n° 06099 | Fiche technique | 9893 caractères | 9893Temps de lecture estimé : 6 mn | 13/04/03 |
Résumé: Sébastien drague un soir de vacances sur une plage du Languedoc-Roussillon... banal direz-vous ? Pas si sûr ! | ||||
Critères: fhh hbi couplus grosseins hmast intermast fellation préservati hsodo uro humour | ||||
Auteur : Enzo (Ne vous inquiétez pas trop, je me soigne !) |
Souhaitez-vous l’intro classique « Bonjour je suis Sébastien j’ai 25 ans, je suis comme-ci, comme ça et je suis en vacances en Languedoc-Roussillon… »
Ou la poétique :
Par cette belle soirée, les petits oiseaux faisaient entendre leurs gazouillis crépusculaires les gros oiseaux s’exprimaient aussi et le moyens oiseaux philosophaient, se disant que décidément le créateur n’avait sur cette terre laissé qu’aux extrêmes le pouvoir de s’exprimer.
Bon, frappons trois coups comme au théâtre et démarrons cette saynète !
Que faire à cette heure, quand l’eau est devenue trop fraîche pour s’y baigner, et que les estivants, les bronzeurs et les « farnienteurs » ont cédé la place aux bellâtres de la planche à voile qui vont fanfaronner devant leurs copines et leur cousines ?
Alors, draguer, mais encore faudrait-il trouver ? Et surtout trouver une fille seule, dans mes âges et dans mes goûts… Vous croyez que c’est facile, vous ?
Alors j’y vais au flan !
Ça ne marche pas bien fort cette façon là de draguer les minettes ! Et pourtant au bout de vingt échecs, et alors que j’avais jeté mon dévolu sur une petite brune avec des seins « qu’on aurait dit des obus »
Un type la rejoint avec deux cornets de glace ! Zut et reflute elle ne bluffait pas !
Petit fantasme ! Voilà qui est bien mystérieux !
Nous y allâmes et posâmes nos culs (non arrêtons ce passé peu simple) Nous y avons été et avons posé nos culs sur un banc en bas sur le sable.
Chacun d’un côté de la belle :
Silence gêné d’Eric et de moi-même !
Ce fut moi ! J’ai commencé par lui enlever son gilet qui était bien gênant, j’ai relevé son petit haut , puis j’ai dégrafé sou soutien-gorge, (super géant le soutien-gorge) j’ai commencé par lui masser tout cela, et elle se laissait faire en miaulant comme un chatte en chaleur. Je me concentrais sur le sein droit, laissant Eric s’occuper du gauche. Après ces caresses préliminaires, de façon quasi simultané nous nous sommes emparés de ses tétons afin de les titiller (ils étaient tellement dur, qu’on aurait pu avec planter des clous sur une planche !)
Nous avons tordu, étiré, pincé, tortillé ces magnifiques pointes, elle ne s’en lassait pas réclamant sans cesse que l’on fasse encore plus fort. Ces mains ne restaient pas inactives et avaient rejoint nos entre jambes afin d’en constater et d’en préserver la dureté de nos organes sexuels fièrement dressés comme des gyroscopes de sous-marin nucléaires en rodage.
Nous ne nous fîmes pas prier et sortîmes nos pines, dont les glands étaient déjà luisants des gouttes de pré jouissances !
J’attendais ! Curieux de savoir ce qu’avait imaginé sa libido lubrique.
Elle enleva alors le bas, nous faisant admirer sa chatte toute mouillée (tellement qu’un schtroumpf aurait pu glisser s’il avait marché par là !). Et alors que je pensais qu’elle nous en laisserais le libre accès, la voici qui se lève, nous laissant comme deux couillons, elle s’avance de deux metres, dandine des fesses de façon quasi obscène, puis se retourne, et s’accroupit devant nous, semble chercher on ne sait trop quelle inspiration et se met à pisser dans le sable devant le soleil couchant de la mer méditerranée !
Je regarde Eric, me demandant si elle a pété oui ou non les plombs ! Mais non, c’est du premier degré, et déjà le voici qui de sa quéquette, il vise la belle lui aspergeant les seins, le ventre et les cuisses. Le dernier jet atteint le visage et elle s’en lèche les babines de gourmandise. J’essaie à mon tour, mais je n’y arrive pas ! Je vous laisse imaginer ma confusion. Elle ne m’en veut pas m’indiquant seulement que j’aurais droit à un gage ! Délire pour délire, délirons mes frères, délirons mes sœurs !
Je le fais !
Je ne comprends plus ou plutôt je commence à comprendre quand je vois la main d’Eric se tendre vers ma propre bite ! Non mais des fois ! Il n’est pas bien, celui-là, je ne suis pas pédé moi ! Je proteste énergiquement, mais j’ai quand même ma queue dans sa main et le voilà qui me l’agite !
Hein ! Non ! Ils se figurent peut-être que je vais me dégonfler ! Et qu’ils vont pouvoir se moquer de moi ? Ben non, ils vont être déçus ! Je m’empare à mon tour de la bite de son fiancé et la masturbe bien comme il faut ! Et puis d’abord elle est belle sa bite à ce mec, tellement belle que je ne peux m’empêcher de la sucer, ça m’est venu comme ça, d’un seul coup d’un seul ! Une révélation, quoi ! Ce qui me vaut les encouragements de Carole qui du coup me suce la mienne ! Quel plaisir mes amis de sucer une bite pendant qu’on vous suce la votre ! Je ne suis pas venu à la plage pour rien ce soir !
Carole tend un préservatif à Eric ! Ah ben ça c’est pas juste, il va se l’envoyer, et moi alors , Enfin, c’est vrai que c’est son fiancé, il a la priorité ! Mais j’avais tout faux, Carole me dis de me pencher, m’écarte le globe fessier et prépare ainsi le chemin au gland encalotté de son soupirant qui vient alors m’enculer !
Mais c’est que ça fait du bien de se faire enculer par le fiancé d’une nénette aux gros seins un soir de Juillet sous les palmiers du Languedoc-Roussillon.
Raclement de gorge ! Je me réveille, je suis sur le front de mer sur un banc ! Je rêvais ! Mon dieu quel rêve ! Mais qui a raclé sa gorge ?
Joli femme ! Vraiment superbe ! Mais elle n’a rien d’une minette, 40 ans peut-être ! Mais quelle belle prestance ! Que fait-elle ici ?
Honteux je constate ma bandaison !
Enzo Cagliari - avril 2003