n° 06194 | Fiche technique | 28443 caractères | 28443Temps de lecture estimé : 16 mn | 30/04/03 |
Résumé: J'ai parfois recours à des Chats Internet ou des sites du même type pour laisser libre court à ma libido. | ||||
Critères: fhh telnet voir fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Dan Cho |
DEBUT de la série | Série : Annie Pierre et le loup Chapitre 01 / 06 | Épisode suivant |
Première partie
Après quelque vingt années de mariage, les relations physiques avec mon épouse se sont quelque peu banalisées et surtout considérablement espacées. Alors j’ai parfois recours à des Chats Internet ou des sites du même type pour laisser libre court à ma libido. C’est au cours de ces diverses connexions que m’est venue l’idée de laisser une annonce, qui sur le moment je dois bien l’avoué, n’avait d’autre but que d’exprimer un fantasme, sans véritablement envisager que cela irait plus loin.
L’annonce disait à peu près cela. " Homme mur, voyeur actif, cherche couple exhibitionniste pour rompre avec la monotonie de l’habitude. Laisser message à …"
Je n’espérais pas vraiment de réponse, mais j’étais curieux de voir si quelqu’un répondrait.
En réalité, j’ai reçu trois réponses.
La première était de toute évidence un canular et je l’ai de suite écartée. La seconde me semblait plus sérieuse, mais le couple vivait dans le Sud de la France ( je demeure en région parisienne) aussi les échanges de messages se sont vites espacés ne pouvant déboucher sur rien de concret.
La troisième réponse, en revanche me parue très vite beaucoup plus intéressante. Il apparut rapidement que Pierre et Annie, âgés respectivement de 35 et 32 ans, étaient véritablement motivés par ma proposition.
Après quelques échanges épistolaires informatiques d’usage, nous avons pu faire connaissance par téléphone. Sans véritablement oser aborder le fond du problème, nous nous sommes trouver suffisamment de point commun et de filling pour envisager une première rencontre, sans préjuger évidemment des suites possibles.
C’était pour tout le monde une première et personne ne voulait s’engager sans s’assurer d’un minimum d’attrait physique mutuel.
C’est donc ainsi que je me suis retrouvé un vendredi soir devant la porte de leur appartement.
Je suis devant la porte de l’appartement, l’index figé à 3 mm du bouton de sonnette, à me poser un tas de questions du type, est-ce que je ne fais pas une erreur? Que va t’il se passer? Et si ma femme apprenait?? Et si? Et si …
Le Ding Dong de la sonnette me sort de ma torpeur, trop tard j’ai appuyé sans même m’en rendre compte.
C’est les bras chargés d’un bouquet de roses, que je découvre la physionomie de Pierre qui vient de m’ouvrir la porte. Pierre est un homme de taille moyenne (1m75 – 1m78), assez massif avec un petit ventre replet, des cheveux quelque peu dégarnis mais surtout un visage jovial qui inspire la sympathie au premier regard.
Comment en cet instant éviter les banalités du type " Je suis bien chez Pierre et Annie" - " Vous êtes sans doute Marc? Allez-y, rentrez".
Après deux pas dans le vestibule, Annie apparaît dans l’encoignure d’une porte que je devine être la salle à manger.
Jeune femme blonde, mais visiblement pas naturelle à en croire les racines sombres de ses cheveux mi-longs et frisés, visage rond et souriant découvrant une dentition régulière et extraordinairement banche, des yeux gris verts très légèrement maquillés. Des lèvres, parfaitement dessinées et ourlées sans autre artifice qu’une sensualité naturelle, surplombe un charmant menton triangulaire.
Vêtue d’un corsage bleu pâle que déforme une poitrine de volume respectable dont la tension exercée sur les boutons du chemisier laisse apparaître le bleu plus soutenu du soutien-gorges.
es hanches épaisses sont dissimulées sous une jupe droite noire qui descend jusqu’à mi-cuisse. Ces dernières sont recouvertes de nylon noir, dont il m’est, à cet instant, impossible de dire s’il s’agit de bas ou de collant.
Des mollets fins contrastent avec des cuisses épaisses sans être massives.
Enfin sa silhouette est affinée par des escarpins, également noirs, à talons de cinq ou six centimètres.
Pierre m’invite à pénétrer dans le salon où visiblement ma visite était attendue. Sur la petite table se trouvent verres, bouteilles et assortiments à apéritif.
Mon hôte prend place sur le canapé en face de moi et me propose de choisir parmi les bouteilles exposées. Ce sera Whisky pour nous deux et il sert d’autorité un Muscat pour sa femme. Celle-ci nous rejoint en exposant les roses dans un pot de fleur sur le petit buffet. Je n’avais pas remarqué à quel point sa jupe cintrait ses fesses rebondies et ne peux, l’espace d’un instant, m’empêcher de les imaginer dénudées. Cette simple idée me provoque de légers picotements dans la moelle épinière.
Annie s’est assise près de son époux, les jambes bien serrées, les yeux plutôt baissés, n’osant visiblement pas croiser mon regard. Elle ne semble pas vraiment à l’aise. Nous non plus d’ailleurs!
Pierre et moi essayons d’animer une conversation qui a bien du mal à déboucher sur un sujet intéressant, mais il faut bien meubler en attendant que le contacte se fasse (ou ne se fasse pas)
Bref, au bout d’un bon quart d’heure de balivernes en tous genres, Annie n’a toujours pas ouvert la bouche, aussi je décide d’aborder le sujet qui nous préoccupe.
Annie n’a toujours pas bronché mais ses joues se sont légèrement colorées. Serait-ce uniquement le Muscat qui est à l’origine de cette modification?
Je sens que je dois la bousculer un peu, sinon la situation va rester bloquée.
Son regard implore son mari de lui venir au secours, mais je ne lui en laisse pas le temps.
Je ne pensais pas que cela marcherait aussi vite, mais Pierre est déjà debout et invite sa femme en lui tendant la main. Mon cœur s’accélère légèrement, c’est le moment où ça passe ou ça casse. Mais elle se lève et ose enfin un regard vers moi agrémenté d’un petit sourire.
Pierre laisse aller ses mains sur le cou, les épaules et les bras de sa femme en rivant ses yeux dans les miens. Il surveille mes moindres réactions et cherche l’excitation dans mon regard.
Docilement elle s’exécute, tend ses lèvres rapidement rejointes par la bouche de son homme. Tournant pratiquement le dos à son mari, elle est obligée de se cambrer faisant saillir sa poitrine que pierre s’empresse de soupeser comme pour me la proposer.
Je vois leur langue jouer entre elles tandis que les mains masculines soulèvent chaque sein, les rehaussent leur donnant ainsi encore plus de volume.
Du coin de l’œil Pierre me surveille toujours. Tandis que sa femme a fermé les yeux comme pour se concentrer sur le baiser et les caresses.
Un puis deux boutons sautent découvrant le haut des seins nus et pigeonnant, alors que le bas reste voilé dans un superbe soutien-gorge bleu à dentelle un tantinet transparent laissant deviner la pointe brune des tétons.
Cette vision est suffisamment excitante pour que mon pantalon se déforme légèrement, ce qui ne doit pas échapper à la sagacité de Pierre toujours à l’affût.
Ce dernier n’en oublie pas pour autant mon ordre et continu de dévoiler sa femme.
Le dernier bouton, à la hauteur du nombril vient de se rendre mais le chemisier reste emprisonné dans la ceinture de la jupe. Il glisse une main sous le tissu, caressant ainsi le ventre de sa femme qui semble enfin réagir. Une cuisse vient de se relever légèrement pour se frotter contre l’autre. Pierre a délaissé sa bouche pour embrasser son cou mais elle garde la tête rejetée en arrière, sans doute pour ne pas croiser mon regard. Elle place une main sur la hanche de son époux comme pour l’inciter à se coller encore plus à elle.
Condescendant, il dégage le corsage de la jupe et fait doucement glisser le tissu sur les épaules. Cette fois, les seins m’apparaissent dans leur entier et leur volume ne peut s’expliquer par la simple compression du soutien-gorge. Annie doit faire un bon 95 C et ce n’est certainement pas pour me déplaire.
Le chemisier gît maintenant au sol et je peux admirer le torse partiellement dénudé découvrant ainsi un ventre et des hanches grassouillets.
Les mains ont disparu dans le dos de sa femme, et le bruit du zip ma laisse espérer découvrir slip et cuisses assez rapidement.
De fait, la jupe vient retrouver le précédant vêtement et ce que je vois fait monter mon adrénaline en un quart de seconde. L’élastique, haut perché sur les hanches, plaque le slip sur les formes intimes d’Annie dont les grandes lèvres semblent vouloir avaler le tissu.
Ses cuisses sont mises en valeur par des bas noirs sans porte jarretelle.
Elle ose enfin un regard dans ma direction, cherchant sans doute à vérifier l’effet qu’elle produit sur moi. Il y a déjà plusieurs minutes que mon pantalon s’est gonflé et je ne cherche surtout pas à le dissimuler. Mais je pense qu’Annie à encore besoin d’être rassurer sur ses charmes aussi je crois bon d’ajouter:
Comme un scout, toujours prêt, il fait coulisser les bretelles du soutien-gorge sur les bras et très doucement dégage un mamelon, qui s’avère être très foncé, surmonté d’un téton presque brun, tendu et saillant preuve que la situation ne laisse pas indifférente la jolie fausse blonde.
Nouveau mouvement des doigts de la main gauche et le deuxième mamelon respire librement à son tour l’air de l’appartement. Mes yeux sont fixés sur ces appas mammaires, désireux d’en voir toujours plus. Je ne peux m’empêcher de poser ma main sur mon sexe qui ne cesse de prendre du volume. Pierre qui de toute évidence prend du plaisir à exposer sa compagne à mon regard salace, poursuit la séance de déshabillage. Il doit se décoller des fesses d’Annie pour dégrafer le soutif qui part rejoindre à son tour les frusques déjà au sol. La belle à vraiment de beaux seins! Ces derniers ne s’affaissent qu’à peine et restent accrochés bien haut sur le buste malgré leur volume.
Annie se décoince peu à peu et me lance un petit regard coquin de coin tandis que son époux entame un massage rotatif de ses tétons grâce à des pouces et indexes habiles et expérimentés. Il connaît bien les points sensibles de sa moitié car les pointes de seins se dressent immédiatement sur des mamelons larges et accueillants. Elle ne peut réprimer un petit " hum!" de bonheur qui augure bien de la suite de la soirée.
Pierre entreprend de baisser les bords du slip, mais je l’arrête immédiatement.
Il invite donc sa femme à pivoter afin d’exposer sa partie pile. Et je ne suis pas déçu.
En fait de slip, il s’agit d’un string dont la ficelle disparaît entièrement dans la raie culière ne laissant à mon regard avide que deux fesses charnues, rebondies et cambrées à faire damner un pape même parkinsonien.
Comme pour la poitrine, il met un point d’honneur à vanter la marchandise en palpant et écartant les deux globes fessiers, laissant ainsi apparaître de courts instants, la fine lanière du string.
Faisant déjà face à son homme, elle n’a guère qu’à laisser ses doigts s’exprimer pour que les boutons s’ouvrent comme par enchantement laissant rapidement apparaître un torse glabre et un ventre dodu.
Elle s’autorise quelques caresses et baisers sur cette poitrine masculine offerte, tout en débarrassant son propriétaire du vêtement devenu superflu. Annie se décale légèrement pour que je ne rate rien du paysage et m’adresse un regard interrogateur dans lequel je crois lire " comme ça c’est bien? ".
Comme je laisse la situation perdurer, elle poursuit ses investigations tactiles et buccales en lui papouillant le ventre et titillant les seins de ses lèvres. Elle en profite même pour se frotter contre la hanche de son mari ce qui doit contribuer à faire monter la température des deux partenaires.
Après quelques minutes de cette mise en condition, je décide que Pierre doit être suffisamment chauffé pour passer à l’étape suivante.
Sa main gauche part immédiatement à la rencontre de la ceinture qui ne résiste pas plus longtemps que les boutons de la chemise tout à l’heure. Zip fait la fermeture éclaire et les pans du vêtement sont rapidement dégagés dévoilant un slip noir largement déformé par son contenu.
Elle s’accroupit pour aider Pierre à se dégager des entraves qui lui emprisonnent les chevilles. De fait, elle se retrouve cuisses écartées de chaque côté de la jambe gauche de son époux, dans une position assez impudique, ses fesses nues reposant sur ses talons et le visage à la hauteur du sexe mâle encore dissimulé dans le slip. Elle tourne son visage vers moi attendant les nouvelles instructions.
Elle constate et confirme:
Sans l’ombre d’une hésitation, elle approche ses lèvres du membre et y dépose quelques baisers en guise de hors d’œuvre. Sur le gland d’abord, puis sur la tige et enfin sur les testicules qu’elle a pris soin de soupeser auparavant.
La langue en première ligne, elle entreprend alors une remonté lente et progressive jusqu’à retrouver le prépuce turgescent.
Pierre ne dissimule pas son bonheur, les yeux fermés il encourage sa tendre moitié de "hummm" significatifs.
S’enhardissant la belle ouvre la bouche et y fait disparaître le gland. Après quelques va-et-vient rapides, les lèvres se bloquent sur la verge, les joues se creusent ne troublant le silence ambiant que par un bruit spasmodique de sussions. C’est ce que l’on appelle "pomper le nœud" ou j’ai vraiment besoin de revoir mon éducation sexuelle.
Déjà bien au fait de mes désirs, elle pivote légèrement afin de me proposer une vue imprenable sur son entre-cuisse, où une auréole sur son petit slip me rassure sur son état d’excitation. Elle pose sa main droite largement ouverte sur son sexe et laisse son majeur manœuvrer pour trouver l’endroit de sa fente le plus sensible.
La main gauche maintient toujours la queue qui disparaît en grande partie dans sa cavité buccale. Les râles du sucé en disent long sur son état, aussi me semble t-il nécessaire de stopper là cette somptueuse pipe si je veux éviter une éjaculation préjudiciable à mes desseins.
Toute la timidité du début de soirée semble s’être évaporée. Elle me sourit avec un regard trouble et provoquant, puis se redresse pour exposer ses charmes, oh combien charnels!
Pierre est venu s’agenouiller derrière elle et caresse la vulve à travers le tissu du string. Puis il glisse une main sous l’élastique pour goûter du bout des doigts le sexe qui s’offre à eux. Annie a fermé les yeux, cambré ses reins en prenant appuis sur l’épaule masculine et ondule légèrement des hanches.
Après un court instant, il fait glisser les bords du string, tout doucement, dévoilant peu à peu l’intimité suprême de son épouse. Il a rivé ses yeux dans les miens, prenant plaisir à constater mon excitation évidente. Mon sexe est tendu à me faire mal et j’ai du plaquer ma main dessus afin de calmer un peu ses convulsions incontrôlables. Je sens monter en moi le désir irrésistible de jouissance et je crains que mon slip ne devienne le réceptacle d’un débordement que je ne souhaite pas pour le moment.
Au fur et à mesure que le bord du string descend, je vois apparaître une toison brune peu fournie et taillée avec raffinement. Puis la peau se fait lisse et vierge de toute pilosité, le haut de la fente nue vient ensuite et dans un mouvement un peu plus brusque apparaît enfin le fruit de toutes les tentations. Deux superbes coquilles de peau lisse, aux lèvres épaisses et brunes d’où émerge un petit capuchon rose et gonflé.
Pierre glisse son majeur dans la fente en partant du bas pour remonter lentement vers le clitoris. Les jambes légèrement écartées pour faciliter la caresse, Annie émet de drôles de petits râles entre-coupés de "hum" évocateurs.
Toujours à genoux dans son dos, Pierre envoi sa deuxième main à l’aide de la première, il écarte les grandes lèvres m’offrant, par-là même, une vue magnifique sur la chair rose et brillante de l’intérieur du sexe en feu.
Un nouveau "Hum" plus appuyé confirme la véracité de mon hypothèse.
Elle se place donc comme demandé, les fesses dans le vide et une jambe sur l’épaule de son mari qui ne se fait pas prier pour plonger son visage entre les cuisses écartées.
Comme, il me masque la partie de la scène qui m’intéresse le plus, je m’autorise un petit déplacement, venant m’assoire à la gauche de la femme en rut que je n’imaginais pas une heure plus tôt. Je place mon bras sur le dossier, au-dessus de sa tête et profite pleinement de la situation.
Pierre a imperceptiblement retiré ses lèvres de la chatte pour ne laisser que sa langue coulisser et titiller le clitoris qui semble s’être aussi empourpré que les joues de sa propriétaire. Je peux vivre en directe et en gros plan, tous les mouvements circulaires ou pénétrants de cette langue qui paraît animée d’une vie propre.
Après quelques minutes de ce manège, la pauvre Annie semble partie dans un monde meilleur. Sa tête chavire de droite à gauche, ses mains maltraitent ses seins en les écrasant ou les étirant. Je ne peux résister à l’envie de toucher à mon tour le corps de cette femme dont l’orgasme n’est visiblement plus loin.
Je pose donc le dos de ma main droite sur sa joue afin de vérifier son assentiment. Et non seulement je l’obtiens mais elle s’en saisie immédiatement pour la plaquer sans douceur sur son sein gauche. Délicieuse sensation que la peau douce de cette mamelle dont je m’empare rapidement du téton que je fais rouler sous mes doigts.
Ses gémissements redoublent de puissance, agrémenté de " oh ouiii c’est bon " ou "oui suce moi bien chéri " ou encore " qu’elle est bonne ta langue".
Visiblement les mots crus font partie de leur panoplie de stimuli et je n’y vois personnellement que des avantages.
Pierre s’est redressé, a remonté les cuisses de la belle, et d’une main sure, présenté son sexe à l’entrée de la grotte aux merveilles. D’une seule poussée, il s’enfonce dans la matrice parfaitement lubrifiée. Encore un " Hum" sonore accueille la pénétration avec enthousiasme. Deux ou trois va et viens lents puis il reste enfiché en elle quelques secondes, lui laissant le temps d’osciller des hanches pour bien prendre la mesure de ce qui l’envahi.
Tenant sa femme par les hanches, leur corps formant un angle droit, il entame une chevauchée fantastique à coups de rein réguliers.
Soudain, Annie me saisie la nuque en appliquant une légère poussée vers le bas.
Me méprenant sur le message, j’applique mes lèvres sur son téton droit orgueilleusement dressé, mais la pression continue. Je ne suis apparemment pas descendu assez loin. Poursuivant donc son chemin, ma langue va donc goûter le sel de son ventre, de son nombril, pour enfin atteindre les poils pubiens.
Seulement le ventre du mâle me gêne pour atteindre l’endroit stratégique souhaité par la belle. Pierre a beau se cambrer pour me laisser la place, je suis obliger de tendre la langue pour savourer la chaleur moite et entêtante de son clitoris.
Sont-ce les coups de boutoir de son mari ou l’effet de ma langue sur sa chatte, toujours est-il qu’Annie remue son bassin de manière de plus en plus anarchique, a tel point que son cavalier déjante en pleine poussée. Et comme moi j’ai la bouche grande ouverte pour mieux tendre ma langue, je reçois la belle queue poisseuse entre mes lèvres. Pas le temps de réagir qu’elle a déjà fait demi-tour pour retourner au fond du vagin. Je suis un peu surpris et amusé par l’événement, mais poursuit ma besogne labiale consciencieusement en profitant même pour peloter tendrement la fesse de mon hôtesse.
Il ne se passe pas quatre coups de reins que l’évènement se reproduit. Nouvelle sortie du pieu qui fini de nouveau entre mes lèvres qui se referment comme par reflex. Seulement cette fois Pierre semble avoir pris conscience de la situation et beaucoup moins pressé de retrouver la chaleur du ventre de sa femme. Au contraire il ondule de droite à gauche sur la fente ouverte, laissant son gland emprisonné dans ma bouche. Je ressens une formidable décharge électrique au creux de mes reins, troublé par cette sensation nouvelle de goûter la queue d’un autre.
Toujours à son ascension orgasmique, Annie semble ne se rendre compte de rien et j’ai la troublante impression de la tromper avec son mari pendant que celui-ci lui fait l’amour.
Il retrouve enfin (j’ai presque envie de dire déjà) le chemin plus conventionnel du ventre féminin provoquant de nouvelles plaintes de plaisir de sa femme qui semble au bord de l’explosion.
Les coups violents me permettent d’imaginer une éjaculation brutale au fonds du vagin en feu. Je continue tant bien que mal ma lèche clitoridienne alors qu’un nouveau coup de rein mal assuré fait de nouveau ressortir la queue en pleine phase éjaculatoire. Je reçois une bonne giclée sur le visage et dans une moindre mesure dans la bouche. Loin de m’en offusquer, j’accepte ce don séminal avec délice et me délecte de son goût doux amer. Je dois faire un effort surhumain pour ne pas jouir moi-même en cet instant.
Le calme revient peu à peu, et je délaisse à regret la chatte dégoulinante.
Annie se redresse en nous souriant.