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n° 06330Fiche technique16372 caractères16372
Temps de lecture estimé : 10 mn
20/05/03
Résumé:  Il paraît qu'une fois le passage ouvert, le plaisir est encore plus fort que par devant.
Critères:  fhh hbi voir fmast intermast anulingus hdanus hsodo
Auteur : Dan Cho      

Série : Annie Pierre et le loup

Chapitre 03 / 06
Annie Pierre et le loup - troisième partie


Annie Pierre et le loup


TROISIEME PARTIE


Pierre et moi nous regardons comme deux cloches. Il se tient le menton, l’air véritablement emmerdé, et moi je reste assis, la queue encore raide, sans comprendre ce qui se passe.



Je sors donc de la chambre à la recherche de l’ombrageuse, que je trouve recroquevillée dans un fauteuil du salon, vêtue d’un peignoir en satin noir, joliment brodé de dorures, mais l’ambiance n’est pas vraiment à l’esthétique. Elle a replié ses jambes sous elle et appuyé sa joue sur son point. Je m’approche doucement, toujours à poil et la queue pendante. Je m’assieds à côté d’elle sur l’accoudoir.



Puis d’un ton plus doux elle ajoute.



Elle appuie sa tête sur mon épaule et pose sa main sur mon bras, tendrement.



Je lui caresse doucement les cheveux, elle semble se décontracter un peu.



Elle me sourit, la colère semble s’être évanouie. Elle me regarde avec une profonde tendresse.



Je retourne donc dans la chambre où Pierre est toujours assis sur le bord du lit.



Je m’allonge sur le lit, les bras sous la tête, les yeux fermés et j’essaye d’imaginer ce qu’ils peuvent bien être en train de ce dire. Je m’excuse ma chérie je ne recommencerai plus, je ne sais pas ce qui m’a pris. Bon je veux bien te pardonner pour cette fois, mais ne recommence plus jamais. Je te le promets ma douce….

J’ai peur d’avoir sombré dans le sommeil et je suis bien incapable de dire combien de temps a duré le conciliabule.

L’ouverture brutale de la porte et l’arrivée soudaine de Pierre me tirent de ma torpeur.



Nous débarquons donc tous les deux dans le salon, toujours nus comme des vers et la queue pendante. Annie a toujours sa robe d’hôtesse noire, mais a laissé les pans ouverts sur sa poitrine et son sexe rasé.



Je les regarde discuter, les mains sur les hanches, en me demandant comment je vais bien pouvoir tenir ma promesse.



Il se penche en avant sur le dossier du fauteuil et écarte légèrement les jambes.



Je m’approche, terriblement gêné, écarte ses fesses et masse doucement son anus poilu. Il semble assez bien supporter cette première approche, qui, il faut bien l’admettre, n’a rien de traumatisante.

Par contre, lorsque je veux pousser mon index pour commencer à le pénétrer, il se contracte tellement que j’ai l’impression qu’il n’y a pas d’ouverture.



Je me résigne donc à sucer mon doigt pour le mouiller au maximum de salive et repars à l’assaut du petit orifice. Deux ou trois voyages cul bouche me permettent une bien petite victoire. Ma première phalange arrive enfin à forcer le passage. Mais même en forçant encore, son sphincter m’interdit toute progression.



J’hésite quelques instants, ne sachant plus vraiment quoi faire.

Annie s’approche et écarte les fesses du mari.



Je m’agenouille donc devant le cul mâle et écarte à mon tour les lobes fessiers pour bien en dégager l’anus. Un premier coup de langue me rassure un peu, le goût n’est pas aussi fort que je ne m’y attendais. Aussi je repars plus confiant, laissant cette fois mon membre labial se coller contre le petit trou brun. Je tends au maximum ma langue pour lécher de mon mieux, de haut en bas, puis en mouvements circulaires, oubliant peu à peu le propriétaire du cul que je suce maintenant sans arrière pensée.



Annie me caresse la tête et m’encourage à son tour.



J’ai l’impression moi aussi d’y prendre goût. J’écarte toujours les fesses et plaque ma bouche autour de l’anus pour m’en approcher au maximum. Ma langue pousse comme si elle pouvait disparaître dans ce trou serré. Puis lâchant une fesse je glisse un doigt sur l’ouverture. Incontestablement, ma salive a fait son œuvre, car mon index rentre sans beaucoup de problème jusqu’à l’articulation de la deuxième phalange.



Je commence alors de lents va et viens dans ce fourreau qui me serre si fort. Ma langue poursuit son travail de lubrification si bien que je décide de tenter un deuxième doigt et mon majeur se présente à l’entrée du sphincter. Légère pression et je sens que l’ouverture n’est pas aussi bridée que je ne le croyais. Alors je force, mais ça résiste.



Oui mais doucement ça bloque, alors je pousse plus fort, encore un coup de langue, et j’appuie. Peu à peu mon majeur disparaît à son tour. Pierre geint mais je poursuis mon œuvre. Enfin le sphincter se rend et me permet l’entrée. Je fais aller mes deux doigts et sent le cul se dilater de plus en plus. Je fais des allers retours assez facilement à présent.



Elle sourit et viens me branloter la queue et en profite pour faire de même à son époux.



Une fois ma virilité retrouvée, je me redresse et viens présenter mon sexe devant les reins de Pierre. L’heure de vérité.

Mon gland contre l’anus semble bloquer, trop gros pour l’ouverture. Je m’aide de la main en poussant plus fort. Cette fois j’ai l’impression de progresser.

Annie est tout contre moi et me caresse les fesses comme pour m’encourager.



Alors je pousse, et soudain toute résistance semble disparaître. D’un coup, je m’enfonce dans ces reins sans problème. Pierre retient un cri. De douleur, de plaisir ou de satisfaction, je ne le saurai jamais. Mes couilles cognent contre ses fesses. Je sens ma queue si serrée, presque compressée, et j’en ressens un vif plaisir.

Je tiens mon partenaire par les hanches et le lime à présent sans retenue.



J’accélère, et il laisse échapper de petits cris rauques.



Il a pris sa queue dans sa main et se branle sans vergogne.



A cet instant, il se bloque en criant. Je sens tous ses muscles se tétaniser y compris son sphincter qui se contracte au rythme des ses éjaculations. J’en ressens un plaisir fou, une sensation inégalée à ce jour. Je ne peux que me laisser aller à mon tour et balancer tout mon foutre dans son cul. Il cri encore.



Nous restons enfiché l’un dans l’autre quelques minutes, nous laissant le temps de reprendre notre souffle. Son cul est tellement serré que je ne débande pas, et je ressorts la queue encore bien raide pour constater qu’Annie, que nous n’entendions plus depuis quelques temps, est en train de se finir à la main, les traits marqués d’un rictus de bonheur.

Nous sourions tous les trois en constatant les traces de sperme que Pierre a déposé sur le dos du fauteuil.



On trinque donc à notre plaisir partagé et aux nouveaux plaisirs de cette soirée qui ne pourra que rester inoubliable.

Un bon quart d’heure plus tard, Pierre se fait plus mielleux.



Je comprends tout à fait sa demande, sauf que je ne suis pas sûr que sa fatigue soit la raison exacte de son soudain besoin d’intimité. Je le soupçonne de vouloir profiter rapidement de sa récompense, et au fond, je ne peux lui en vouloir.


Je prends donc congés de mes nouveaux amis.