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n° 06154Fiche technique21660 caractères21660
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20/04/03
Résumé:  Fille d'agriculteurs de la région, Josiane est née pas très loin de mon village...
Critères:  fh copains grosseins poilu(e)s laid(e)s fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio fsodo
Auteur : Thierry B
La beauté cachée

Fille d’agriculteurs de la région, Josiane est née pas très loin de mon village. Je l’ai croisée pour la première fois au collège et l’ai suivie jusqu’à la fin du lycée. J’étais loin de me douter qu’elle puisse un jour devenir ma femme. D’ailleurs elle ne l’est toujours pas et ne le sera probablement jamais, en bonne célibataire endurcie qu’elle souhaite rester.


C’était une petite brune un peu gracile au visage ingrat, avec de grosses lunettes aussi épaisses que des loupes. Elle n’avait vraiment rien pour plaire, tout du moins physiquement, d’autant plus qu’affublée d’une timidité maladive elle restait toujours dans son coin. Pas d’amie, encore moins de petit copain, c’était une âme solitaire et un caractère particulièrement effacé.

À l’époque, c’était un peu le souffre-douleur de la classe, celle sur qui on se défoule par quelques vannes de mauvais goût. Je me rappelle qu’un jour nous étions cinq ou six dans le vestiaire de la piscine, nous devions avoir quinze ou seize ans et chacun y allait de bon train pour se moquer de "La Josy", comme on l’appelait :



Le pire c’est qu’à cette époque je participais activement à ce genre de discussions et en rajoutais de mes sarcasmes. La monstrueuse Josy c’était notre punching-ball verbal et, pour certains, une erreur de la nature, le plus infâme des laiderons.


o-o-o-o-o-o-o


Par la suite, je suis allé finir mes études à Aix. Mes parents venaient de divorcer et j’avais choisi de m’exiler avec le paternel pour profiter du soleil de la grande bleue.

Je venais d’avoir 22 ans lorsque j’ai décidé de reprendre contact avec ma mère, après quatre ans de silence complet. Durant toutes ces années je lui en avais voulu à mort pour avoir trompé mon père comme la dernière des catins… Mais la vie est fort bizarre. Deux jours formidables passés auprès d’elle avaient suffi pour me faire voir les choses complètement différemment, et j’ai finalement décidé d’abandonner le Sud et de réintégrer mes pénates auprès de ma petite maman chérie.


Du coup, mon passé est resurgi et m’a ratatiné comme une crêpe. Tout d’abord mes vieux copains qui, pour la plupart, n’avaient pas fait de brillantes études. L’un d’entre eux avait même fait un séjour en prison. Et puis l’air de la campagne, ces odeurs de l’enfance si magiques. Parfois on recherche des paradis mirifiques alors qu’un petit rien semble tout d’un coup plus important.

C’est dans ce contexte que j’ai rencontré Josiane. Au magasin de la presse, elle farfouillait dans les revues « tricot ». Elle n’avait pas changé, elle avait vraiment un peu de moustache et toujours les mêmes grosses lunettes de son extrême myopie. Et puis, pour ne rien arranger, elle était fagotée comme l’as de pique, on aurait dit une vieille femme. Mais une vieille femme avec des lolos très proéminents, c’était la première chose qui sautait aux yeux, La Josy en était bien pourvue.



Content de la retrouver, je lui ai fait la bise. C’était bien la première fois que ça m’arrivait.



A 23 ans, elle n’avait guère gagné en séduction, si ce n’est ses deux obus proéminents, mais sa poitrine ne suffisait pas à en faire un top-model. Assis au soleil à la terrasse d’un café devant un verre de Martini, je la dévisageais discrètement. Je l’avais branchée sur son travail de restauration, sur ce sujet elle était intarissable. C’est vrai qu’elle avait un visage très ingrat, hormis même ses lunettes, un visage pas symétrique en plus et à la peau trop blafarde, un trop long nez, un trop gros cou… Il faut dire aussi qu’elle ne faisait rien du tout pour s’arranger, elle pratiquait la politique du maquillage zéro, de l’épilage zéro et du laisser-aller total.


Je n’avais même pas risqué la comparaison avec mon ex petite amie que j’avais laissée à Aix et qui était jolie comme un cœur et douce comme une caresse.

Pour autant, j’avais pris rendez-vous avec Josy, elle avait tenu à m’inviter en souvenir de notre camaraderie d’antan. Pourtant nous n’avions pas été amis, que je sache, ou alors si, une fois, une seule petite fois. Nous étions en bande à la fête du printemps, ils voulaient tous faire une farce de mauvais goût aux filles les plus tartes et ils avaient fauché l’antiparasite de la mobylette de la pauvre Josy et l’avait laissée en plan au plein milieu des marécages. Assailli de remords, alors que j’étais déjà presque rentré chez moi, j’avais fait demi-tour pour la dépanner. Je crois que c’est la seule fois où j’avais été sympa avec elle durant toute mon enfance. Mais cela avait dû la marquer si j’en juge par le fait qu’elle avait bien insisté sur le mot « camaraderie ».


Toujours est-il qu’une semaine plus tard je me présente le soir chez elle. Son atelier ressemblait à celui d’un ébéniste, avec un foutoir inimaginable. Des burins, des ciseaux, des copeaux de bois, tout cela jonchait le sol. Elle était visiblement en train de travailler sur un pièce de marqueterie mais d’autres petits meubles gisaient çà et là, ou étaient posés pêle-mêle dans un coin de la pièce.



S’en suivit une longue visite de son atelier. Elle tenait à me montrer tous les modèles sur lesquels elle était en train de travailler. Je n’aurais jamais cru qu’une fille si effacée puisse être aussi si passionnée. C’était une nouvelle Josy que je découvrais.

Finalement, elle m’a proposé de monter à l’étage, tout aussi bordélique et mal rangé que l’était le rez-de-chaussée. Ce n’était pas très grand, une petite maison de bourg toute en hauteur avec des petites pièces étriquées. Il n’y avait qu’un endroit où s’asseoir, devant la table de la cuisine recouverte d’une toile cirée.



Nous étions assis face à face, le silence s’était installé entre nous. La pièce était mal éclairée et le décor insolite rendait l’atmosphère oppressante. Je regrettais presque d’être venu. Nous n’avions rien en commun. Et puis, si mes vieux copains apprenaient que j’étais en train de draguer "La Josy" !

Mais qu’est-ce que je disais moi, je n’étais pas en train de la draguer. Je n’en aurais voulu pour rien au monde. Mais le mot « draguer » revenait pourtant sans cesse dans ma tête comme un leitmotiv lancinant et, plus je la regardais, et plus il revenait.

J’aurais voulu m’enfuir et ne plus être là. Je suis certain qu’en plus elle devinait mon malaise. Elle me faisait face, elle me regardait. Elle regardait en moi comme dans un livre ouvert. J’avais l’impression qu’elle lisait toutes mes pensées.



Je me suis senti rougir jusqu’aux oreilles. L’effet marmite, je n’allais pas tarder à exploser. Elle ne disait pas grand-chose, mais son attitude était subtile. C’est elle qui était en train de m’alpaguer dans ses filets. Je me demandai soudain si elle avait fait le même coup à mes ex-potes, s’ils étaient, eux aussi, passés dans son lit. Enfin, qu’est-ce que je racontais, je n’avais pas l’intention de finir la nuit dans son lit.

La lâcheté m’aurait commandé de fuir sous un prétexte futile. Mais même la lâcheté avait déserté, je n’étais plus qu’un bout de chair morte posée sur un trépied. Mais un bout de chair qui continuait malheureusement à penser, et qui voyait ses lèvres bouger, légèrement entrouvertes, avec aussi, de plus en plus, une énorme envie de les embrasser.



Mal élevé comme c’est pas permis, je me suis resservi un grand verre de Martini, pour me donner du courage, en préférant ne pas répondre.



La question était tellement insidieuse que j’ai eu envie de répondre bêtement « Faire autre chose ? Mais à quoi tu penses ? ». Mais je me suis ravisé, je ne voulais pas non plus jouer au demeuré.

Les remarques grotesques de mes anciens copains me trottaient dans la tête : « la moustachue », « ça déborde de partout », « elle a une tronche à tailler des pipes », « même avec un oreiller sur la tête, je n’en voudrais pas » ; et tout plein d’autres joyeusetés qui m’arrivaient en réminiscences comme autant de mises en garde. Pourtant, la moustachue était bel et bien en train de me draguer.

Sa bouche qui bougeait, ses seins qui pointaient ! Et, derrière ses lunettes, on devinait des yeux brillants et plein de vie.



Au moins c’était clair, net, précis, j’avais la corde au cou.



Alors que je la rejoignais, je l’ai entendue ajouter à voix basse « Oh que les mecs sont compliqués ! ». Je ne pouvais qu’approuver.




Mais une fois sur le lit, c’est comme si l’on venait de s’élancer dans les flammes, de sauter dans le précipice. Cela devint tout de suite tumultueux et torrides. Une suite de baisers passionnés tandis que, chacun de notre côté, nous nous évertuions à nous déshabiller mutuellement. Elle était sacrément chaude.

Elle sentait fort la transpiration, mais c’est vrai qu’elle sentait bon, j’ai tout de suite adoré son odeur, mélange de sueur froide, de sueur chaude et d’odeurs plus intimes, et nulle trace de cosmétiques. Rien que son odeur m’a tout de suite fait bander, je n’avais encore jamais connu un tel naturel avec une autre femme.

Et puis quand j’ai vu tous ses poils, je n’avais pourtant jamais fantasmé sur les femmes poilues, allant même jusqu’à demander à mon ex-petite amie de se raser la foune. Mais Josy était excessivement poilue et poilue de partout, des longs poils bien noirs en plus, bruts de chez bruts, il n’avaient jamais vu le bout du nez de la moindre esthéticienne. Et finalement ça m’excitait, ça m’excitait terriblement ! Au-delà du raisonnable.


Pour combler le tout, j’étais en train d’embrasser à pleine bouche et avec délectation les lèvres grossières de cette fille que l’on disait pourtant si moche. Et j’y prenais goût, un goût certain, une envie folle. J’avais pourtant eu un certain nombre d’aventures auparavant mais jamais comme ça, jamais avec cette intensité sous-jacente. Un peu comme si je redécouvrais l’amour, une nouvelle initiation. Il ne me fallut que quelques secondes pour m’apercevoir que jamais plus je ne pourrais me passer de Josy. C’est arrivé en moi comme une certitude absolue alors que jamais, ô grand jamais, je n’avais fantasmé une seule fois sur elle auparavant.



Quelle révélation !

Il fallait voir comme je la léchais, partout, et de façon avide, sous les bras, entre les cuisses, je m’enivrais de son odeur avant de revenir téter ses seins pointus. Et elle ne restait pas en reste. Nous nous retrouvions bientôt en 69, ma barre de fer entre ses lèvres avides, sa chatte poilue dans ma bouche avide.

A l’occasion de ce premier contact, nous nous sommes léchés jusqu’à plus soif et jusqu’à l’explosion finale. Elle avala ton mon jus tandis que je délectais de son abondante liqueur.


Épuisés par cette longue séance de "suce-la-moi", nous nous sommes endormis sans même nous en apercevoir dans les bras l’un de l’autre.

Plus tard, dans la nuit, c’est elle qui m’a réveillé :



Le temps de retrouver mes esprits et je glissais entre ses cuisses. Nul besoin de lubrifiant, cette gourgandine était trempée d’envie. Et tandis que je reluquais ma bite en train d’aller et venir dans son épais buisson, elle se meurtrissait les tétins en les roulant entre ses doigts, les étirant à s’en faire mal. Je n’avais jamais connu femme si chaude et si délurée, d’autant plus qu’elle m’invita bientôt à passer en levrette :



Elle faisait la conversation à elle toute seule et m’abreuvait de mots salaces.

Un peu plus tard, alors que j’étais sur le point de non-retour et alors qu’elle venait de jouir elle-même deux fois, la voici qui ajouta :



À vrai dire aucune femme ne m’avait jamais dit ça de cette façon-là. J’avais pourtant déjà sodomisé certaines de mes conquêtes, les autres s’y refusant, mais aucune ne m’avait demandé explicitement de la prendre par le cul, à tel point que je pensais même que ce genre de demande ne pouvait que venir des mecs et qu’il fallait toute une force de persuasion pour en arriver là.

Mais elle ! Et dit comme ça, avec une telle envie. Oui, bien sûr que je l’aurais bien enculée mais ça m’avait tellement excité que je ne pus pas attendre plus longtemps et que je me vidai entièrement et honteusement dans la capote.


Cela-dit, cela ne fut que partie remise car, lorsque je me réveillai au petit matin je ne pensais plus qu’à ça, à investir son petit trou. Et, tandis qu’elle sommeillait, j’entrepris de lui lécher l’anus avec la langue. Son cul était tout aussi poilu que le reste de son anatomie.

Ma langue sur sa rondelle eut pour effet de l’arracher aux bras de Morphée :



Je n’avais de toute façon aucune envie de lui faire mal. Une fois mes doigts bien enduits de crème, j’entrepris de lui agrandir peu à peu le sphincter, y mettant autant de douceur que possible. Puis je me décidai à y enfoncer ma bite lentement mais fermement jusqu’à la remplir entièrement. De son côté, une main sur la chatte et l’autre sur un sein, elle recommençait à se caresser. Derrière ses lunettes ses yeux pétillaient d’envie et m’invitaient à lui limer le cul.

Après quelques minutes d’allers et venues et à force de se frotter la chatte, elle explosa à nouveau dans une jouissance grandiose, tous ses muscles se tendirent et elle se mit à ahaner comme une possédée. La jouissance éclairait son visage et le rendait radieux. À cet instant, dans la lumière du petit matin, je l’ai trouvée infiniment belle et excitante.

Puis, voyant ses grosses lunettes qu’elle avaient récupérées dès son réveil, me vint l’envie de les asperger de foutre. Je ressortis donc ma queue de son cul, j’enlevai prestement la capote et entrepris de me branler sur son visage, frottant ma bite de temps à autres sur sa figure, me laissant suçoter par sa langue agile. Ensuite j’accélérai les mouvements avant d’asperger copieusement ses binocles… Hum, quel pied !


Elle poussa le vice jusqu’à récupérer la moindre goutte de sperme avec sa langue, prenant soin de bien presser ma queue pour la vider de tout son jus. Je venais de me dégoter un super bon coup !


o-o-o-o-o-o-o


Ainsi s’achève le récit de ma première nuit avec Josy. Depuis, fort heureusement, il y en eut bien d’autres. D’ailleurs nous sommes voisins et très souvent l’un chez l’autre… même si, à mon grand regret, elle a refusé ma demande en mariage.


Josy c’est le genre de fille qui prend une douche tous les matins avant d’enfiler des sous-vêtements achetés à bas prix au supermarché du coin, de préférence en coton car elle ne supporte pas la dentelle. Ensuite souvent un jean ou une jupe longue, un chemisier sans forme, un gilet en hiver, ensuite un coup de peigne et la voici prête. Il ne faut pas que l’ensemble dure plus de dix minutes (ou alors quinze le jour de Noël). Pas féminine pour deux sous, je vous dis, elle a autre chose à faire que de perdre son temps à ce genre de frivolités. Le principal avantage que j’y vois c’est qu’elle est toujours prête, prête à travaille, prête à sortir et éventuellement prête à se faire baiser. Au lit, qu’est-ce qu’elle assure ! Avec elle ce fut une révélation, j’en oubliai rapidement toute mes anciennes maîtresses. Elles ne lui arrivaient pas à la cheville.


Dommage pour moi qu’elle souhaite rester vieille fille, j’en aurais bien fait ma femme. Elle souhaite préserver son indépendance et conserver son « bordel » comme elle dit, sans compromis et sans s’embarrasser d’un homme qui trouvera toujours quelque chose à redire ou un reproche à faire.

Cela dit je ne suis pas malheureux, j’ai un contrat de quasi-exclusivité et je suis presque tous les soirs chez elle. Même si chacun de notre côté il nous est arrivé de faire quelques entorses au contrat, c’est toujours avec le même plaisir et la même fougue que nous nous retrouvons, le plus souvent possible, pour copuler comme des bêtes et prendre un plaisir fou.