça va certainement les impressionner.


Comme c’est moi qui avais la main, je misai un habit. Jérémie et Sophie se couchèrent, Sylvia et Marjolaine suivirent. Hmmm… Ca va être compliqué de m’en débarrasser de celles-là. Je décide alors de miser deux habits de plus, soit trois habits.


« Hein ?? Mais ça ne va pas, non ? Tu aimes tant que ça te montrer à poil ? » fit Marjolaine.

« Bon, OK pour trois… » dit Sylvia.

« Oui, OK pour trois !… » s’exclama Marjolaine.


Mince, j’ai certainement fait une belle bêtise. Elles ne risquent certainement pas trois habits pour rien.


Lentement, chacun posa son jeu… Marjolaine posa 2 neuf, Sylvia 2 huit, puis Marjolaine posa 2 huit et un sept. Alors, joyeux, je présentai mes 2 paires, qui valaient mieux que les siennes. J’exultai un court instant, puis nos yeux se posèrent, interrogateurs, sur le jeu de Marjolaine. Alors, lentement, elle jeta un roi… Puis un as… Puis un troisième neuf ! J’avais réellement entamé mes chances de terminer la partie ! Me voilà condamné à me dévêtir sérieusement. Nous n’en étions qu’à la deuxième partie, et je me sentais bien mal parti… J’enlevai ma dernière chaussette, ma ceinture (qui, selon nos règles comptaient comme un habit) et mon sweat-shirt. Il ne me restait plus qu’un t-shirt, un caleçon et un jean. Sylvia, elle, retira sa dernière chaussette, son polo et… son pantalon ! Devant nos regards excités, elle retira lentement, doucement, un pantalon beige et découvrit peu à peu un joli petit string rose, et aussitôt tenta de cacher les parties visibles de ses fesses avec la couette. Sylvia semblait très émue de ce qu’elle venait de faire, comme en témoignait son regard plongé vers le bas et ses joues écarlates.


Un nouveau jeu fut distribué. J’ai décidé de ne tenter l’aventure qu’en cas d’excellent jeu car pour moi, la partie est devenue particulièrement risquée.


Quoi qu’il en soit, je n’avais pas de jeu : une toute petite paire de 10, donc pas de quoi rivaliser avec les autres. J’abandonnais donc la partie, et fut imité par Sylvia et Jérémy. Restaient donc Sophie et Marjolaine. Marjolaine, qui avait gagné les deux premières parties, annonça :


« J’en mise deux ! »


Sophie répondit alors :

« D’accord, mais pas deux. Quatre ! »


Marjolaine sembla tout d’un coup inquiète. Elle ne pouvait raisonnablement pas surenchérir ni abandonner si elle avait un bon jeu. Du coup, elle acquiesça en murmurant un tout petit « oui » tendu, soucieux.


Puis, elle dévoila son jeu sur un oreiller. Elle avait un brelan de huit.


« Alors, tu as mieux ? » s’enquit-elle.


Sophie, sans répondre, avec un grand sourire, posa une à une, un dix… un valet… une dame… un roi… et … puis… un sept !


« Non, je n’ai rien, espèce de… ! » s’écria-t-elle, l’air enragée.


Elle était condamnée à un joli strip-tease, et je n’allais pas en rater une seconde. Je m’installai donc tout près d’elle. Sophie, qui vit tant de regards posés sur elle, se prit alors au jeu : elle retira avec des gestes très sexes une petite chaussette noire, puis se frôla le ventre en simulant un orgasme, détacha la ceinture de sa petite jupe, la laissant glisser sur ses petites fesses qu’on devinait craquantes. Sophie jeta un regard terriblement excité à ses spectateurs, puis retira son petit débardeur, découvrant un joli soutien-gorge beige et doré, en dentelle. Elle se pencha en avant pour bien nous faire voir, voire sentir car elle promena ses seins à quelques centimètres de chacun de nos visages. Puis, elle s’arrêta et s’allongea sur le ventre.


« Il te reste un 4ème habit à enlever, ma chérie », nota Jérémy.


Le regard de Sophie s’éclaira, et elle laissa glisser sa main le long de son corps, ramena ses genoux près d’elle, puis, glissant une main agile sous sa jupe, elle retira précautionneusement un tout petit string de la même couleur que son soutien-gorge. Elle semblait ravie et attisée par son idée !


Alors, elle porta le string à sa bouche, inspira longuement la senteur du string, puis s’assit, belle comme un cœur, avec son soutien-gorge et sa mini-jupe.


Hmmmm… Voir cette amie depuis toujours dans une si petite tenue commençait à me donner de légers frissons dans le bas-ventre. Je commençai à avoir une jolie érection… C’est pourquoi je pris l’initiative d’enlever mon t-shirt plutôt que mon pantalon. Mais si je ne gagnais pas la partie suivante, il me faudrait montrer le fruit de mon excitation…


Je tentai alors de mettre dans ma poche le brelan de huit de Marjolaine, mais je fus remarqué par Jérémy qui me fit un léger « non » de la tête.


Ce qui se passa pendant la partie suivante me navra : non seulement je n’avais pas monté la moindre paire, mais en plus tout le monde s’était couché pour ne pas prendre trop de risques.


« Hmmmmm ! Benjamin, ça devient sérieux, dis-moi ! » s’amusa Sophie, en tournant autour de moi. « Puisque nous sommes dans la même galère, je te propose un truc un peu coquin : je te déshabille et tu me déshabilles. OK ? »

« D’accord. Je commence. » dis-je, pour retarder le moment où tout le monde verrais mon érection.

« Ok. »


On s’était mis debout sur un lit. Je me glissai derrière elle, puis caressai son dos et remontai vers l’attache de son soutien-gorge.


« Non, enlève le bas ! » murmura-t-elle. « Je suis beaucoup plus pudique de mes seins ! »


Alors, très étonné, et encore plus excité, je défis les trois boutons de sa jupe, puis la fit glisser sensuellement sur ses fesses en ne manquant pas d’y déposer une caresse très érotique. Sophie, toute émoustillée, leva les bras, puis tourna sur elle-même, en se trémoussant, en dansant, de manière à dévoiler ses jolies petites fesses, et son minou. Puis, elle s’agenouilla devant moi, et donna un petit coup de langue au niveau de mes testicules à travers le jean et remonta, remonta, en me frôlant avec ses lèvres, puis attrapa le premier bouton de mon jean, et d’un seul coup de dent défit les 5 boutons de mon jean. Elle se trouvait alors nez-à-nez avec une érection presque insoutenable.


« Hooooo ! Voilà un très joli sexe, dis-moi !… Tu m’avais caché ça. », dit-elle en la caressant doucement. Cet effleurement me procura un délicieux plaisir, mais elle s’arrêta pour retourner s’asseoir. Elle replia ses jambes sur elle-même pour cacher au maximum sa petite vulve.


Entre temps, Sylvia avait timidement enlevé son petit haut, et offert à la vue de tous une poitrine toute ronde, et un soutien-gorge rose à balconnets très appétissant. Hmmmm ! Je me sentais terriblement excité !


Du coup, je distribuais rapidement les cartes, plein d’espoir…


Mais là encore, je n’ai pas eu de chance. Rien qu’une petite paire de neuf. Je me retirai donc du jeu. Seuls Sophie et Jérémy ne se couchèrent pas. Sophie proposa de miser deux, et invita Jérémy à ne pas surenchérir, car elle n’était pas en mesure d’aller plus loin.


« Mais, pourquoi deux ? Tu ne pourras pas tenir ton engagement si tu perds », nota Marjolaine, qui ne s’était pratiquement pas déshabillée.

« Oui, mais je sais que je vais gagner ! »

« Oh, non ! Ne m’abandonne pas comme ça ! » la suppliai-je. « Viens au moins perdre avec moi. »

« Désolé, mon beau Benjamin,… », dit-elle en lâchant une légère caresse sur mon sexe tout dur, « …Mais là, je crois que tu es foutu ! » rigola-t-elle en me faisant un clin d’œil.

« Regarde… » Elle posa une à une, en faisant durer le suspense, les cartes d’un superbe fool de valet par les dames. « Alors, impressionné ? » demanda-t-elle à Jérémy.


« Oui, très impressionné. Mais j’espère que tu ne m’en voudras pas, ma belle Sophie ! » dit-il en déposant sur le lit un carré de 10, d’un geste souverain.


« Joli revirement de situation ! » m’exclamai-je, content de partager la défaite avec elle.


Sophie semblait très surprise, mais elle s’en remit vite. Elle s’approcha de moi, glissa une main sous mon caleçon et frôla mes fesses, glissa même sur la raie de mon anus.


« Montre nous ta belle bite ! » dit-elle en baissant mon caleçon d’un coup sec. « Hmmmm… Jolie ! »

« On peut voir de près ? » demanda Marjolaine, avec un regard implorant. Comment résister ?

« Oui, viens… »


Marjolaine, qui, il est vrai, était la grande gagnante du jeu se mit à genoux devant, puis s’approcha à quelques centimètres de ma verge. Elle soupesa un peu mes testicules, prit quelques secondes mon sexe dans ses mains, et le masturba un peu, avec beaucoup de doigté, je dois dire.


Puis, elle s’écria : « A toi, ma belle Sophie ! »


Sophie sourit, puis s’approcha de moi, se mit de dos et se laissa dégrafer son soutien-gorge. Sa poitrine était splendide : ronde, très soutenue, avec des tétons érigés sur lesquels j’aurais bien déposé quelques baisers…


A ce moment, Marjolaine affirma : « Il te reste encore un habit ! »

Ce à quoi Sophie répondit : « Oui, effectivement, mais je vois mal comment je pourrais être plus nue que maintenant… »

« Il y a pourtant une solution », se réjouit Marjolaine, toute excitée. Elle se leva, puis alla chercher un petit sac. Elle en sorti une trousse, et distribua un stylo par personne. Puis, elle sortit du papier à lettre et en déchira une feuille pour chaque personne.


« Je vous explique : Sur la feuille, vous devez chacun écrire 4 petits gages, 4 gages moyens, et 4 gages plus poussés. Après, on fera trois paquets selon le niveau du gage, et on mélangera les bouts de papiers. À partir de maintenant, ceux qui ont le pire jeu dans une partie devront tirer un bout de papier : la première fois, dans le premier tas, la deuxième fois, dans le deuxième et la troisième fois dans le troisième tas. N’oubliez pas que vous pouvez tomber sur vos propres gages, donc faites-en des plutôt agréables… Ou même délicieux ! »

« Sophie aura le premier gage, puisqu’elle a misé plus qu’elle ne pouvait en montrer ! » ajouta-t-elle, avec un petit sourire pervers.


« Moi, ça me va ! » fit Sophie d’un air gourmand.


Sylvia, quant à elle, semblait très inquiète. Tout ça avait l’air de lui faire peur, mais elle resta silencieuse.


Tout le monde s’attela alors à la dure tâche de trouver douze gages différents. Chacun découpa des petits morceaux qui furent mélangés.


Sophie glissa sa main dans le premier tas, saisit l’un des papiers puis annonça : « Se caresser de manière à ce que tout le monde puisse bien voir pendant une dizaine de secondes. »


« Tiens, tiens… Je me demande qui a mis ça ! » s’étonna Sophie, agréablement surprise.


Puis, elle écarta lentement les jambes, s’allongea lentement sur le dos, et entreprit de replier ses genoux près de sa poitrine. On pouvait bien voir la petite fente toute rose, toute humide. Sophie se caressa un peu un téton, puis, doucement, descendit une main vers sa jolie vulve. Elle effleura d’abord ses grandes lèvres, puis frôla son clitoris, tendrement. Son corps s’abandonna à la caresse. Ses doigts montaient et descendaient en touchant presque insensiblement son bouton de plaisir. Puis, elle laissa glisser ses doigts sur sa touffe de poils brune et déposa un peu de son humidité au bas de son ventre.


Je me sentais terriblement excité. J’aurais bien aimé jouer avec son sexe trempé de fluide d’amour, moi aussi…


Mais une nouvelle distribution de cartes était en cours. Le perdant allait être celui qui aurait le pire jeu. En cas de défaite, ceux qui n’avaient pas encore dévoilé leur parties les plus intimes devront enlever un habit, moi j’aurais un gage de catégorie 1, et Sophie aurait un gage de catégorie 2.


Marjolaine perdit les deux premières parties de ce sex-poker, aussi rien d’exceptionnel n’advint, si ce n’est qu’elle enleva une chaussette et son polo.


Par la suite, Jérémie retira aussi son polo, et Marjolaine fut contrainte à enlever son t-shirt, et laissa voir un soutien-gorge très sexy, en satin bleu clair.


La partie suivante vit la défaite de Sylvia, qui, timidement, dut se dénuder complètement. Elle essayait d’en montrer le moins possible, repliant ses cuisses devant son intimité, cachant ses seins avec son jeu et ses mains.


Mais Sylvia la craintive perdit encore une fois. Elle avait l’air terrifiée. Elle tira un papier, les mains tremblotantes, puis lut :


« Faire un 69 homosexuel avec le (la) voisin (e) de droite… Mais c’est dégoûtant ! J’ai pas envie de faire ça ! »


La voisine en question, c’était Marjolaine.


Jérémy intervint : « Si, tu as accepté les règles du jeu, il faut aller jusqu’au bout, maintenant, ma chérie ! »

Marjolaine renchérit : « Oui, tu vas voir, il n’y a pas de quoi en faire un drame ! Ca ne durera pas longtemps ! »


Ce faisant, elle câlina un moment Sylvia dans ses bras, puis l’allongea confortablement sur le dos, serra délicatement ses cuisses autour de sa tête, puis introduit sa langue dans le minou de Sylvia. En même temps, avec une main, elle tirait un peu son string sur le côté, et posa son sexe ouvert sur les lèvres de son amie. D’où j’étais, je pouvais bien voir la vulve mouillante de Marjolaine qui se trémoussait, et dansait en frôlant et quittant la langue et les lèvres de Sylvia. Sylvia était presque passive. Elle se laissait aller au bien-être, au plaisir des coups de langues de Marjolaine, qui parcouraient sa fente du clitoris à son anus.


« Hmmmmm ! Ouiiiiii ! » gémit doucement Sylvia


Marjolaine arrêta ses mouvements.


« Tu aimes, hein ? Tu vas voir, bientôt, tu ne pourras plus t’en passer ! »


Elle prit la main de son amie et toutes deux vinrent se rasseoir. Nous étions tous surexcités, plein du désir de se laisser aller à un bon gros orgasme. Mais une certaine pudeur, une légère timidité nous poussait à continuer à suivre les règles du jeu.


La prochaine partie me réservait une mauvaise surprise : c’est moi qui perdit !


Résigné, je tirai un petit bout de papier sur lequel il y avait marqué : « se faire sucer par toutes les personnes de l’autre sexe pendant une dizaine de secondes à chaque fois… »


Sur un clin d’œil de Marjolaine, je l’allongeai sur le dos, et lui mit mon sexe dans sa bouche. Mon sexe avait légèrement débandé, du fait de la stupeur d’avoir perdu. Mais Marjolaine, en le léchouillant, en le tétant légèrement, en le lapant comme une glace à la vanille, lui fit retrouver sa taille maximale. Je fermais les yeux. Ces quelques secondes étaient exquises, divines, et terriblement excitantes, car c’était la première fois que je faisais ça devant d’autres personnes…


Puis, je fis de même avec Sylvia, qui avait l’air bien moins expérimentée, mais qui me fit tout de même beaucoup de bien !


Enfin, Sophie se jeta fougueusement sur mon sexe, suçota mon gland en me masturbant assez rapidement, ce qui me fit voir les étoiles… Pendant quelques secondes, et quand tout ça fut arrêté, ça devient presque pénible, car ma tension sexuelle était à son comble, et que je désirais jouir plus que tout. Je fis un regard suppliant à mes amies, mais elles firent semblant de ne pas me comprendre.


Nous reprîmes donc le jeu avec sérieux, et moi avec mon désir de jouissance. La partie fut plus longue qu’habituellement, car chacun s’efforçait de faire les bons choix pour ne pas être le prochain objet d’un gage.


Finalement, Sophie perdit. Mais loin d’être décontenancée, elle jubila presque : « Enfin ! On va pouvoir passer à un stade supérieur ! Ca m’exciiiite ! »


Elle saisit un petit papier du 2ème tas, le fit frôler sa chatte et humecta le bout de papier. Puis, elle s’exclama : « Oh ! Dommage c’est illisible, maintenant !… » « Ah ! Si… euh, « Faire jouir la personne qui se situe à ta gauche ! »» C’était Jérémy ! Quelle chance il avait !


Sophie s’avança langoureusement, sensuellement vers sa nouvelle proie. Elle lui retira d’un geste sec son pantalon, puis effleura son boxer blanc avec douceur, avec doigté. Elle passait et repassait ses doigts qui dansaient sur un sexe de plus en plus gros, tendant de plus en plus le sous-vêtement. Puis, elle lui enleva lentement son caleçon, et se mit à continuer ce qu’elle avait commencé, mais… avec la langue ! Sa langue décrivait le pourtour de ses testicules, puis remontaient le long de sa verge et attirait son gland dans sa bouche. Les paupières de Jérémy commencèrent à se fermer, et son sourire en disait long sur son plaisir. Sophie, en nymphe des fellations, l’amenait, longuement, lentement, avec virtuosité vers une jouissance infinie. Plus le temps passait, et plus la sensation même de plaisir se propageait dans la pièce.


« Ouiiiii ! C’est délicieux, ma petite chérie ! » disait-il, comme hypnotisé par l’incroyable bonheur qui l’envahissait.


Soudain, elle arrêta ses gestes. « Tu as failli jouir, hein ? » lui demanda-t-elle gentiment. Il acquiesça. « Attends un peu, tu vas voir, je vais te faire quelque chose d’encore meilleur ! »


Elle s’approcha de lui, puis s’agenouilla au-dessus de lui et fit glisser son sexe entre les petites lèvres de son petit minou rose, ruisselant de mouille.


« Ouiiiiiiiiiii, c’est trop booooon ! » gémit-il


Elle entreprit des mouvements lents, et, en se caressant le clitoris, elle l’emmena avec elle dans une danse qui devait se terminer bientôt, car il ne semblait plus rien maîtriser. À ce moment, Sophie augmenta le tempo, et commença à murmurer : « Oohh ouiiii, ça vient… Ouiiii ! Oh, c’est bon ! » Le sexe de Jérémy, que l’on voyait apparaître puis disparaître était trempé de mouille. L’odeur sucrée et suave de son jus venait jusqu’à nous et rendait le moment encore plus excitant et encore plus frustrant. Ils étaient dans une sorte de transe qui semblait ne pas devoir finir. Mais bientôt, Jérémy et Sophie se mirent à crier en chœur :


« Ouiiiiiii, c’est bon, tu vas me faire jouiiiiiiiiiiiir ! » « Ah ! ça y est ! » « Ouiiiiiiiii ! »


Leurs corps se convulsionnèrent sous l’effet de la décharge de plaisir.


« Hmmmmmmmm ! C’était vraiment trop bon ! » gémit-elle. « J’espère que ça ne vous laisse pas trop sur votre faim », se moqua-t-elle gentiment en nous regardant avec ses yeux de chatte.


Les deux amants revinrent jouer avec nous. La partie fut assez brève cette fois, car chacun avait maintenant envie de perdre, pour satisfaire ses pulsions sexuelles. Je fis exprès de mal jouer, mais finalement, ce fut Sophie qui perdit.


Elle sortit un papier du lot et lut : « Mettez vous à plusieurs pour donner le plus de plaisir possible à la personne de ton choix. Tiens, c’est un de mes papiers », annonça-t-elle en rigolant.


« Qui vais-je choisir ? » demanda-t-elle en nous scrutant tous un par un. « Tiens, Sylvia, viens, ma chérie ! »


Sylvia semblait morte de peur. Elle bégaya : « Je, euh… Je n’ai jamais fait… Et… ça me fait vraiment peur… »


« Allez, viens ! Tu vas voir : laisse toi aller à tes sensations, relâche tes peurs, et profite de cette expérience du plaisir… » susurra Sophie.


Sylvia, pas très rassurée, s’allongea sur le dos sur un lit à côté.


« Laisse toi aller, détend toi… » murmura Sophie.


Puis, elle lui caressa tout le corps, embrassa ses seins, surtout le pourtour des tétons, ses fesses, son ventre, sa bouche, son cou, ses oreilles, puis entreprit une descente vers sa vulve.


Elle lui lécha longuement ses chairs qui s’humidifiaient peu à peu, s’amusa à aspirer et téter son petit clitoris qui se tendait.


« Allez, venez, tout le monde ! On va l’emmener dans les étoiles ! Viens prêt de moi, Benjamin ! » m’appela-t-elle.


Depuis un moment, j’avais débandé, car Sylvia dégageait une forte impression d’inquiétude, de peur.


« Ca t’excite moyen une nana inquiète, hein ? Je vais te faire bander, moi ! » dit joyeusement Sophie.


Elle engloutit mon sexe dans sa bouche, me massa agréaaaaablement le gland avec ses lèvres et sa langue. Les sensations que je ressentais étaient délicieuses, je voulais que ça ne s’arrête jamais. Mais très vite, mon excitation étant à son comble, elle aspira un peu mon sexe tendu et le frotta contre les nymphes et le clitoris… puis le fit pénétrer dans la vulve tiède et trempée de Sylvia. Je sentais son hymen, qui gardait l’entrée de cette vallée secrète, mais au bout de deux ou trois coups de reins, il céda. Heureusement, Sylvia ne semblait pas avoir eu mal.


Mon sexe commença des mouvements de va-et-vient à l’intérieur d’elle, ce qui la faisait pousser de petits gémissements suaves, et ce qui m’emplissait d’un bien-être sucré, indescriptible.


Devant moi, Marjolaine s’était presque assise sur la bouche de Sylvia, et se faisait sucer à grandes lampées.


Sophie, elle, vint s’allonger derrière moi et me lécha les testicules. J’adore ça !! Ses caresses décuplèrent mon plaisir, j’accélérai mes mouvements. Ma bite rentrait bien fort dans sa chatte, c’était boooon !!!


Jérémy lui tétait les seins, et toutes nos stimulations la faisait crier : « Arrêtez, je vais mourir ! Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii ! C’est terriblement boooooon ! Arrêtez, je vais jouir !! »


Alors je la pris de plus belle, un peu plus fort…


« S’il te plaît, Benjamin, arrêêêêêêête ! Je vais exploser !!! » hurla-t-elle


Soudain, elle se contracta et en un « ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! » de jouissance, elle s’envola au royaume du plaisir, son corps se tortillant dans tous les sens, le regard dans un songe, puis elle s’évanouit de bonheur.


Je me retrouvais à l’intérieur d’une femme endormie, sensation que je trouve très savoureuse ! J’allai donc vers un orgasme délectable, lorsque Marjolaine, qui s’était fait jouir sur la bouche de Sylvia, me demanda d’un air de petite jeune fille innocente :


« J’ai des petits frissons entre les cuisses. Et Sylvia, au lieu de me les calmer, a littéralement mis le feu dans tout mon bas-ventre ! Tu voudrais pas envoyer ta belle bite en éclaireuse pour voir s’il n’y a rien d’anormal à l’intérieur de mon corps ? »


En disant cela, elle se mit à 4 pattes, me proposant une vision angélique de ses fesses fermes et roses et de son intimité béante de désir. Elle promena un doigt tout le long de ses parties secrètes, et poussa un gémissement désireux.


Je ne pus résister à cette vision presque divine. Je sortis donc du bas-ventre de Sylvia, toujours endormie, et introduit mon sexe entre ses petites lèvres humides.


« Ouuuuuuuh ! C’est bon ce que tu me fais, Benjamin ! »


Je m’enfonçais à l’intérieur d’elle, puis ressortais, lentement, calmement. Je faisais doucement monter le désir en elle, en moi. Tout se passait comme dans un rêve, comme au ralenti. Cela nous permettait de profiter au maximum du plaisir, le plaisir augmentant à chaque coup de rein et repoussant à chaque fois les limites que j’avais déjà atteintes. Avec sa main droite, elle vint caresser mes testicules, ce qui décupla encore ma jouissance, celle-ci m’envahissant ma vagues de plus en plus fortes, de plus en plus agréaaaables ! Oh, ouiiiiii ! Je sens que chez elle aussi l’heure de l’orgasme est proche. Moi, je suis à la limite de la grande volupté, mais je me retiens, délicieusement, à la limite de l’éjaculation. Les autres nous regardent avec délectation : Sylvia, qui s’est réveillée, se masturbe avec Sophie. Soudain, la belle Marjolaine pousse un cri jouissif : « oooooouuuiii, ça vieeeeeent ! » et tout en continuant des mouvements très lents, elle hurle son bonheur : « Oooooh ! Ca m’envahiiiiit ! Je jouiiiiis ! » Alors, je me laisse mourir d’une petite mort, exquise, sublime, tellement près du meilleur de ce que je sais faire pour moi.



Si mon histoire vous a plus, je me ferai un plaisir de vous offrir la suite de mes aventures, la suite de mes plus grands plaisirs…