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n° 06088Fiche technique24045 caractères24045
Temps de lecture estimé : 15 mn
12/04/03
Résumé:  Comment Caroline raconte notre intimité
Critères:  ffh fbi fépilée magasin essayage fsoumise fdomine exhib lingerie anulingus fgode fdanus fsodo uro
Auteur : Pascalker  (Bien dans sa peau, sans prétention, heureux de vivre)      
La vie selon Caroline !


Quatrième retit, et oui, j’insiste!

Non seulement je peux remarquer, vu les mails reçus, que je plais à certains, que j’en excite d’autre ou alors, que je déplais à quelques un. Quoiqu’il en soit, je vous remercie de vos critiques mais surtout, que cela plaise ou non, n’empêchez pas les gens de s’exprimer, ne vous moquer pas, ne soyez pas vulgaire (je dis cela pour une ancienne pensionnaire de ce site, excellent auteur, qui ne veut plus écrire suite aux remarques désobligeantes et vulgaires qu’elle a reçu).

Aujourd’hui, j’ai décidé d’innover en donnant la ’parole’ à l’héroïne de ma vie, Caroline.

Je lui ai fais lire mes parutions, elle n’en s’est d’ailleurs pas arrêtée là lorsqu’elle a vu toutes les histoires du sites, et lui ai demandé de me raconter sa vie et ces moments croustillants.

Alors, ami lecteurs, voici en direct live, la retranscription des feuillets de Caroline.



****** / *******


Bonjour c’est Caroline!



Pascal m’a fait lire les récits qu’il vous a dernièrement envoyé et que vous avez eu la gentillesse de lire. Etant personnellement concernée, il m’a demandé de participer à l’étalage public de nos vies sexuelles, chose qui, pour moi, représente une nouveauté, même si le petit côté exhibitionniste de cet acte ne me déplait pas. Mais n’étant pas sûre d’accrocher votre curiosité et votre excitation, je vous prierez d’ors et déjà de m’excuser pour mon non savoir faire. Ne sachant pas trop comment m’y prendre, je vais essayer de vous raconter quelques moments croustillants de notre intimité.


Je m’appelle donc Caroline, née il y a un peu plus de 31 ans dans un petit village de Bretagne. Dès l’âge de 3 ans, je me suis retrouvée toute seule avec ma maman, mon géniteur ayant décidé de reprendre la mer et de voguer vers d’autres cœurs, nous laissant nous débrouiller à mener et gérer notre vie. Le seul souvenir que je puisse avoir de lui et le type méditerranéen qu’il m’a transmis, moi la petite bretonne pure beurre. Par contre, pour

maman, le plus difficile allait être a venir, tenter d’éduquer correctement une petite fille déjà turbulente, joindre les deux bouts et vivre sa vie de femme qui, ayant la chance d’être assez jolie et animée des désirs qui l’habitaient, lui ont offert bon nombre d’amants. C’est donc dans cet univers que j’ai grandi, mais sans en aucune fois en ressentir ni honte, ni gène, appréciant tout simplement la vie qui s’ouvrait à moi, tout en restant une bonne élève à l’école.

Par contre, très rapidement mon corps ne m’a pas laissé indifférente et très jeune, j’ai commencé en m’en occuper, passant de longs moments la main entre les cuisses ou sur mes jeunes tétons. Et puis, ce qu’il devait

arriver arriva, un des amants de maman m’ayant surprise à me faire du bien toute seule, m’a montrer comment le faire à deux. L’âge n’a que peu d’importance puisque cet homme, qui aurait pu être mon père, m’a enseigné

cet art avec toute son expérience et son savoir faire, et m’a donné cette passion de faire l’amour.

Le travail m’a ensuite fait prendre la direction de la région parisienne et heureusement qu’une amie de maman y vivait déjà pour m’y accueillir car je ne sais pas comment j’aurais fini aujourd’hui. Cette jeune et belle femme

m’a prise sous sa coupe, d’une part, en me trouvant un travail chez une vieille mégère à Versailles (cf. le deuxième récit de Pascal) grâce de bonnes relations, et d’autre part, en montrant qu’il n’y avait pas qu’avec un homme que l’on pouvait prendre du plaisir en étant mon initiatrice homosexuelle. C’est d’ailleurs elle qui m’a fait poser ce petit anneau à mon nombril (elle voulait aussi sur mes lèvres intimes, mais j’ai refusé) qui, en fait, s’avère d’un érotisme débordant.

Lorsque j’ai pu alors m’installer dans mon chez moi, j’ai cru à maintes reprises vivre le grand amour et pouvoir devenir mère au foyer avec divers partenaires mais, il y a toujours eu un truc qui n’allait pas. Aller, je le reconnais, j’avoue ne pas être toujours facile à vivre et qu’il faut une grande dose de patience pour me supporter. Mais je n’ai pas toujours été fautive non plus!

Bref, c’est après une dernière expérience ratée que j’ai rencontré l’autre, Pascal. Alors là, contrairement à l’idée que peuvent s’en faire quelques critiques du site, c’est tout sauf un megalo-matuvu. En fait, c’est la personne la plus sincère que je ne connaisse, à lui, je donne tout et je prends tout (quand il va me lire, je suis sure qu’il va rougir!) Et sans entrer dans le détail, depuis 10 ans, nous partageons tout. Au début, vivant ensemble, ce fut nos corps, nos pulsions, nos envies et maintenant nos sentiments, nos peines, nos joies, nos secrets (même si de temps à autre, j’aime bien retrouver son corps contre le mien).

C’est surtout quelqu’un d’une très grande générosité. Nombre de fois ou il m’a rendu service, moi et beaucoup d’autres, d’ailleurs, son récit racontant l’histoire de Fabienne n’en est que la meilleure preuve, et quand on l’évoque ensemble, les yeux de Fabienne pétillent de bonheur vers lui, comme si elle voulait l’en remercié.

Mais, car il n’a pas non plus que des bons cotés, il est aussi râleur que moi. Combien de fois nous nous sommes pris de becs pour un oui, pour un non, en fait, il n’y a qu’au niveau ’cul’ que notre entente est absolument parfaite.

Bon, je vais arrêter de lui accorder toute la place dans mes propos, sinon ses chevilles vont enflées, et plutôt que de disserter sur ses bons cotés, je vais vous raconter deux petits moments de notre intimité qui m’ont laissé un souvenir émouvant et surtout agréable.

Tout d’abord, la première fois qu’il ma sodomisée. En fait, ce n’était pas mon dépucelage anal mais comme celui qui s’en était occupé auparavant s’y était très mal pris, ne me faisant hurler plus de douleur que de bonheur, j’étais

assez réticente à en prendre une nouvelle fois plein le c… Et lorsque Pascal, lors de notre première étreinte a pu juger que je n’étais pas insensible à un doigt curieux dans mon petit trou, il n’a pas du comprendre mon refus lorsqu’il me proposa de le remplacer par sa queue. Il faut aussi ajouter qu’il est un peu plus gros que la moyenne que j’ai pu avoir entre les mains où autre part, ce qui n’était pas fait pour me rassurer. En fait, il a attendu patiemment, ne me forçant jamais à faire ce que je ne me sentais pas capable de faire même si, mine de rien, j’en avais de plus en plus envie, car cela ne l’empêchait pas de s’occuper de mon petit trou, de ses doigts ou, surtout, de sa langue. Comment ne pas rester indifférente, lorsque vous êtes a quatre pattes, la tète enfouie dans les avants bras, les cuisses écartées, et qu’une langue fouineuse se promène le long de votre fente pour venir doucement remonter entre vos fesses, sentir ses mains les écarter et son petit organe buccal qui se raidi pour venir s’appuyer et pénétrer votre intimité, hum que c’est bon! C’est comme cela, qu’un soir ou j’étais peut être un petit peu partie suite à un repas bien arrosé, lorsque après m’avoir fait jouir une ou deux fois comme il sait le faire, j’étais dans la position décrite précédemment et il œuvrait entre mes fesses, le plaisir montait de plus en plus et une fois qu’il eut mit deux doigts dans mon anus, la facilité avec laquelle il les actionnait dans mon derrière, j’ai alors moi même écarté mes fesses en lui disant simplement:


"Encules moi"

"Tu es sure ?"

"Dépêches toi idiot, avant que je ne change d’avis"


J’etais prête à me faire prendre et surtout à supporter la douleur. Ses doigts ont alors fait un petit tour dans ma chatte trempée pour revenir dans mon trou et me lubrifier un peu plus, et après s’être mis dans une position qui pour lui ne devait pas être la plus confortable, j’ai senti son gland venir se poser son ma rondelle, et puis, plus rien!


"Alors?"

"Ça y est, il est rentré!"


Et là, en effet, je l’ai senti, mais aussi bizarrement que cela soit, non pas au moment où son gland à franchi mon anneau, mais lorsque j’ai senti mon cul s’étirer, et cela jusqu’à ce qu’il soit au fond de moi, jusqu’à ce que ses couilles touchent mes fesses. La pénétration a été longue mais douce, ne générant en fait aucune douleur insupportable même si j’étais consciente d’en avoir un sacré paquet dans mon petit trou. Il est resté quelques instants en moi, sans bouger, se contentant d’agréables caresses sur mes seins, mon ventre, mes hanches, et lorsque j’ai moi même commencé à bouger sur son sexe, il m’a alors pris les hanches et a commencé à me labourer le derrière de manière crescendo, jusqu’à me faire couiner de bonheur sans même avoir besoin de me masturber en même temps, le sentant jouir en moi et emplir mon boyau de sa semence.

Le temps de reprendre notre souffle et qu’il débande tout doucement, il s’est retiré dans un bruit de succion qui nous a fait rigoler et je ne pu que le féliciter de m’avoir fait jouir sans douleur, ôtant ainsi de moi toute appréhension. Et lorsque depuis, je sens son gland s’insinuer entre mes fesses, c’est avec un grand plaisir que je les écarte et l’accueille en moi.


L’autre moment agréable est mon retour au plaisir homosexuels, mais en sa présence. Il savait que j’avais eu et apprécié des rapports avec une autre fille, et, sans me faire part de son fantasme, le plus répandu chez les hommes, il a su m’y amener pour notre plus grand plaisir. En fait, malin comme il est, il avait tout manigancé avec Nadège, une jolie petite blondinette, aimant autant une belle petite chatte qu’un gros kiki.

Pour la St Valentin, Pascal tenait absolument à m’offrir un ensemble de lingerie mais à condition que je vienne l’essayer avec lui.


"Mais la dernière fois, pour la guêpière, tu n’as pas eu besoin de moi, et puis maintenant que je le sais cela ne sera plus une surprise, alors si en plus je l’essaye, ce n’est pas la peine de me faire un cadeau!"


Là, j’avais gaffé car non seulement je ne l’ai pas accompagné, mais je n’ai pas eu de cadeau non plus! Un peu vexée, j’ai tiré la gueule pendant le début de soirée avant de succomber à ces caresses.


"Bien, comme tu n’as pas voulu m’accompagner, je n’ai pas pu me décider entre les modèles qui me plaisaient"

"OK, on ira demain" lui dis je alors


C’est que j’y tenais moi, à mon cadeau!

Mais je n’ai pas compris lorsqu’il ma dit que nous irions dimanche car généralement, les boutiques sont fermées, mais il me raconta une histoire de liquidation où tout doit disparaître, ajoutant que nous devrions être plus tranquille. Connaissant le plaisir qu’il prend à venir me mater derrière le rideau à chaque essayage, sa remarque ne m’a qu’a moitié surprise, m’imaginant déjà m’exhiber à ses yeux en petite tenue. En arrivant devant la dite boutique, non seulement il n’y avait aucune publicité racoleuse mais en plus elle était fermée. Lui demandant si il ne me prenait pas pour une idiote, il s’empressa d’aller frapper à la porte, et là, Nadège apparue, un petit canon blond aux yeux bleus qui dans un grand sourire vint ouvrir la porte.


"En fait, j’ai loué la boutique pour la journée", me dit il" et la vendeuse aussi !"


Ce petit coquin connaissait donc déjà Nadège et avait tout prévu avec elle. Décidée à jouer son jeu, je me suis alors laissée faire en tant que petite copine soumise aux caprices de son copain. Ainsi lorsqu’il eu choisi

la première parure, un ravissant ensemble string, porte jarretelles et soutien-gorge Nina Ricci, je me suis dirigée vers la cabine tout en prenant soin de ne pas fermer le rideau entièrement. Je me suis alors dénudée pour enfiler la parure, sachant très bien qu’il me matait, tout comme Nadège d’ailleurs, ce qui m’a fait prendre des poses assez coquines pour leur montrer de quoi j’étais capable. Une fois revêtue des beaux dessous, il me demanda de sortir afin de vérifier l’effet, et là, aussitôt, Nadège vint à mes cotés pour ’réajuster’ les différentes pièces.

Elle tourna tout d’abord le porte jarretelles autour de ma taille de façon à le placer correctement, ensuite elle s’occupa du soutien-gorge et, glissant ses doigts sous la bretelle, elle descendit doucement à l’intérieur du bonnet pour soit disant le mettre correctement en place. Mais lorsque j’ai senti son doigt venir flirter avec mon téton, celui ci compris alors sa démarche et s’est immédiatement raidi à son contact


" vous avez une très jolie poitrine, Mademoiselle, et très sensible dirait on"


e tout dit avec un regard à la limite de la provocation. Elle continua son manège sur mon autre sein, pour le même résultat avant de venir s’agenouiller derrière moi et, attrapant les bords du string, elle les remonta légèrement sur les hanches, le faisant rentrer un peu plus entre les fesses, et, après avoir déposé un baiser sur la gauche:


"Comme ceci, vos fesses sont vraiment désirables"


Me faisant tourner sur moi même, elle se retrouva la tête devant mon sexe. Recommençant alors le même manège, remontant le string sur mes hanches, cela eut pour effet d’épouser les lèvres de mon sexe parfaitement dessinées sous le tissus tendu.


"Hum, c’est excitant"


Me fit elle alors avant de faire courir sa langue le long de ma fente avant que ses doigts ne se glissent sous le tissus de mes hanches jusqu’à mon entre jambes, elle regarda alors Pascal qui, la main sur son sexe ne loupait rien de la scène.


"Et en plus elle est toute mouillée la petite salope!"


Ce changement de ton dans la bouche de Nadège m’a quelque peu surprise mais quelque part excitée un peu plus surtout lorsque Pascal a ajouté:


"Oui, c’est qu’une petite cochonne qui ne demande qu’a être comblée et peut être même corrigée"


Tandis que Nadège continuait à faire courir ses doigts sous ma culotte, m’excitant de plus en plus, elle se releva doucement, frôlant mon corps de ses lèvres et une fois face à moi, me regarda quelques instants dans les yeux et d’un geste brusque, m’attrapa par la nuque et plaqua ses lèvres sur les miennes pour un baiser dévastateur. Relâchant son étreinte, elle me souri bizarrement avant de me dire:


"J’espère que tu lèche bien au moins"


Et de me forcer à m’agenouiller devant elle. Tout doucement, elle remonta sa jupe face à moi, dévoilant ses

bas retenus par des jarretelles rouges avant de me faire découvrir son sexe dépourvu de tout culotte, déjà luisant de désir, où je pouvais deviner sans aucun problème ses deux jolies lèvres sous son fin duvet blond. Elle attira ma tête contre elle et je m’exécutais sans aucune gène, tellement excitée par cette fille ensorceleuse. Pascal, de son coté, avait sorti sa queue et se masturbait en nous regardant nous aimer, Nadège, gémissant de plus en plus fort son plaisir et moi, mouillée comme une fontaine à la lécher ainsi. Je ne mis pas longtemps à l’amener à l’orgasme et terminant mon œuvre en lui léchant toute sa mouille, elle repris ses esprits et son rôle de dominatrice pour me repousser tout en m’ordonna de rester à genoux. Retournant près de Pascal, elle prit son sexe en main, le masturba doucement et se voulant odieuse à mon égard:


"Cela t’a fait bander mon chéri, moi, elle m’a bien fait jouir cette petite salope"


Tout en continuant à le masturber, elle lui dit quelque chose à l’oreille et Pascal lui répondit:


"Ça je ne sais pas, mais elle n’est peut être pas encore assez chaude!"


Que voulait il dire, je n’ai pas trop compris mais lorsque j’ai commencé à vouloir me relever, d’un signe directif et négatif, elle m’a fait comprendre de rester à genoux à les regarder. Elle s’est alors penchée sur la bite de Pascal et s’est mise à la sucer comme une folle, le faisant jouir en moins de temps qu’il n’en faut pour le décrire, l’amenant à éjaculer dans sa bouche. Une fois remplie, elle revint vers moi et me prenant la tête, elle me fit ouvrir la bouche pour se vider de la semence de Pascal que je me suis empressée d’avaler.


"C’est bien ma chérie, si tu es sage, tu auras droit à un autre festin, relève toi maintenant et enlève ton string"


Je m’exécutais, toujours autant excitée. Doucement je fis glisser ma petite culotte le long de mes jambes et étant derrière moi, elle ne peut s’empêcher de remarquer


"Avec le cul que tu as, tu dois en prendre des paluches dessus, et en plus je suis sure que tu aime ça, hein petite garce!"


Je ne répondais pas à sa remarque ce qui me valut une vive réprimande


"Ça te dérangerais de répondre quand on te parle, sale petasse! Alors t’aime ça ou non qu’on te pelote le cul?"

"Euh, oui j’aime bien"

"Oui qui?

"Oui Nadège"

"Madame Nadège, on a pas élevé les cochons ensemble !"

"Oui madame Nadège !"


Je m’étonnais moi même car je ne m’étais jamais imaginée dans ce rôle de petite soumise qui, ne reflétant pas vraiment mon caractère, dans cette situation particulière, me faisait mouiller si bien que je me prêtais volontiers à son petit jeu et cela me plaisait. Elle me retourna alors:


"Voyons le cote face? Oh mais la petite cochonne a la chatte rasée! T’es vraiment une allumeuse de première!"


Et glissant sa main entre mes cuisses


"Et en plus, tu mouilles comme une petite pute, t’es vraiment une chienne en chaleur"


Me prenant par les cheveux et m’entraînant en arrière, elle me roula un patin et d’un air méchant elle me dis.


"Tu sais ce que je fais aux chiennes? … Je les encule! "


Et de laisser couler sa salive dans ma bouche ouverte. Ses propos obscènes ne faisaient qu’ajouter à mon trouble et elle me poussa alors légèrement en direction de Pascal assis sur le comptoir, et me pencha vers son sexe.


"Tu vas le sucer et le faire bander aussi vite que possible"


Alors là, pour moi, c’était loin d’être une épreuve insurmontable et inhumaine car, en fait, j’adore le sucer, le faire grossir dans ma bouche, je sentir frémir et là, sans être prétentieuse, je crois que je sais y faire, et très vite, son gros mandrin remplit totalement ma bouche. J’ai alors sentis Nadège me retirer de mon sucre d’orge et me tourner la tête pour me faire découvrir un godemiché fixé à sa ceinture qu’elle s’est empressée de mettre dans la bouche.


"Suce le bien,, fais moi bander, et surtout mouille le bien, tu vas en avoir besoin"


Et j’ai alors recommencé les mêmes caresses que sur la bite de Pascal mais avec un peu moins de plaisir, un gode en latex ne valant pas une belle queue. Mais, j’y mettais une belle ardeur qui avait l’air de plaire à Nadège qui m’encourageait du geste en me tenant la tête et de la voix:


"C’est bien ma poulette, tu suces bien, t’es vraiment une bonne petite salope!"


Elle me fit alors m’appuyer les bras sur le comptoir, face à la bite de Pascal, me fit tendre les fesses en arrière, écarter les jambes et ses mains caressant mes fesses avant de les écartant, elle pointa le gode sur mon anus.


"Je t’interdis de le sucer ou de le toucher pendant que je te baise, je ne te veux que pour moi!


Elle eu tout de même un petit moment de gentillesse en me baisant la chatte un petit moment tout en m’humidifiant la rondelle, facilitant ainsi la pénétration anale du gode. Une fois celui ci au fond de mes entrailles, elle commença a me pistonner comme une furie, triturant mes seins qu’elle avait complètement extrait des bonnets, et la vue du sexe de Pascal, là, juste devant mes yeux, ne pouvant y toucher, fut en fait plus dur pour moi que le gode qui me ramonait le cul. Elle posa ensuite sa main sur ma chatte et la conjugaison de sa masturbation et de sa sodomie m’ont fait crier de plaisir et même temps qu’elle.


"C’est bien ma poulette, tu es aussi une chaude du cul, tu m’a bien fait jouir aussi"


Me dit elle en retirant son godemiché qui, j’ai pu le voir, avait une autre extrémité qui lui remplissait la chatte.


"Aller, tu vas faire la même chose à ton mec, il a bien mérité de se vider les couilles dans ton petit cul"


Et elle mis une épaisse couverture sur le parquet de la boutique et invita Pascal à s’y allonger. Celui ci ne se fit pas prier, trop content de pouvoir me prendre et allongé, le sexe fier et dressé attendait la suite des événements. Nadège me prit par la main et, me positionnant au-dessus de Pascal et, tout en lui tournant le dos, me fit doucement descendre à genoux au-dessus de son sexe. Le prenant en main, elle l’a promené le long de ma fente trempée, m’empêchant de m’empaler dessus alors que j’en mourrais d’envie, pour le pointer sur mon anus pour une nouvelle sodomie. Doucement la bite de Pascal est entrée en moi, celui ci me caressant les fesses et le dos jusqu’à ce que je sente son pubis frotter sur mes fesses. Et là, bien calée, je me suis mise à monter et descendre

sur sa queue alors que Nadège, allongée entre nos jambes, léchait ma chatte et les couilles de Pascal. Bien excitée, elle se releva et vint présenter sa chatte au-dessus de mon visage pour ensuite la poser sur ma bouche. Ma langue tentait alors de s’en occuper car non seulement la position n’était pas la plus confortable mais le rythme de mes va-et-vient m’empêchait de bien la lécher. Il n’empêche que cette situation était des plus excitantes

et que je n’allais pas tarder à jouir lorsqu’elle a demandé à Pascal:


"Et maintenant, elle est assez chaude?"


Dans un râle, Pascal lui a dit oui et là, j’ai senti un liquide chaud sur ma poitrine qui coulait sur mon ventre, jusqu’à ma chatte. Cette salope était en train de me pisser dessus et même si je n’ai jamais fantasmé la dessus, je dois avouer que cette douce chaleur, sachant maintenant d’où elle venait, n’a fait qu’accélérer et augmenter mon orgasme au point de, au plus fort de celui ci, accepter son pipi dans ma bouche et la boire directement à la source, tout en sentant Pascal m’emplir le cul de plusieurs jets de son sperme.

Remises de nos émotions, nous avons alors débouché une bouteille de champagne et cela m’a permis de faire plus ample connaissance, en toute honnêteté, avec Nadège qui s’avère être une fille d’une gentillesse et surtout, quel paradoxe, d’une très grande timidité. Comme quoi, la vie est vraiment faite d’imprévus !

Cette première parure de lingerie m’ayant été offerte, il m’est apparu normal de devenir cliente fidèle de Nadège et c’est ce que je suis devenue, lui rendant souvent visite, généralement juste avant la fermeture de sa boutique.


Enfin, même si la morale de cette histoire peut vous paraître limite, sachez que mon petit cul en a bien profiter.


Bisous à tous et à toutes

Caroline